March 2018

Sunday 25 March 2018

Hanna Zakarias - L'Islam et la critique historique

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Hanna Zakarias (pseudonyme du Père Gabriel Théry)
L'Islam et la critique historique
La fin du mythe mulsulman et l’accueil fait aux ouvrages d’Hanna Zakarias


« Dans cette recherche de la Vérité, je me suis imposé une ascèse, l’ascèse la plus dure : celle de la liberté, adoptant la pure méthode de la recherche, de l’analyse et de l’exégèse désencombrée de toutes les sottises accumulées depuis des siècles sur le thème-Islam. Et c’est dur, souvent très pénible, de soulever des siècles d’ignorance et de bluff pour se retrouver à l’air libre, respirant à pleins poumons. Cet effort, je l’ai accompli pendant des années de méditation silencieuse et d’analyses de textes. Mes conclusions étonnent les historiens qui n’ont jamais pu sortir des ornières séculaires au fond desquelles gît un Islam de pacotille, de cartes postales, d’imagination, et d’invraisemblances véritablement insensées.
Parti d’une analyse de textes, sans, sans aucune ambition, j’ai été amené à des conclusions révolutionnaires en matière islamique. Vous en connaissez maintenant les principaux thèmes. Ces conclusions, je me refuse, en honnête homme, à les présenter comme des hypothèses. Elles ont à mes yeux valeur de certitude, quoi qu’en puissent dire les coranisants submergés par un flot de littérature, toute de fantaisie, dont ils n’ont pas su ou pu se dégager. »

L’auteur.


Table des matières

Le vrai Mohammed et le faux coran
Amorce d’un vocabulaire nouveau islamique
Égarement de l’opinion par l’usage abusif d’expressions et de notions erronées
Certains membres du clergé catholique au secours de l’islam arabe
Réaction massive des catholiques contre cette fausse manœuvre
Prises de position publiques
Islam et critique historique
Le rabbin de la Mecque
Le problème du rapprochement christiano-musulman
Épilogue
Réflexions finales


Hanna Zakarias - Voici le vrai Mohammed et le faux Coran
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Saturday 24 March 2018

Henri Faugeras - Les juifs peuple de proie

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Henri Faugeras - Les juifs peuple de proie

Les Juifs sont issus d’un triple métissage : d’abord un croisement originel sémite-mongol en Asie centrale (dans les chaînes de l’Altaï), puis un deuxième croisement, nègre celui-là, du peuple métis ainsi créé. Dans la suite des temps, de nouveaux métissages ont particularisé certaines variétés de la race juive primitive, sans en modifier d’ailleurs le caractère profond dès lors fixé (Juif askénasique de l’Europe centrale, Juif séphardique de l’Afrique du Nord et de l’Espagne, Juif Gerim et Khasar de Russie, Juif Falasha d’Abyssinie, Juif négroïde du Sénégal, Juif de l’Inde, Juif babylonien, Juif chinois). Ainsi, blancs, jaunes, noirs confondent dans la variété raciale juive leurs caractéristiques souvent opposées, mais sans les fusionner, d’où un déséquilibre initial réalisant la sommation des défauts et des tares des races composantes : Les familles israélites nous présentent en matière de folie les plus beaux sujets que l’on puisse imaginer , écrit le Professeur Charcot.
L’anthropologie nous montre un unique deuxième cas de triple métissage : les Zambaïgos d’Amérique du Sud croisés blancs d’Europe, rouges d’Amérique, noirs d’Afrique ; ce sont des êtres pervers et féroces, totalement déséquilibrés dont il est dit : Dieu a créé l’Indien et le Nègre, mais c’est le Diable qui a produit le Zambo.
Le caractère racial le plus apparent chez le Juif est le caractère négroïde : développement précoce, cheveux fréquemment crépus, nez épais, lèvres charnues. A ce caractère s’ajoutent le teint olivâtre et les pommettes saillantes du Mongol, les pieds plats et les mollets maigres du Sémite. Le Juif subit par ailleurs les atteintes des maladies spéciales aux espèces dégénérées, en particulier névrose et déséquilibre mental.
L’Homme blanc est équilibré, constructeur. Le Nègre est un enfant même dans son âge mûr, le Mongol un vieux même dans sa jeunesse.
Le Juif, désaxé physique, mental et moral, du fait de son triple métissage, sera essentiellement un destructeur. Son comportement procède de ses origines raciales, mais en les dénaturant. La hâblerie du nègre devient chez le Juif imposture et astuce, son désir naïf de jouissance devient égoïsme féroce, son immoralité spontanée devient amoralité insolente, sa paresse devient volonté absolue de refuser tout travail réel : arrogant et servile, rapace et prodigue, orgueilleux, féroce, lâche, passionné jusqu’à la fureur, toujours instable et pervers, mais ayant hérité du sang mongol une inlassable patience, une indomptable ténacité, un sens psychologique aigu, une absence totale d’idéalisme. Si la perversion et la férocité de son égoïsme font du Juif un destructeur, ces mêmes vices lui imposent le conservatisme absolu de tout ce qui lui apparaît comme un bien propre, et d’abord de sa race et de sa tradition, religion, race, nation constituant un tout indivisible.
Avec cela, peuple sans art, sans technique, sans culture, le peuple le plus grossier et le plus imbécile de la terre, dit Voltaire. La langue juive originelle, l’Hébreu, est un mélange barbare de langues asiatiques, si rudimentaire qu’elle ne présente que deux temps dans la conjugaison des verbes, qu’elle ne comporte même aucun mot signifiant école.

Livré à lui-même, le peuple juif, uni dans ses communautés raciales, ne dépassa jamais le stade du ghetto, ghetto des pays latins et slaves et mellah de l’Afrique du Nord où, dépenaillés, teigneux, amorphes, rachitiques, les Juifs traînent par les rues de leurs taudis leur indolence nostalgique et leur incurable horreur du travail manuel, mais, toujours prêts à foncer sur une proie, à exercer ces instincts de vautour dénoncés par le Général Marbot pendant la campagne de Napoléon Ier en Russie : A peine étions-nous hors de Wilno, écrit-il dans ses mémoires, que les infâmes Juifs se ruèrent sur les Français (blessés et malades demeurés dans la ville) pour leur soutirer le peu d’argent qu’ils avaient ; ils les dépouillèrent de leurs vêtements et les jetèrent par un froid de 3o° tout nus par les fenêtres.
Moïse, le législateur hébreu, a formulé au peuple juif dans le Deutéronome le but racial de son action : Tu posséderas grandes et bonnes villes que tu n’auras pas bâties, maisons pleines de toutes sortes de biens que tu n’auras pas remplies, citernes que tu n’auras pas creusées, vignes et oliviers que tu n’auras pas plantés. Et le juif Maurice Samuel constatait en 1924, trois mille cinq cents ans plus tard, les circonstances et moyens de cette action : Entre les Gentils et nous il y a un abîme. Les Juifs forment le plus raciste de tous les peuples. Nous Juifs, destructeurs, resteront éternellement des destructeurs. Rien de ce que vous ferez ne satisfera à nos besoins et à nos demandes. Nous détruirons toujours parce que nous voulons un monde à nous seuls.


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Friday 23 March 2018

Léon de Poncins - Le judaïsme et le Vatican

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Léon de Poncins - Le judaïsme et le Vatican - PDF
Une tentative de subversion spirituelle


Judaïsme et Catholicisme sont-ils irréconciliables ? L'Eglise a-t-elle injustement stigmatisé le peuple juif pendant 2000 ans ? L'attitude des juifs eux mêmes a-t-elle aggravé le problème plutôt que diminué ?


L'irréductible antagonisme avec lequel le Judaïsme s'est toujours opposé au Christianisme depuis deux mille ans est la clef et le principal ressort de la subversion moderne une position qui, comme nous avons essayé de le montrer par des citations de docteurs et d'universitaires juifs respectés et érudits, bien loin d'être absurde comme il pourrait sembler à première vue, est très compréhensible lorsque l'on saisit qu'elle découle tout naturellement de l'esprit et de la pensée judaïques.
La rupture entre l'Ancien Testament et le Nouveau n'a cessé d'augmenter, au fur et à mesure que la Torah ou Loi de Moïse fit place à l'influence croissante du Talmud comme source d'inspiration de la religion hébraïque.

Le juif moderne n'étudie pas la Loi de Moïse mais le Talmud, et entre l'Évangile et le Talmud il y a un antagonisme irréductible.


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Thursday 22 March 2018

Hanna Zakarias - Voici le vrai Mohammed et le faux Coran

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Zakarias_Voici_le_vrai_Mohammed_et_le_faux_Coran.jpgHanna Zakarias
(pseudonyme du Père Gabriel Théry)
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Voici le vrai Mohammed et le faux Coran

Pour le coup, voici vraiment du nouveau ! Quand nous lisons le Coran, nous lisons en réalité tout autre chose. Ce que nous appelons ainsi est au vrai Coran ce que "les Actes des Apôtres" sont à l'Evangile.
Et ce Coran qui n'en est pas un devrait s'appeler les Actes de l'Islam. Quant au vrai Coran, il est perdu...





Chapitres :
La Mecque
Naissance, adolescence, et mariage de Mohammed
Conversion de Mohammed au judaïsme
Formation religieuse de Mohammed et direction de son apostolat
Echec catastrophique de l’exégèse coranique
Les grands enseignements du rabbin a Mohammed
Mohammed ! Prêche à tes compatriotes idolâtres la religion d'Israël !
Les réactions des Mecquois devant la prédication de Mohammed
Apparition d'un Coran arabe
Activité littéraire du rabbin de La Mecque
Le sort du Coran arabe
Première communauté arabo-juive
Les premiers musulmans
Les dernières réactions des idolâtres mecquois
Disputes entre le curé de La Mecque et le rabbin
Petit propos hors d'humilité
Rapprochement christiano-musulman
Interférences de la politique et de la religion
Rapprochement christiano-musulman sur le plan sentimental
Rapprochement doctrinal
Drôleries... sanglantes. Trêve de Noël
Mesures de clémence à l'occasion du ramadan
Drôleries de croquemitaine : la "guerre sainte"


Hanna Zakarias - L'Islam et la critique historique


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Tuesday 20 March 2018

The-Savoisien is on GAB.ai

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The-Savoisien is on GAB
GAB.ai - The Savoisien - @savoisien


Gab is a California-based social networking service described as a combination of Twitter and Reddit. In May 2017 registration was opened to the public after previously being invite only during the beta.

Gab describes its mission as "to put people and free speech first" by limiting censorship to filtering options made available to users.
Gab was created in August 2016 as an alternative to social networks like Facebook and Twitter. Founder and CEO Andrew Torba cited dissatisfaction with "the entirely left-leaning Big Social monopoly" as part of the inspiration for Gab, which he created "after reading reports that Facebook employees suppress conservative articles". Torba said in November that the site's user base had expanded significantly following censorship controversies involving major social media companies, including the permanent suspensions from Twitter of several prominent conservative and alt-right accounts.

A frog named "Gabby" is the current logo of Gab and has been in use since the website's launch.


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Rudolf Steiner - PDF

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L’effroyable brutalité culturelle de la transplantation des nègres vers l'Europe constitue un épouvantable forfait de la part des français envers les autres peuples européens dont les conséquences seront encore plus terribles pour la France elle-même. Cela se répercutera de manière incroyablement forte sur le sang et la race. Cela va précipiter la décadence française jusque dans son essence. Le peuple français s'en trouvera refoulé. Rudolf Steiner - 1923



Rudolf_Steiner_PDF_Francais.jpgRudolf Steiner - PDF Français
Histoire E-book

Rudolf Steiner est un philosophe, occultiste et penseur social. Il est le fondateur de l'anthroposophie, qu'il qualifie de « chemin de connaissance », visant à « restaurer le lien entre l'Homme et les mondes spirituels ».


Rudolf_Steiner_PDF_English.jpgRudolf Steiner - PDF English
Balder Ex-Libris

Rudolf Joseph Lorenz Steiner (25/27 February 1861 – 30 March 1925) was an Austrian philosopher, social reformer, architect, and esotericist.



Rudolf_Steiner_PDF_Multilanguage.jpgRudolf Steiner - PDF Multilanguage
Free PDF

Rudolf Steiner (Donji Kraljevec, Imperio austríaco -hoy Croacia-, 25 de febrero de 1861 – Dornach, Suiza, 30 de marzo de 1925) fue un filósofo austríaco, erudito literario, educador, artista, autor teatral, pensador social y ocultista.

Monday 19 March 2018

Philippe Henriot - "Ici, Radio-France"

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Philippe Henriot - "Ici, Radio-France"


AVANT PROPOS
Un très grand nombre d’amis connus et inconnus m’ont exprimé le désir de retrouver imprimées les causeries que je donne chaque semaine à la radio. Je me suis décidé à répondre à ce vœu, puisque mes correspondants m’assuraient que ces pages, relues, pourraient continuer de servir utilement à répandre des vérités trop méconnues de ceux qui se laissent prendre aux pièges des propagandes étrangères.
Je n’ai pas, en les publiant, d’autre but qu’en les prononçant : mettre au service des Français les arguments, les textes, les rappels d’histoire propres à leur faire mieux comprendre que l’intérêt de la France commande une docilité exemplaire aux consignes des chefs et une union étroite autour de la Patrie qu’ils incarnent.
J’ai maintenu à cette publication l’ordre chronologique de mes causeries. Il m’a paru qu’il serait plus aisé de suivre ainsi à travers elles la marche des événements au cours de l’année 1942. À part trois ou quatre dont le texte a malheureusement été égaré, mes auditeurs les retrouveront toutes. Je souhaite que ceux qui ne les écoutaient pas consentent à les parcourir ici : il me semble que le recul même du temps leur confère après coup une valeur de démonstration et d’épreuve susceptible, sinon de convaincre, du moins de faire réfléchir les hommes de bonne foi.
En constatant la duplicité historique de l’Angleterre, sa traditionnelle hostilité à la politique française, la lâcheté et la perfidie de ses agressions, en dénonçant la malfaisance empoisonnée du bolchevisme, en prenant en flagrant délit de mensonge la propagande anglo-saxonne, je n’obéis à aucun autre mobile que celui d’éclairer les Français à la mémoire courte sur ces mensonges qui leur ont fait tant de mal. En leur demandant de suivre le Maréchal et son Gouvernement dans toutes les voies où l’honneur, la dignité et l’intérêt de la France les engageront, je cherche à hâter l’heure d’une union nécessaire, certes, mais qui ne peut se faire dans la confusion et dans l’équivoque.
La grande difficulté de cette tâche vient de ce que les Français raisonnent trop souvent avec leur sensibilité à une heure où les arguments de la raison doivent l’emporter sur les raisons du sentiment. On ne fait pas une politique avec ses rancœurs, ses préférences, ses vœux et ses chimères. On fait une politique avec la réalité, même quand elle est dure. On doit s’incliner devant les faits, même quand ils ne sont pas de votre avis. L’entêtement n’a rien à voir avec la volonté, ni la fanfaronnade avec le patriotisme, et les imprécations ne sont pas un remède aux situations difficiles. Seulement, la plupart des gens aiment qu’on leur dise ce qu’ils désirent entendre. Or ce n’est pas une méthode pour les peuples virils que celle qui consiste à fermer les yeux à l’évidence et à compter sur des miracles qu’on ne songe même pas à mériter. Une nation qui a à se racheter doit loyalement payer le prix de sa rédemption.
C’est une constatation qui paraît amère à ceux qui regrettent avant tout leurs aises perdues et c’est pourquoi les professeurs d’intransigeance se recrutent surtout parmi ceux que rebute l’effort.
J’ai parlé, quant à moi, pour ceux qui osent regarder les faits en face, qui croient que le redressement d’un grand pays est fonction des sacrifices de ses enfants, qui sont las des endormeurs, des charlatans et des menteurs et qui préfèrent les vérités dures aux chimères dorées.
« La vie n’est pas neutre, a dit le Maréchal ; elle consiste à prendre parti hardiment. »
Ces pages n’ont d’autre mérite que d’avoir été écrites par un homme qui s’est efforcé de toujours prendre parti hardiment, avec le seul souci des intérêts majeurs de son pays.
P. H.


Philippe Henriot - PDF
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Sunday 18 March 2018

Jules Séverin - Le monopole universitaire

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Jules Séverin - Le monopole universitaire
Qu’est-ce que vaut la marchandise au point de vue technique ?
Ouvrage précédé d’une lettre d'Édouard Drumont et d’une lettre d’Ernest Renauld


CHAPITRES
- Introduction
- L’Enseignement Protestant dans nos Écoles d’Agriculture et de commerce : l’économie politique juive
- L’Influence du protestantisme en philosophie ; la philosophie juive
- L’Enseignement protestant en histoire ; erreurs et mensonges historiques. - La révocation de l’Édit de Nantes ; la Saint-Barthélemy ; l’Inquisition ; Galilée, victime de l’inquisition ; le Père Loriquet ; les Crimes des Borgia ; Marie la Sanglante ; Paris vaut bien une messe
- Conséquences des Mensonges historiques pour justifier la Révolution ; leur enseignement rendu obligatoire
- Les Beaux-Arts païens ; la Littérature païenne
- La franc-maçonnerie, son origine, initiation à ses mystères, l’action maçonnique au XVIIIe siècle, ses chefs occultes, Que dire ? Que faire ? Nécessité d’une franc-maçonnerie blanche. - Doctrines de la maçonnerie : morale, serments, destruction de la famille, assassinats et révolutions, grands Empire maçonnique
- Le travail des philosophes au XVIIIe siècle ; l’action de Voltaire ; quelques citations des philosophes
- Destruction de l’enseignement chrétien en France et en Europe. Destruction des corporations et fondation de l’Internationale
- Les Juifs prennent la direction de la franc-maçonnerie ; les doctrines de la barbarie antique restaurées ; le Talmud et la Kabale
- Préparatifs de la Révolution française dans les Loges ; la Révolution en sort tout entière ; échec de la Révolution en 1799

Histoire d’un siècle maçonnique

- Napoléon. - Le concordat. - Le droit moderne ; le droit romain ; jurisprudence juive
Le Monopole Universitaire. - Conséquences actuelles du règne de Napoléon ou notre constitution calquée de l’Empire
- La Restauration ; 1815 - 1830 ; La Franc-Maçonnerie sous la Restauration ; La Révolution de juillet préparée de longue main dans les loges
- La génération de 1830 ; Louis-Philippe ; La Franc-Maçonnerie sous Louis-Philippe ; Les Juifs sous Louis-Philippe
- La révolution italienne ; la révolution de 1848 ; Le plan de Palmerston
- Napoléon III. - La guerre de Crimée ; la guerre d’Italie ; l’unité italienne ; les traités de commerce de 1860 ; la guerre prusso-autrichienne ; la guerre de 1870. - Conséquences actuelles du règne de Napoléon III, sous une République qui a encore perfectionné les rouages du despotisme 
- La politique de Pie IX ; L’Assemblée de 1871 paralysée dans ses bonnes intentions ; travail des sectes de 1870 à 1873
- Triomphe des francs-maçons en 1877. - L’étalon d’or ; l’enseignement juif et protestant en médecine ; l’enseignement allemand en chimie ; corruption des sciences depuis 1870 ; les lois Ferry
- La résistance des catholiques ; la politique des intérêts ; la politique de Léon XIII
- La délivrance du pays. - Liste des principaux francs-maçons au pouvoir en 1877


Drumont_Puig.jpgEdouard Drumont - PDF


A. Puig - La race de vipères et le rameau d'olivier

Georges de Pascal - La juiverie

Raphaël Viau - François Bournand - Les femmes d'Israël


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Wednesday 14 March 2018

Reichsführer Heinrich Himmler - L'Esprit de la SS

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Reichsführer SS Heinrich Himmler - L'Esprit de la SS
Ceux qui viendront après le feront


Notre but n'est pas de fonder une association d'hommes qui s'effondrerait tôt ou tard comme toutes les associations d'hommes ou de soldats : notre but est de constituer progressivement un Ordre véritable. A mon avis, on emploie trop souvent le mot d'ordre. Ce n'est pas un ordre parce que nous l'appelons ainsi. J'espère que dans dix ans nous formerons un ordre, et pas seulement un ordre d'hommes, mais un ordre constitué de clans réunis en communautés. Un ordre auquel les femmes seront aussi nécessaires que les hommes. Comprenons bien qu'il serait insensé d'aller chercher le sang noble à travers toute l'Allemagne et de le placer très sagement sous le signe de cette idée, tout en lui permettant de s'allier comme il lui plaira à n'importe quelle famille. Nous voulons créer pour les siècles à venir une nouvelle classe supérieure, une nouvelle noblesse allemande qui sera sans cesse sélectionnée et se composera exclusivement des meilleurs fils et des meilleures filles de notre peuple, une noblesse qui ne vieillira jamais, qui se rattachera à la tradition et au passé dans la mesure où il aura de la valeur — jusqu'aux siècles les plus reculés — et qui représentera toujours la jeunesse aux yeux de notre peuple.

Nous sommes soumis à la loi de l'élite. Nous avons établi des critères rigoureux pour le corps, le caractère et l'esprit. Nous avons toujours sélectionné et abandonné ce qui n'était pas supérieur. Tant que nous aurons la force nécessaire au maintient de ce principe, cet Ordre restera sain. Le jour où nous aurons oublié les principes sacrés de sélection et d'austérité, ce jour là, le germe de la mort sera en nous. C'est pourquoi nous devons en toutes circonstances et partout nous rappeler nos principes : sang, sélection, austérité. Chacun de nous sélectionnera parmi tous les hommes qu'il connaît ceux qui sont de race pure et dont on peut dire au premier coup d'oeil que se sont des chefs nés ; il suffira de leur donner l'occasion d'en faire la preuve. Vous devez amener à nous ce jeune garçon, passer des heures à vous occuper de lui et veiller à toujours être pour lui un oncle et un protecteur pendant toutes les années qu'il passera chez nous, jusqu'à qu'il devienne sous-lieutenant. De cette manière nous aurons réellement le meilleur de l'Allemagne dans nos rangs, et qu'importe qu'il s'agisse du fils d'un receveur d'autobus ou du fils d'un comte. Jamais la route qui mène à nous ne doit être barrée pour ceux qui ont le sang pur, quelle que soit leur origine. Mais seul le sang véritablement pur doit accéder aux postes de commandement : nous aurons ainsi une élite du sang qui deviendra la nouvelle noblesse du peuple allemand.

Le SS-Obergruppenführer Darré m'a récemment fait une proposition d'importance. Il m'a conseillé — ce que je considère comme absolument juste — de vous donner la mission d'incorporer l'année prochaine dans les SS trois cents fils de paysans qui hériteront un jour du domaine familial : nous pourrons ainsi établir peu à peu une structure solide dans les villages. Les meilleurs fils du village et plus tard les meilleurs paysans doivent appartenir à cette communauté de sang et de vie qu'est la SS.
La Allgemeine SS, qui compte actuellement cent régiments à pied, est le fondement de notre organisation, le fondement aussi de tout notre patrimoine intellectuel. C'est l'organisation à laquelle incombe la tâche de reconnaître le sang allemand véritablement pur, de l'amener dans nos rangs et de l'éduquer par mis nous, non pas de l'enlever au peuple allemand, mais de l'éduquer et de lui insuffler un esprit de corps, un sens du devoir et sentiment du sacrifice tels qu'alors nous pourrons prendre la responsabilité de constituer une organisation réunissant les meilleurs. Nous devons cependant veiller, sans jamais relâcher notre effort ni notre esprit, à ce que toutes ces ramifications que nous avons instituées sentent qu'elles ne sont jamais qu'une partie d'un tout, de la même manière, il faut que la SS sente qu'elle n'est qu'une composante du Parti :
J’estime que là réside mon devoir et ma plus haute mission.
Nous sommes d'abord des nationaux-socialistes, ensuite seulement nous sommes des SS ; chaque homme est d'abord un SS ; il fait ensuite partie de la Allgemeine SS, de la Verfügungs truppe, des unités Têtes de Mort ou du service de sécurité.

Autant chacun de vous et chacun de vos officiers aime et doit aimer exercer son activité créatrice dans son propre domaine — et vous y avez la plus grande liberté — autant je vous demande de toujours persuader vos hommes et votre état-major qu'ils ne sont qu'une partie à l'intérieur d'un tout et qu'ils ne peuvent représenter quelque chose que si le tout représente lui-même quelque chose.
Administrer signifie ne pas laisser s'effondrer ce que d'autres ont créer.
Diriger au contraire signifie former le caractère de l'être humain dans l'intérêt du peuple, faire apparaître ce que chaque homme a de meilleur en lui, apporter des idées nouvelles et donner de nouvelles impulsions.
Je veux que jamais ne se propage dans la SS l'idée que les chefs qui la commandent ne sont que les administrateurs d'une organisation existante.
Nous devons bien comprendre que dans dix ans nous exigerons de la SS plus qu'aujourd'hui.


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Reichsführer SS Heinrich Himmler - Voice of our ancestors
Reichsführer SS Heinrich Himmler - La SS Organisation de combat anti-bolchévique
Reichsführer SS Heinrich Himmler - Un témoin génant

Waffen SS - PDF Balder ExLibris
Edwige Thibaut - L'Ordre SS
Troisième Reich - PDF Histoire E-book
Arthur Robert Butz - La mystification du XXe siècle


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Tuesday 13 March 2018

Adrien Arcand - Le christianisme a-t-il fait faillite ?

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Adrien Arcand - Le christianisme a-t-il fait faillite ?
"Notre devoir devant les faits"
1954


Mort et Renaissance

La haute politique est aux mains de la Banque Mondiale de l'Or qui en détermine le cours confus par ses trois organismes internationaux : marxiste, maçonnerie, sionisme. Nul chrétien capable d'une vision large n'a le droit de s'en désintéresser. Que cette monstrueuse organisation décide, pour hâter l'échéance de son plan politique, de déclencher un affaissement économique général ou une nouvelle guerre universelle, les gouvernements locaux et les administrations locales en restent frappés aussi durement que les citoyens eux-mêmes et se voient tous soumis à une dictature mondiale qui façonne à son gré leur vie financière, économique et sociale. Le nombre des communistes d'un pays ou des maçons dans une administration publique a moins d'importance que cette formidable puissance anoyme de détermination. L'effrayante secousse par laquelle les conspirateurs croient pouvoir compléter leur domination définitive du monde pourra avoir aussi facilement comme conséquences de briser leurs griffes qui tiennent tant de monopoles et redonner aux chrétiens leur maîtrise sur l'Occident. C'est même ce qui arrivera inévitablement, car dans un corps-à-corps mondial entre l'argent et l'âme, entre la matière et l'esprit, entre l'illusion et la réalité, entre l'œuvre humaine et la création divine, le résultat ne fait aucun doute, quels que soient les débris accumulés dans la lutte.

Depuis que les "Protocoles" sionistes ont été publiés, au début de ce siècle, on a pu suivre pas à pas, détail par détail, chapitre par chapitre, le déroulement du plan satanique qui y est consigné et pour l'achèvement duquel il reste encore peu de chemin à parcourir. Les niaiseries débitées sur ce livre n'en infirment en rien sa parfaite concordance avec les événements contemporains. Il faut le lire et le relire, non seulement pour comprendre l'action unifiée des grandes internationales subversives, mais aussi pour avoir, en l’applicant à rebours, un plan presque idéal de reconstruction dans ce que sera le monde de demain.

Ce monde sera bâti par les jeunes d'aujourd'hui qui ne se laissent pas emporter par les folles idées de la décadence ; qui sont capables, dans le tintamarre assourdissant du modernisme, de vivre une vie intérieure sérieuse et recueillie; qui, au plus fort de la guerre des nerfs, méprisent la peur suscitée par les terrorismes; qui sont aptes à l'abnégation et aux sacrifices pour servir la Vérité; qui ont des principes solidement enracinés et jouissent de ce flair si précieux qui fait discerner l'erreur cachée sous les sophismes les plus séduisants; qui ont le sens des besoins vitaux de leur époque, sur tout le sens rarissime du plus grand de tous les arts: l'art politique qui consiste à orienter des hommes, des peuples, vers une vie meilleure, plus pacifique, plus naturelle, plus conforme à leur double destinée. C'est à eux, ces vrais forts, que demain appartient, avec ses redoutables responsabilités et ses magnifiques possibilités de réalisation.

L'achèvement de la Révolution Mondiale apportera sa propre mort, dans l'épuisement de son mensonge et son désordre. Cette mort est une nécessité dont on ne saurait trop souhaiter la venue prochaine. Car il ne peut y avoir de Renaissance sans mort préalable. Chez les disciples avertis ou ignorants de la Révolution, mort du sens religieux, mort du sens moral, mort du sens patriotique, mort du sens social, mort du sens de justice et d'équité, afin que renaisse sur cette désintégration une vie nouvelle, comme l'arbrisseau qui pousse, vigoureux et agressif, sur le pourrissement du vieil arbre tombé. Quand viendra cette Renaissance déjà en retard, elle ne flottera pas comme la première entre le christianisme et le paganisme antique, comme en donnèrent le spectacle ces peintres, sculpteurs, écrivains et humanistes qui, aussitôt terminée la fresque d'une Annonciation dans une cathédrale, couraient peindre à la chandelle de leurs ateliers la naissance d'une Vénus, passaient d'une Assomption au Viol d'une Lucrèce, ou d'un Père Eternel à un Jupiters olympien, grâce au doute semé dans toute l'Europe par la Réforme, les Templiers et les subversités juives. La culture gothique, qui avait marqué l'apothéose scolastique débarrassée de toutes les scories de l'ère pré-chrétienne, reprendra enfin sa marche ascendante, libre des parasitismes de retardement et de distortion.

L'inspiration que le matérialisme avait chassée de partout, avec son esthétique qui n'avait trouvé comme dernier refuge que son application aux machineries et aux créations de l'utilitarisme réilluminera les esprits gestateurs d'une clarté plus vive qu'en aucune autre époque; penseurs, littérateurs, artistes prendront comme point de départ, les plus hauts sommets atteints par les génies les plus illustres de la culture chrétienne et monteront vers des cîmes nouvelles. La grande et glorieuse civilisation qui a dirigé et moulé le monde depuis quinze siècles, la seule même qui a véritablement mérité le nom de civilisation depuis la chute du premier homme, reprendra sa marche solennelle vers l'avenir, libérée des entraves artificielles qui ont tenté de la faire dévier de son cours pendant quelque temps; son esprit dynamique, indestructible puisqu'il tient d'un germe divin, alliant ses principes d'Ordre aux développements scientifiques prodigieux qu'il a lui-même suscités, donnera à notre monde, après tant de faillites et de malheurs apportés par le matérialisme, l'ère d apaisement et de justice que personne ne peut donner sauf Celui qui a dit, avant de disparaitre: "Je vous laisse ma paix". La civilisation chrétienne, à tout prendre n 'en est encore qu'à ses débuts, tant elle contient de trésors toujours inexplorés et de possibilités sans limites. Si un jour elle disparaît, c'est parce que le dernier homme aura disparu.


Les ouvrages d'Adrien Arcand
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Monday 12 March 2018

Livre bleu n°2

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Livre bleu n°2
Contrôle du comportement par ondes électro magnétique.
Mécanismes modernes de torture et de contrôle.
Abolir les droits de l'homme et la sphère privée.


Les poissons d'un aquarium de Singapour sont équipés d'un implant RFID. La technologie doit permettre aux visiteurs d'identifier les différentes espèces. Des informations sont stockées dans les puces RFID, elles sont ensuite décodées par un lecteur. C'est ce qu'ont fait les gérants de l'aquarium « Underwater World », à Singapour, dans le parc d'attractions situé sur l'île de Sentosa. Quand un poisson équipé de la puce passe devant le lecteur, les visiteurs voient apparaître les informations concernant l'animal sur un écran : son nom, son espèce, ses habitudes de vie.

Attention !!! Si vous vous faites implanter une puce RFID, et si les relais de téléphonie mobile sont des lecteurs, c'est vous qui serez le poisson dans l'aquarium.


Livre Jaune - PDF

Saturday 10 March 2018

Bon Débarabe

Bon Débarabe 5 - Turbobicot.jpg


Découvrez en exclusivité sur the-savoisien.com le groupe Don Débarabe. Mélange exquis de Nettoyage Ethnik et Suprême M.R.A.P..
Bonne écoute à tous. 88

Bon Débarabe 5 Turbobicot - Bon Débarabe 7 - Bon Débarabe 14 Harmonia Mundir


Extraits :

BD14 - 01 - La Palestine




BD5 - 11 - Ta soeur en flag à KFC




BD5 - 08 - Bougnoule modéré




BD5 - 05 - Youtroglycérine




BD5 - 06 - Au bruit des crânes de bougnoules que l'on fracasse à coups de pelle





Bondébarabe 5 - Turbobicot - Archive.org

BD5 - 01 - Sieg Heil !
BD5 - 02 - Melon de mes couilles
BD5 - 03 - Exterminabeur
BD5 - 04 - Napalm sur la Mecque
BD5 - 05 - Youtroglycérine
BD5 - 06 - Au bruit des crânes de bougnoules que l'on fracasse à coups de pelle
BD5 - 07 - Bicotron
BD5 - 08 - Bougnoule modéré
BD5 - 09 - Les merguez sortent d'un trou de balle de juive
BD5 - 10 - La nuit les arabes sont gris, d'ailleurs le jour aussi
BD5 - 11 - Ta soeur en flag à KFC
BD5 - 12 - Stigmates III
BD5 - 13 - Bougnoulus bougnoulum invocat
BD5 - 14 - On ne badine pas avec les bougnoules


Bondébarabe 7 - Archive.org

BD7 - 01 - Si Clovis était vivant
BD7 - 02 - Le retour de Charles Matel
BD7 - 03 - Le déclin de la France
BD7 - 04 - Soldats du peuple
BD7 - 05 - La reconquete de la nation
BD7 - 06 - Le déclin de la nation
BD7 - 07 - La reconquete de la France
BD7 - 08 - La reconquete du peuple


Bondébarabe 14 - Harmonia Mundir - Archive.org

BD14 - 01 - La Palestine
BD14 - 02 - Les Bougnoules
BD14 - 03 - Les Bougnoules
BD14 - 04 - Les Bougnoules
BD14 - 05 - La Palestine
BD14 - 06 - La Palestine
BD14 - 07 - Les Bougnoules & la Palestine
BD14 - 08 - La Palestine
BD14 - 09 - (bonus track)

Friday 9 March 2018

Georges de la Fouchardière - Histoire d'un petit juif

Georges-de-la-Fouchardière-Histoire-dun-petit-juif.jpg


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Georges de la Fouchardière - Histoire d'un petit juif


Georges de la Fouchardiere
Georges de La Fouchardière (1874-1946) a écrit son petit roman sur le modèle du Candide de Voltaire, et il conte les pérégrinations d'un petit juif nommé Benjamin Lévy à travers l'Europe en proie à une folie destructrice.


Benjamin Lévy retrouve, rue des Rosiers, des amis juifs auxquels il raconte sa rencontre avec l'écrivain antisémite : « C'est excellent pour nous. », dit l'un d'eux, « L'antisémitisme verbal, sous la forme truculente que lui donne M. Ferdinand Céline, est aussi inoffensif que les histoires juives dont nous-mêmes nous nous amusons ; il donne une tournure comique à ce qui pourrait être une passion dangereuse... »




Georges de la Fouchardiere - PDF
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Thursday 8 March 2018

Les prophéties de Seer Nicolaas van Rensburg


Peter_Deunov_Propos_sur_l_Avenir.jpg

Seer_Nicolaas_van_Rensburg.jpgNikolaas von Rensburg est né le 30 août 1864 sur une ferme près de Wolmaranstad en Afrique du Sud, il mourra en 1926. Il n'ira qu'une vingtaine de jours à l'école car son père en a besoin pour son travail à la ferme. Il apprendra la lecture et l'écriture par la Bible avec l'aide de sa mère. Ce sera le seul livre qu'il lira tout au long de sa vie. C'est vers 7 ans que se développent ses dons de voyances... Pour plus d'informations


Die_van_Rensburg_Prophezeiungen.jpgDie van Rensburg Prophezeiungen

Deutschland Erwacht :
Teil 1 Die van Rensburg Prophezeiungen
Teil 2 Weltkrieg und Das goldene Zeitalter
Teil 3 Im Flugscheiben-Wunderland


Les_propheties_d_hier_a_demain.jpgLes prophéties d’hier à demain
In the late 1800s and early 1900s there lived a man in South Africa named Seiner Van Rensburg. Van Rensburg gave many prophecies of which many have come true.
Here is a list compiled by one author of his fulfilled prophecies taken from the book, Voice of a Prophet...



Prophetie_Maitre_Beinsa_Douno.jpgLa dernière prophétie de Maître Beinsa Douno
Au cours des temps, la conscience de l’homme a traversé une très longue période d’obscurité. Cette phase, que les Hindous appellent « Kali Yuga », est sur le point de s’achever. Nous nous trouvons aujourd’hui à la frontière entre deux époques : celle du Kali Yuga et celle de la Nouvelle Ère dans laquelle nous entrons.


Bernard_Lievegoed_Battle_for_the_soul.jpgBernard Lievegoed - The battle for the soul, The working together of three great leaders of humanity
What did he see then ? I believe he saw the battlefield on which in the near future the great spiritual battle will be fought between the powers of materialism and those of esoteric Christianity. For that is what the book is about : the things which are to come.


El_relato_de_Maria.jpgEl relato de María
El Relato de María contiene la intención de “los Extra” de Agartha, que la gente se entere por los “periplos” que ella y su hijo debieron pasar/superar, para cumplir la voluntad de ellos : traer a éste mundo la gnosis primordial, y el mensaje de esperanza, esperanza convertida en certeza, de liberación, la que podrá ser a partir de la Batalla final, y el consecuente fin de la Historia.

Wednesday 7 March 2018

Robert Charroux - PDF

Robert_Charroux.jpgRobert Charroux
Champion d'athlétisme, plongeur sous-marin, chercheur de trésors, globe-trotter, journaliste, archéologue, producteur à la R.T.F. ("Le Club de l'Insolite"), Robert Charroux a été porté par sa curiosité à explorer les domaines les plus divers de l'histoire et de l'activité des hommes, loin des sentiers battus et de la science orthodoxe. Pour plus d'informations


Ouvrages de Robert Charroux au format PDF :

Histoire_inconnue_des_hommes_depuis_cent_mille_ans.jpg1963 - Histoire inconnue des hommes depuis cent mille ans
S'appuyant sur des textes jusqu'ici " interdits", ayant lui-même exploré des sites inviolés, Robert Charroux, chasseur de trésors et philosophe, trace des pistes, formule des hypothèses, éclaire notre passé et interroge - non sans angoisse - notre futur. L'histoire inconnue des hommes depuis cent mille ans est une somme, un ouvrage de références.


Le_livre_des_secrets_trahis.jpg1966 - Le livre des secrets trahis
Histoire inconnue des hommes depuis cent mille ans, le précédent livre de Robert Charroux constituait un recensement de l’insolite planétaire et concluait que les ancêtres de l’homme ne sont pas d’origine terrestre. Ici, Robert Charroux va plus loin ; il découvre les ‘clefs d’or’, de notre histoire secrète dans le plus ancien texte du monde : Le Livre D’Enoch.


Le_Livre_des_maitres_du_monde.jpg1967 - Le Livre des maîtres du monde
L'histoire authentique des civilisations est interdite. Des conjurations puissantes veillent sur la stricte observance d'une version altérée qui seule a le droit d'être exprimée. Notre histoire est trafiquée depuis des millénaires... depuis que les Égyptiens, oubliant ou voulant oublier les vérités transmises par leurs ancêtres, s'octroyèrent le titre d'Initiateurs premiers...


Le_Livre_du_mysterieux_inconnu.jpg1969 - Le Livre du mystérieux inconnu
Robert Charroux éclaire d'un jour nouveau, inédit, surprenant, les mythes et légendes dont on croyait avoir découvert le sens. Et, grâce à lui, des lieux archéologiques connus révèlent un autre visage. Dans le plus ancien temple d'Egypte, érigé il y a 10 000 ans, Charroux déchiffre, au delà des symboles du bélier et du serpent, les figures des Initiés venus du Ciel...


Le Livre des mondes oubliés1971 - Le Livre des mondes oubliés
De livre en livre, Robert Charroux transgresse, avec toujours plus de hardiesse, les affirmations de l'Histoire et de la Science officielles. Dans cet essai se croisent et se répondent des thèmes aussi divers que les secrets du Vatican, la magie noire à Paris, les fantômes d'Hiroshima, tous étudiés avec une troublante minutie et propres à surprendre plus encore le lecteur.


Tresors_du_monde_enterres_emmures_engloutis.jpg1972 - Trésors du monde enterrés, emmurés, engloutis
La terre et les mers sont truffées de trésors. Nous les piétinons à longueur de journée, les étraves de nos navires labourent sans cesse les eaux qui les recouvrent. Trésors des Templiers. Trésors des Incas. Trésors du culte enfouis lors des persécutions dans maints couvents et abbayes de France. Trésors des corsaires, des pirates et des boucaniers...


Le Livre du passé mystérieux1973 - Le Livre du passé mystérieux
La centrale initiatique cosmique des Maîtres du Monde. L'étrange « Vallée des Merveilles » dans les Alpes-Maritimes. Le pacte magique de Christophe Colomb. Les musées préhistoriques naturels du petrimundo. La machine à filmer le passé du Père Ernetti Pellegrino. Les mystères du ciel, des OVNI et les Sociétés secrètes extraterrestres. Les armes merveilleuses de nos ancêtres les Celtes.


L_Enigme_des_Andes.jpg1974 - L'Énigme des Andes
Alors que depuis des décennies déjà Robert Charroux explorait les grands sites archéologiques du monde et que ses livres bravaient la Science et l'Histoire officielles, c'est en 1973 qu'il devait recevoir la révélation la plus bouleversante de sa vie. Cette année-là, au Pérou, il découvre quelque vingt mille pierres, vieilles de plusieurs millénaires.


Archives_des_autres_mondes.jpg1977 - Archives des autres mondes
Les signaux lumineux que l'on croit voir dans le ciel, les textes insolites gravés dans les pampas du Pérou, du Chili et sur les collines d'Angleterre ne sont pas les seules énigmes qui sollicitent la curiosité. Connaissez-vous l'immense géoglyphe ( une roue parfaitement circulaire à vingt rayons parfaitement droits ) que l'on voit d'avion quand on survole la région de Béziers ?


1978 - Le livre de ses livres
...

Auguste Rohling - Le Juif-Talmudiste

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Auguste Rohling - Le Juif-Talmudiste
Résumé succinct des croyances et des pratiques dangereuses de la juiverie, présenté à la considération de tous les chrétiens.


À mes chers frères en Jésus-Christ,
Avant de publier cet ouvrage, je tiens à faire la déclaration suivante :
Il y a quelques années déjà, que parut à Münster (Westphalie) un ouvrage de M. l’abbé Rohling, intitulé : « der Talmud-Jude  ». Le livre fit grande sensation, mais ne jouissait pas d’une longue existence. La juiverie avec sa formidable puissance, mit tout en mouvement pour en provoquer, de la part des autorités, la prompte confiscation. Comme motif de cet acte de violence, on allégua que le livre contenait quelques erreurs, qui cependant étaient très insignifiantes.
Pendant 10 ans, je me suis donné la peine de soumettre ce livre à un examen approfondi et, après l’avoir entièrement refait et corrigé d’après les sources, je le présente de nouveau à l’attention du peuple chrétien. Ce n’est pas la haine du judaïsme qui m’a poussé à ce travail, mais uniquement la pitié pour mes frères chrétiens. L’étude de la littérature religieuse des juifs, et les expériences que j’ai faites durant mon ministère pastoral de 40 ans, m’ont fait connaître toute l’étendue des grands dangers, que les agissements juifs préparent à la foi et à la fortune de nos frères chrétiens.
Je suis vieux et malade, j’attends le moment où j’entrerai dans une vie meilleure. Mais avant de quitter cette vie, à l’heure de ma mort j’éprouverais une consolation indicible, si je pouvais me dire que mes paroles ont servi à convaincre mes frères chrétiens du grand danger, dont leur foi, leur vie, leur honneur et leur fortune sont menacés de la part de la juiverie.
Abbé M. de Lamarque.
Monte Giuliano, 15 juillet 1888.


Auguste Rohling - Le Juif selon le Talmud

Auguste Rohling - PDF
Auguste Rohling - Talmud-Jude
Auguste Rohling - El judío talmudista

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Tuesday 6 March 2018

Jean Bertrand - Claude Wacogne - La fausse éducation nationale

La-fausse-éducation-nationale.jpg


Jean Bertrand (Henry Babize) - Claude Wacogne
La fausse éducation nationale
L’emprise judéo-maçonnique sur l’école française

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Encore plus d'actualité, ce document inédit et forcément introuvable est enfin mis à la disposition du public pour son information et celle des chercheurs. Il permettra de se rendre compte de la main mise de ces groupements pseudo-occultes et parfaitement manipulés par ceux qui les dirigent.

Vous, parents, croyaient que vos enfants apprennent la VERITE, des moyens de lire ou d'écrire. Vu le nombre d'analphabète, on peut affirmer que la mise en place de cette vaste conspiration contre l'enseignement à bien réussi. Du sens critique, de la réflexion, que nenni, ils n'apprendront qu'à se faire manipulés pour en faire de bon et honnète Akum.

Ces idiots utiles de professeurs n'ont que ce qu'ils méritent à agir ainsi. L'esprit humain, même enfant se rend bien compte de la manipulation et ne connaissant rien d'autre encore qu'une violence pour contrer cela, devient grégaire au possible. Même qu'y en a qui brûlent leurs écoles. A quant un lynchage dans une salle de classe ?

Opération réussi. Bravo !!! ...


Extrait :
"Les ministres de l’éducation nationale et leurs fonctionnaires étaient francs-maçons ou juifs
Les Francs-Maçons, chargés de fonctions publiques,
ont le devoir d’appliquer les principes maçonniques.
(Convent G ∴ O ∴ 1923, p. 365.)

Le plan de conquête maçonnique de l’école visant en définitive au monopole de l’enseignement, a été réalisé et poursuivi par tous les Ministres de l’Instruction Publique, sauf deux, MM. Bérard et Mallarmé. Après les FF ∴ Jules Simon, Paul Bert et Jules Ferry, ce furent les FF ∴ Goblet, André Berthelot, Spuller, Lockroy, Léon Bourgeois, Charles Dupuy, Émile Combes, Bienvenu-Martin, Maurice Faure, Jules Steeg, René Viviani, Augagneur, Albert Sarraut, Honnorat, Mario Roustan, Albert Dalimier, Aimé Berthod, Henri Guernut ; quelques autres ministres, sans être maçons, furent maçonnisants, tels Yvon Delbos, Anatole de Monzie, Edouard Daladier, Lucien Lamoureux, Bertrand Nogaro, Edouard Herriot, Pierre Marraud, Jean Durand, Philippe Marcombes.
Ce sont eux qui feront voter les lois de 1882, de 1886, de 1901 et de 1904, lesquelles laïciseront l’école laïque et porteront atteinte à tout autre enseignement. La Maçonnerie en coulisse dirigera la manoeuvre, il lui faut une école populaire nouvelle où ses mots d’ordre fassent loi et à cette fin, elle propose ses méthodes : « Ce n’est pas l’officier prussien qui a vaincu, professe-t-on en 1871 dans les milieux maçonniques, c’est l’instituteur prussien ». Mais quant à expliquer aux masses comment travaille cet instituteur tant vanté, on s’en garde bien, les enseignements ne seraient pas conformes à la doctrine. Les réformateurs laïques, sûrs de porter en eux la vérité, n’ont pas besoin de s’instruire au dehors. Pour eux, pour leur secte, la défaite de la France n’est qu’une occasion, suivant la formule du F ∴ Jules Simon, de « refaire la France par l’Éducation ».

Ce sont donc tous ces ministres maçons ou maçonnisants qui feront avancer la réalisation de l’école unique ; ce sont eux qui patronneront la Ligue maçonnique de l’Enseignement ; ce sont, par exemple, Herriot et François Albert qui se glorifieront en 1925 d’avoir découvert dans Condorcet le plan de l’école unique ; c’est de Monzie dont les circulaires seront inspirées par les Loges."


Ex-Libris Lenculus - PDF


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Kalixt de Wolski - La Russie juive

Kalixt de Wolski La Russie juive.jpg


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Kalixt de Wolski - La Russie juive
1887


Chapitre I – La Question juive. - Gouvernement occulte des Juifs. - Le Kahal et le Bet-Dine. - Le Livre sur le Kahal, de Brafmann. - Le discours d’un grand rabbin. - But poursuivi par le peuple juif en tout pays. - Le Veau d’Or toujours debout. - La toute-puissance de l’Or promise aux fils d’Abraham. - Elle va se réalisant et l’on touche au résultat tant attendu. - Tableau de la situation financière en Europe. — Les Juifs en sont partout les maîtres. — Il s’agit pour eux de parachever l’œuvre de domination en tout et partout. — À qui veut la fin, tous moyens sont bons. — Il faut s’entr’aider … entre Juifs. — A eux les questions sociales et le faux zèle démocratique, pour agir sur les masses et les soulever à point nommé. — Les révolutions, clandestinement provoquées et fomentées par eux, font les Juifs les Rois de la Terre.

Chapitre II – Toussenel et Les Juifs, Rois de l’Époque. — Eux, peuple de Dieu !… — Allons donc !… — Tas de farceurs, de … grugeurs. — Tacite, Bossuet, Voltaire, Fourier, unanimes à ce sujet. — Les Juifs, raffineurs en fraude commerciale, voilà où ils excellent. — La Prusse et la Russie en savent quelque chose. — Napoléon Ier l’avait bien senti, dès 1805 ; et cependant !… — Trafic et usure, métier exclusif des Juifs. — Ils n’emploient leurs dix doigts qu’à manier et pressurer l’argent. — Monopoleurs et accapareurs, parasites et vrais vautours, tels sont les fils non dégénérés des pharisiens et des scribes d’Israël.

Chapitre III – Les Juifs peints par l’un deux. — Leurs mystères dévoilés. — Plus de mille ordonnances du Kahal et du Bet-Dine. — Le vieux Talmud mis au rancart et remplacé, pour les besoins nouveaux, par une doctrine arbitraire et despotique. — Tout pour dominer per fas et nefas. — Démonstration par les faits et les documents péremptoires. — Ce qui s’est passé en Russie, en Pologne, en Sibérie, en Roumanie, même en France. — Protestation trop motivée des Roumains et des habitants de Vilna contre les envahissements des Juifs. — En vain a-t-on voulu supprimer le Kahal et le Bet-Dine.

Chapitre IV – Documents servant de preuves à l’appui de tout ce qui précède.

Chapitre V – Les facteurs juifs, agents commissionnés par le Kahal. — Agents de surveillance et agents de corruption. — Ils sont toujours partout, et rien ne leur échappe. — Agents de la basoche. — Salaires d’entremetteurs. — Le rapport au Kahal. — Juifs et Goïms. — Juifs et Juifs. — Juifs et Kahal. — Kahal et Goïms. — Les dons et l’argent : arme de prédilection, talisman irrésistible. — La pièce : un mot au Ministre. — Comment procède le Kahal. — La commission d’enquête de l’Empereur de Russie. — Comment elle fut paralysée. — La cotisation juive, d’un million de roubles d’argent. — L’ultima ratio du poison. — Le tentateur repoussé. — Temporisation de l’Empereur. — Le directeur général Spiranski. — Le ministre Koczubéi. — Le serpent Péretz. — Ukase de réforme rengainé et statu quo maintenu. — Le tour est joué : Vivat Mascarillus !… — Les paysans russes continueront à être intoxiqués à bons deniers comptants.

Chapitre VI – Documents fournissant la preuve authentique de tout ce qui a précédé.

Chapitre VII – La cuisine des abattoirs juifs. — La viande prétendue pure et la viande impure bonne pour les Chrétiens. — Kochère et Tref. — L’impôt de la boite pour le Kochère. — Le Shochet ou boucher privilégié. — Barbarie révoltante et adresse merveilleuse. — Les huit espèces de viande impure (Tref). — Profonde science sur le tref. — Il est défendu aux juifs, par Moïse, de manger de la charogne, mais il leur est permis de la vendre aux non-Juifs. — Rigoureuse surveillance du Kahal à cet égard. — C’est avant tout une affaire d’impôt. — Importance de l’impôt de la boite. — On est parvenu à obtenir la protection gouvernementale aux autorités juives pour la perception de cet impôt de secte. — Préjudice causé ainsi aux populations des contrées où habitent les Juifs.

Chapitre VIII – Documents extraits du livre de Brafmann sur le Kahal, donnant les preuves de ce qui précède. — Quelle valeur peut avoir le témoignage d’un Juif surveillé par le Kahal.

Chapitre IX – Rapports des confréries juives avec le Kahal. — Influence qu’exercent ces confréries sur les Juifs et les Chrétiens. — Elles font de tous les Juifs répandus parmi les Chrétiens une corporation invisible, et toute-puissante. — La confrérie du Talmud : la Savante. — La confrérie de Bienfaisance. — La confrérie des Artisans. — La confrérie de Religion. — La confrérie des Funérailles, etc. — Autant de petits Kahals, instruments aveugles du grand Kahal. — Actes et documents à l’appui de ce qui précède.

Chapitre X – La cérémonie juive Alïa. — Partage des Juifs en patriciens et plébéiens. Obligation de lire les cinq livres saints, sous peine d’être persécuté par l’Ange des ténèbres. — La loi de la Tora. — Kohen et Lévi ; Lévi et Zarodi. — Le Segan, ou Gaba, et le Samosche. — Bénédiction des bénédictions. — L’échelle des Alïas. — Querelles et scandales entre dévots, patriciens et plébéiens.

Chapitre XI – Autorité du Kahal dans son district. — Elle montre bien la vérité du mot de Schiller : Les Juifs sont un État dans les États. — Toutes les propriétés comprises dans son ressort lui forment un territoire fictif, relevant réellement de son dominium. — Le Kahal est propriétaire in partibus des biens soi-disant possédés par des non-juifs, il a le droit de les vendre par parcelles aux Juifs. — Tout Juif est l’homme lige de son Kahal. — Les Juifs n’obéissent que superficiellement aux lois du pays où ils habitent. — Machiavélisme du Kahal. — Le droit de Hazaca ou de Meropiié. — Goïm et Juif, c’est un combat pour l’existence, car le Goïm est comme inconsciemment livré par le Kahal à une araignée, à une pieuvre, à un vampire invisible. — Actes et documents qui mettent pour la première fois en évidence cette terrible vérité. — C’est en Russie, en Pologne, en Roumanie, que fonctionne surtout le monstre dévorant du Kahal. — La roublardise du Kahal juif en Russie lui a soumis, comme un docile auxiliaire, l’autorité civile de l’Empire pour le recouvrement de ses impôts religieux qui font sa force. — La pauvre veuve Broïda battue et payant l’amende : l’autorité russe sert de gendarme au Kahal. — Il est parvenu à se faire payer un impôt indirect même par la population chrétienne. — Il en est venu à édicter des impôts recouvrables nonobstant opposition du gouverneur civil de Minsk. — En un mot, il a réussi à tout fouler aux pieds et à mettre les Chrétiens eux-mêmes dans sa dépendance. — La forme effroyable du Herem, à la fois serment et anathème (excommunication suprême). — Prière qui suit la publication du Herem. — Les trois catégories du serment juif. — Répugnance des Juifs à prêter serment. — Le serment n’a d’importance peur eux qu’autant qu’il est prêté devant un tribunal juif. — Partout ailleurs, un faux serment importe peu.

Chapitre XII – Documents traduits du Livre sur le Kahal et démontrant la vérité de ce qui vient d’être dite.

Chapitre XIII – La fête du Rosch Haschana (la nouvelle année) et la cérémonie de Fekiel-Chofère (du Son du cor). — Le Rosch-Haschana n’a guère de raison d’être depuis la chute du temple de Jérusalem, puisque c’était un jour de triomphe. — Les adroits meneurs d’Israël y ont substitué Moussaphe, service de synagogue, service funèbre, de pleurs, de cris, de lamentations. — La maigre sonnerie du cor (du cor de chasse) n’ajoute rien à la solennité pénible de ce jour-là. — Toutes les exégèses de la docte Cabale n’en peuvent mais — on n’ose pas réformer… et pour cause. — Document.

Chapitre XIV – Institutions accessoires de la synagogue. — La cour et les communs. — Le Bet-Haknest ou synagogue principale. — Le Bet-Gamidrasch ou maison de prière et école. — Le Bet-Hamerhatz ou bains à vapeur. — Le Bet-HaKahal ou chambre de Kahal. — Le Bet-Dine ou tribunal. — Le Hek-Dech ou refuge des pauvres sordides.

Chapitre XV – Le Bet-Dine, section judiciaire du Kahal. — Juridiction juive instituée par le Talmud pour soustraire les Juifs aux tribunaux Goïms ou non-juifs. — Pénalités sévères contre les contrevenants. — Autorisations exceptionnelles et secrètes. — Pouvoir absolu du Bet-Dine, se concertant avec le Kahal. — La fortune d’un justiciable influent déclarée Hefker, c’est-à-dire abandonnée au pillage. — Procédure du Bet-Dine : citations, Indouïs, Schamosches. — Les Daïons, juges et experts. — Renvois devant les tribunaux chrétiens, comme pis aller et châtiment. — Blancs-seings annulant par avance les jugements à intervenir.

Chapitre XVI – Actes et documents prouvant ce qui précède.

Chapitre XVII – Le Kabolat-Kinion ou Souder : ventes et achats entre Juifs. — Le soulier de l’acheteur offert au vendeur. — Un pan de la soutane, un mouchoir, remplacent aujourd’hui le soulier. — C’est le Kabolat-Kinion, opérant translation immédiate du droit de propriété du vendeur à l’acheteur. — Supérieur encore est le prestige d’une vente prononcée par le Kahal...

Chapitre XVIII – Célébration des noces juives. — Elles commencent la veille du sabbat par le Kabolat-Schabat, sérénade de mélodies nationales. — Le lendemain, Alïa-Maxtir. — Pluie de noix, d’amandes, de figues, etc. sur le futur. — Enfin la grande cérémonie. — Placement de la dot. — Salaire du Chadhan, négociateur du mariage. — Droit de Rahache, au profit du rabbin, du chantre et du staroste. — Salaire des musiciens. — Talet et Kitel, habits de la prière et de la mort. — Le Badhan, l’improvisateur-farceur, commence à fonctionner. — Toilette de la mariée, qui se fait sur un pétrin renversé. — Arrivée du fiancé, qui couvre la tête de sa future de l’écharpe qu’elle lui a envoyée. — On lui jette du houblon et de l’avoine. — Marche triomphale vers le Huppe (dais ou baldaquin). — Les mariés s’y placent. — Ordre et marche du cortège. — Bénédiction, vœu et acte d’épousailles. — Prière de la coupe. — Remise de la bague. — Retour, musique en tête. — La soupe d’or. — Le festin de la noce. — Les préséances et l’égalité. — L’art des serviteurs à soigner les convives d’élite. — Badhan et l’orchestre fonctionnent à tour de rôle. — Le cri final : Drosche-Geschenke ! L’énumération des cadeaux. — La danse Kochère. — Reconduite du couple à la chambre nuptiale. — Le Kahal, maître souverain de ses sujets dans leur vie privée...

Chapitre XIX – La Circoncision. — Les précautions contre Satan. — Le talisman Schir-Garmalot. — Visite et prière des connaissances de l’accouchée. — Prière à la synagogue et honneur fait au père. — Le Chaleme-Zahor, félicitations et politesses. — Le Wach-Nacht, veillée du huitième jour. — Soins préalables à l’opération. — Réunion des huit participants, des dix témoins, et des parents et invités. — On procède à la pratique de la douloureuse circoncision. — Prière et chants criards qui l’accompagnent. — Un élu de plus par le peuple de Dieu. — Fête et réjouissances sous le bon plaisir du Kahal. — Gare au tref !

Chapitre XX – Hiérarchie des dignités chez les Juifs. — Autonomie de leurs institutions primitives. — Les comités provinciaux et les Bet-Dine les remplacent. — Le Talmud accroît son empire. — République talmudo-municipale. — Organisation des communautés juives. — Le rabbin et les Parnesses. — Habor et Moreïne. — Degrés du Kahal et du Bet-Dine. — Élections. — Le rabbin n’est pas un prêtre. — Napoléon Ier et les Juifs. — La question juive en Russie, en 1866. — Les Juifs toujours Juifs. — Grave erreur de Napoléon Ier. — Tout Juif est prêtre. — Tout ce qu’on a fait pour réformer les Juifs a été nul. — Napoléon Ier s’est mis le doigt dans l’œil. — Les Juifs se parent des Spinosa, des Salvator, des Meyerbeer, des Rachel, comme le geai des plumes du paon. — Vive le Talmud et l’Alliance israélite !… — Les écoles juives font tache d’huile. — Erreurs du gouvernement russe, qui s’est aussi mis le doigt dans l’œil.

Chapitre XXI – Preuves à l’appui.

Chapitre XXII – Les Mélamèdes, maîtres d’école et précepteurs juifs. — Le Heder ou école. — Plébéiens et patriciens juifs. — Ceux-là sont condamnés à être les subalternes et très humbles serviteurs de ceux-ci. — Les élèves des Mélamèdes. — État de la question scolaire chez les Juifs. — Tout par et pour le Talmud. — Eschabots, Talmudors, Clauzers : taudis à écoliers.

Chapitre XXIII – Le Yom-Kipour, jour de la rémission des péchés, et le Gatorat-Nedovime, cérémonie de l’absolution. — Comment on allège la mémoire au lieu d’alléger la conscience du pécheur juif. — La fameuse prière de Kol-Nidre qui délie de tous les engagements et serments de l’année : jubilé annuel fort commode et assez scandaleux. — Le Gatovat-Nedovime et le Messirat-Madna, autres cérémonies non moins commodes, qui autorisent le faux serment et le faux témoignage dans les procès des Juifs contre les Chrétiens. — Et maintenant, à Jérusalem !

Chapitre XXIV – La cérémonie du Caporet comme purification. — Le Juif attrape un coq, la femme juive attrape une poule ; on les jette au loin, puis on les tue et les mange avec appétit… et on est purifié.

Chapitre XXV – La Mikva, purification spéciale à la femme. — Jadis un ruisseau d’eau vive, aujourd’hui un grand bassin d’eau sale, une cuve sordide, où les femmes vont faire deux ou trois plongeons suivis d’une horrible opération de rince-bouche. — Le tout sous les yeux et la baguette d’une affreuse mégère préposée à ce supplice digne de l’Enfer de Dante. — Il faut l’avoir vu pour le croire, mais cela est, et rapporte gros au Kahal.

Chapitre XXVI – Kidesch et Gabdala, prières sur la coupe. — Vin ou pain, eau-de-vie ou bière. — Mais le vin ne manque jamais, et c’est grand honneur de l’offrir. — On rend grâces à Jéhovah de ce qu’on est son peuple élu.
Chapitre XXVII – On ne naturalise pas les Juifs. — Il faut qu’ils soient dépouillés du droit talmudique de dépouiller et d’exploiter les Chrétiens. — Il faut en finir avec ces agglomérations de Juifs qui ne font rien que la fraude, l’usure, l’agiotage, le mercantilisme, la vente de l’eau-de-vie, etc. — Il faut en faire des cultivateurs, des ouvriers utiles, et abolir, supprimer ces autorités usurpatrices qui les oppriment. — Il faut en faire des citoyens et des concitoyens.

Chapitre XXVIII – Il n’est plus temps de rire. — Sait-on qui rira le dernier ? Au lieu de nier le danger, regardons-le en face. — Le Kahal est coriace et a la vie dure. — Rabbinat, judaïsme et jésuitisme. — Le Songe et l’Échelle de Jacob. — Pas de persécution brutale, mais pas d’illusions, ni de ménagements non plus. — Que la Russie avise sérieusement. — Qu’elle voie ce que les Juifs ont fait de l’agriculture. — L’idylle juive peut-elle durer et ne menace-t-elle pas de devenir un drame farouche ?

Chapitre XXIX – Le Juif dans ses rapports avec l’industrie. — En produisant le mouvement et la circulation, il dépouille le pauvre producteur réel. — Le propriétaire terrien de Russie est tout simplement le fermier du Juif préteur. — Slaves et Sémites. — L’agencement juif ; la publicité parlée ; les bourses de rues et de cafés. — L’expédition des affaires à la minute et sans paperasses...

Chapitre XXX – Le Juif se spécialise-t-il ? - Il ne s’abrutit pas par la division du travail. - Les incarnations successives et rapides font très vite d’un marchand de lorgnettes ambulant un millionnaire. - Les chiffres ne l’arrêtent jamais : on est associé ou on ne l’est pas. - Aussi, qu’est-ce qui ne leur appartient pas à l’heure qu’il est ? - Il s’agit pourtant de combattre pour l’existence. - Il faut réformer, non le Juif, mais le Chrétien. - Pourquoi ne procéderait-on pas à une révision, à un jubilé, ou cinquantenaire juif ? - Gare à un czarisme juif ! - Henri Heine et son apologue du Léviathan. - Il s’agit finalement de savoir à quelle sauce le naïf Chrétien et l’archi-naïf slave veulent être mangés par le Juif nullement naïf et très roublard !



Ivan Vladimirov (1869-1947),
dans les sous-sols de la Tchecka à Moscoun, dans le bâtiment de la Loubianka.





Avant-propos

Un nouveau courant a creusé son sillage dans la littérature.
Il fallait sans doute que cela arrivât, puisque cela est arrivé.
Or, ce courant étant antisémitique, il faut qu’une source ait débordé quelque part, ou qu’une digue ait été rompue.
Quoi qu’il en soit, ce courant ira loin.
La littérature antisémitique est évidemment le produit, quelque peu hâtif encore, d’une instinctive et inconsciente frayeur devant les constants envahissements du Juif moderne. On a peur dans les camps chrétiens ; on se compte, et bientôt on avisera. Il serait fâcheux que les timides essais d’une littérature purement défensive fussent légèrement jugés. La moquerie si incisive des Juifs et la coupable insouciance de la génération actuelle pourront à la longue avoir raison du généreux mouvement qui se fraye son chemin à travers les colères sémitiques et les naïfs étonnements des Chrétiens. Les petits et les humbles, je veux dire les Chrétiens et les Aryas, de race gauloise, germaine, et slave, ont, j’imagine, le droit de défendre, et même avec un peu de rudesse, les quelques débris de leurs fortunes, que le flot toujours montant du sémitisme n’a pas encore emportés. Il ne faudrait pas que le timide Chrétien s’habituât trop à porter gaillardement son joug, et que, pauvre honteux, il se résignât au rôle d’un vaincu, d’autant plus, qu’étonnés de leur victoire, les Juifs en seront bientôt embarrassés.
À l’oeuvre donc ! à l’oeuvre ! Et puisque la marche est ouverte, avançons sans haine, mais aussi sans défaillance.
Il serait regrettable que ce mouvement littéraire, étant donné le goût du public, se portât de préférence vers les récits qui répètent au lecteur ce qu’il sait déjà ou ce qu’il croit savoir, — le tout assaisonné d’additions plus ou moins correctes et plus ou moins divertissantes.
Le gros du public n’aime guère à apprendre, craint d’avoir à s’étonner sans comprendre, et hésite paresseusement devant les aridités d’une étude sérieuse. Or, l’étude de la Question juive implique un appel aux forces de la méditation et du calcul.
L’ouvrage que nous présentons au public est sérieux et profond. L’auteur a parcouru les pays où de grandes agglomérations de Juifs ou de grandes agglomérations de Juifs laissaient apparaître le jeu des engrenages et le mécanisme de la force motrice ; les obscurités qui cachaient aux chrétiens les replis de la conscience juive ont été percés à jour par l’auteur. Mais ce n’est qu’un commencement, une préparation à l’étude du monde mystérieux ou se forgent les armes qui ont asservi l’indépendance économique des Polonais, des Russes, des Hongrois et des Roumains.
L’auteur a fait preuve d’une grande lucidité d’esprit en désignant, sans tâtonnements et sans hésitation, l’admirable et funeste institution du Kahal, comme source de toute cohésion, collectivité et solidarité juives. Aux grands maux de sa race proscrite et abhorrée, Israël a opposé le grand remède : le Kahal!
L’auteur étudie ce savant organisme, ne dédaignant pas de s’appesantir sur les détails et les cérémonies symboliques, quelquefois futiles en apparence ; devinant, avec l’intuition d’un membre d’une nation proscrite, que tout est sérieux dans l’agencement d’un pouvoir appelé à sauver l’individualité d’une race.
Et qui sait si les méditations de l’auteur ne l’ont pas quelquefois amené à tirer de l’étude du Kahal des enseignements à l’usage de mainte cause plus sympathique ?… Mais pour que le Kahal ait pu s’imposer comme sanctuaire de la solidarité juive, il a fallu que le jeu de tout organisme national, supérieur aux égoïstes aspirations du mercantilisme, fût diminué, ralenti, ou même entièrement anéanti.
Le faisceau des intérêts juifs devait être réduit aux seules convoitises réalisables par la communauté d’action, à l’observance d’une stratégie d’une inexorable discipline. Le barrage qui alourdit la marche de l’Aryen, — la nationalité, la patrie, le progrès, — autant de fardeaux dont le Sémite ne doit point être et n’est point embarrassé ! En effet, les Juifs ne forment ni une nationalité ni un État, et leur vie religieuse même se confond avec leur vie civile. Mais c’est là une race richement dotée de tout ce qui unifie, marque et accentue les races cruellement militantes. Les vérités d’ordre absolument pratique, ces vérités, ces règles qui les guident dans les combats qu’ils livrent aux Chrétiens, ne sont ni nombreuses ni complexes : le Kahal est là pour les interpréter. Point n’est besoin de codification. Le respect dont on entoure le Kahal tient moins à la vénération due à son caractère religieux qu’à son utilité pratique, dans l’enchevêtrement des intérêts juifs.
De là, la tendance des Juifs à respecter les traditions les plus surannées et le droit coutumier le moins applicable. Civile ou religieuse, souvent l’une et l’autre, la coutume juive est la seule force morale, le seul ferment de l’existence du peuple juif. Il faut ajouter, pour être juste, que leur obéissance aux préceptes du culte et aux prescriptions du Kahal touche souvent au sublime. Tel est le Juif, et tel il sera jusqu’à la consommation des siècles.
Les peuples chrétiens, eux, subissent les obsessions d’ordre supérieur et se laissent distraire des soucis économiques par le culte des choses auxquelles le Juif n’accorde qu’un sourire de dédain.
Depuis que cela s’achète et se vend couramment, — science, littérature, art, — le Juif achète et vend ceci et cela. Mais le Juif ne produit pas !
Toujours est-il que cet éparpillement de l’activité des Aryens profite aux Juifs, que ces belles choses n’absorbent point.
Il était dès lors tout indiqué que le Juif intelligent, mais d’un aloi différent (car son immense intelligence est inquiète et fiévreuse), choisira son lot en dehors de l’activité de ses persécuteurs.
Vaniteux, orgueilleux et vindicatif, le Juif a voulu être puissant et persécuteur à son tour.
Excellent calculateur, — puisqu’il y a du Chaldéen et de l’Arabe en lui, — il a compris que le maniement des chiffres aura toujours des subtilités dont l’étude répugnera aux peuples rêveurs. Dès lors il s’est dit que ce jeu de chiffres appauvrira le Chrétien obtus et enrichira le Juif toujours éveillé.
C’était parfait, comme raisonnement, et il n’y a pas eu une seule erreur dans la prévision juive.
Il y a mieux, — La politique aidant, le Juif a pu accélérer sa course et arriver avant l’heure au but convoité.
Pour asservir le travail chrétien, les Juifs ont trouvé, — toujours la politique aidant, — des complices au sommet de l’échelle sociale. Les empereurs et les rois, qui autrefois mettaient en gage leurs joyaux et leurs couronnes chez les Salomon et les Abraham, ont passé par l’école des Juifs et sont devenus d’excellents emprunteurs, de naïfs escompteurs des temps modernes. L’ère des emprunts une fois inaugurée, les Juifs ont pris hypothèque sur tous les avenirs hypothécables : revenus des Etats, chemins de fer, canaux, usines, etc. Y a-t-il encore un avenir qui soit libre d’hypothèque ? S’il y en a un, il est noté et visé par eux.
La puissance juive est donc, en définitive, un produit contemporain, éclos dans la tourmente des premières années du siècle.
Le Congrès de Vienne, tout en pacifiant l’Europe, fit signe aux Juifs, et ils accoururent pour apprendre que la lourde liquidation des guerres de l’Empire avait besoin d’eux.
Rien de plus ironiquement cruel que les péripéties qui ont accompagné l’avènement de la dynastie aujourd’hui régnante des Rothschild !
A la chute de la plus grande puissance politique, représentée par Napoléon, succéda, presque sans transition, l’éclosion de la plus grande puissance financière représentée par un Rothschild.
Napoléon débarque au Golfe Juan… — Trois mois après, Rothschild débarque à Douvres, annonçant aux Anglais la bonne nouvelle de Waterloo…
La barque qui portait ce singulier César à Londres, — où il faisait aussitôt rafle de toute la rente française, — cette barque n’était pas armée en course : non, mais elle a servi, néanmoins, au premier exploit de piraterie financière ! (Qu’on nous passe l’expression, en faveur de la vérité.)
« Tout cela était merveilleusement facile », a dû se dire le fondateur de la première race de nos rois actuels. On ne saura jamais le jugement qu’il a dû porter, dans son for intérieur, sur la révoltante incapacité des Chrétiens pour la liquidation de leurs comptes. Quant aux rois et empereurs, — plus authentiques, mais moins habiles que lui, Rothschild, petit courtier d’un petit principicule allemand, — ces empereurs et rois, étonnants pasteurs de leurs peuples, n’ont pas compris qu’eux et leurs peuples allaient assister à l’éclosion d’un nouveau pouvoir, et que les ouvriers qui travaillaient à l’édification de ce pouvoir étaient aussi des génies. Les têtes couronnées, — plus ou moins ointes, — n’ont pas la science infuse ! Ils allaient avoir bientôt d’autres soucis. Leurs peuples, du reste, ennuyeux quémandeurs de constitutions, chartes et autres libertés de même farine, travaillaient intelligemment à assurer le jeu des Juifs … en faisant des révolutions, — lesquelles se soldaient toujours par des emprunts, des conversions et autres… tripotages !
Eh bien ! cette guerre implacable des Juifs contre l’avoir chrétien, cette guerre est silencieusement dirigée par les modestes états-majors qui ont nom Kahal. L’auteur de la Russie juive, malgré sa placidité de Slave, laisse percer toute l’amertume de son âme, en constatant que le flot sémitique mine, sape et corrode les pays slaves, déjà cruellement éprouvés par leur désunion.
L’ouvrage de M. de Wolski devrait être continué et embrasser l’ensemble de l’organisation juive, qui assurément se modifie suivant que la résistance des Chrétiens, de faible et craintive qu’elle était, s’affirme avec plus ou moins d’énergie.
Les continuateurs de M. de Wolski n’ont qu’à marcher sur ses traces et chercher à pénétrer dans le noeud de la Question juive.
La Pologne et la Russie peuvent fournir les seuls vrais éléments de l’analyse, car les Juifs des pays slaves sont les spécimens des vrais combattants de la race non travestis. Les institutions juives s’y sont conservées à peu près intactes ; il n’y a eu là ni le frottement qu’apporte dans les pays d’Occident le contact avec les races indigènes, ni l’influence de l’air ambiant qui flotte autour d’une civilisation raffinée. Les Juifs de l’Occident sont tous, à l’exception de la branche portugaise, les descendants des malheureux que la Pologne a jadis accueillis. C’est là qu’il faut chercher le secret de leur puissance. Le Kahal a conservé, en Russie et en Pologne, tout son vénérable caractère primitif.
Etudions, par conséquent, le Kahal, — non pour une satisfaction d’archéologues avides de recherches ou de savants curieux des choses étranges, — mais pour notre sérieux profit et pour celui des générations prochaines, qui ne devront pas avoir à nous reprocher nos péchés d’omission. Procédons à cette étude avec l’effroi salutaire qui sied aux vaincus. Au lieu de récriminer stérilement sur la supériorité de l’armement juif, prenons leurs armes, puisqu’elles ont du bon, et servons-nous-en contre eux. Est-il nécessaire d’ajouter que le Kahal a engendré une série de variétés, et que le Syndicat, par exemple, en est une incarnation moderne. — Les Syndicats juifs ont amoncelé des ruines ! Leur histoire est aussi à faire.
Aujourd’hui, le danger est plus grand, car le Juif est plus vigilant, il s’observe ; au besoin, il modifiera ses allures ; il ralentira ou accélérera, au besoin, le rythme de sa marche en avant.
L’auteur de la Russie juive conclut en indiquant les moyens de combattre le danger de l’absorption juive. La part qui incombe à l’État est définie.
Tout cela ne saurait conjurer la crise, sans le concours de la société tout entière, qui devrait s’organiser sur les bases du Kahal.
Et d’abord, il faudrait ne pas hésiter à inaugurer l’ère d’un robuste et brutal égoïsme national, et ne pas permettre que des accès de sensiblerie maladive viennent entraver l’oeuvre de la défense.
Cette organisation de la défense, elle est, en Russie, une douloureuse nécessité ; mais, s’il faut y apporter une dose de dureté inévitable, que cela soit fait, pourvu qu’on y procède avec méthode et suite.
C’est évidemment au gouvernement, et la partie éclairée du public, que cette tâche devrait incomber, à l’exclusion de tout élément pouvant engendrer des désordres.
Le peuple des campagnes et la population des villes devront apprendre qu’une vigoureuse répression sera infligée aux fauteurs de désordres, tels que ceux qui ont déshonoré tant de villes russes.
Étant donnée l’intelligence des Juifs, il y a lieu d’espérer qu’eux-mêmes indiqueront au gouvernement les voies à suivre pour éviter soit les expulsions en masse, soit une série de mesures vexatoires dont la recrudescence équivaudrait à une cruelle persécution.
Dans la question si ardue du flot sémitique submergeant le travail des fourmilières chrétiennes, et en présence de l’incapacité chrétienne d’endiguer la marche du sémitisme, il est naturel que des mesures tardives, et conséquemment énergiques, soient peuple que ses classes dirigeantes n’ont pas vu la calamité de loin, et qu’elles ont été insouciantes au point de laisser l’ennemi attaquer l’édifice social dans ses oeuvres vives. N’est-il pas permis aujourd’hui (se dira l’homme du peuple), et n’est-ce pas à nous de réparer les coupables oublis de nos gouvernants ? C’est en Russie que le peuple a tenu ce raisonnement et qu’il l’a mis en action, en se livrant à des actes de barbarie et de cruauté dont on ne l’aurait pas cru capable. Les classes éclairées ont compris le danger ; une sévère répression a arrêté le vandalisme triomphant. C’est bien, mais le procès n’en est pas moins pendant, car il y a matière à procès entre les pays et leurs Juifs. Il faudrait faire appel à toutes les lumières et à toutes les bonnes volontés pour que le dossier judiciaire juif soit complet, juste et impartial.
En attendant, on peut signaler une grande fermentation dans le camp juif. La peur est bonne conseillère. Quelquefois un schisme est né parmi les Juifs habitant le midi de la Russie ; et les Juifs, dits « J uifs spirituels », secte apparue dernièrement, se détachent résolument des traditions de l’antique sémitisme.
Chaque pays a les Juifs qu’il mérite.
La France ne connaît pas assez les siens, mais elle s’apprête à les connaître.
Voilà pourquoi la Russie Juive est une lecture instructive pour ceux qui vont aborder cette même question, placée dans un milieu différent.


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Sunday 4 March 2018

Urbain Gohier - Le complot de l'Orléanisme et de la franc-maçonnerie

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Urbain Gohier - Le complot de l'Orléanisme et de la franc-maçonnerie
Contre la France et contre la république


« Juillet 1830 », le drapeau tricolore (Léon Cogniet, 1830). A gauche, le drapeau blanc de la Restauration orné d'une fleur de lis ; à droite, le drapeau tricolore.


Urbain Gohier, de son nom de naissance Urbain Degoulet, a signé deux de ses livres du nom de plume Isaac Blümchen, né à Versailles le 17 décembre 1862 et mort le 29 juin 1951, est un avocat, journaliste et écrivain français.


M. de Cathelineau, interprète bien qualifié du sentiment royaliste, dit à l’assemblée des vieux Chouans : « Ce qui est anti-français, c’est d’être Orléaniste, car l’histoire des d’Orléans n’est qu’un tissu d’infamies et d’attentats contre la patrie ! »

Le général Comte de Cornulier-Lucinière, dans son livre de famille, attesta : « Rien ne peut laver la tache indélébile, anti-royaliste et antipatriotique, qui enveloppe cette famille d’Orléans dans un linceul de honte et d’ignominie ».

Le très royaliste et très catholique Marquis de La Vauzelle, dans une lettre en date du 16 avril 1923 (Vieille-France, n° 336), a fixé les origines honteuses et les crimes de la tribu d’aventuriers qui usurpe aujourd’hui le nom et le titre des Guise.



Les ouvrages d'Urbain Degoulet






La Franc-maçonnerie a été importée d’Angleterre en France au commencement du XVIIIe siècle, — à l’époque ou Philippe d’Orléans, Régent, et son infâme abbé Dubois, premier ministre, étaient pensionnés par le gouvernement britannique pour trahir les intérêts français. La trahison du « d’Orléans » alla jusqu’à mettre la France en guerre confire le petit-fils de Louis XIV, roi d’Espagne.
Notre pays fut alors le vassal de l’Angleterre comme il devait l’être au XIXe siècle de 1830 à 1848, sous le règne de Louis-Philippe qui avait écrit : « Je suis Anglais avant tout ».
La Prusse, création de l’Angleterre contre la France, a toujours été un foyer de la Maçonnerie, dont Frédéric ii fut l’ardent animateur.
Des Loges de Londres et de Berlin sont venues les consignes aux Loges de France, avant, pendant et depuis la Révolution.
Et les « d’Orléans » (ou prétendus tels) ont toujours été les complices de l’Angleterre, de la Maçonnerie, de la Juiverie, pour la destruction des Bourbons et pour l’abaissement de la France.
La F  ∴ M ∴ est, depuis l’origine, l’alliée ou plutôt l’instrument des Juifs pour l’accomplissement du plan tracé dans les Protocoles.
Tous les partis français sont profondément enjuivés, donc maçonnisés ; celui qui l’est le plus anciennement et le plus profondément est le parti « orléaniste ».
Dès le XVIIIe siècle, le duc de Chartres, futur duc d’Orléans, Philippe-Égalité, allait a Londres prendre les ordres du juif Haïm Jacob Falk, alors grand chef des organisations secrètes dépendant de la F ∴ M ∴, en quelque sorte précurseur de Weisshaupt. Le même personnage, par sa trahison en pleine bataille, sauva la flotte anglaise de la destruction à l’affaire d’Ouessant (1778).
Ce duc d’Orléans était Grand Maître de la Maçonnerie française, qui avait pour devise, mot de passe et mot d’ordre L.P.D., Lilia pedibus destrue : guerre à mort aux Bourbons, surtout à la branché aînée des Bourbons.
La Franc-Maçonnerie promit au duc d’Orléans le trône de France, en échange de son concours pour détruire la royauté légitime.
Le duc d’Orléans, par lui-même et par son mariage avec la fille du duc de Penthièvre, était le plus riche propriétaire foncier d’Europe. A ses immenses revenus, il joignait les ressources tirées de la multitude de lupanars et de tripots qu’il avait installés dans les galeries du Palais-Royal.
II mit cet or au service de la Révolution violente ; il subventionna les pamphlétaires et les meneurs d’émeutes ; il inonda la Cour, la ville et la province de hideux libelles contre Marie-Antoinette. Il fit égorger (avec quels raffinements !) la princesse de Lamballe, sa belle-sœur et créancière. Travesti en « femme des Halles », il conduisit la foule sanguinaire aux Journées des 5 et 6 octobre, et dirigea les assassins dans le dédale des appartements royaux à Versailles, jusqu’à la chambre de Marie-Antoinette ; elle n’y était plus ; il la poussa sur l’échafaud.
Pendant le long procès de Louis XVI, il suivait avec une lorgnette l’agonie de sa victime.
Les 15, 16 et 19 janvier 1793, il vota : la culpabilité du roi ; le refus de soumettre le jugement au peuple ; la peine de mort ; le refus de surseoir à l’exécution. Quatre fois bourreau de son bienfaiteur !
Le 21 janvier, installé sur la terrasse du Garde-Meuble, il savoura l’exécution, et il écrivit aussitôt à son âme damnée, Choderlos de Laclos, intendant de ses orgies : « Je viens de voir saigner le gros cochon ». Puis il alla, au témoignage de Chateaubriand, apaiser ses sens enflammés dans une débauche contre nature, traditionnelle chez les d’Orléans depuis le « Roy de Sodome », frère de Louis XIV, qui avait fait empoisonner sa femme (Henriette d’Angleterre ; Madame est morte !) par ses mignons (chevalier de Lorraine, marquis d’Effiat).
Comment expliquer tant de forfaits contre la Maison de Bourbon si Philippe-Égalité avait été lui-même un Bourbon ? Et comment expliquer que la Maçonnerie eût choisi un Bourbon pour exécuter le programme L.P.D. ?


Saturday 3 March 2018

Charles Lucieto - Les sept têtes du dragon vert




Charles Lucieto (Teddy Legrand)
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Les sept têtes du dragon vert
La guerre des cerveaux


Les Sept têtes du Dragon Vert va comme « roman d’espionnage » entraîner le lecteur au fil de ses pages dans les coulisses de cette histoire, aux croisées des agissements du « 2ème bureau français », des autres services secrets allemands, anglais, voire turcs, dans les milieux russes blancs aux prises avec le N.K.V.D. — les services de renseignements de la nouvellement crée U.R.S.S…

Et derrière tout cela, encore et surtout, est présentée une organisation concurrente indépendante, voire « supérieure », qui semble tirer des ficelles, appliquer un plan complexe pour un dessein particulier, lequel ne vise rien moins qu’à asseoir sa domination sur l’Europe… voire aussi sur le monde…

Cette organisation repose, est dirigée, telle que nous la présente Teddy Legrand, par certains êtres mystérieux, qui pourraient même posséder et se servir de « facultés supérieures » : le pas entre espionnage et ésotérisme est, disons-le, franchi — et il fallait bien justement qu’un certain « Teddy Legrand » apparaisse pour le franchir : l’action politique, secrète, et la « magie », ou le spirirtuel, se rejoignent…

Cela pourrait pour certains paraître un artifice de roman, pour d’autres, plus « distraits », un fantasme…

Et pourtant… Il sont des indices, des traces patentes, qui prouvent la combination des domaines de l’action politique secrète et disons, globalement, de l’ésotérisme : oui, des personnages comme Nizier Philippe — le « Maître Philippe », guérisseur célèbre et thaumaturge, Gérard Encausse « Papus » le chef de file du mouvement occultiste français, ou Grigori Raspoutine, devenu mage officiel du couple impérial russe ou du moins de la Tsarine, ont véritablement pu jouer un rôle crucial, et concurrentiel, sur le plan politique, au début du 20ème siècle jusqu’à la révolution bolchévique — il n’est qu’à lire les témoignages des contemporains.



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Friday 2 March 2018

Léon Bloy - Le salut par les juifs

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Léon Bloy - Le salut par les juifs


La grande affaire de Bloy est d'être le contempteur d'un monde, d'un siècle, d'une humanité même, dont il se sent et se veut le banni - "je souffre une violence infinie et les colères qui sortent de moi ne sont que des échos, singulièrement affaiblis, d'une Imprécation supérieure que j'ai l'étonnante disgrâce de répercuter", met-il dans la bouche de Caïn Marchenoir.
L'horreur que lui inspire la déchéance du Christ dans l'Eglise, dont il exhausse un anticléricalisme ravageur, la honte où il tient tout ce qui peut s'apparenter à la moindre compromission avec la société de son temps, l'effroyable mélancolie où le plonge cette intuition que les humains ne trouveront jamais leur bon plaisir que dans le reniement d'un Idéal et dans la consommation de la jouissance, sans l'once d'un souci de justice sociale et spirituelle ("je suis en communion d'impatience avec tous les révoltés, tous les déçus, tous les inexaucés, tous les damnés de ce monde"), font de lui un de ces êtres inapaisables, taraudés par la douleur de vivre et la souffrance d'être.
Son génie aura peut-être été de donner à cet apocalyptisme une forme de sublimité, une expression qui doit autant à son mysticisme qu'au réalisme le plus cru.



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Le Salut par les Juifs, publié en 1892, a été enterré douze ans. L’éditeur, un excellent & digne homme formé du limon de la terre tout exprès pour la production typographique de ce seul ouvrage, ayant tout à coup changé de métier, emporta comme une proie, dans sa nouvelle demeure, la multitude appréciable des exemplaires invendus. Nous n’avions pas de contrat et cette masse d’imprimés lui appartenant, je dus me résigner, deux lustres & demi, à la séquestration arbitraire du plus considérable de mes livres. J’ai raconté cette aventure douloureuse & ce préjudice énorme à la page 214 de « Mon Journal ».
L’édition nouvelle que voici est corrigée en divers endroits, sans modifications essentielles. On est prié, toutefois, de considérer que les moindres changements ont une importance extrême dans un plaidoyer purement exégétique dont la portée pourrait être supposée incalculable si l’humanité contemporaine était curieuse encore des Affirmations ou Similitudes révélées.
À part l’inspiration surnaturelle, on peut dire que le Salut par les Juifs est, sans aucun doute, le témoignage chrétien le plus énergique & le plus pressant en faveur de la Race Aînée, depuis l’onzième chapitre de saint Paul aux Romains.
« Si leur faute, dit cet apôtre, est la richesse du monde & leur diminution la richesse des nations, que sera-ce de leur plénitude ?
« Si leur perte est la réconciliation du monde, quelle sera leur assomption, sinon la vie d’entre les morts ? »
Le Salut par les Juifs, qu’on croirait une paraphrase de ce chapitre de saint Paul, fait observer, dès la première ligne, que le Sang qui fut versé sur la Croix pour la Rédemption du genre humain, de même que celui qui est versé invisiblement, chaque jour, dans le Calice du Sacrement de l’Autel, est naturellement & surnaturellement du sang juif, — l’immense fleuve du Sang Hébreu dont la source est en Abraham & l’embouchure aux Cinq Plaies du Christ.
Et c’est tout. Il n’y a plus rien à savoir. Le monde juif apercevra-t-il enfin ce livre qui l’honore au delà de toute espérance & qui ne lui a rien coûté ?

19 Novembre 1905.
Octave de la Dédicace des Églises.

Léon BLOY


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Salus ex judæis est. Le Salut vient des Juifs !
J’ai perdu quelques heures précieuses de ma vie à lire, comme tant d’autres infortunés, les élucubrations anti-juives de M. Drumont, et je ne me souviens pas qu’il ait cité cette parole simple et formidable de Notre Seigneur Jésus-Christ, rapportée par saint Jean au chapitre quatrième de son Évangile.
Si ce journaliste copieux daigna jamais s’enquérir des Textes sacrés et s’il est en mesure de démontrer, pour ma confusion, que ce précepte considérable est mentionné dans tel ou tel des volumineux pamphlets dont il assomme régulièrement les peuples chrétiens, — il faut dire alors que cet hommage au Livre saint est si merveilleusement aphone, pénombral, rapide et discret qu’il est presque impossible de l’apercevoir et tout à fait impossible d’en être frappé.
C’est quelque chose pourtant, ce témoignage du Fils de Dieu !
Je sais bien que saint Augustin en a terriblement affaibli la portée dans sa pauvre exégèse des « deux murailles », qu’il est loisible de consulter au quinzième traité du commentaire fameux de ce vénérable Docteur.
Mais on était alors au Ve siècle ; la Réprobation d’Israël avait commencé depuis l’exorbitante catastrophe de Jérusalem ; l’espèce humaine, à moitié conquise déjà par les successeurs de Pierre, avait irrémédiablement froncé son coeur et s’était endurcie pour toute la durée des temps contre la descendance exécrée des bourreaux du Christ.

L’effrayante brûlure des premières Persécutions se cicatrisait enfin et les grandes semailles du sang des Martyrs étaient accomplies.

La pédagogie du Surnaturel tombait aux théologiens, aux explicateurs, aux philosophes désabusés, et la gênante assertion de Celui qui fut appelé le Fils du Tonnerre pouvait être écartée respectueusement, sans aucun danger de scandale ou de simple étonnement pour une Église toute rouge qui vagissait encore dans son berceau. Cette parole demeure cependant. Elle subsiste, malgré tout, en sa force mystérieuse, et ressemble à quelque gemme très-sombre, d’un troublant éclat, rendue plus inestimable par l’inattention téméraire des économes ou des contrôleurs de la Foi.


Léon Bloy - PDF
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Thursday 1 March 2018

Gerrard Hickson - Kings dethroned - Ebook and Audiobook read by Eric Dubay



Gerrard Hickson - Kings dethroned
Audiobook read by Eric Dubay

A history of the evolution of astronomy from the time of the Roman Empire up to the present day; showing it to be an amazing series of blunders founded upon an error made in the second century B.C..

In the interest of preserving for posterity the wealth of flat Earth knowledge and research done during the late 19th and early 20th century, I am providing a series of audiobook and PDF downloads to make them more easily and widely available. Today's selection is Gerrard Hickson's 1922 book "Kings Dethroned." - Eric Dubay


Flat Earth - PDF
www.ericdubay.com
www.atlanteanconspiracy.com
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