March 2012

Saturday 31 March 2012

Abbé Julio Meinvielle - Les juifs dans le mystère de l'histoire


Abbé Julio Meinvielle - Les juifs dans le mystère de l'histoire

Il n’est pas possible de comprendre le véritable sens de l’histoire, ni la signification réelle des événements que nous vivons, si l’on ignore la place qu’y tient le problème du judaïsme et de l’opposition entre le judaïsme et le christianisme. Cette opposition ne trouve pas son explication, et encore moins sa solution, dans le racisme, le sectarisme ou l’antisémitisme. Les violences, persécutions, génocides ou totalitarismes qu’ils engendrent répugnent à l’esprit chrétien et lui sont odieux. La Vérité se trouve dans la doctrine catholique et l’enseignement de la sainte Église, qui traite le problème sur le plan théologique.

Friday 30 March 2012

Jean Mabire - Ungern L'héritier blanc de Gengis Khan


Jean Mabire - Ungern L'héritier blanc de Gengis Khan
Les seigneur de la Guerre

SABLES gris, étangs tristes, forêts de pins, rives sauvages du golfe de Finlande ... Là, voici près de trois siècles, a été brisé en Estonie le rêve fou des chevaliers teutoniques. L'aigle de Russie a vaincu l'aigle de Prusse. Les seigneurs allemands qui ont voulu rester dans le pays ont dû accepter de servir le Tsar. Ils sont devenus les barons baltes, orgueilleux, frondeurs mais soumis. Isolés dans leurs domaines ancestraux, entourés de paysans frustes et hostiles qui ne parlent pas leur langue tudesque, serviteurs obligés d'un état étranger à leurs coutumes et à leurs espoirs, ils ne trouvent de liberté qu'au sein d'une armée qui utilise leur seule passion : le courage. Des flots de la Baltique aux steppes de l'Asie, des milJiers et des milliers d'officiers baltes ont servi dans les armées du Tsar, avec honneur et fidélité. Sans eux, la puissance russe n'aurait été que bouillonnement et désordre.
Ils apportent à l'exercice de leur métier une rigueur héritée du vieil Ordre germanique. Ils sont cruels, efficaces, fanatiques. Saint-Petersbourg ne les aime guère mais utilise, dans tous ses régiments, leur amour de la guerre pour la guerre. Au cours des siècles, les barons baltes, naguère vaincus par les soldats russes, sont devenus les aristocrates d'un empire toujours féodal. Dans les grandes familles d'Estonie ou de Courlande, les fils n'ont d'autre choix que les soins du domaine ou le service des Tsars. Ceindre l'épée, c'est échapper à la terre pour découvrir l'aventure, le danger, la mort Il n'est de noblesse que guerrière, répètent les anciens dont les ancêtres ont naguère combattu sous l'étendard immaculé à l'immense croix noire. Il n'est d'autre ordre que l'ordre de la force.

Wednesday 28 March 2012

Pierre Manoury - Les Plantes sorcières




Pierre Manoury - Les Plantes sorcières
Traité de phytothérapie traditionnelle


CHAPITRE I

"Tout homme en bonne santé est un malade qui s’ignore". Cette réplique célèbre du roman "Knock" de Jules Romain, est d’une actualité brûlante. Combien de personnes consomment des médicaments au moindre symptôme de fièvre, d’enrouement, de légère atteinte grippale, voire simplement à la suite ou avant un effort musculaire. Le corps saturé de produits chimiques, ne peut plus expliquer clairement les symptômes permettant de détecter ses faiblesses... Puis, un jour, c’est le drame. Comme une réaction en chaîne les alarmes se succèdent donnant un bilan effrayant, sinon désastreux. Les médicaments modernes servent le plus souvent, à masquer les symptômes provoquant une anesthésie trompeuse au lieu de renforcer les défenses naturelles en les éduquant. La médecine allopathique moderne est une médecine de symptôme, pas une médecine de fond.
La faute de cette pilulomanie vient en grande partie d’organismes comme la Sécurité sociale, qui sont des encouragements à cette débauche chimiothérapique outrancière. Si les bienfaits du remboursement ne s’appliquaient qu’aux personnes hospitalisées, les risques seraient limités... L’ennui est que la santé a été politisée et cette mesure ne serait pas "sociale".
Un vieil ami médecin me disait un jour. "Le problème avec l’homme moderne, c’est qu’il est moins intelligent que ses ancêtres et qu’il est persuadé du contraire... De ce fait, il ne sait plus ni apprendre, ni écouter". Singulière réflexion ? En grande partie, ce vieux médecin avait parfaitement raison. Nous sommes "adaptés" à notre technologie, mais incapables de survivre si elle nous manque. La preuve ? Imaginez seulement un cataclysme d’envergure à l’échelle de la planète, ce cataclysme peut avoir diverses origines naturelles ou belliqueuses. Les survivants privés de l’électricité, des moyens de communications, n’auraient pour objectif que de se livrer aux pillages des réserves miraculeusement intactes. Et après... ? Les survivants ébranlés par la fatigue, stressés nerveusement, en état de "manque" chimique ne tarderaient pas à donner dans les désespoirs et bien peu seraient en mesure de s’adapter. Combien sommes-nous à connaître les plantes susceptibles de nous nourrir, de pallier à nos carences et de nous soigner ? L’hécatombe risquerait d’être plus meurtrière chez les survivants que celle de la cause première.
Ce texte n’est pas une prophétie nihiliste, mais une tentative d’apprentissage de survie médicale et de sauvegarde physiologique devant le raz de marée de la quiétude bébête. Je souhaite que ce livre soit tout l’inverse d’un tranquillisant. Nous sommes actuellement dans l’ère des tranquillisants, s’ils viennent à manquer nous risquons fort de ne plus être.
Je ne donne pas dans l’écologie facile, mais dans la lucidité humaniste.

LES MEDECINES "DOUCES"

Il convient de ne pas confondre médecines "douces" avec médecines "molles". Les médecines douces peuvent en effet être énergiques, nous verrons pourquoi dans ce qui suit.
Qu’est-ce qu’une médecine douce ? C’est à la fois une médecine préventive et curative. Son efficacité n’est pas moindre que la médecine classique dite moderne, elle fonctionne différemment. Dans sa forme préventive, elle va traiter un organe soit en le fortifiant soit en le décongestionnant, c’est-à-dire qu’elle attaquera non pas le symptôme qui est le signal d’a-larme, mais la cause ; c’est une médecine des énergies. La médecine classique est la plupart du temps une médecine qui attaque les symptômes. Je m’explique : le symptôme en soi est, nous l’avons vu, le signal d’alarme. Tout se passe comme si dans une installation électrique, le disjoncteur "sautait". Le médecin moderne agit comme un électricien qui supprimerait ce disjoncteur et remettrait l’installation en service. Quelque temps après, l’installation entière risquerait de chauffer et de mettre le feu à l’habitation. Le symptôme ne doit en aucun cas être anesthésié, masqué ; ce n’est pas lui qu’il convient de traiter mais la cause du mal. Dans sa forme curative, une médecine douce est une médecine d’intervention au même titre que l’allopathie, son efficacité est simplement plus profonde, le symptôme n’étant pas masqué elle donne l’impression d’être moins puissante. Encore convient-il de se repérer dans le maquis des médecines naturelles. Certaines sont illusoires, d’autres méconnues.

LES MEDECINES NATURELLES

1) L’acupuncture :
La plus connue des médecines naturelles est l’acupuncture. Mal comprise, rarement bien appliquée, elle est efficace à condition d’être manipulée par un véritable thérapeute, pas par un lanceur de fléchettes qui vous transforme en porc-épic, dans le seul but de justifier sa spécialité.
L’acupuncture appuyée en cela par la tradition taoïste, considère (avec raison) que le corps humain est le siège de la circulation d’énergie différenciée en :
1) Energie Yang, dite mâle.
2) Energie Inn, dite femelle.
Ces deux énergies circulent selon des trajets précis nommés méridiens. C’est sur ces méridiens que se trouvent les points d’acupuncture, lesquels peuvent être stimulés ou au contraire dispersés par l’implantation d’aiguilles ou par échauffement localisé : les moxas. L’énergie peut en effet être mal repartie, certains méridiens étant déficients tandis que d’autres sont engorgés. La pratique de l’acupuncture est donc un rééquilibrage de ces énergies par action sur les divers points qui en sont les secteurs d’émergence. L’efficacité de l’acupuncture est indéniable, ce qui l’est moins, c’est l’efficacité des acupuncteurs ; une des principales raisons provient du fait que les méridiens d’acupuncture passent par des périodes d’activité et de repos, c’est ainsi qu’un méridien connaît une activité pendant deux heures puis, passe par un minimum. L’activité de ces méridiens est parfaitement régulière et suit un horaire précis. Par exemple le méridien des poumons qui fonctionne de 3 heures à 5 heures, alors que le méridien des reins fonctionne de 17 h à 19 h. Horaires qui ne sont pas toujours compatibles avec les heures de consultation ... ! Heureusement le traitement se fait le plus souvent par des combinaisons de points.
Pour la médecine traditionnelle chinoise, toute maladie est due à un déséquilibre énergétique, inaptitude des organes à la défense (par excès ou défaut d’énergie). Le diagnostic de ces déficiences coïncide souvent avec les anomalies d’aspects planétaires qu’un spécialiste de l’astrologie médicale (surtout en astrologie sidérale) peut facilement vérifier (je parle d’astrologue, pas de marchand d’horoscope). La médecine chinoise traditionnelle est basée sur les médecines naturelles, d’un côté l’acupuncture qui est spécialement une médecine préventive, d’autre part la phytothérapie.
La vie. citadine accentue le déséquilibre énergétique. La pratique de l’automobile l’accroît plus encore et l’alimentation elle-même est fautive ainsi que le manque d’activité physique naturelle.
Mon propos n’étant pas de rédiger un cours d’acupuncture, ces simples définitions permettront peut-être d’attirer l’attention du lecteur sur cette médecine naturelle que la plupart peut pratiquer à titre privé.
Deux ouvrages simples et efficaces sont à signaler pour les débutants : L’Acupuncture pratique de A. Lebardier - Edition Maisonneuve 1975 et L’Enseignement accéléré de L’acupuncture de M. Cintract - Editions Maloine - deuxième édition 1979.
2) L’homéopathie :
Avec l’homéopathie nous entrons dans une forme plus occidentalisée de la médecine. L’homéopathie est en effet, une thérapie par ingestion ou application de "médicament" plus conforme à la mentalité européenne.
La structure de l’homéopathie est simple. Elle est basée sur le principe thérapeutique de la Grèce Antique, exprimé par la formule lapidaire "SIMILIA SIMILIBUS CURANTUR". C’est-à-dire, les semblables sont guéris par les semblables, ce qui donna dans le langage populaire "soigner le mal par le mal".
Le principe de similitude est le suivant : toute substance qui à titre pondéral (entendez par là, dose importante), produit chez un homme en bonne santé des symptômes comparables à ceux d’une maladie connue ou inconnue, pourra être appliquée dans un cadre curatif à dose infime, chez un individu atteint de la dite maladie et présentant ces symptômes.
Prenons un exemple : la plante nommée Agnus Castus produit chez un homme sain, une impuissance passagère. Chez un malade atteint d’impuissance on administrera à dose faible, le même Agnus Castus. Les résultats sont souvent probants et durables, tel est le principe de l’homéopathie.
La médecine homéopathique n’utilise pas seulement l’application de la méthode des semblables, elle utilise également celle des contraires que nous verrons de manière détaillée avec la phytothérapie et la médecine spagyrique.
Les principes des dosages homéopathiques ne peuvent entrer dans le cadre de ce livre. Le lecteur attiré par cette thérapie pourra l’aborder utilement avec : Le Guide Pratique d’Ho-méopathie de Jacques Hodler - Editions Andrillon Soissons 1977 ou Thérapeutique Homéopathique du Dr Claude Binet - Editions Dangles. 3) La phytothérapie :
De Phyton = Plante. De l’herbe la plus commune (le chiendent) à la plus rare, l’or-chidée, la plupart des plantes ont des propriétés médicinales. La quasi totalité des maladies peut être traitée par les plantes. La pervenche de Madagascar qui porte également le nom de vincaroséa a d’étonnantes propriétés curatives de certaines formes de cancer ? Peu nombreux sont les laboratoires qui s’en préoccupent!
La phytothérapie est l’utilisation des propriétés pharmacologiques des plantes médicinales. Les plantes médicinales contiennent des principes actifs assimilables par l’or-ganisme et agissent de manière plus ou moins efficace, selon leurs dosages et leurs modes de préparation. En fait, la phytothérapie ne possède pas de limites, les seules qu’elle connaisse sont celles qu’imposent les doses admissibles par l’organisme et leur mode d’administration. La qualité et la spécificité de la phytothérapie sont très importantes. La qualité d’abord, les médicaments tirés des plantes sont d’origine vivante, donc plus facilement assimilables ; leur spécificité n’a pratiquement pas de limite, car, à moins de contre-indication ou d’incompatibilité, les produits peuvent être mixés entre eux dans une même préparation, sans excès évidemment.
Vu sous cet aspect, la phytothérapie semble miraculeuse, il s’en faut de peu pour que cela soit vrai, mais en théorie seulement. Voici pourquoi : Comme pour la médecine classique ou médecine allopathique, les praticiens n’utilisent la phytothérapie que pour atténuer ou masquer les symptômes. Telle plante est réputée diuré-tique ou fébrifuge, on l’utilise comme telle. Cette réaction simpliste en limite l’emploi et les bienfaits. Nous verrons un peu plus loin, qu’il convient d’utiliser la phytothérapie selon les principes des semblables et des contraires. D’autre part, le mode d’administration est la plupart du temps réduit aux formes de tisanes ou de décoctions, ce qui en interdit l’emploi en médecine d’urgence, sauf quelques rares exceptions. La phytothérapie peut être employée de manière puissante comme tout médicament, c’est le but du présent livre. Ceci étant défini, la plupart des recueils sur les plantes médicinales, peut vous être d’un grand secours, à condition d’effectuer vous même les préparations.
La phytothérapie est donc une médecine naturelle, pas forcément douce, il convient au niveau des préparations de respecter les dosages, car ces "médicaments" peuvent dans certains cas, être aussi dangereux que les autres. Vous êtes responsable du respect de ces dosages ; un extrait de digitale préparé par vos soins, peut sauver un cardiaque mais peut tuer une personne en bonne santé ou un enfant... Donc prudence !
La phytothérapie débouche tout naturellement sur un aspect moins connu, assez discret, sinon secret : la médecine spagyrique ou alchimie végétale. Certains commencent à sourire, imaginant déjà des recettes pour élixir de longue vie, eau de jouvence et autres rêves mirobolants ! Qu’ils gardent pour eux leurs sarcasmes, car si elle est méconnue, la médecine spagyrique est sans doute l’une des thérapies les plus efficaces. Elle a fait ses preuves durant plusieurs siècles et compte des cures presque miraculeuses, seulement elle n’est pas à la portée de tous. On ne devient pas spagyriste en quelques jours, de même qu’on ne devient pas initié parce qu’on a lu quelques livres de magie, ce qui malheureusement tend à devenir une affligeante réalité actuellement, discréditant les chercheurs sérieux qui ont longtemps étudié en subissant un difficile entraînement que l’on nomme, l’initiation. Comme disait un grand maître du Zen, "il ne suffit pas de prendre la position du lotus pour accéder à la sagesse sinon toutes les grenouilles deviendraient Bouddha !" C’est pourtant ce qui se produit avec les pseudo-mages et initiés bidons, se réfugiant derrière le secret ou se cachant dans leurs boîtes postales. Revenons-en à la spagyrie. Cette science bien que fort complexe, peut être pratiquée à un stade élémentaire, si l’on suit les conseils figurant dans les pages ci-après ; même à ce niveau ses application sont particulièrement efficaces. Je ne trahis pas de secret dans ces pages, d’ailleurs il n’y a pas de secret, sinon une certaine discrétion. Quelques procédés doivent rester voilés car leurs domaines d’applications dépassent le stade de la prescription théorique et sont d’un maniement délicat ; de plus les applications ultimes de la spagyrie, tels les élixirs de certaines plantes (préparés selon la tradition alchimique) et les notions de pierre végétale, risquent de provoquer des phénomènes incontrôlés et très dangereux pour celui qui n’a pas reçu de préparation ou dont le niveau spirituel est trop bas.


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Pierre Manoury

Sunday 25 March 2012

Bobby Fischer Teaches Chess


Bobby Fischer Teaches Chess

“THE PROFOUNDEST STUDENT OF CHESS WHO EVER LIVED!” - LIFE
Learn to think the same way Bobby does. This is the secret. You will be put in increasingly complex situations where you will be required to think and move the way Bobby Fischer does. You’ll be a better player after you take Bobby Fischer's Chess Course. It works.

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Friday 23 March 2012

Alexis De Tocqueville

http://www.the-savoisien.com/blog/public/img10/Alexis_de_tocqueville.jpg
Alexis De Tocqueville

Alexis-Henri-Charles Clérel, vicomte de Tocqueville, né à Paris le 29 juillet 1805 et mort à Cannes le 16 avril 18591, est un penseur politique, historien et écrivain français. Il est célèbre pour ses analyses de la Révolution française, de la démocratie américaine et de l'évolution des démocraties occidentales en général.

Thursday 22 March 2012

Arzh Bro Naoned - Energies Sacrées Les Runes


Arzh Bro Naoned - Energies Sacrées Les Runes

Le mot Rune évoque mystère, secret, chuchotement. Les caratères runiques se rapprochent des notions d'Idéogrammes, de Hiéroglyphes, de Signes – Symboles. À notre époque, les Runes sont présentées en tant qu'écriture phonétique n'ayant, a priori, servi qu'à exprimer des sentiments de facture poético-magique, religieuse, votive.
Les textes runiques connus se situent, dans leur quasi totalité, en Europe et datés, pour la plupart, entre le IVe siècle avant notre ère et le siècle de notre ère. D'en rester là, serait se limiter et ne pas tenir compte de la Tradition de l'Europe du Nord, de l'Enseignement de sa Mythologie.
En effet, les Runes n'ont pas d'origine connue. Elles sont d'Essence Eternelle. Ces rois des caractères étranges relèvent de l'Intemporel et du Divin. Ils se présentent à nous dans un ordre immuable qu'il est coutume d'appeler Rangée Sacrée. Quelle Idée maîtresse se cache derrière ces divines Runes ?

Tuesday 20 March 2012

Mary Lefkowitz - Not Out Of Africa


Mary Lefkowitz - Not Out Of Africa
How Afrocentrism Became An Excuse To Teach Myth As History

Not Out of Africa has sparked widespread debate over the teaching of revisionist history in schools and colleges. Was Socrates black? Did Aristotle steal his ideas from the library in Alexandria? Do we owe the underlying tenets of our democratic civilization to the Africans? Mary Lefkowitz explains why politically motivated histories of the ancient world are being written and shows how Afrocentrist claims blatantly contradict the historical evidence. Not Out of Africa is an important book that protects and argues for the necessity of historical truths and standards in cultural education.
Not Out of Africa combines a learned demolition of various politically correct historical fantasies with a thoughtful inquiry into questions of historical method and of academic freedom. Anyone perplexed by multicultural education should read it.

MARY LEFKOWITZ is the Andrew W. Mellon Professor in the Humanities at Wellesley College. She is the author of many books on ancient Greece and Rome, including Lives of the Greek Poets and Women in Greek Myth, as well as articles for the Wall Street Journal and the New Republic. She is the coeditor of Women's Life in Greece and Rome and Black Athena Revisited.

Monday 19 March 2012

Brice Taylor - Thanks for the memories


Brice Taylor - Thanks for the memories
The memoirs of Bob Hope's and Henry Kissinger's mind-controlled slave.
Used as a presidential sex toy and personal computer.

Sylvester Stallone
Stallone liked to have group sex with lots of women and he liked Kelly and I together. He had us the first time when we were staying in a cottage in Anahola. As programmed, during the middle of the night I went to my daughter and said, "Kelly, Kelly, wake up, we have work to do. "No Mom," Kelly said, "I'm tired." "Wake up now!" I commanded, snapping my fingers drawing my 13-year-old daughter into a wide-awake state. I held her hand all the way to the rental car we drove when I first arrived onto the island. We drove to Stallone's house in Anini Beach and parked in the drive. He said that since it was a rental car it would be fine. Kelly and I went into the house and out to a oval room where there were other girls waiting. One was Japanese and another brunette. At first we all just sat and looked at each other, smiling in awkward embarrassment. Sly walked in with a white towel around his otherwise naked body and held his hands out to us. He told us we were waiting for the 5th wheel but she never arrived. He laughed and directed us into the bedroom. He pointed to Kelly and said, "I want her first." He told her she had the Bo Derek look and he kissed her before she began her trained, skillful sexual repertoire. Stallone was snorting cocaine and during the group sex it was my job to remember to offer him more. He had a small spoon that he stuck up his nose to snort the white powder. Kissing Kelly he said, "Bob has good taste." Pulling her hair back and kissing her more deeply he added, "and it's getting better all the time." When he was finished sexually satisfying himself with her he rolled her over and said, "rest little baby," as he went to the other girls in turn. We never spent the night, stayed just a few hours and after Stallone went to sleep I kissed his cheek, took Kelly's hand and we tip-toed out.
Stallone once said, "There's nothing quite like a slave. I love getting them from the underground. You're all so cooperative, don't give me no shit. This is the life I tell ya'. No bitchy, demanding women, not when I can have beautiful, sweet, white women who set me free. It's all about freedom," he rambled, while laying on his back in a seemingly drugged stupor, about "America the Beautiful and the home of the brave." He was high on cocaine. The higher he got the better the animal lover he was to become. That was his code name, "Animal."

That was his code name, "Animal." And when they told me, "the Animal" wanted Kelly and 1, then I knew it was Stallone. I also gave him massages, often in open air areas. Sly thought the dolphin porn was the greatest new combo and he directed a lot of the porn videos. It was filmed at areas at the North Shore, Poipu or, he had us helicoptered into remote areas for filming. Large cameras were taken out to these remote island areas. I delivered some money from Stallone and from other less prominent men on the island to Ken, the wealthy attorney who had a big beautiful house in Kilauea. I believe it was his job to see that the money was sufficiently laundered.
Sly wore a wet suit but we were always naked in the water. There were trained dolphins that we did water ballet and swam with. When we swam gracefully the male dolphin got excited and started nudging us. We grabbed onto them and went for the ride; if we didn't, they told us, "one wrong move and you could get ripped to shreds." The dolphin actually remembered us over time and the same male would consistently choose the same girl, even when the group size changed from small to large. They got to know us and didn't forget in between. When my sons were on the island they were filmed also. One day after the filming, Sly said to Kelly, "You come back soon, ya here?"

During other visits, where I was supposedly allowed to see my children, Kelly and I were prostituted to Charlton Heston, and I was to Kareem Abdul Jabaar. Taj Mahal, the jazz musician, was on the island to keep other slaves in line through satanic rituals. One time I was programmed to drive to Secret Beach at night to attend a 'gathering' where, unbeknownst to my conscious personality, I was raped in a ritual.
Consciously I thought, as my programmed reality dictated, that I had escaped from my controllers in California and I was now safe. I believed I had rescued my children, and as the summer came to an end, I began the process of enrolling them in island schools. I moved from house to house, attempting to keep our whereabouts anonymous, only to have my still programmed children call back to their father in California and report our current location and phone number. It was terrifying. And I thought I would die of grief and terror when Craig told the kids and I that if I didn't return them to California he would be sending in a police escort to bring them home. Devastated and panicked but not knowing what else to do, I returned my children to their father in California. Shortly afterwards, my attorney notified me that if I wanted to ever see my children again I needed to attend a court hearing in California.
Frightened of the danger of being accessed, I called Ted Gunderson (retired FBI official) who helped me hire a bodyguard. I flew to California, where behind the judge's closed doors, I lost custody of my children. My attorney, Doug Wolfe, let me in on the news when he informed me in the Courthouse hallway, "You're lucky to be alive, just get back to the island and get a job."
My children's programmed father and our controllers were now in even more total control of their lives.

Sunday 18 March 2012

Gilbert Abas présente son roman sur le satanisme : Qui veut encore tuer le Christ

Sur les milliers de personnes qui disparaissent en France; ce qu'elles deviennent; les autorités complices ou parties prenantes.

Pour plus d'informations :
Zandvoort, le fichier de la honte - Karl Zéro
Messes noires, sacrifices humains, cannibalisme, rituels sataniques
La pédophilie et l'affaire du Coral
Brice Taylor - Thanks for the memories

Gilbert Abas ancien officier de police au RG de Toulouse, auteur du livre de 800 pages intitulé: Qui veut encore tuer le Christ?. Pour me contacter: gilbertabas@yahoo.fr
Afin de dénoncer les dérives sectaires et notamment sataniques. Je compte procéder, dès le mois de Mars à une "vente-signature" dans 100 communes de Midi Pyrénées et profiter de ces points de sensibilisation pour animer en même temps des mini débats afin de faire connaître les dangers de ces sectes et notamment ceux de la pédocriminalité exercés dangereusement lors de rituels ou messes noires.

Il faut savoir que c'est un ex responsable de la sécurité de Dominique Baudis, mouillé jusqu'au cou dans l'affaire Alègre (voir le témoignage des enfants Roche).

Thursday 15 March 2012

Ben Klassen - Le Petit Livre Blanc




Ben Klassen - Le Petit Livre Blanc

RAHOWA !
Cette planète nous appartient !


Face à l'extinction génétique Blanche qui menace, une nouvelle prise de conscience agite maintenant la Race Blanche dans le Monde Blanc tout entier.
C'est la prise de conscience de ce que l'Église Mondiale du Créateur prêche depuis sa fondation même en 1973, à savoir que :
A - nous, les Blancs, sommes entraînés malgré nous dans une guerre raciale pour la survie sur cette Planète Terre;
B - toutes les races non-Blanches – les nègres, les métèques et les juifs – sont nos ennemies raciales naturelles dans ce combat pour la survie;
C - les juifs mènent et orchestrent cette guerre génocidaire sans merci contre la Race Blanche;
D - les églises chrétiennes sont leurs alliées les plus ardentes et leur arme la plus efficace dans leur travail de sape de la Race Blanche;
E - une GUERRE SAINTE RACIALE derrière le drapeau victorieux de la seule et unique, véritable et révolutionnaire Religion Raciale Blanche – la CRÉATIVITÉ – est le SEUL SALUT pour la Race Blanche.

Nous avons incorporé dans le concept de la RAHOWA ! (RAcial HOly WAr – guerre sainte raciale) un credo, une philosophie et un cri de guerre pour un programme d'action qui peut et doit tirer la Race Blanche du sombre marécage de la domination et de la tyrannie juives.
RAHOWA ! Ce simple mot résume à lui seul le but et le programme non seulement de l'Église Mondiale du Créateur, mais de la Race Blanche toute entière : Nous relevons le défi. Nous nous armons pour une guerre totale contre les juifs et les autres fichues races métèques du monde – politiquement, financièrement, moralement et religieusement. Nous considérons en fait cela comme le cœur de notre croyance religieuse, et comme le plus sacré de tous les credo. Nous la considérons comme une guerre sainte à outrance – une guerre sainte raciale.
RAHOWA ! est INÉVITABLE. C'est la solution ULTIME et UNIQUE. La Race Blanche et les races métèques ne peuvent plus vivre sur la même planète et survivre. Maintenant, c'est eux ou nous. Et nous voulons sacrément être sûrs que c'est nous qui survivions. À partir d'aujourd'hui, toute cette Planète nous appartient et sera le seul et unique lieu de résidence de notre descendance pour les siècles des siècles. RAHOWA !

AUT VINCERE AUT MORI !
LA VICTOIRE OU LA MORT !

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Monday 12 March 2012

David Lane - 88 Préceptes


David Lane - 88 Préceptes

Jusqu'à ce que la race blanche ait compris qu'il n'existe qu'une source permettant d'établir des vérités durables, il n'y aura ni paix ni stabilité sur cette terre. C'est dans les lois immuables de la Nature que se trouvent les clés de la vie, de l'ordre et de la compréhension. Les paroles des hommes, même celles que certains considèrent comme "inspirées", dépendent des traductions, du vocabulaire, des additions, des soustractions et des distorsions de mortels faillibles. Par conséquent, tout écrit et tout texte influent, ancien ou moderne, doit être sévèrement examiné quant à sa conformité à la Loi Naturelle. Les Peuples Blancs de la terre doivent comprendre collectivement qu'ils sont, eux aussi, soumis aux Lois inflexibles de la Nature, de même que toute autre créature dans l'univers, ou ils ne pourront préserver ni la paix, ni la sécurité, ni même leur propre existence. Le monde est en flammes parce que les races, les sous-races, les nations et les cultures sont forcées de violer leurs propres instincts de préservation. Beaucoup d'hommes de bonne volonté, mais de peu de compréhension, combattent des symptômes qui sont le résultat d'une désobéissance à la Loi Naturelle. Telle est la nature de l'homme, que certains s'en tiennent à des positions bornées, locales, basées sur des vues qui procèdent de l'environnement immédiat, de circonstances relatives, et d'un conditionnement dogmatique. Tout ceci est encouragé par cette puissante et impitoyable peuplade qui contrôle les affaires du monde depuis des siècles en exploitant les plus bas instincts de l'homme. Les conflits avec, et entre, les ignorants lui servent de masque et de sauvegarde. Une compréhension plus profonde des Lois Fondamentales qui gouvernent les affaires des hommes est nécessaire, si nous voulons sauver la civilisation des usuriers qui sont entrain de la mettre à mort. Ce qui suit ne prétend pas fournir un mode de gouvernement détaillé, mais des PRECEPTES qui, bien compris, serviront et préserveront les membres de notre Peuple, en tant qu'individus et en tant que Nation.

David E. Lane (1938-2007)



Les 88 Préceptes.

1. Toute religion, ou tout enseignement, qui nie les Lois Naturelles de l'Univers est un mensonge.
2. Quelle que soit la perception que les hommes ont de Dieu, ou des dieux, ou de ce que peut être la Force originelle de l'univers, ils ne peuvent pas nier que les Lois de la Nature sont l'oeuvre, et donc l'intention, de cette Force.
3. Dieu et la religion sont des concepts distincts, séparés et souvent contradictoires. La Nature manifeste le plan divin, puisque le monde naturel est l'oeuvre de cette force ou de cette intelligence que les hommes appellent Dieu. La religion est une création des mortels, elle est donc vouée à la faillibilité. La religion peut préserver ou détruire un peuple, selon la structure que ses créateurs lui ont donnée, les motivations de ses agents et le caprice des circonstances historiques.
4. La forme de prière la plus vraie est la communion avec la Nature. Elle n'est pas vocale. Rendez-vous dans un lieu solitaire, si possible le sommet d'une montagne, au cours d'une nuit claire, étoilée, et prenez conscience de l'ordre et de la majesté du macrocosme infini. Considérez ensuite l'élaboration du microcosme, tout aussi infini. Comprenez que vous êtes, d'une part, totalement insignifiant dans l'immensité des choses, et que, d'autre part, vous êtes virtuellement d'une valeur infinie en tant que maillon d'une chaîne infinie. Vous commencerez alors à comprendre comment la fierté et l'estime de soi peuvent co-exister avec le respect et la révérence. C'est ainsi que vous trouverez l'harmonie avec la nature - et de l'harmonie viennent la force, la paix et la certitude.
5. Les pouvoirs séculiers protègent et encouragent les religions qui se concentrent sur l'au-delà. C'est ainsi qu'on enseigne aux gens à abandonner toute défense contre leurs prédateurs dans cette vie.
6. L'Histoire, qu'elle soit séculière ou religieuse, est une fable issue de mensonges égoïstes et promulguée par ceux qui en bénéficient.
7. La religion, sous sa forme la plus bénéfique, est la symbolique d'un peuple et de sa culture. Une religion multiraciale détruit le sens d'unicité, d'exclusivité et de valeur nécessaire à la survie d'une race.
8. Ce que les hommes appellent "surnaturel" n'est en réalité que le "naturel" non encore compris ou révélé.
9. Une prolifération de lois, et la perte de liberté qui en résulte, sont un signe, directement proportionnel, de maladie spirituelle dans une nation.
10. Si une nation est dépourvue de santé spirituelle et de caractère moral, le gouvernement et les hommes sans principes se rueront dans la brèche. Par conséquent, la liberté prospère dans les valeurs morales et la tyrannie se nourrit du déclin moral.
11. La vérité n'a pas besoin de longues explications. Prenez garde aux doctrines verbeuses. Les grands principes se révèlent avec brièveté.
12. La vérité ne craint pas qu'on enquête sur elle.
13. Les croyances infondées sont un piège. Un Peuple qui ne vérifie pas rationnellement la validité et l'efficacité de ses croyances souffrira ou disparaitra. 14. Conformément aux lois de la nature, rien n'est plus juste que la préservation de sa propre race.
15. Il n'existe pas de force plus motivante que la conviction d'être dans son droit.
16. Le discernement est la marque d'un peuple sain. Dans une nation, une civilisation, une culture ou une race malade ou mourante, l'essentiel est abandonné au profit des apparences.
17. Le discernement implique la capacité de reconnaître la différence entre croyance et réalité démontrable.
18. Les Lois de la Nature n'admettent ni droits, ni privilèges. Le daim traqué par un lion affamé n'a pas droit à la vie. Pourtant, il peut rechercher la vie en obéissant aux instincts naturels de vigilance et de fuite. De même, les hommes n'ont aucun droit à la vie, à la liberté ou au bonheur. Ces circonstances peuvent être recherchées par nous, par notre famille, par notre clan ou par nos ancêtres, mais elles restent des buts et non des droits. Plus encore, le résultat de ces recherches ne peut être obtenu qu'à force de vigilance et d'obéissance à la Loi Naturelle.
19. Les gens qui ne sont pas convaincus de leur unicité et de leur valeur disparaitront.
20. La race blanche subit les invasions et la brutalité de l'Afrique et de l'Asie depuis des millénaires. Par exemple, Attila et les Huns asiatiques qui envahirent l'Europe au Vème siècle, violant, pillant et tuant des Alpes jusqu'aux mers Caspienne et Baltique. Ce scénario se répéta avec les Mongols de Gengis Khan, 800 ans plus tard. (Notez ici que les Indiens d'Amérique ne sont pas des "Indigènes américains", mais, racialement, des Mongols). Au VIIIème siècle, 1000 ans avant que les Noirs soient transportés en Amérique, les Maures Nord-Africains, peuple métissé, envahirent et conquirent le Portugal, l'Espagne et une partie de la France. La culpabilité que les destructeurs de la civilisation tentent de faire ressentir à la race blanche est donc absurde, à la fois devant l'Histoire et devant la Loi Naturelle qui ne reconnaît pas de compassion entre les espèces. De fait, toutes les races ont immensément bénéficié du génie créatif du peuple Aryen.
21. Le peuple qui en autorise d'autres, issus de races différentes, à vivre parmi eux, disparaitra, parce que le résultat inévitable de l'intégration raciale est le métissage qui détruit les caractéristiques et l'existence d'une race. L'intégration forcée et un génocide sournois et délibéré, particulièrement dans le cas d'un peuple comme la race blanche, qui constitue aujourd'hui une faible minorité dans le monde.
22. En dernière analyse, on ne peut juger de la supériorité ou de l'infériorité d'une race ou d'une espèce en fonction de ses accomplissements, mais seulement en fonction de sa volonté et de sa capacité à survivre.
23. Les systèmes politiques, économiques et religieux peuvent être détruits et ressuscités par les hommes, mais la mort d'une race est éternelle.
24. Aucune race humaine ne peut indéfiniment continuer à exister sans territoires exclusifs sur lesquels propager, protéger et faire progresser son espèce.
25. Sans une culture qui soit exclusivement la sienne, un peuple disparaitra.
26. La nature a placé certaines antipathies entre les races et les espèces, afin de préserver l'individualité et l'existence de chacune. La violation des impératifs territoriaux nécessaires à préserver cette antipathie mène soit au conflit, soit à la dégénérescence.
27. Il n'est pas constructif de haïr les gens d'autres races, ni même les métis. Mais une séparation doit être maintenue pour que survive sa propre race. On doit, néanmoins, haïr d'une haine pure et parfaite ceux qui se rendent coupable de trahison envers leur propre espèce. On doit haïr d'une haine parfaite tous les gens et toutes les pratiques qui détruisent son peuple, sa culture, ou l'exclusivité raciale sur ses propres territoires.
28. Le concept de société multiculturelle viole toutes les Lois Naturelles de préservation des espèces.
29. Tout, dans la nature, démontre que le concept d'"égalité" est un mensonge. Il s'agit d'une recherche de plus petit dénominateur commun, et cette recherche détruira toute race, toute nation ou toute culture supérieure.
30. Les instincts de préservation des espèces et des races sont ordonnés par la Nature.
31. Les instincts sont les parfaits mécanismes que la Nature a établis afin que survive chaque race et chaque espèce. Il ne faut pas permettre à la faiblesse humaine, qui pousse l'homme à rationaliser les situations afin d'en tirer des satisfactions personnelles, de faire obstacles à ces instincts.
32. Le métissage, c'est à dire le mélange des races, est, et a toujours été, la plus grande menace contre la race aryenne.
33. La compassion inter-raciale est contraire aux lois de la Nature et, par conséquent, suicidaire. Si un loup intercédait pour protéger un agneau d'un lion, il serait tué. Aujourd'hui, nous observons l'homme blanc être si lourdement imposé qu'il ne peut plus se permettre d'avoir des enfants. Les impôts sont levés pour subvenir aux besoins alimentaires de dizaines de millions de non-Blancs, dont beaucoup demandent les dernières femmes blanches pour partenaires de reproduction. Or l'homme est soumis aux Lois de la Nature. Ce qui n'a rien à voir avec la moralité, la haine, le bien ou le mal. La Nature ne reconnaît pas les notions de Bien et de mal dans les relations inter-raciales. Si le lion mange l'agneau, c'est bien pour le lion et mal pour l'agneau. Si l'agneau s'échappe et que le lion reste affamé, c'est bien pour l'agneau et mal pour le lion. Le même évènement est donc appelé à la fois bien et mal. Ce qui ne saurait exister, puisqu'il n'y a pas de contradictions à l'intérieur des Lois de la Nature.
34. L'instinct d'union sexuelle fait partie du mécanisme parfait établi par la Nature en vue de préserver les espèces. Cet instinct commence tôt dans la vie et continue souvent jusque très tard. Il ne doit pas être refoulé : son objet, la reproduction, ne doit pas être empêché non plus. Comprenez que, pendant des milliers d'années, nos femmes ont porté des enfants à un très jeune âge. Or, afin de se conformer à une culture étrangère et de rester compétitives, elles nient les instincts et les devoirs que la Nature leur a confiés. Enseignez la responsabilité, mais soyez aussi compréhensif. La vie d'une race nait du ventre de ses femmes. Celui qui veut juger doit d'abord comprendre la différence entre ce qui est bien et ce qui est bon.
35. L'homosexualité est un crime contre la Nature. Toute la Nature affirme que l'objet de l'instinct d'union sexuelle est la reproduction et, donc, la préservation des espèces. L'impérieux appétit sexuel masculin doit être canalisé vers la possession de femmes de la même race, ainsi que d'éléments comme le territoire et le pouvoir, qui sont nécessaires pour les conserver.
36. La pornographie dégrade la nature de tous ceux qui s'y impliquent. Une belle femme nue est une oeuvre d'art ; une caméra entre ses genoux pour explorer ses parties intimes est de la pornographie.
37. Une race dont les hommes ne combattront pas jusqu'à la mort pour conserver leurs femmes, et s'unir avec elles, disparaitra. Tout homme blanc dont les instincts sont sains éprouve du dégoût et de la répulsion lorsqu'il voit une femme de sa race avec un homme d'une autre race. Ceux qui contrôlent aujourd'hui les médias et les affaires du monde occidental enseignent que ce dégoût est un tort et une honte. Il l'appellent "racisme". De même que le mot "nationalisme" signifie la promotion de sa nation, "racisme" signifie la promotion de la vie de sa propre race. C'est peut-être le mot le plus honorable qui existe. Tout homme qui désobéit à ces instincts est contre-Nature.
38. Dans une nation, une culture, une race ou une civilisation malade ou mourante, la résistance politique et les valeurs traditionnelles sont traitées de crimes abominables, et persécutées en tant que tels, par des inquisiteurs déguisés en patriotes philanthropes.
39. Un Peuple qui ignore son passé gâchera le présent et détruira le futur.
40. Une race doit honorer, par-dessus tout, ceux qui ont donné leurs vies ou leur liberté pour la préservation du peuple.
41. Le peuple, c'est à dire les membres de la Race, constitue la Nation. La loyauté raciale doit toujours transcender les frontières géographiques et nationales. Enseigné et compris, ce principe mettra fin aux guerres fratricides. Les guerres ne doivent pas être faites pour le bénéfice d'une autre race.
42. Les chefs de la Nation ne sont pas des maîtres, ils sont des serviteurs et des gardiens. Ils ne doivent pas servir pour obtenir des gains personnels. Choisissez pour chef celui qui n'a pas d'intérêt à accumuler les biens matériels.
43. Choisissez et jugez vos chefs, ou gardiens, ainsi : ceux qui cherchent sans cesse à réduire le pouvoir du gouvernement, ont bon coeur et bonne conscience. Ceux qui cherchent à augmenter le pouvoir du gouvernement sont de vils tyrans.
44. Aucun gouvernement ne peut rien donner à qui que ce soit, qu'il ne l'ait d'abord pris ailleurs. Le gouvernement est, de par sa nature même, de la confiscation légale. Un gouvernement limité est un fardeau nécessaire à la défense nationale et à l'ordre interne. Tout ce qu'on y ajoute joue au détriment de la liberté individuelle et générale.
45. Les lois organiques fondamentales, c'est à dire la Constitution de la nation, ne doivent pas être amendables autrement que par le consentement unanime de tous les partis, et en présence de tous les partis. Sans cela, les portes sont ouvertes à la forme la plus dangereuse, la plus mortelle, de gouvernement : la démocratie.
46. Dans une démocratie, ceux qui contrôlent les médias, et donc les esprits des électeurs, ont un pouvoir que n'auraient pas osé rêver les rois et les dictateurs.
47. La façon la plus simple de décrire une démocratie est celle-ci : trois personnes forment un gouvernement, chacune ayant une voix. Puis, deux d'entre eux se votent le droit de voler les biens du troisième.
48. Les derniers stades de la démocratie consistent en guerres étrangères, parce que le système moribond tente de se préserver en pillant les autres nations.
49. En démocratie, ce qui est légal est rarement moral, et ce qui est moral est souvent illégal.
50. A une démocratie succède toujours un homme fort... que certains appellent dictateur. C'est le seul moyen de restaurer l'ordre dans le chaos causé par la démocratie. Sélectionnez votre homme fort avec sagesse ! Il doit être un gardien jusque dans son coeur. Il doit être quelqu'un qui ait prouvé que son seul but dans la vie est de préserver le peuple. Son dessein ultime doit être la restauration d'une Loi basée sur les Lois parfaites de la Nature.
51. Un système politique fera n'importe quoi, aura recours à toutes les corruptions et brutalités nécessaires, pour préserver son pouvoir.
52. On ne peut mettre fin aux tyrannies sans recours à la force.
53. Ceux qui trahissent, dissimulent leurs forfaits sous des proclamations de patriotisme.
54. La propagande est une composante majeure dans tous les systèmes politiques, qu'ils soient séculiers ou religieux ; la propagande mensongère est la composante majeure des systèmes politiques sans principes. Tous les systèmes tentent de convaincre leurs sujets que le système est bon, juste, bénéfique et noble, ainsi que digne d'être défendu et perpétué. Plus la propagande est philanthropique, plus elle est suspecte.
55. Le pouvoir politique, en dernière analyse, est créé et maintenu par la force.
56. Un système politique, religieux ou séculier, qui fait des appels incessants au patriotisme, ou qui a besoin de verbosité et de rhétorique pour se maintenir, est une tyrannie déguisée.
57. La propagande est une arme nécessaire et légitime dans tous les combats. Les éléments d'une propagande efficace sont : la simplicité, l'émotion, la répétition et la brièveté. D'autre part, puisque les hommes croient ce qu'ils veulent croire, et puisqu'ils veulent croire ce qu'ils supposent être leur intérêt, la propagande efficace doit faire appel à l'intérêt supposé de ceux chez qui elle est disséminée.
58. Les tyrannies disent ce que l'on doit penser ; les hommes libres apprennent à penser.
59. Prenez garde aux hommes qui augmentent leurs richesses en parlant. En particulier, prenez garde aux avocats, ou aux prêtres qui nient la Loi Naturelle.
60. Le patriote, conduit dans les donjons de l'Inquisition ou sous la hache du bourreau, sera le plus bruyamment condamné par ses anciens amis et alliés : car ils espèrent ainsi échapper au même sort.
61. La douce Déesse de la Paix ne vit que sous le bras protecteur du Dieu de la Guerre en armes.
62. La Loi organique fondamentale d'une Nation doit établir, de façon claire et irrévocable, la spécificité de l'identité du groupe racial et culturel homogène pour le bien-être duquel elle a été formée, et que l'existence continue de la Nation est uniquement vouée au bien-être de ce seul groupe.
63. La race ou la culture qui en laisse une autre contrôler ou influencer n'importe lequel des éléments suivant disparaitra :
1) Les organes d'information.
2) Les institutions pédagogiques.
3) Les institutions religieuses.
4) Les postes politiques.
5) La création de la monnaie.
6) Les institutions judiciaires.
7) Les institutions culturelles.
8) La vie économique.
64. Des Lois justes n'ont pas besoin d'être longuement expliquées. Leur simplicité et leur brièveté les rendent irrévocables.
65. Les émotions de l'homme sont bien plus efficacement touchées par la parole que par l'écrit. C'est pourquoi une tyrannie réagira plus violemment aux réunions de dissidents qu'aux livres et aux pamphlets.
66. La Loi organique fondamentale de la Nation, ou n'importe quelle loi, est proportionnelle en pertinence à la volonté et au pouvoir de la faire appliquer.
67. Un Peuple désarmé ou non-militant sera réduit en esclavage.
68. Certains disent que la plume est plus puissante que le sabre. C'est possible. Néanmoins, la parole sans l'épée n'a aucune autorité.
69. Les tyrannies sont généralement construites pas à pas et enveloppées de noble rhétorique.
70. La différence entre un terroriste et un patriote est le contrôle de la presse.
71. Les jugements des gardiens, des chefs, doivent être conformes à la Loi naturelle et tempérés par la raison.
72. Le matérialisme est bas et destructeur. Les gardiens d'une Nation doivent constamment mettre en garde contre l'esprit matérialiste et combattre celui-ci. L'acquisition de richesses et de propriétés, nécessaire au bien-être d'une famille, et obtenue de manière honorable, est juste et bonne. L'exploitation, notamment par l'usure, détruit la Nation.
73. Le matérialisme pousse les hommes à rechercher des statuts artificiels à travers les richesses et la propriété. Les vrais statuts sociaux s'obtiennent au service de la Famille, de la Race et de la Nation.
74. Le matérialisme conduit finalement à la consommation compulsive, inutile, qui, a son tour, conduit au viol de la Nature et à la destruction de l'environnement. C'est contre-nature. Les vrais gardiens de la Nations doivent être purs de tout matérialisme.
75. La fonction de commerçant ou de marchand est de fournir un mode d'échange. On ne doit pas tolérer qu'un marchand encourage le matérialisme et la consommation inutile.
76. Les seules fonctions légitimes de l'argent sont celles d'un moyen d'échange et d'une réserve de richesse. L'usure (intérêts), à n'importe quel pourcentage, est un crime grave, qui ne doit pas être toléré.
77. Une nation avec une aristocratie d'argent, d'avocats et de marchands, deviendra une tyrannie.
78. La façon la plus simple de décrire un système usuraire, centrée sur la banque, est la suivante : les banquiers demandent la propriété de la Nation comme caution pour leurs prêts. Avec les intérêts, d'avantage d'argent leur est donné qu'il n'en ont créé avec les prêts. Donc, finalement, les banquiers contrôlent la Nation.
79. L'usure (les intérêts), l'inflation, l'oppression fiscale, sont des vols hypocrites et détruisent la structure morale de la Nation.
80. Les richesses obtenues sans sacrifice ni travail honnête seront, en général, mal employées.
81. Rien dans la Nature n'est statique ; soit la force augmente et croît, soit elle dégénère et meurt.
82. Le respect se gagne : il n'est ni exigible, ni acquis.
83. Evitez l'homme querelleur, car son venin empoisonnera votre propre nature.
84. L'auto-discipline est la marque d'un homme supérieur.
85. La mesure d'un homme est la bonne humeur dans l'adversité.
86. Un sot juge les autres sur leurs paroles. Un homme sage les juge sur leurs actes et leur accomplissement.
87. Dans nos relations et nos interventions, comme partout dans la Nature, chaque action produit une réaction. Ce que nous plantons sera récolté - et, si ce n'est par nous, ce sera par d'autres.
88. Voici les Signes incontestables que la Nation est mourante. Si vous observez l'un d'entre eux, vos gardiens sont des traîtres :

1) Métissage et destruction de la race fondatrice.
2) Destruction des unités familiales.
3) Oppression fiscale.
4) Corruption du Droit.
5) Persécution et répression contre ceux qui mettent en garde la Nation contre ses erreurs.
6) Immoralité : drogues, ivrognerie, etc.
7) Infanticide (aujourd'hui appelé avortement).
8) Destruction de la valeur de l'argent (inflation et usure).
9) Etrangers dans le pays, culture étrangère.
10) Matérialisme.
11) Guerres à l'étranger.
12) Gardiens (chefs) qui recherchent les richesses et la gloire.
13) Homosexualité.
14) Religion non-basée sur la Loi Naturelle.

Nous devons préserver l'existence de notre peuple et l'avenir des enfants Blancs.
Car la beauté de la femme aryenne blanche ne doit pas disparaître de la terre.


The Collection of Works of David Lane - www.davidlane1488.com

Sunday 11 March 2012

Ian Burrows - La nature comestible

http://www.the-savoisien.com/blog/public/img17/Burrows_Ian_-_La_nature_comestible.jpg
Ian Burrows - La nature comestible
Fruits Graines Fleurs Légumes Herbes Racines Algues Champignons

Les plantes et champignons comestibles sont partout auteur de nous - jardins. champs, haies, forets et bois, ainsi que landes, montagnes et cotes. Pour nos ancêtres chasseurs-cueilleurs, ces ressources abondantes, dont les vertus alimentaires et médicinales sont connues depuis des temps immémoriaux, étaient vitales. Gouter aux aliments sauvages les plantes et les champignons que nos aïeux consommaient poussent toujours dans la nature, où ils attendent d’être cueillis et goutés. Ils sont en général plus robustes et plus résistants aux maladies que leurs cousins cultivés ; ils offrent en outre davantage de saveur et sont plus formes et plus croquants. Bien entendu, nous avons une certaine crainte, bien compréhensible, vis-a-vis d'une bonne partie de ces baies. racines. verdures et champignons sauvages: ne sont-ils pas toxiques? Eh bien non! La plupart sont en effet comestibles. Dans cet ouvrage, nous en donnons de nombreux exemples, avec description et illustration - et nous décrivons en outre, sans les illustrer, beaucoup de cousins germains de certains champignons comestibles.
Par ailleurs, nous fournissons une description des quelques plantes et champignons non comestibles ou toxiques. et en particulier de ceux qui ressemblent aux variétés récoltées, pour vous éviter toute confusion. Notre société moderne nous procure une auto- suffisance alimentaire presque totale. Pour ceux qui veulent découvrir de nouvelles saveurs el des aliments entièrement naturels et non transformes, les plantes sauvages représentent cependant une merveilleuse aventure. En outre, leur cueillette ajoute beaucoup d’intérêt aux promenades et aux excursions dans la campagne. Quel plaisir, en effet, que de reconnaitre ses premières morilles sauvages et de les déguster avec des amis. ou de récolter cinq variétés de feuilles pour préparer une salade telle qu'on en trouve dans les restaurants les plus huppes ! Vous pouvez aussi cueillir un bouquet de salicorne, qui accompagnera des fruits de mer, et de la bette maritime, pour un déjeuner très iode. Et vous donnerez une âme a votre petit déjeuner en l'agrémentant de quelques fruits sauvages.
Tout cela est gratuit, délicieux et plein d'arômes sauvages et oubliés. Vous trouverez tout vous-même, avec l'aide de ce livre.

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George Lincoln Rockwell


George Lincoln Rockwell

I don't believe for one minute that any 6 000 000 jews were exterminated by Hitler. It never happened. The photographys you've seen passed off as pictures of dead jews are frauds, pure and simple.

George Lincoln Rockwell (né le 9 mars 1918 et mort assassiné le 25 août 1967) était le leader du parti Nazi américain dans les années 1960.
Ancien militaire devenu photographe de publicité, il fonda en 1959 le Parti américain nazi, dont il fut le chef jusqu'à son assassinat. Engagé dans la campagne pour l'élection présidentielle américaine de 1968, Rockwell avait élaboré un programme qui reposait sur le révisionnisme et l'anti-hébraïsme; mais aussi sur le racialisme et l'ethno-différentialisme.

Saturday 10 March 2012

Savitri Devi - Souvenirs et réflexions d'une aryenne

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Savitri Devi - Souvenirs et réflexions d'une aryenne

Dans la préface qu’il a écrite pour la première Edit. française des “Tischgespräche” attribués à Adolf Hitler, et publiés sous le titre de “Libres propos sur la Guerre et la Paix”, le comte Robert d’Harcourt rappelle que le Führer “aimait les bêtes” et qu’il a, en particulier, “écrit des pages d’une fraîcheur charmante sur les chiens”. L’académicien français met ce trait de caractère et ce fait en parallèle avec le cynisme du Chef d’État, aux yeux de qui la sagesse politique était “en raison inverse de l’humanité”, “Humanité envers les bêtes”, dit-il encore ; “bestialité envers les hommes — nous avons connu ce mystère de coexistence”. Et il ajoute que ceux qui, dans les camps de concentration allemands, envoyaient leurs victimes aux chambres à gaz, “étaient les mêmes qui pansaient, avec des délicatesses d’infirmière, la patte d’un chien blessé”.
J’ajouterai, moi, à ces remarques d’un adversaire de l’Hitlérisme, tout ce que le Führer a fait pour l’animal (et l’arbre lui-même), dans l’esprit de l’immémoriale conception aryenne du monde : l’interdiction des trappes, ainsi que de la chasse à courre, et la restriction de la chasse, quelle qu’elle fût, dans toute la mesure où cela était encore possible dans la société allemande : la suppression de la vivisection, — cette honte de l’homme — ainsi que de toutes les atrocités connectées avec l’abattage des bêtes de boucherie. L’usage du pistolet automatique était obligatoire dans tous les cas, y compris celui des porcs, et j’ai rencontré en Allemagne une paysanne qui m’a assuré avoir purgé une peine de quatre ans dans un camp de concentration, pour avoir tué un cochon au couteau, (par ladrerie pour ne pas avoir à payer l’homme auquel elle aurait dû confier l’abattage “sans douleur” de la bête). J’ajouterai que, lui-même végétarien, Adolf Hitler rêvait, en procédant par étapes, “après la guerre”, de supprimer complètement l’horrible industrie des abattoirs, même “humanisés”, il l’a, en particulier, déclaré à J. Goebbels, le 26 Avril 1942. Mais, bien loin de me choquer par leur “contraste” avec toutes les mesures d’exception prises contre des êtres humains tenus pour actuellement ou potentiellement dangereux, ces lois et ces projets m’apparaissent, à moi, comme une des gloires du Troisième Reich, et une raison de plus pour être fière de ma foi hitlérienne.
La Comte Robert d’Harcourt représente, lui, “l’opinion publique” de l’Occident en général, tant chrétien que rationaliste. Son point de vue est celui de tous ceux qui nous ont combattus, et même d’une partie de ceux qui ont collaboré avec nous, — collaboré pour des raisons étroitement politiques, malgré notre “négation de l’homme”, non pas à cause d’elle, au nom d’une échelle commune de valeurs.
On nous reproche de “nier l’homme” en placent le dernier des animaux sains, la moindre plante saine — le dernier des pissenlits, parfait, lui, à son niveau, — au-dessus du déchet humain, du débile mental, à fortiori de l’idiot, et l’aristocratie animale ou végétale, au-dessus de l’Untermensch, même apparemment “normal” ; de l’être humain sans race et sans caractère, pétri de suffisance et de lâcheté ; mesquin ; incapable de penser par lui-même, et essentiellement égoïste. On nous reproche de préconiser la suppression physique des déments, des “retardés profonds”, des idiots et des monstres qui, aux frais des contribuables, encombrent les asiles des pays “civilisés”, et la stérilisation des gens affligés d’une hérédité dangereuse. On nous reproche, peut-être plus que tout, d’avoir permis à des physiologues et médecins allemands d’expérimenter sur des êtres humains ennemis du Reich, tirés des camps de concentration, — alors qu’il leur était défendu de se servir de bêtes ; en d’autres termes, d’avoir eu plus d’égards pour l’animal que pour l’ennemi idéologique actuel, voire même potentiel. C’est à cela, surtout, que pensent le plus grand nombre de nos adversaires, farcis de propagande “dénazifiante” pendant plus de vingt-cinq ans, quand ils déclarent que nous “nions l’homme”.
Il s’agirait d’abord de s’entendre sur la connotation (et partant, sur la dénotation) de ce concept d’ “homme”, duquel on fait tant de cas. C’est, apparemment, la connotation qu’ils lui prêtent, qui intéresse le plus nos détracteurs. Ils appellent “homme” tout primate à station verticale, capable de langage articulé, auquel ils ‘attribuent automatiquement “la raison” et, de plus, — s’ils sont Chrétiens — “une âme immortelle créée à l’image de Dieu”. Mais ce sont la station verticale et le langage articulé — traits qui sautent aux yeux — qui renseignent, semble-t-il, ces amis de l’homme, sur la présence (moins évidente) des autres caractères, dont l’objet de leur sollicitude serait, selon eux, pourvu. En conséquence : le cas qu’ils font de tous les vivants qui présentent ces deux traits distinctifs — que dis-je ? Voire même de ceux, qui en sont totalement privés mais qui possèdent la forme humaine… . car nos adversaires placent l’idiot au-dessus de la plus belle des bêtes ! On voit, ici, une fois de plus, combien il est vrai que la dénotation d’un concept est en raison inverse de sa connotation. Ce qui, au fond, donne à nos adversaires l’impression persistante que nous “nions l’homme”, c’est que nous sommes beaucoup plus exigeants qu’eux quant à la connotation de ce terme, et que, partant, sa dénotation, à nos yeux, se rétrécit d’autant. Il ne nous suffit pas, en effet, pour accorder à un primate le nom d’homme, et le respect qui y est attaché dans les langues cultivées, que cette créature se tienne de préférence sur ses pattes de derrière, et soit capable d’émettre des sons articulés ayant, pour elle et pour d’autres, un sens. Il ne nous suffit pas, à plus forte raison, qu’elle ait, sans même présenter ces deux caractères, une silhouette vaguement semblable à celle de l’un d’entre nous. Nous voulons qu’elle possède ce minimum d’intelligence qui lui permettra de penser par elle-même, et ce minimum de noblesse qui la rendra incapable de certaines réactions devant l’obstacle, inaccessible à certaines “tentations”, imperméable à certaines influences avilissantes, et à fortiori incapable d’actes mesquins ou lâches ; d’actes laids. Nous voulons bien, sinon “aimer”, du moins respecter “tous les hommes” au même titre que nous respectons tous les beaux êtres vivants, animaux et plantes, dans lesquels nous sentons des reflets plus ou moins atténués du Divin, — de l’éternel. Mais pour cela, il faut qu’il s’agisse bien d’ “hommes”, au sens fort du mot. Nous sommes, prêts à respecter, en tant qu’individus, jusqu’aux gens, adversaires idéologiques, voire même ennemis de race, que nous avons : combattus collectivement hier, et que nous combattrons encore demain, — à les respecter si, pris à part, ils répondent à ce que-nous attendons de “l’homme” : s’ils allient, à une intelligence non-asservie, les qualités de caractère qui distinguent (statistiquement) les races que j’appelle supérieures — et d’abord, bien sûr, notre race aryenne — et même l’individu exceptionnellement noble des races statistiquement inférieures. Cela ne nous empêchera pas de les combattre, s’ils sont idéologiquement dangereux ; d’autant plus dangereux qu’ils ont plus de valeur intrinsèque. En d’autres termes, nous respectons comme “hommes” les gens qui, s’ils ne sont, idéologiquement, déjà des nôtres, seraient, à nos yeux, dignes de le devenir.

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Savitri Devi - Impeachment of Man




Savitri Devi - Impeachment of Man


Ritual Slaughter of Animals
The ritual slaughter of animals is closely connected with flesh eating in the countries where it still prevails. Apart from that, it has played, in the formation of man’s religious psychology, too great a part for us not to devote a few pages to it.
The practice is now far less universal than it was once, and in Christian countries it is generally looked upon as one of the basest expressions of primitive superstition. There is, for instance, hardly a book written to defend the “civilizing” role of the white man in India, which does not give publicity to that gruesome side of Hindu religion, through some bloodcurdling description of the sacrifices regularly performed in the temple of the goddess Kali, at Kalighat, Calcutta.
We are surely the last people to support animal sacrifices, and yet we cannot but marvel at the inconsistency of those “sahibs” (and also of a certain number of “reformed” Hindus), who are horrified at the idea of what goes on at Kalighat, while they themselves are flesh eaters and — what is worse — flesh eaters not only in England or in Germany, or in the Scandinavian countries (where the animals are at least killed as quickly and painlessly as possible) but in India. They object to the goats having their heads cut off in one stroke at Kalighat, but see no harm in eating, in any of Calcutta’s European restaurants, the flesh of quadrupeds or birds killed in the most revolting fashion in the slaughterhouses or in the New Market, or in the yard behind the kitchen of the place, by men who feel bound by no ritual rules and just do not care what the creatures suffer. This is done in the name of man’s greed. And, in the eyes of many modern people, atrocities become really objectionable only when they take place in the name of the Gods.
And yet, what an amount of theology, inseparable from the primitive ideas attached to ritual slaughter, survives in some of the modern religions! To all those who are genuinely horrified at blood sacrifices while professing to be Christians, we would like to point out that the whole structure of their faith rests upon the dogma of atonement for sin through the shedding of innocent blood. True, the blood was shed once and for all, and it has to be that of a man — or rather of a God — the blood of ordinary cattle not being, we suppose, powerful enough to whitewash sinful humanity. And at the ritual meal, bread and wine are served to the faithful — apparently at least — in place of real flesh and blood. Still it remains a fact that, under all the elaborate symbolism that hides it in the Christian Church, lies the prehistoric belief in the necessity of propitiating an angry God with blood other than that of the sinner himself. It remains true that, at the back of the Christian sacrament of Holy Communion, lies the immemorial custom of partaking of the victim’s flesh in a ritual meal. Theologians, of course, will say that even the most repulsive ancient customs contained some kernel of heavenly knowledge; that the sacrifices of the Jews foreshadowed the supreme oblation of the Cross, and that even those of the Heathen (including their occasional human sacrifices) betrayed the unconscious yearning of humanity for salvation through the blood of Christ, one day to be shed. But many unprejudiced students of history and ethnology are tempted to reverse the statement and to see in the basic dogma of Christianity a survival of the primitive belief in atonement for sin through the shedding of innocent blood, and, in the rite of Holy Communion, the symbolical survival of a cannibalistic feast.
However, we do admit that, whatever be the superstition that pretends to justify it, the ritual slaughter of any living victim is pretty gruesome and that, if it can possibly be replaced by symbolical sacrifices, or suppressed altogether, so much the better — provided this does not give rise, in practice to a worse slate of affairs than before.
But our little experience in a country where ritual slaughter and agitation against it are equally common, as well as our little knowledge of the past, in countries where the custom is now obsolete, make us, unfortunately, very pessimistic.
As we have pointed out in a preceding chapter, people who believe in Christ as the one victim offered in oblation for the sins of the world, and who accept the Bible as it is written, should logically be vegetarians. For the Jewish Law (which the Messiah came to fulfill and not to abolish) plainly condemns all slaughter of animals save for sacrificial purposes.1 Yet, the suppression of ritual slaughter among Christians has only had, as a result, an enormous increase in the number of animals slaughtered for man’s food alone. The scruples attached to the murder of a beast when the latter was not a sacrificial victim — scruples obviously shared by some of the first Christians, if not by Christ himself, but repudiated by Paul of Tarsus — were rejected altogether. And the killing of oxen, goats and sheep for purely commercial purposes, instead of taking place secretly (and relatively rarely, as crime generally does), became, with the sanction of the Church, a widespread institution — according to us, one of the dishonoring features of Christendom. And the pig, regarded as unclean and therefore spared by the compatriot of Jesus, was shamelessly added to the list of edible beasts on the authority of a text relating Peter’s famous dream and quoting alleged heavenly words according to which nothing that God has made is “impure” and unfit to eat.
Curiously enough, what happened in early Christendom is happening to-day, at a distance of eighteen centuries or more, among many of those “reformed” Hindus who reject the very idea of animal-sacrifices at a barbaric practice while tolerating the slaughter of the same and of other beasts for man’s food.
The Arya Samajists,2 the most eloquent opponents of ritual slaughter in modern India, are, we admit, strict vegetarians as a rule. But their sect draws its origin from a province Punjab — where, for centuries, the habit of offering living sacrifices never has been prominent and where practically all Brahmins, at least, just shrink at the idea of flesh eating. But in Bengal, the worship of the Mother Goddess with all the traditional ritual slaughter attached to it always was widespread, even among the highest castes of Hindudom. And the members of the Brahmo Samaj — the oldest of the reformed Hindu sects of the last century — shrink at the thought of blood sacrifices, but have unfortunately no scruples at all about eating meat. In the early days of the sect, some of them even rather gloried in that repulsive habit, as in an unmistakable sign of freedom from widely accepted custom and immemorial “prejudice.” It seems to have been one of their ways of making themselves different from non-reformed Hindus, for the sheer sake of being different. And up to this day — strange as it may appear — while blood sacrifices are looked upon in Brahmo Samajist circles as horrid remnants of ages of superstition (and rightly so), there has been no agitation worth mentioning against the still more shocking custom of breeding animals to be slaughtered for man’s food.
To think of this attitude of self-styled “progressive” men is enough to generate in one’s heart a profound disgust for mankind at large, and a no less profound contempt for European education applied to Easterners of Hindu (or Buddhist) tradition — or, by the way, for any type of foreign education applied to people on a broad scale, which only makes them worse instead of better.
One realizes that people would be brought gradually to give up their customary atrocities, through a series of more and more evolved interpretations of some of the most tenacious of their own old beliefs -if necessary, through an intelligent regulation of their oldest customs rooted in “superstition.” One realizes that the newly Christianized (that is to say, Judaized) Greeks and Romans, and the people of Northern Europe, centuries later, behaved much like the nineteenth century newly Europeanized Indians. They shook off old customs which possibly were bad enough to take on a new outlook which implied a much worse one. In particular, as regards animals, they threw off the last shame they had about the act of eating non-sacrificial meat, and replaced the age-old institution of ritual slaughter (based on belief in magic and on superstitious fears) by the still more revolting practice of killing creatures just for the sake of greed, independently of religion. It became a crime to eat flesh only in the case if the latter had been offered up to the “idols.” But in all other cases it became rather commendable. Only out and out ascetics were expected to abstain from doing so, and that merely in order to mortify their own bodies, not from any feeling of mercy towards living creatures.
The result (in both cases) was a regression, not a progress, in real civilization; a lowering of men’s moral standards.
The number of animals sacrificed to man’s greed — whether in the ancient world or in modern India — grew altogether out of proportion with that of the victims once offered up to angry Gods as a primitive means of propitiation. And (what is as bad, if not worse) the creatures, instead of being slaughtered in a definite manner, prescribed once and for all by the ritual (which, among the “Shakta” Hindus of Bengal, at least, implied a minimum of suffering for the victims, whose heads had to be cut off at one stroke) were killed anyhow, the horror and length of their agony depending solely upon the greater or lesser skill of the slaughterers, bound by no laws at all, and, sometimes, upon their inborn sadism or lack of sadism.
One might think that this occurred only whenever a religion prescribing or tolerating blood sacrifices was superceded by a new one which implied no teaching at all as regards man’s behaviour towards creatures, or at least which did not stress universal kindness. But it is a fact — though admittedly a baffling one — that populations, among which a religion such as Buddhism replaced others, of the ritual of which animal slaughter was a more or less common feature, very quickly reverted to meat eating (or fish eating) if they ever had given up that practice at all. This is the case of the Buddhist section of the population in China, Japan, Burma, Ceylon and India.
Admittedly the Buddhist vegetarians of the Far East are the most strict vegetarians on earth (more strict even than the Indian ones, which is saying much). But they comprise, apart from the monks, only a very small percentage of the people who profess to take refuge “in the Buddha, in the Law, and in the Community of the Faithful.” Proportionally far more animals, killed in the slaughterhouses, are daily eaten by so-called Buddhists in Ceylon, and in the Chittagong district of Bengal — the last Buddhist spot in India — than are consumed by “Shakta” Hindus, who eat only sacrificial meat, and that, merely on certain religious occasions. Never was a vegetarian diet forced on a whole country in the name of Buddhism (or of any other life-centered creed) save in India, during the last part of the reign of good King Asoka, and, occasionally, for short periods, in Japan. And when this took place, it was always as the result of a decree expressing the sweet will of an absolute monarch. Also, at least in the case of Asoka, the new and better order was established gradually, a certain number of animals being slaughtered for some years, with the ruler’s permission, for the food not merely of meat-eaters in general but even of the inmates of the royal palace.
This all goes to show how difficult it is to change man’s ingrained habits, however wicked these be, even in the name of a Teaching of love as influential as Buddhism was in India, in Asoka’s days.
It is indeed no wonder that, among the sincerest followers of life-centered religions (such as are all forms of Hinduism) there are some who, still today, are prepared to tolerate the ritual slaughter of certain animals solely in order to prevent a more general, more indiscriminate, and even more gruesome slaughter outside the temple precincts, merely in the name of human greed.
We have heard that argument put forward by several Hindu “Shaktas,” in particular by one Bengali Brahmin domiciled in Assam, who appeared to me to be a sincere and consistent lover of animals. This man assured me that the only means he could imagine, at present, to avoid a crueler and more frequent slaughter of living beings, was to limit the murderous custom to ritual slaughter on certain festive days, and to confine meat eating strictly to occasional sacrificial meals. Of course he readily agreed that education, coupled with gradual reforms forwarded by religious authority, should end by rendering that primitive custom altogether obsolete and at the same time, by making a harmless diet the only conceivable one. When one considers that this applies to India — the country in which meat eating seems to have been, for centuries, far less prevalent than anywhere else, even among those people who do not condemn it — one grows more tolerant towards those religious teachers (and especially those legislators) of non-Indian Antiquity who, though themselves the expounders of definitely life — centered religions or philosophies, do not seem to have protested against the slaughter of sacrificial victims in temples, high places, and other such sacred areas.
One might not go so far as to say that all legislations regulating the ritual slaughter of animals were worked out in order to avoid indiscriminate massacres on a broader scale by greedy, flesh-eating primitive men. But we firmly believe that all teachers who, in spite of professing a definitely life-centered philosophy, accepted or tolerated the custom of ritual slaughter (or even incorporated it into the external rites of their own religion) did so in the spirit which we have just tried to explain.
We believe that the better ones among the wise men of all ancient countries where a life-centered religion prevailed were moved by such a spirit — from the “rishis” of Vedic India, who accepted as a matter of course (and even regulated) the age-old sacrifices to Indra, Lord of heaven, and to the other Aryan Gods, down to the most consistent of the Neo-Pythagoreans, Apollonius of Tyana. That sage, so keen to avoid taking advantage of the slaughter of creatures for his own food or dress; so genuinely against ritual slaughter as to refuse even to be present at a sacrifice, does not seem, however, to have raised, in his daily conversations with temple priests, such a protest against the gruesome custom as to win himself, amongst them, the reputation of a revolutionary. On the contrary, from what his biographers say, he always remained on friendly terms with the priest of the Greek Gods, whose temples were as bloodstained as any, a fact which can only be taken to imply an understanding silence on his part as regards even the barbaric aspects of their ritual. Another historical instance confirming that which we have mentioned could be found in the presence of piles of geese upon the altars of the Sun, in the City of the Horizon of the Sun Disk, the Tell-el-Amarna of modern archaeologists. No creed could be more decidedly life-centered than the Religion of the Disk, of which we have said a few words in a former chapter. And the above instance would just point out how its Founder — Akhnaton of Egypt — the unquestionable revolutionary, arch-enemy of all priestcraft, found it less impossible to suppress some of the commonest manifestations of age-old superstition than to change a country’s diet at one stroke. He might have preferred to confine killing to a sacrificial practice on very definite occasions, rather than take the risk of seeing an indiscriminate and broad scale slaughter of creatures for the sole purpose of man’s food become a habit. We cannot tell, of course, from purely archaeological evidence, if this view is the right one or not. But it has, at least, the advantage of lifting the apparent contradiction between the undeniably life-centered spirit of a beautiful cult, and the conclusions that pictorial evidence might suggest. It also tallies with what we know to be the case in many other instances, ancient and modern.
To sum up, the ritual slaughter of living creatures, so over-decried today in a world that accepts and even encourages far more shocking institutions, can be looked upon from two entirely different angles: either as a traditional — magical — means of propitiating angry Gods, or, as a practical means of avoiding a greater and crueler slaughter of animals outside religious enclosures, and openly in the name of man’s greed. Only very primitive people can possibly consider it in the first manner.
In all cases in which, though still accepted or tolerated as a part of the public cult, it obviously does not correspond to such a barbaric theology — wherever such a theology is decidedly out of keeping with the spirit of the religion itself — ritual slaughter is to be interpreted in the second manner, whether today, in modern India, or centuries ago, in the temples of the Ancient World. In particular, we feel sure that this was the meaning of it in the eyes of the best men of Antiquity, upholders of life-centered forms of religion, whether Sun worship or any other.
But there is every reason for one to agitate against the gruesome custom wherever and whenever it can possibly be suppressed without greater cruelties to animals consequently taking place. In particular, in all technically well-equipped countries, in which animals are killed for man’s food by such means as the “humane killer,” the survival of the horrid “kosher” slaughter or of any other barbarous form of ritual killing is a shocking concession to obsolete superstition, to be stamped out ruthlessly, and without consideration for “religious freedom” — one is never free to inflict pain upon animals, Nor can we praise too highly the efforts of all such enlightened Indians who consider it to be time for their compatriots to realize at last that slaughter of innocent creatures is always to be condemned, even if taking place under the cover of age-old religious rites.

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Friday 9 March 2012

Ernst Hiemer - Le Champignon Vénéneux

http://www.the-savoisien.com/blog/public/img16/juif_champignon_veneneux.jpg

Ernst Hiemer - Le Champignon Vénéneux
Histoires de Hernst Hiemer - Illustrations de Flyps

http://www.the-savoisien.com/blog/public/img13/sale_youtre_putride.png
Comment les Juifs torturent les animaux

L'animal est tombé encore une fois par terre. Il est mort lentement. Les juifs se tenaient debout et riaient.

Dans cette histoire deux garçons, Kurt et Otto, vont à un abattoir juif et se cachent pour observer les juifs en train de tuer une vache. Le processus pour attacher la vache et l'exécution elle-même sont décrits, exprimant une brutalité impitoyable et la réjouissance des bouchers juifs.
Quatre juifs maintiennent la vache à terre tandis que son cou est tranché.
Les juifs se tiennent là et - rient.
A la fin, Otto dit :
- Kurt, maintenant je te crois. Les juifs sont les personnes les plus cruelles du monde.
Kurt répond :
- Oui, les juifs sont un peuple meurtrier. Avec la même brutalité et la même soif de sang ils tuent les animaux aussi bien que les gens. N'as-tu jamais entendu parler des meurtres rituels ? En de telles occasions les juifs tuent des garçons et des filles, des hommes et des femmes. Depuis le début les juifs ont été des meurtriers. Ce sont des diables sous forme humaine. Il y a un dicton qui dit :

La colère, la jalousie, la haine, la rage, sont dans le sang du juif, envers chaque peuple sur Terre qui n'appartient pas aux élus.
Il tue animaux et hommes, sa soif de sang ne connaît aucune limite. Le monde ne pourra seulement se remettre que lorsqu'il se serra débarrassé du juif.

http://www.the-savoisien.com/blog/public/img16/juif_champignon.png
Tout comme il est souvent difficile de dire qu’un champignon est comestible, il est souvent très difficile de reconnaître le Juif en tant qu’escroc et criminel. Une mère et son jeune garçon cueillent des champignons dans la forêt allemande. Le garçon en trouve certains de vénéneux. La mère explique qu’il existe des champignons comestibles mais que d’autres sont empoisonnés, et, en rentrant à la maison, elle dit :

- Regarde, Franz, les êtres humains dans ce monde sont comme les champignons dans la forêt. Il y a de bons champignons, et de bonnes personnes. Il y a de mauvais champignons, qui sont vénéneux, et il y a de mauvaises personnes. Et nous devons être sur nos gardes à l’égard de ces mauvaises personnes autant que nous devons l'être à propos des mauvais champignons. Comprends-tu cela ?
- Oui, Mère, répond Franz. Je comprends qu'en fréquentant de mauvaises personnes des problèmes peuvent survenir, juste comme lorsque l’on mange un champignon vénéneux. On peut même en mourir !
- Et sais-tu, également, qui sont ces mauvais hommes, ces champignons vénéneux de l'Humanité ? Poursuit la mère.
Franz claque sur sa poitrine avec fierté : Bien sûr que je le sais, Mère ! Ce sont les Juifs ! Notre professeur nous a souvent parlé d'eux.
La mère loue son garçon pour son intelligence et continue en lui expliquant les différentes sortes de Juifs vénéneux : Le Juif colporteur, le Juif marchand de bétail, le boucher casher, le médecin juif, le Juif baptisé, et ainsi de suite. Parfois, ils se déguisent, et essayent de paraître amicaux, affirmant mille fois leurs bonnes intentions envers nous. Ils sont juifs et juifs ils restent. Pour notre peuple, ils sont du poison.
- Semblables à un champignon vénéneux ! dit Franz.
- Oui, mon enfant ! Tout comme un simple champignon vénéneux peut tuer toute une famille, un Juif solitaire peut détruire un village entier, une ville entière, même un peuple entier. Franz a compris.
- Dis-moi, mère : Tous les non-Juifs savent-ils que le Juif est un dangereux et vénéneux champignon ?
La mère secoue sa tête.
- Malheureusement non, mon enfant. Il y a des millions de non-Juifs qui ignorent encore qui sont les Juifs. Aussi devons-nous éclairer les gens et les avertir au sujet des Juifs. Notre jeune peuple, lui aussi, doit être prévenu. Nos garçons et nos filles doivent apprendre à connaître le Juif. Ils doivent apprendre que le Juif est le plus dangereux champignon vénéneux dans la vie. Pareillement aux champignons vénéneux qui poussent partout, le Juif se trouve dans chaque pays du monde. Tout comme les champignons vénéneux conduisent souvent à la plus épouvantable calamité, le Juif est la cause de la misère et de la souffrance, de la maladie et de la mort.

Les jeunes allemands doivent apprendre à reconnaître le champignon juif vénéneux. Ils doivent apprendre quel danger est le Juif pour le peuple allemand et le monde entier. Ils doivent apprendre que le problème juif concerne la destinée de nous tous. Les récits suivants disent la vérité au sujet du champignon juif vénéneux. Ils montrent les nombreuses formes prises par le Juif. Ils montrent la dépravation et la bassesse de la race juive.
Ils montrent le Juif tel qu’il est vraiment : Le Diable sous forme humaine.

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The Poisonous Mushroom

Thursday 8 March 2012

Sean O'Callaghan - To Hell or Barbados


Sean O'Callaghan - To Hell or Barbados
The ethnic cleansing of Ireland

Here's a wonderful resource on the real side of White Slavery that nobody knows about and no PC history textbooks can dare write about.


Between 1652 and 1659 over 50,000 Irish men, women and children were transported to Barbados and Virginia. Yet until now there has been no account of what became of them.
The author's search began in the library of the Barbados Museum and Historical Society and its files on Irish slaves. Sean O'Callaghan for the first time documents the history of these people: their transportation, the conditions in which they lived on plantations as slaves or servants, and their rebellions in Barbados.
"An illuminating insight into a neglected episode in Irish history, but its significance is much broader than that. Its main achievement is to situate the story of colonialism in Ireland in the much larger context of world-wide European imperialism." IRISH WORLD

"A fascinating read." SUNDAY TRIBUNE
"Essential reading." IRISH EXAMINER



The previously untold story of over 50,000 Irish men, women and children who were transported to Barbados and Virginia. Sean O'Callaghan for the first time documents the history of these people: their transportation, the conditions in which they lived on plantations as slaves or servants, and their rebellions in Barbados. "An illuminating insight into a neglected episode in Irish history, but its significance is much broader than that. Its main achievement is to situate the story of colonialism in Ireland in the much larger context of worldwide European imperialism. O'Callaghan's description of seventeenth century Barbados is a powerful portrait of a society as brutal, corrupt and unjust as anything the twentieth century has to offer. Yet it is precisely societies like colonial Barbados and Virginia which lie at the root of our modern world. That is why To Hell or Barbados is such a valuable book." IRISH WORLD

Wednesday 7 March 2012

David Duke - Youtube Backup - Anglais


Sauvegarde complète HD de la chaine youtube de David Duke.
Mars 2012, Anglais.

Duke David - A Warning to the Muslim World by David Duke
Duke David - Affirmative Action is Racist
Duke David - Affirmative Action is Racist New Edition
Duke David - Black Panthers Obama and White Civil Rights
Duke David - Bombs Body Scans and Israel
Duke David - Civil Rights for White People
Duke David - David Duke for President It s up to You
Duke David - David Duke Part 1 Heart to Heart
Duke David - David Duke Part 2 Heart to Heart
Duke David - David Duke Speaks to the Tea Party
Duke David - David Duke Wishes You a White Christmas
Duke David - Do Jews Control the Media The LA Times Says Yes
Duke David - Do Zionists Control Wall Street The Shocking Facts
Duke David - Expose Senator Schumer and Israeli Terrorism
Duke David - For Love of My People 1 - David Duke Interview
Duke David - For Love of My People 2 - David Duke Interview
Duke David - For Love of My People 3 - David Duke Interview
Duke David - For Love of My People 4 - David Duke Interview
Duke David - Freud Zionism and Sexual Revolution
Duke David - Hanukkah Hypocrisy 1 David Duke
Duke David - Hanukkah Hypocrisy 2 David Duke
Duke David - Hollywood Basterds by David Duke
Duke David - How Nations Die
Duke David - How Zionists Divide and Conquer
Duke David - Human Diversity - 1 of 3 - Breaking the Taboo
Duke David - Human Diversity - 2 of 3 - Science Breaks the Taboo
Duke David - Human Diversity - 3 Human Biodiversity and Peace
Duke David - Israel Betrays America into War with Iran
Duke David - Israel The Promised Land for Organized Crime - 1
Duke David - Israel The Promised Land for Organized Crime - 2
Duke David - Israel The Promised Land for Organized Crime - 3
Duke David - Israeli Terrorism Against America
Duke David - Mubarak and the Fall of the Zionist Running Dogs
Duke David - No War for Israel in Iran - Keep Americans Safe
Duke David - No War for Israel in Syria and Iran
Duke David - Occupy Zionist Wall Street by David Duke
Duke David - Oliver Stone Apologizes for Truth
Duke David - Purim II Promoting Genocide
Duke David - Race is More than Skin Color
Duke David - Racism Rand Paul and Rachel Maddow
Duke David - Rape and Reality in America
Duke David - Sex and Lies in Israel - By Dr. David Duke
Duke David - Shoe Bombers crotch bombers 9 11 and Israel
Duke David - Should Christians Support Israel
Duke David - Stop the Genocide of European Mankind David Duke
Duke David - The Chosen Criminal Elite
Duke David - The Coverup of Zionist Organized Crime
Duke David - The Dynamics of the Jewish Elite updated
Duke David - The Insanity of Christian Zionism
Duke David - The Little Bank that Saved Christmas
Duke David - The Real Rogue Nuclear State
Duke David - The Shocking Jewish Role in Slavery Part I What Jewish Historians Say
Duke David - The Shocking Jewish Role in Slavery Part II The Media Coverup
Duke David - The War on Christmas - New HD version
Duke David - The War on Christmas - Old version
Duke David - The Zionist Matrix of Power HD
Duke David - The Zionist Matrix of Power in America
Duke David - The Zionist War on Free Speech
Duke David - The Zionist War on Freedom of Speech
Duke David - Top Rabbi Exposes Jewish Racism
Duke David - War is Good - Obama Nobel Peace Prize Speech
Duke David - Who Taught America to Torture
Duke David - Wicked Witch Osama and Wizard Obama
Duke David - Will Israel Assassinate Obama
Duke David - Will the White Race Survive
Duke David - Zionist Running Dog Obama and the UN Veto
Duke David - Zionist Strauss-Kahn Evades Justice Again
Duke David - Zionist Terrorism in Norway

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Tuesday 6 March 2012

Dr. William Luther Pierce reloaded




Aldebaran Video
Archive.org



Dr William Pierce - Allied Atrocities
Dr William Pierce - Black Inventors
Dr William Pierce - Child-Pornography Exclusively a Jewish Business
Dr William Pierce - Cult of Equality 1 - 2
Dr William Pierce - Cult of Equality 2 - 2
Dr William Pierce - Day of Infamy Attack on The USS Liberty
Dr William Pierce - Fable of the scorpion and the frog
Dr William Pierce - Gullible goyim
Dr William Pierce - History of Everything
Dr William Pierce - How World War II Started - New Updated Version
Dr William Pierce - How WW2 started - V1
Dr William Pierce - Les Nouveaux Protocoles
Dr William Pierce - Our Revolutionary Right
Dr William Pierce - Patriots vs Jews
Dr William Pierce - Returning Fire Pt1
Dr William Pierce - Returning Fire Pt2
Dr William Pierce - Returning Fire Pt3
Dr William Pierce - Slavic women forced into Prostitution by Jews
Dr William Pierce - speaks to the National Alliance - 1996
Dr William Pierce - The Butchering of Ukraine 1of2
Dr William Pierce - The Butchering of Ukraine 2of2
Dr William Pierce - The Destruction of Our World
Dr William Pierce - The Holocaust Shakedown
Dr William Pierce - The Jewish Stake in Third World Immigration
Dr William Pierce - The Jews are Our Misfortune
Dr William Pierce - The Lesson of Haiti
Dr William Pierce - The Protocols of the Learned Elders of Zion - 720
Dr William Pierce - The Protocols of the Learned Elders of Zion VOSTFR
Dr William Pierce - The Sexual Exploitation of White Children
Dr William Pierce - The Sexual Exploitation of White Girls by the Jews
Dr William Pierce - We are all the Same Race
Dr William Pierce - Whats important in your life
Dr William Pierce - White Slave Trade in Israel
Dr William Pierce - Who really started the second world war
Dr William Pierce - Why Marriages Fail
Dr William Pierce - Why the Jews Are Hated
Dr William Pierce - Winston Churchill exposes the Jews


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Monday 5 March 2012

Stanislav Volski - Dans le royaume de la famine et de la haine La Russie bolcheviste

Stanislav Volski - Dans le royaume de la famine et de la haine La Russie bolcheviste.jpg


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Stanislav Volski - La Russie bolcheviste
Dans le royaume de la famine et de la haine

Stanislav Volskiĭ, pseudonyme de Andrei Vladimirovich Sokolov.


Union de la régénération de la Russie. Il est vraiment très difficile de nos jours d'écrire sur le bolchevisme et en particulier d'écrire pour l'Europe Occidentale. Si l'auteur est un bolchevique, il est immédiatement discrédité par ceux qui ne partagent pas ses idées; s'il est un adversaire du bolchevisme, il est accusé de partialité par ceux qui sympathisent avec les idées communistes; s'il n'est ni l'un ni l'autre, il risque de n'être accepté ni par les uns ni par les autres en raison de son indifférence et par conséquent de son incompétence en la matière. Je me considère donc moralement obligé de rendre compte de mes titres, afin que le lecteur puisse juger par lui-même de la sûreté de mes informations. J'appartenais au parti bolcheviste pendant onze ans, ayant abandonné leurs rangs au mois de mars1917 quand le bolchevisme se détacha entièrement de la social-démocratie. Après avoir quitté le parti, je devins un des rédacteurs du journal de Gorki Novaya Gisn, jusqu'à ce qu'il fut supprimée par le gouvernement bolcheviste ; en même temps je travaillais au bureau de propagande du Conseil des députés ouvriers ci soldats de Pétrograd. Après la révolution du m.ois d'octobre 1917, je fus obligé de donner ma démission et, comme journaliste, je traversais et retraversais maintes fois la Russie. Ce livre est le résultat de mes observations personnelles à l'armée, à la campagne, dans les villes, dans les administrations bolchevistes et au cours de mes conversations particulières avec mes anciens amis bolchevistes. Mais comme on pourrait trouver partiales mes observations personnelles, j'y joints des témoignages officiels pris dans les journaux bolchevistes, que le lecteur trouvera à la fin de ce livre.


Bolchévique - PDF
Russie - PDF
Révolution - PDF


Sunday 4 March 2012

Carr William Guy - La conspiration mondiale

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Carr William Guy - La conspiration mondiale


William James Guy Carr (Commander Carr) (né le 2 juin 1895 en Angleterre et mort le 2 octobre 1959 en Ontario), sous-marinier anglais lors de la Première Guerre mondiale, puis commandant de la Marine royale canadienne (RCN) et membre des services de renseignements canadiens. Lors de la Seconde Guerre mondiale, il s'occupe de l'aspect financier de la mobilisation de 22 divisions dans l'armée canadienne.


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Saturday 3 March 2012

David Duke reloaded VOSTFR

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David Duke vidéos FR

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Le site de David Duke
Sauvegardez les vidéos de sa chaine youtube ! We Need Your Help to Keep Dr. Duke's Videos on the Internet! The Zionists can't stand the fact that over 90 percent of the millions of people who watch them -- agree with them! We need funds for our legal efforts and ongoing work to make sure these vital videos keep going out to millions of people.

Friday 2 March 2012

Citations juives



Vidéo qui circule sous le titre Une escroquerie de 4000 ans. Vidéo qui est systématiquement supprimée alors qu'elle ne contient que des citations juives.

Gardez à l'esprit que ces citations ne proviennent pas de sources traitant des juifs, mais des juifs eux-mêmes.

Télécharger la vidéo
Historique de censure



"En soumettant la conscience des races noirs à l'idée qu'ils ont été oppressés par les blancs depuis des siècles, nous les préparerons au programme du partis communiste. Tout en enflammant la minorité nègre contre les blancs, nous inculquerons aux blancs la culpabilité pour leurs exploitation des nègres. Nous aiderons les nègres à atteindre le sommet dans le monde du sport et du divertissement. Grâce à ce prestige, le nègre pourra se métisser avec les blancs, lançant un processus qui livrera l'Amérique à notre cause."
Israël Cohen

"Continuons à accabler les mâles blancs morts, les vivants aussi et les femelles aussi, jusqu'à ce que la construction sociale connue sous le nom de race blanche soit détruite. Pas déconstruite mais détruite."
Noël Ignatiev

Thursday 1 March 2012

Charles Fleury - La République juive




Acheter la version papier du livre
Charles Fleury - La République Juive
Ses Trahisons, Ses Gaspillages, Ses Crimes !


La République. «Ce gouvernement des pires qu'on Appelle là République».
J. LEMAITRE.
« Si la République n'est pas la liberté, je n'ai que faire de la République».
H. MARET.
« Si le monde était gouverné par des athées, il vaudrait autant être sous l'empire immédiat de ces êtres infernaux qu'on nous peint acharnés contre leurs victimes».
VOLTAIRE

Dans quelle catégorie ranger notre gouvernement actuel ?
Est-ce une Monarchie (royauté ou empire) ? Une aristocratie (gouvernement d'une élite) ? Ou une République démocratique (participation de tous au gouvernement) ? La réponse n'est pas si simple, car notre lamentable régime, chimère, tarasque ou monstre défiant l'imagination, comme la description, est un amalgame innommable de toutes les formes gouvernementales, et il réalise ce prodige, cette gageure, cette apparente impossibilité de réunir a la fois, et poussés à leur maximum, tous les inconvénicnls des divers régimes, sans en offrir aucun des précieux avantages.


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