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ADRIEN ARCAND
FUHRER CANADIEN
« Ce nest pas avec des armes quon détruit des idées,
cest avec des idées meilleures et plus saines ».
Adrien Arcand, né le 3 octobre 1899 à Montréal, où il est mort le 2 août 1967, est un journaliste et homme politique canadien (québécois), Führer Nazi, fédéraliste centralisateur et anglophile. Il a dirigé une série de mouvements politiques nationaux socialistes à partir de 1929 jusqu'à sa mort en 1967.
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Adrien Arcand est le fils de Narcisse Arcand, charpentier, et de Marie-Anne Mathieu, directrice d'école. Son père, Narcisse Arcand, est un militant syndical et politique actif, membre depuis 1902 du Parti ouvrier (travailliste), un parti de gauche au programme réformiste et progressiste, dont il est candidat dans le district électoral de Montréal-Dorion lors de l'élection générale québécoise de 1912 et lors de celle de 1923.
Adrien Arcand étudie au collège de Saint-Jean d'Iberville, au collège Saint-Stanislas de 1914 à 1916, au collège de Montréal de 1917 à 1919, puis au collège Sainte-Marie4. Il s'inscrit aussi à des cours du soir à l'université McGill pour un cours d'ingénieur-chimiste, mais il abandonne ces études à la suite d'une attaque de grippe espagnole en 1918.
Adrien Arcand se tourne vers le journalisme. Il rédige ses premiers textes en 1918. Il écrit quelque temps pour le journal La Patrie, où il est engagé par Eugène Tarte, puis vers 1921 au journal The Star. Puis il entre à La Presse, où il travaillera plusieurs années. Il épouse Yvonne Giguère le 14 avril 1925. Le couple aura trois fils, Yves, Jean-Louis et Pierre.
À La Presse, il fonde vers la fin des années 1920 un syndicat catholique de journalistes et en devient le président. La chose déplaît à la direction du journal, alors contrôlée par Pamphile Du Tremblay, et, au début de 1929, Arcand et son collègue Hervé Gagné sont congédiés du journal, ce qui casse le syndicat. Soudain privé de revenus, Arcand vit des mois difficiles avec sa jeune famille. Arcand s'associe alors avec Joseph Ménard, administrateur d'une imprimerie, pour lancer un petit hebdomadaire tabloïd du dimanche, Le Goglu, dont le premier numéro est daté du 8 août 1929, auquel s'ajoutent peu après un deuxième hebdomadaire, Le Miroir, en décembre 1929 puis un troisième, Le Chameau, en mars 1930. Pour Arcand, ces publications constituent à la fois une source de revenus et un véhicule pour ses idées.
Il publie une série de publications sympathiques au nazisme à Montréal dans les années 1930 dans des hebdomadaires comme Le Goglu, Le Miroir et Le Chameau et dans des mensuels tels que Le Combat National et Le Fasciste Canadien. Il collabora et sera un des dirigeants du quotidien L'Illustration Nouvelle qui deviendra plus tard le Montréal-Matin , jusqu'au début de 1940.
Parallèlement à sa carrière journalistique, Arcand est impliqué dans plusieurs mouvements fascistes et hostiles au nationalisme québécois, favorables à un nationalisme canadien centralisateur et loyaliste. Il fonde le Parti national social chrétien (PNSC) en 1934, puis devint chef du Parti de l'Unité nationale (PUNC) en 1938. Ce parti résultait de la fusion du PNSC, du Nationalist Party dirigé par Joseph Farr en Ontario et d'un groupe d'extrême-droite dans les Prairies mené par William Whittaker. Ces mouvements politiques avaient en commun un programme anti-communiste et anti-hébraïque, qui prônait aussi une centralisation politique du Canada et un renforcement des liens de l'Empire britannique. Arcand correspondait avec l' Imperial Fascist League d'Arnold Spencer Leese, la British Union of Fascists de sir Oswald Mosley, les Britons d'Henry Hamilton Beamish et avec la plupart des chefs fascistes de l'Empire britannique. En fait, Adrien Arcand est durant la Grande Dépression l'un des militants politiques les plus importants de l'extrême-droite dans le monde et correspond avec la plupart des chefs de l'Internationale fasciste.
Le 30 mai 1940, il est arrêté à Montréal pour « avoir comploté au renversement du gouvernement » et interné dans un camp. Pendant toute la durée de la Seconde Guerre mondiale, lui et son parti ont été bannis. Selon Charlie Murray, un leader syndical interné au même camp que lui, Arcand était considéré comme un héros par ses partisans internés. Il discutait ouvertement de ses plans pour le Canada après une éventuelle victoire d'Hitler, sur un « trône » de fortune, construit par les prisonniers. Arcand est libéré en juillet 1945.
Après sa libération, Arcand rejoint sa femme et ses enfants à Lanoraie, où ceux-ci s'étaient installés en 1942. Il y passe le reste de sa vie.
Arcand a été deux fois candidat aux élections fédérales, se présentant sous une bannière "nationaliste", en 1949 et en 1953 : à chaque fois il est arrivé deuxième.
Juste avant qu'il ne succombe à un cancer en 1967, Adrien Arcand choisit comme successeur l'un de ses militants les plus fidèles, Gérard Lanctôt, pour lui succéder à la tête du Parti de l'Unité nationale du Canada.
Brochures, pamphlets, tracts
À bas la haine, Montréal, La Vérité, 1965, 141 p.
Chrétien ou Juif? (Les Juifs forment-ils une "minorité" et doivent-ils être traités comme tels dans la province de Québec?), Montréal, A. Ménard, 1930, 41 p.
Corporatisme canadien, Montréal, Parti de l'Unité nationale du Canada, Comité d'éducation nationaliste, 1938, 11 p.
Du communisme au mondialisme: le monde à la croisée des chemins, Saint-Lambert, Éditions Héritage, 1995, 157 p.
Exposé des principes et du programme du Parti national social chrétien, Montréal, "Le Patriote", 1934j, 55 p.
La clé du mystère, Montréal, Ligue féminine anticommuniste de Montréal, 1938, 31 p.
La République universelle, Montréal, Service canadien de librairie, 1950, 22 p.
La Révolte du matérialisme. Causerie prononcée à Montréal, Montréal, La Vérité, 1966, 20 p.
"Le Christianisme a-t-il fait faillite?": "notre devoir devant les faits": deux causeries mai-juin 1954, Montréal, Service canadien de librairie, 1954, 74 p.
Le problème du communisme: le monde à la croisée des chemins, Montréal, 1982, 60 p.
L'Illustration Nouvelle, Montréal, Fédération des journalistes canadiens, 3 v.
L'inévitabilité d'une reconstruction sociale, Montréal, Parti de l'Unité nationale du Canada, 1982, 7 p.
Mon livre d'heures, Montréal, Éditions Béluga, 2006, 210 p.
Organisation et règlements du Parti national social chrétien, S.L., s.n., 1934.
Parti de l'Unité Nationale du Canada. Lancement Officiel du programme révisé, 27 novembre 1966 - Le Canada aux Canadiens! Canada for Canadians!, Montréal, Parti de l'Unité Nationale du Canada, 1966.
Qu'est-ce quun Canadien-français ?, Montréal, Parti de lUnité nationale du Canada, 1982, 4 p.
(en) The Jewish Question as exposed and explained by the Jews themselves, Métairie, Sons of Liberty, 1935, 32 p.
The greatest war in history now on! International Jewish system against national patriotism, avec Henry Hamilton Beamish, Robert Edward Edmondson, New York, 1937, 23 p.
Fascisme ou socialisme ? : précédé d'une allocution de Joseph Ménard, avec Joseph Ménard, Montréal, "Le Patriote", 1933, 67 p.
http://www.youtube.com/watch?v=-l55bVMP8lY
Last edited by GalacticAryanCrusader (22-12-2011 22:11:31)
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Le communisme installé chez nous
notre devoir devant les faits
causerie prononcée à Montréal en 1966
Arcand Adrien - Le communisme installé chez nous.pdf
http://www.balderexlibris.com/index.php … -chez-nous
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Préambule
Je vous ai dit que le Communisme est solidement installé chez nous. Non pas le Communisme tel que nous le fait voir ordinairement la propagande anticommuniste des enfileurs de mots : cest à dire un parti communiste à la solde de Moscou, avec des réseaux despionnage soviétique, dagents de Moscou cherchant à voler nos secrets politiques, diplomatiques et militaires, de propagandistes spéciaux infiltrant tous les rouages de lappareil administratif et social. Ces forces sont connues, la plupart dentre elles opèrent au grand jour, ont leurs publications, se réunissent régulièrement. Cest le moindre des périls que présente chez nous la conspiration communiste, et il est facile de le mettre hors détat de nuire.
Le danger communiste que je veux particulièrement souligner à votre attention, cest le Communisme légal, gouvernemental, administratif, qui opère dans notre pays depuis plus de trente ans, qui nous a plongés dans un communisme actif partiel, en a fait une coutume sociale et nous a préparés au communisme total, intégral, définitif.
Cest en 1917 que les chefs communistes, dont 89 % étaient de sang juif, ont pris le contrôle et ladministration de lÉtat russe. Cest la même année, 1917, que nos bons démocrates conservateurs et libéraux ont, dans presque tous les pays du monde, implanté le communisme dans ladministration des autres Etats occidentaux.
Comme il est dit dans lÉvangile, il y en a qui crient « Seigneur ! Seigneur ! » mais qui se conduisent et agissent comme des ennemis du Seigneur. De même, en politique, nos bons démocrates libéraux, conservateurs et autres, crient sa cesse contre le Communisme, mais ils ne cessent pas de le servir, de le répandre, de lui donner la protection des gouvernements, des parlements, des lois et des tribunaux. Quand je vous aurai expliqué clairement la justification de mon affirmation, qui peut vous paraître extravagante ou exagérée, vous devrez admettre que vous faites tous du communisme sans le savoir ; que vos gouvernants sont tous des serviteurs zélés de Karl Marx, propageant laction communiste dans la mesure même quils le condamnent. Et cette admission vous en fera faire une autre ; cest que vous êtes trahis par une partie de vos gouvernants, tandis que lautre partie constitue simplement une bande daveugle conduisant un peuple aveuglé par leurs mensonges ou par leur ignorance crasse.
Le Communisme nest pas seulement, comme on est trop porté à le croire, une organisation politique composée de pauvres diables dégoûtés des injustices sociales, des mensonges ou des abus des politiciens véreux ; composée dintellectuels tarés, névrosés ou décadents ; composée de ceux que le vice attire plus que la vertu ; composée de jaloux, den vieux, de haineux, dinsoumis, de révoltés, de repris de justice et de rageurs congénitaux, tous conduits par des chefs juifs qui, eux savent où ils vont. Si ce nétait que cela, le Communisme, un simple coup de balai suffirait à le faire disparaître au fond dun porte-poussière. Mais le Communisme est beaucoup plus que cela.
Un simple stratagème
Cest un stratagème juif en vue de conduire Israël au pouvoir mondial. Et comme il y a de solides barrières fermant la route à cette ascension juive vers le sceptre mondial, la conspiration communiste a pour but débranler, puis de renverser ces barrières lune après lautre. Ces barrières sont la monarchie, la religion, la tradition, lesprit national, lesprit familial, linitiative individuelle, la propriété privée, avec tout appareil des autorités, des droits et des lois quils comportent. Toute la littérature théorique du communisme, de même que son application pratique dans les pays quil a subjugués, ne laisse aucun doute là-dessus. Lévangile du communisme, « Manifeste Communiste » de Marx et Engels, livré au monde en 1848, il y a plus dun siècle, laffirme solennellement et donne la ligne de conduite à suivre pour parvenir au but final. Il faut affaiblir toutes les institutions politiques, sociales et économiques, au point quun simple ébranlement les fera crouler et que le parti communiste, simple instrument de prise de pouvoir, naura quà se baisser pour ramasser les débris de ces institutions effondrées. Mais tout cela ne peut se produire que si la base originaire et principale sur laquelle toutes les institutions sappuient :
La propriété privée, a été, sinon détruite, du moins conduite par épuisement à un état de faiblesse impotente. Toute la littérature marxiste ne constitue quune incantation sans répit contre la propriété privée, principalement elle qui est représentée par les classes terriennes et agricoles, les classes qui possèdent personnellement, sans caractère anonyme, le petit commerce et la petite industrie, cest-à-dire la petite bourgeoisie. Le haut est facile à conquérir, du moment que lon contrôle la Finance Internationale qui fait la valeur des monnaies, que lon contrôle la force déterminante des prix du marché mondial, que lon contrôle les grands consortiums intercontinentaux, par lesquels on absorbe à volonté les entreprises qui en dépendent ; le bas est aussi facile à contrôler, quand on le tient à la merci dun paupérisme constant déterminé par le coût de la vie et, au besoin, par les crises économiques facilement créées, quand on détient les leviers du crédit. Mais le centre, lui, la petite bourgeoisie, est beaucoup moins facile à enrégimenter, à contrôler, à internationaliser, parce que son intérêt est exclusivement local, parce quelle est fermement enracinée dans le sol national, parce quelle participe plus que toute autre classe à la pulsation du coeur national, parce quelle représente les fruits de linitiative, du travail, de la patience et de léconomie. Dans lidée du marxisme, cest elle quil faut détruire, et le moyen choisi pour la détruire cest lagression sans répit contre son avoir : la propriété privée.
Les dix commandements de Karl Marx
Toutes les institutions au monde, même celle de lÉtat, sont soutenues par la propriété privée, à laquelle elles font toutes appel, par un moyen ou lautre. Dès que la propriété privée disparaît, toutes les institutions qui en dépendent tombent delles-mêmes ou deviennent des simples instruments de lÉtat, qui hérite automatiquement de la propriété. Le citoyen lui-même, dépouillé au profit de la propriété publique, ne se trouve plus quun esclave de lÉtat. Aussi longtemps que les citoyens peuvent jouir de la propriété, ils peuvent toujours se défendre contre les attentats à leurs droits ; quand ils nont plus rien et sont tous également pauvres, cest pour eux la servitude totale et définitive sans moyen ni espoir de libération. Dans leur conspiration pour la domination mondiale, les chefs juifs ont tout prévu et, sils réussissaient dans lexécution de leur plan, ils ont parfaitement raison de dire que leur règne sur tous les peuples durerait au moins mille ans.
Dans son deuxième chapitre, le Manifeste Communiste des Juifs Marx et Engels énumère son décalogue, ses dix commandements matérialistes, dont presque tous visent à lanéantissement de la propriété privée. « Pour commencer, dit le Manifeste, tout cela ne peut être effectué que par le moyen dagressions despotiques contre la propriété privée et contre les conditions de la production bourgeoise... Ce sont des moyens indispensables pour révolutionner le mode de vie ». Quelques lignes auparavant, le Manifeste Communiste déclare que, « par la politique, il faut travailler à dépouiller la bourgeoisie de tout son capital, par degrés, et de centraliser toute la production dans les mains de lÉtat ». Le premier commandement de ce décalogue matérialiste réclame labolition de la propriété terrienne. En attendant que le Communisme au pouvoir confisque toute propriété terrienne, il faut naturellement (comme pour lindustrie et le commerce), encourager la centralisation de cette propriété en le moins de mains possible, pour quau moment voulu, la masse des propriétaires dhier, dans la rancur ou lesprit de vengeance naturels chez les dépossédés, accueille avec plaisir la dépossession de tous au profit de lÉtat. Les grands organismes du capitalisme international ont, dans tous les pays, des sociétés dimmeubles qui, avec les profits réalisés par la Haute Banque achètent et accumulent tout ce quelles peuvent de propriétés immobilières, rurales comme urbaines. En même temps, lÉtat fédéral devient, à la faveur des guerres ou préparatifs de guerres, détenteur dune proportion toujours plus vaste de la propriété immobilière du pays.
Limpôt sur le revenu
Le deuxième commandement du décalogue marxiste exige ceci : un impôt sur le revenu, lourd, gradué et progressif. Je répète : Karl Marx, prophète et fondateur du Communisme tel que nous le connaissons aujourdhui, demande dès 1848, aux fins darriver au communisme mondial : un impôt sur le revenu, lourd, gradué et progressif.
Presque tous les pays qui ne sont pas derrière le « rideau de fer », pays qui se disent anticommunistes, ont appliqué sur leur territoire des lois dimpôt sur le revenu, un impôt lourd, gradué et progressif. Et cela depuis 1917, lannée même que Lénine, Trotski et Staline imposaient le Communisme, sous le nom de démocratie populaire, en Russie Soviétique.
Comme condition préparatoire au Communisme universel, Karl Marx, qui sy connaît en fait de communisme, exige limpôt sur le revenu ; impôt qui, suivant sa propre définition, constitue une agression despotique sur la propriété privée, impôt qui doit conduire, à la fin, à la ruine de toute propriété privée.
Nous avons cet impôt chez nous, comme il existe en Angleterre, en France, aux États-Unis, en Australie, bref dans toutes les « démocraties ». Jamais les communistes nont été au pouvoir chez nous ou dans ces pays. Alors comment se fait-il que nos démocrates libéraux et conservateurs aient pu incorporer pareille loi de sens, desprit et de but communistes dans nos statuts, une loi véritablement despotique quil nest pas permis de débattre devant les tribunaux, contre les empiétements de laquelle il ny a ni recours, ni juges, ni appel, une loi qui place la propriété des citoyens à lentière discrétion de simples fonctionnaires et bureaucrates ? Vous en aurez la réponse dans quelques instants.
Pour quiconque a étudié le communisme suivant ce quil est dans sa sinistre réalité, cest-à-dire ailleurs que dans les bafouillages orthodoxes de propagande pour ou contre, limpôt sur le revenu atteint simultanément trois buts communistes.
Trois buts communistes importants
1 - Limpôt sur le revenu dépouille le citoyen de son capital, sous prétexte que cest un revenu.
Que jhérite demain dune vieille tante qui me lègue cent mille dollars ; je puis placer cet argent dans une société commerciale ou industrielle, qui men donnera annuellement environ cinq mille dollars. Je naurai même pas à me déplacer pour recevoir lintérêt ou le dividende annuel, qui me sera transmis par la poste. Cest là essentiellement un revenu.
Par ailleurs, que je retire des gages, un salaire, un cachet ou des honoraires soit comme serviteur, ouvrier, artiste ou professionnel, cet argent ne mest pas donné pour rien. Je dois le gagner, donner une valeur en échange, vendre mon énergie, mes sueurs, mon attention, mon jugement, mon expérience, mon temps, une proportion de la vie que jai à vivre. Ce nest pas un revenu, cest un échange de valeurs, un échange de capital-activité, de capital-habileté, de capital-création pour du capital-argent. Il est bien paradoxal que, dans cet échange de valeurs, ce quon appelle le capital humain soit taxé, et lautre partie, le capital-argent, ne le soit pas. Gages, salaires, honoraires, à quelques montants quils se chiffrent, ne sont pas des revenus et ne le seront jamais. Pourtant, ce sont eux qui portent le fardeau le plus lourd de limpôt sur le revenu. Et on leur impose ce fardeau par la magie dun mensonge véritable qui engendre un vol véritable, la plus crapuleuse des escroqueries. Cet impôt de despotisme et de fraude a pour mission déliminer graduellement la petite bourgeoisie et dempêcher les classes pauvres de pouvoir sélever, comme cest leur droit, dans léchelle sociale. Nos démagogues de la démocratie, quand vous leur dites ces choses, vous répondent quil faut des revenus à lÉtat. Certes il en faut, mais au lieu de taxer largent gagné et devenu propriété privée des citoyens, au lieu daller fouiller leurs poches avant même quils aient pu compter leur gain, on na quà taxer lemploi que les citoyens font de largent. Je vous en parlerai de façon plus détaillée dans une prochaine occasion.
Le citoyen, employé de lÉtat
2 - Le deuxième but communiste atteint par limpôt sur le revenu est de transformer le citoyen en un simple employé de lÉtat, exactement comme en Russie Soviétique. Le principe est absolument le même, et il ny a de différence que dans la proportion ou le pourcentage du hold-up perpétré par lÉtat.
En somme, quest-ce que limpôt sur le revenu veut dire, dans ses fins pratiques ? Ceci. Après douze mois de travail, lÉtat vous fait comparaître devant lui et, dans sa chinoiserie légaliste, vous dit ceci : « Tu as travaillé pour moi depuis douze mois, rends-moi des comptes. Tu as, par tes activités, retiré telle somme globale. Bien. Lan prochain, je veux que tu continues de travailler pour en gagner autant. Alors, afin que tu vives, je talloue tel montant ; pour que ta femme continue de maintenir ton foyer, je talloue tel montant pour elle ; pour que tes enfants ne crèvent pas complètement, je talloue tel montant par enfant ; pour que tu aies un peu de sécurité et de paix morale durant ton travail, je talloue tel montant pour des assurances, des contributions religieuses et charitables. Tout ce qui reste, je le prends, ou jen prends 20, 30, 40, 60, 80 pour cent, car cest pour moi que tu as travaillé. Maintenant, retourne à tes occupations et, lan prochain nous nous reverrons ». Et, ce que lÉtat arrache à louvrier, ce sont les économies quil pourrait faire pour les mauvais jours ; ce quil arrache à la petite bourgeoisie, ce sont les réserves nécessaires pour les temps durs. Et la propriété privée des citoyens va se centraliser toujours davantage dans le gouffre sans fond de lÉtat. En Russie, lÉtat prend tout le profit de lactivité humaine ; ici, nous avons exactement la même chose, sauf que la proportion de lescroquerie est inférieure. Il faut nous habituer graduellement au système communiste, et ceux qui chez nous font ce travail, demandé par Karl Marx, ont leffronterie, limpudence de se dire anticommunistes ! Nos foules peuvent bien se débattre dans la confusion et les ténèbres, sans plus savoir ce qui se passe dans le monde, quand les gouvernants, les chefs du troupeau, manifestent tant dinqualifiable ignorance, là où ce nest pas de la mauvaise foi, du cynisme et de la trahison.
Des peuples de tricheurs
3 - Le troisième but communiste atteint par limpôt sur le revenu, cest la généralisation du désordre dans le peuple. Tout système politique respectable, toute forme dadministration, de quelque nom quon lappelle, doit avoir, comme but fondamental, dinstaurer et préserver lordre dans la société. Lordre se manifeste par le respect des lois. Lirrespect, la contemption des lois, est le plus grand désordre dont puisse souffrir une société, et cela dautant plus que le nombre des hors-la-loi est plus grand. Depuis que je suis sorti du camp de concentration, je me suis fait une marotte de poser cette question à plus de cinq mille personnes de toutes classes et de tous rangs : « Quand vous faites votre rapport dimpôt sur le revenu, devant Dieu devant votre conscience et votre pays, est-ce que vous dites à lÉtat tout ce que vous devez lui dire, et est-ce que vous lui donnez tout ce que la loi exige que vous lui donniez ? » Vous vous imaginez les regards, les expressions de visage et les sourires quon ma faits. Mais pas un seul na osé me répondre : oui. Je ne blâme pas ces gens dessayer de se défendre contre ce que Karl Marx appelle « une agression despotique contre la propriété collective ? Lécureuil ne défend-il pas à mort le tas de noisettes quil a travaillé à amasser pour ses petits et pour les mauvais jours ? » Il est évident quil répugne à nos gens, anticommunistes, de respecter une loi de caractère communiste. Mais il nen reste pas moins que cette loi a transformé dinnombrables foules, on pourrait dire tout un peuple, en une bande déludeurs, menteurs, tricheurs, rédacteurs de faux rapports, parjures au besoin : cest-à-dire une nation de hors-la-loi. Peut-il y avoir de plus grand désordre dans la société ? Non. Karl Marx et tous ses disciples, chevaliers avant tout du désordre, nauraient pu faire mieux eux-mêmes !
Dépossession du citoyen, établissement du principe de lÉtat-patron, révolte larvée contre la loi et désordre social, voilà une oeuvre bien marxiste, bien communiste de nos soi-disant anticommunistes au pouvoir.
Toujours comme à Moscou
Abolition du droit à lhéritage. Autre forme de dépression du citoyen au profit de lÉtat. Si, comme pour limpôt sur le revenu, on ne prend pas encore 100 pour cent de lhéritage laissé à une veuve et à ses orphelins, on prend un pourcentage plus ou moins fort suivant que le défunt a eu plus ou moins dinitiative et à plus ou moins économisé.
Le quatrième commandement demande la confiscation de la propriété de tous les émigrants et rebelles. Leurs femmes et enfants innocents sont punis et lÉtat continue toujours dabsorber la propriété privée. Nos démocraties « anticommunistes » ont observé ce commandement de Karl Marx aussitôt après la récente guerre, plus particulièrement en France.
Le cinquième commandement du décalogue marxiste stipule : Centralisation du crédit dans les mains de lÉtat, par le moyen dune banque nationale à capital dÉtat et dun monopole exclusif. Ce commandement a été réalisé au Canada en 1932 ; depuis, les banques nationales des « démocraties » irresponsables aux Parlements, ont été toutes reliées sous le monopole mondial de la Haute Banque établie à Dumbarton Oaks en 1943, et une poignée de Juifs détermine ainsi la vie financière des pays enchaînés.
Sixième commandement du Manifeste Communiste de 1848 : Centralisation des moyens de communication et de transport aux mains de lÉtat. Nous lavons aussi pour au moins la moitié de tout notre réseau de communications.
Septième commandement : Extension de la propriété dÉtat aux usines et instruments de production. Le principe est admis ici, comme dans les usines de Chalk River, de Polymer Corp. à Sarnia, et autres, et peut être généralisé à la faveur dune guerre ou dune simple période de crise, comme le gouvernement socialiste anglais vient de le faire.
Huitième commandement : Obligation pour tous de travailler, ce qui devient automatique lorsque le citoyen ne jouit plus de la propriété privée. Notez quon ne parle pas du droit au travail, car, comme en Russie, le récalcitrant ou insoumis est rayé de la liste des travailleurs et condamné à mourir de faim.
Neuvième commandement : Combinaison de lagriculture avec lindustrie manufacturière, ce qui sera fait par la conscription de tous les travailleurs et leur incorporation dans des armées de prolétaires et dagriculteurs. Quune nouvelle guerre éclate et, de par lorganisation quil a créée notre gouvernement fédéral se verra dans lobligation détablir ces armées de travailleurs conscrits. Marx demande aussi une redistribution de populations urbaines et rurales, cest-à-dire la dépopulation des campagnes.
Dixième commandement : linstruction gratuite dans des écoles publiques. Si ce nest plus la famille qui subvient à léducation, cest nécessairement lÉtat, et le devoir déduquer les enfants incombe primordialement à lÉtat. Automatiquement lautorité paternelle disparaît pour faire place à lautorité de lÉtat sur lenfant. Et lécole publique, dans le langage marxiste, cest lécole neutre, sans Dieu ni religion. Le principe de linstruction libre dans des écoles publiques, contre lequel le Québec sétait toujours défendu, nous a été imposé par Monsieur T. D. Bouchard lorsquil était le plus important et plus puissant ministre du cabinet Godbout.
Vers le gouvernement mondial
Voilà les dix conditions réclamées par Karl Marx pour préparer et hâter lavènement du Communisme universel. Et le conspirateur savait exactement où ces préceptes doivent conduire fatalement, quel travail de corrosion de la société et de lordre existant ils doivent opérer, quelles inéluctables conséquences ils doivent amener. Ces dix conditions, nous les avons toutes au travail dans notre pays, partiellement ou dans leur totalité. Ce sont les dix piliers fondamentaux du grand édifice communiste. Vous admettrez que cest plus important et plus grave quune bande de braillards qui peut se nommer « le parti communiste », car, même si lon se débarrassait de ce parti, nous nen courrions pas moins au Communisme total, en continuant dobserver les dix commandements de lathée Karl Marx qui font loi chez nous. Nous sommes déjà en plein Communisme, nous en faisons chaque jour, nos lois nous y orientent constamment, ladministration publique nous y pousse. Et vous allez voir bientôt augmenter la vitesse de cette course, de même que la poussée vers le gouvernement mondial.
Mais, direz-vous, comment se fait-il que nos gouvernements aient pu légiférer dans un sens aussi ouvertement communiste, depuis 1917 ? Étaient-ils des naïfs, des ignorants ? Les « suiveux » de la politique en étaient, mais pas les chefs. Les chefs, cest-à-dire lensemble de ceux qui déterminent la législation et la marche de la nation étaient des complices de Karl Marx, des traîtres. Je veux dire la Franc-Maçonnerie internationale, maîtresse de notre politique, et qui est autant aux mains de la Juiverie que les Internationales prolétaires. Elles visent au même but, ont le même idéal, tendent vers les mêmes fins, suivent les mêmes aberrations. Je ne parle pas des maçons des degrés inférieurs, généralement très honnêtes hommes, qui suivent les Loges dans lespoir davancement personnel ; je parle des chefs, des grades supérieurs, petite minorité qui seule connaît les secrets de la Franc-Maçonnerie. Et quand je parle de Franc-Maçonnerie, je parle de tous les rites et de toutes les obédiences. Prenons la moins nocive de ces sectes, celle qui se présente sous les dehors les plus déistes et les plus honorables, la Franc-Maçonnerie du Rite Écossais.
Le grand serment maçonnique : cest du communisme
Le général Garibaldi, vainqueur des armées papales en 1870, avait été initié au 33ème et dernier degré du Rite Écossais. Faute de temps, je ne vous lirai que quelques lignes de la communication des grands chefs lors de son initiation et le serment quon lui fit prêter.
Je cite : « Aucun degré ne révèle toute la Vérité ; le voile nest levé que graduellement devant les yeux des curieux Pour nous du Conseil Suprême, investis du Pouvoir Suprême, et pour nous seulement, la vérité est pleinement révélée et nous fait savoir, voir et sentir que : lHomme est à la fois Dieu, Pontife et Roi de lui-même. Voilà le sublime secret, la clé de toute science, le sommet de linitiation. La Franc-Maçonnerie, synthèse parfaite de tout ce qui est humain, est donc Dieu, Pontife et Roi de lhumanité ; cest ce qui explique son universalité, sa vitalité, sa puissance. Nous, les Grands Chefs, formons le bataillon sacré du Sublime Patriarche, qui est Dieu Pontife et Roi de la Franc-Maçonnerie. Voilà la triple Vérité. » Plus loin, je lis : « Résumons donc clairement, pour vous, la Grande Lumière de la suprême initiation : Vous êtes votre propre Dieu, votre propre Pontife et votre propre Roi. Votre raison est la seule règle de Vérité, la seule clé de la science et de la politique. Vos appétits et vos instincts sont la seule règle du Bien. La seule clé du progrès et du bonheur.
« Vous devez comprendre et interpréter comme suit notre motto sacré : Liberté, Égalité, Fraternité. » Dans une assez longue explication, le conseil suprême enseigne à Garibaldi que Liberté veut dire indépendance de volonté qui ne reconnaît aucune puissance, qui ne se soumet à aucun roi, aucun pape, aucun Dieu. Égalité veut dire que la terre est à tous les hommes également, que personne ne doit avoir plus que son voisin, quil faut abolir les contrats, lhéritage, exproprier les compagnies de finance, banques, canaux, transport, assurances, mines, etc. Fraternité veut dire la formation dun État maçonnique au-dedans de lÉtat, puis au-dessus de lÉtat, puis contre lÉtat. Puis on fait prêter le serment à Garibaldi. Je cite textuellement :
Répétez maintenant après nous notre Serment Suprême : « Je jure de navoir aucune autre patrie que la patrie universelle. Je jure de mopposer fermement, partout et toujours, aux frontières des nations, aux frontières des champs, aux bornes des maisons et des boutiques, et aux liens de la famille ;
« Je jure de renverser, au sacrifice de ma vie, les frontières que les chrétiens humanicides ont tracées avec le sang et la boue au nom de Dieu ;
« Je jure de vouer mon existence entière au triomphe sans fin du progrès et de lunité universelle, et jaffirme mon adhésion à la négation de Dieu et de lâme. »
Le même Rite Écossais, par son chef Suprême Albert Pike, avait défini comme suit les trois points maçonniques, à Paris en 1885 : 1er point : Destruction du surnaturel, de lautorité, de lactivité antimaçonnique ; 2ème point : Matérialisme de la conscience, de léducation, de lÉtat ; 3ème point : Imposition maçonnique sur la famille, sur la nation, sur lhumanité.
La suprême supercherie
Comme on peut le voir, les buts du Communisme et de la Franc-Maçonnerie sont parallèles et identiques, ils cheminent vers le même aboutissement. Il ny a rien de surprenant à cela quand on sait que les Juifs Marx, Engels et Lasalle, premiers prophètes du communisme, étaient aussi des francs-maçons, de même que le Juif Ricardo, père de léconomisme moderne et chez qui Marx et Engels ont puisé leur théorie de la plus-value (ou profit).
Quand on sait que le judéo-marxisme trône au Kremlin et dirige les pays sous le joug soviétique, quand on sait que la judéo-maçonnerie trône à Lake Success et dirige les gouvernements démocratiques, il nest pas étonnant que toute lhumanité subisse, partout à la fois, des attaques soit ouvertes, soit cachées et perfides, contre le surnaturel, la religion, lidée nationale, la tradition, la famille, la propriété privée ; et que le monde entier, dans les deux camps, soit poussé vers la république universelle, un monde de sans-Dieu, de sans-patrie, de sans-famille et de sans-bien.
La plus grande supercherie depuis la chanson du Serpent à Adam et Ève, la plus grande fraude de tous les temps, le plus incroyable attentat contre la Loi Naturelle et la Loi Divine dans toute lhistoire de la création, se déroulent sous nos yeux, perpétrés par des traîtres sous la direction de Judas déicide et apostat.
En voulant servir leur maître, tous ces zélés du Satanisme lont dépassé, car si Lucifer dans sa révolte a combattu Dieu sans pouvoir nier Son existence et Son nom, nos convulsés délirants de lanti-surnaturel, sont allés jusquà nier Sa réalité, tant la vanité méningiteuse de leur rationalisme est hystérique et aveugle. Je vous dirai bientôt comment ce colossal appareil de conspiration contre lêtre humain, seffondrera, dans la plus grande cacophonie de craquements, de crépitements et de gémissements que notre planète ait encore entendus.
Dici là, il est temps encore pour nos politiciens sincères (sil peut se trouver parmi eux des hommes véritables, des hommes complets), déloigner de chez nous, partiellement du moins, les effets de la catastrophe qui sen vient en galopant.
Au lieu de crier, à lanticommunisme, quils travaillent à détruire le Communisme installé chez nous par leurs chefs ! Et le seul travail quils peuvent faire, cest de détruire les dix piliers du Communisme érigés sur notre sol depuis 1917, deffacer de nos statuts les lois desprit et de buts judéo-maçonnico-communistes que nos parlements moutonniers ont approuvés,... en bêlant.
A. A.
Last edited by GalacticAryanCrusader (17-07-2013 00:56:03)
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La révolte du matérialisme
notre devoir devant les faits
causerie prononcée à Montréal
Arcand Adrien - La révolte du matérialisme.pdf
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Préambule
La lutte à finir qui se poursuit de nos jours sur toute létendue de la terre, est vraiment la lutte du matérialisme contre tout spiritualisme, la bataille implacable de la matière contre lesprit. Le Communisme qui régit tous les territoires dans lorbite de Moscou, saffirme ouvertement comme le culte et lorganisation du matérialisme ; il affirme que tout nest que matière, quil ny a ni au-delà, ni divinité, ni âme humaine. Donc, pas dautre nécessité, pas dautre foi, pas dautre espoir quen la matière.
La plupart des autres pays non-communistes sont régis de façon invisible par la franc-maçonnerie, dont les chefs suprêmes ont exactement les mêmes convictions et visent au même but final, mais par des moyens plus détournés, plus hypocrites, dosant tous leurs mouvements dans une gradation aussi diabolique quhabile.
Ce sont là des vérités sommaires, presque des lieux communs, que nimporte quel chercheur peut trouver en peu de temps. Mais néanmoins, ce nest quune parcelle de vérité sur la question, un premier aperçu, et ce nest pas encore suffisant pour comprendre pleinement le péril qui nous menace, pour nous en libérer, pour vaincre finalement lennemi.
Quand on veut se donner la peine assez ardue dexplorer la grande conspiration dans son dernier repaire, on fait des découvertes vraiment étranges et lon perçoit des choses que tout le dispositif de la conspiration ne permet pas de soupçonner. Je vous ferai grâce dune infinité de détails là-dessus, et vous résumerai succinctement les faits. Ces faits constituent la Vérité, cette vérité quil nest pas permis de publier, de dire, voire même davoir laudace de tenter de connaître.
La Vérité cachée, inconnue même des masses juives, la voici :
Lor, maître du monde
La ploutocratie juive internationale, cest-à-dire la Haute Banque Mondiale de lOr, est lautorité suprême qui conduit la vie financière et économique du monde. Cest de ce groupe que Henry Ford disait, en 1921 : « Eliminez cinquante juifs influents, et vous naurez plus de guerres, de révolutions, deffondrements économiques, de crises de chômage ni de communisme. »
Cette ploutocratie juive des rois de la finance réside à Wall Street ; elle a autant dinfluence sur le Kremlin que sur la Maison Blanche. Cest ce qui explique que, en tout ce qui concerne lavancement de la conspiration mondiale, Washington et Moscou ont conjugué leur action depuis 1933. Leurs mésententes ou querelles publiques, suscitées par Wall Street pour la galerie et pour dérouter lopinion mondiale, ne nuisent en rien au progrès du complot.
Leur affaire de Corée, par exemple, na servi quà instaurer larmée ou la police mondiale, et à pousser lAmérique à établir un système de militarisme et de garnison permanent, nécessaire pour étouffer les initiatives et les libertés des nationaux, tout en les dépouillant par les taxes et un coût de la vie toujours plus élevés.
Cette ploutocratie juive exerce lautorité et linfluence suprêmes sur le Communisme, sur la Franc-Maçonnerie et les autres associations et sectes qui en découlent.
Les chefs suprêmes de la grande conspiration matérialiste ne sont pas des matérialistes. Ce sont ce quon appelle chez les ignorants de « bons juifs », des Juifs de synagogue, qui soutiennent la synagogue, et, au besoin, pour leurs fins, soutiennent des institutions chrétiennes.
Les hommes « sans âme »
Ce quon appelle « le bon juif » est plus dangereux que le Juif non-pratiquant. Car le Juif de synagogue est complètement saturé de Talmudisme et il croit aux enseignements du Talmud, qui a fini par prévaloir sur la Torah ou lAncien Testament.
Le Talmud, même dans ses éditions modernes, enseigne que le Dieu unipersonnel des Juifs, Jéhovah, ne reconnaît et naime quun seul peuple, qui est son élu, qui est le peuple saint, parce que seul le Juif a une âme ; que les autres êtres humains, les Gentils ou goyim sont des êtres sans âme, créés uniquement pour être utiles au Juif, pour le servir, pour lenrichir, pour être conduits et régentés par le Juif. Daprès le Talmud, toutes les religions des goyim sont des idolâtries et doivent être effacées de la terre, pour que seul le Judaïsme, la vraie religion, subsiste universellement. Lorsque seul le Judaïsme subsistera, les goyim devront en prendre connaissance et reconnaître enfin lonction, la royauté dIsraël, devant laquelle ils devront docilement sincliner, en acceptant leur sort définitif de serviteurs du peuple-élu.
On se rappelle encore laction en libelle intentée contre le journal La Croix, de Québec, par les Juifs. Devant le tribunal, lun des rabbins les plus éminents de Montréal rendit témoignage. Lorsquil affirma que le Judaïsme croit à lenseignement d « aimer Dieu et son prochain comme soi-même », la question lui fut posée : « Sous votre serment, est-ce que le non-juif peut être le prochain du juif ? » et il répondit catégoriquement : Non. La croyance juive est encore la même quau temps où le Christ racontait la parabole du bon Samaritain, qui scandalisa si fortement les rabbins de lépoque.
Lirréligion, lathéisme, prêchés par le communisme et les autres organisations, ne sont quà lintention des Gentils, afin de les mieux subjuguer. Si le communisme parvenu au pouvoir frappe avec tant de fureur rageuse les religions et les temples des Gentils, il ne moleste pas la synagogue. Bien au contraire. Un bulletin de lIntourist soviétique publié entre les deux guerres, nous donnait la photographie de la cathédrale Saint-Isaac, la plus grande de Léningrad, transformée en musée antireligieux. Depuis cette époque, on a bâti à Léningrad une synagogue nouvelle, aussi grande et imposante que nimporte quelle basilique majeure de Rome. La dernière édition de lEncyclopédie Juive en donne la photographie, au mot Léningrad, et ajoute que le gouvernement soviétique a fourni une partie des fonds pour ériger cette énorme construction. Ainsi, pendant que le gouvernement juif de Moscou transformait les temples chrétiens en salles de danse, musées antireligieux, maisons de prostitution, clubs, écuries ou casernes, il bâtissait la reine des synagogues avec les trésors arrachés aux églises des Gentils.
La domination du monde
En somme, la lutte du matérialisme, quand on comprend bien le fond de la question, est la lutte du spiritualisme judaïque contre tous les autres spiritualismes, particulièrement le spiritualisme chrétien. Cest le cadavre de lAncien Testament qui veut ressusciter et simposer sur les ruines du Nouveau Testament. Si, pour nous, goyim, ce doit être une affaire dirréligion et dathéisme, pour les Juifs cest une affaire essentiellement religieuse, une poussée générale de tous leurs organismes vers un messianisme terrestre, vers la domination du monde par les Juifs, la domination du Judaïsme sur la pensée humaine. Voilà la vérité, lunique Vérité, sur la conspiration communiste, la Vérité quil faut taire, et je sais ce quil en coûte pour avoir le courage de la dire.
Si le Talmud disait la Vérité, sil était vrai que nous navons pas dâme, que nous ne sommes que du bétail, alors jadmettrais le premier que le plan juif est justifié, quIsraël a raison et a droit dagir comme il le fait, que son complot suprêmement logique avec ses prémisses a raison dêtre et simpose.
Mais, malgré les prétentions dIsraël, nous avons une âme, nous avons un spiritualisme, et cest ce qui fera la perte du Juif si convaincu du contraire, cest ce qui fera avorter son complot et réduira à néant toute sa puissance et tous ses efforts. Et puisque nous avons une âme, il y a nécessairement un monde et une vie spirituel, il y a fatalement un Esprit suprême qui a fait cette âme, il y a un Dieu, une Révélation et tout ce qui sensuit.
La quantité et la qualité
Trop souvent on confond le spirituel avec le surnaturel, parce que le surnaturel est dessence purement spirituelle. Mais ce quon convient dappeler la Loi Naturelle englobe à la fois le spirituel et le matériel. On est presque toujours porté à ne concevoir la Loi Naturelle que comme la loi régissant les choses sensibles de notre planète et du monde visible. Cest une erreur. De vraies distinctions fondamentales, il ny en a quentre lIncréé et le créé, entre lInfini et le fini, entre le Divin et le non-divin, entre le Créateur et la créature. Il est de la nature des Anges dêtre de purs esprits, et il y a conséquemment une Loi Naturelle qui les régit ; il est de la nature des hommes dêtre temporairement des esprits et des animaux, et ils tombent sous le coup de la Loi Naturelle, tant pour leur esprit que pour leur corps. La Loi Naturelle, dont malheureusement on ne cite trop souvent que quelques aspects, est la loi générale régissant tout le domaine du créé, soit spirituel, soit matériel. Cest la loi qui régit la nature de tout et de tous.
Et cette loi, daprès les traces quelle nous fait voir, comporte un équilibre, une équivalence que rien ne peut rompre, entre le spirituel et le matériel, dans le domaine humain.
Cette loi nous indique clairement que le matériel ne peut sévaluer que par la quantité, que le spirituel ne peut sévaluer que par la qualité. Ainsi, un homme est dautant plus riche que la quantité de ses richesses est grande ; il est dautant plus juste que la qualité de sa justice est affinée, intense. Et, comme il est vrai que lesprit domine la matière, il est pareillement vrai que lintensité du spiritualisme lemportera toujours sur la quantité du matérialisme.
Pour sauver Sodome et Gomorrhe, plongées dans les tréfonds du matérialisme, Dieu demanda de trouver seulement cent, cinquante, vingt, dix justes, cest-à-dire seulement dix hommes dun spiritualisme suffisant pour compenser le matérialisme de plusieurs centaines de milliers dhommes. On a vu des êtres humains dun spiritualisme tellement intense, tels François dAssise, Thérèse dAvila, que la qualité de leur spiritualisme suffisait à sauver et régénérer des peuples entiers menacés de couler à pic dans le matérialisme.
Toute action, tout mouvement physique met en opération des forces qui agissent dans le monde physique et qui souvent, par leur suggestion ou autrement, influent sur lesprit. De même, toute action ou mouvement de Lesprit met en opération des forces qui peuvent agir dans le monde physique.
Quand léquilibre est rompu
Il y a, chez lêtre humain, une espèce déquilibre dans laction et linteraction du spirituel et du matériel ; lorsque cet équilibre est rompu, lêtre en souffre dans lune ou lautre de ses parties composantes. Puisque lesprit est dessence supérieure à la matière, il garde toujours lautorité prédominante, de même que linfluence supérieure. Lorsque le physique, par ses exigences et son action, réussit à prendre lascendant sur lesprit, celui-ci, sans rien perdre de ses possibilités de primauté, devient comme paralysé, asphyxié par la rupture de léquilibre. Il faudra, à lêtre ainsi déséquilibré, un effort de volonté, un effort de lesprit, héroïque, presque surhumain, pour que son côté spirituel reprenne lascendant sur son côté matériel. Généralement, laffliction et la douleur sont les agents principaux qui peuvent susciter cet effort.
Il en est de même pour un peuple, pour la société en général, pour lhumanité, tout comme pour lindividu. La seule arme qui peut vaincre le matérialisme, cest le spiritualisme. Et quand je vous dis cela, cest uniquement en considérant la nature même de lhomme, sa composition, bien indépendamment de toute notion ou tout enseignement religieux. Car lexistence de lesprit est, avant tout, une question de fait. Il existe ou nexiste pas.
Quand le Communisme heurte de front le sens familial, le sens national, le droit de propriété, il attaque la Loi Naturelle dans quelques-unes de ses manifestations ou exigences les plus évidentes. Mais il violente encore plus la Loi Naturelle quand il cherche à éteindre le spiritualisme en lhomme, dont la nature est dêtre à la fois esprit impérissable et corps physique périssable.
Si, comme le croit le Juif Talmudiste, le goy ou Gentil navait pas dâme, rien ne pourrait arrêter la marche triomphale du Communisme, rien ne pourrait empêcher la victoire complète et définitive du plan des arrière-loges. Mais leur erreur capitale, cest de nier que les Gentils ont une âme, quils ont une vie spirituelle, et surtout une pathologie spirituelle qui constitue la plus grande puissance quil y ait en ce monde.
Tout assaut du matérialisme contre le spiritualisme met automatiquement en mouvement, par réaction inévitable, une activité spirituelle. Et cette activité est dautant plus efficace, puissante, que sa qualité est intense.
LÉglise Catholique comprend évidemment le jeu de cette équivalence et de ces forces, lorsquelle les met en action par la prière, la pénitence, la volonté de sacrifice, lacceptation de lépreuve, qui sont de puissants mouvements de lesprit. Ce nest pas mon rôle de commenter les énormes forces supplémentaires quelle y ajoute par lintervention du surnaturel par la grâce. Cest un tout autre domaine.
Besoin impérieux et constant
Le Communisme croit peut-être avoir fait dimmenses progrès quand il a conquis, par exemple, les vastes populations et ressources de la Chine, augmentant ainsi son avoir matériel. Mais, il a fait des pertes correspondantes en suscitant, par la douleur que des millions de Chinois et le reste du monde en ont ressenti, un avivement du spiritualisme ; et si ce spiritualisme est dune intensité plus grande quil ne faut, pour compenser la quantité de lavance matérialiste, il sensuit que le matérialisme est le perdant ; la claire vision de sa défaite nest quune question de temps. Le jeu de la loi est le même pour toutes les conquêtes apparentes du Communisme, en Europe, en Asie, ou ailleurs. De par la Loi Naturelle, jamais la matière ne pourra vaincre lesprit, sur cette terre, à moins que lhomme ne renonce délibérément à son propre esprit.
De tout temps et sous tous les climats, le besoin du spiritualisme a été aussi impérieux, chez lhomme, que ses besoins matériels et il sest manifesté en conséquence ; ce besoin et ces manifestations se sont révélés avec une constance et une permanence telles, que nier lexistence de lesprit chez lhomme ne saurait être que le fait dune déficience mentale, ou laberration dun aveuglement, comme seul le Talmud peut en produire.
Lassaut le plus orgueilleux
La lutte affreuse poursuivie contre lesprit, contre la nature même de lhomme, constitue lassaut le plus orgueilleux qui se soit encore vu, contre la Loi Naturelle. Celle-ci, qui nest en somme que lexpression de la volonté du Créateur, na jamais été vaincue par qui que ce soit, sauf par Jésus-Christ, qui sest ressuscité Lui-même. Plus on la viole, plus elle se venge cruellement. Plus fortement et plus longuement on comprime laction de la Loi Naturelle, plus violemment elle explose à la face même de celui ou ceux qui la défient. Par le spectacle que le monde nous offre depuis quelques années, la saine raison permet de croire que le point de saturation quil nest pas permis de dépasser sera bientôt atteint, sil ne lest pas déjà ; que la réaction du spiritualisme atteint chaque jour un degré dintensité plus vive, et que cette réponse de lesprit dépasse de beaucoup par sa qualité la somme du matérialisme lancé dans la lutte.
Quand elle se venge, ce ne sont pas des idées que frappe la Loi Naturelle ; ce sont les êtres réels qui tombent sous sa régie : hommes ou choses. Devant elle, argent, organisation, propagande, complots, ne sont absolument rien. Bientôt nous verrons sa réaction faire crouler, comme un château de cartes, lensemble de ces organismes et ces internationales qui se croient gigantesques et tout-puissants.
La réaction sera mondiale
Jamais, dans notre mouvement, nous navons cru à la haine, à la vengeance, à la violence ou la brutalité, bien que nous en ayons été plusieurs fois victimes. Cest immensément pénible de voir des êtres humains, quels quils soient, souffrir et gémir, même quand cest du résultat de leur propre conduite. Mais, que pouvons-nous faire, quand la Nature elle-même déchaîne linflexible et inexorable justice du jeu de ses lois ?
Ceux qui ont organisé et propagé la Révolution Mondiale vont lavoir, leur révolution ; mais, dans sa dernière phase, elle se retournera contre ses auteurs.
Si le semeur de vent récolte la tempête, ceux qui ont semé le désordre et la révolte récolteront lanarchie et une ruée aveugle contre eux-mêmes.
Ce nest pas impunément quon accable lhumanité entière de guerres, de révolutions, dorgies de sang, de persécutions, dusure financière, de déséquilibre économique, de fausses théories et de mensonges ; ce nest pas impunément quon immole en 30 ans cent millions dêtres humains, sur lautel de ses convoitises ; la Loi veut quon en récolte la moisson.
Quand, à lhorloge du destin, sonnera lheure terrible de la reddition des comptes, que des peuples entiers préparés à ne plus écouter aucune autorité, ouvriront soudainement les yeux et verront toute la Vérité, il ny aura sur cette terre ni autorité religieuse, ni autorité civile, ni autorité militaire qui pourra se faire entendre à ces foules et les empêcher de se lancer en tumulte contre les conspirateurs qui auront torturé lhumanité.
De même que le mensonge a régné partout au même moment, de même que la conspiration a été simultanément universelle et globale, de même limpétueuse et incontrôlable réaction sera mondiale. Dies irae, dies illa : jour de colère que ce jour-là ! Et personne ny pourra rien faire.
Lesprit va tout balayer
Dans lintervalle, tout ce qui peut se produire na quune importance relative et mineure. Ce qui compte, cest la victoire finale de la Vérité sur lErreur, du Bien sur le Mal, de lOrdre sur le Désordre, de lEsprit sur la Matière. Douter un seul instant de cette victoire, cest douter de Dieu même et de Ses lois. À quelque prix que ce soit, à quelque péril quon sexpose, il faut continuer de servir et proclamer la Vérité. Nous sommes assurés de triompher avec elle, cest tout ce qui compte. Le reste a si peu dimportance que, sy arrêter un seul instant, cest diminuer sa propre stature dhomme, cest descendre au niveau de lennemi. Tout lappareil des puissances matérielles, cela se résume à Zéro majuscule, devant lEsprit qui peut et qui va tout balayer Plus lopposition matérialiste quil y a devant nous est grande en quantité, plus nous devons affiner notre spiritualisme en qualité et en intensité, surtout par la souffrance, surtout en souffrant la souffrance des autres déjà plongés dans le creuset brûlant de lHistoire. Quand viendra le choc final, nous serons les mieux armés, nous serons les plus forts ; et nous verrons, témoins favorisés de toutes les époques humaines, lEsprit renverser, dun souffle de feu, la misérable accumulation de matière dans laquelle dautres hommes, fils de Dieu pourtant, avaient mis exclusivement leur foi, leur espérance et leur amour.
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