March 2016

Tuesday 29 March 2016

Eugène Vallet - Un drame algérien La vérité sur les émeutes de mai 1945

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Eugène Vallet - Un drame algérien
La vérité sur les émeutes de mai 1945

En hommage ému au souvenir de ceux qui sont morts pour donner à la France le plus bel empire qui soit... E. V.

Les grandes éditions françaises, 1948.



PRO MEMORIA...
Des désordres sociaux d'une extrême gravité se sont produits en Afrique du Nord, pays français depuis cent quinze ans, au début du mois de mai 1945.
Brusquement, les Français d'Algérie se sont trouvés en présence du commencement d'exécution d'un complot de vaste envergure, s'étendant sur tout le territoire des trois départements de Constantine, Alger et Oran.
Ce complot, préparé de longue main, avait pour but de faire disparaître, par le fer et le feu, tout ce qui portait un nom français dans le pays, pour y instaurer on ne sait quelle organisation berbère, à la solde ou agissant pour le compte de puissances occultes non encore divulguées, mais s'appuyant ouvertement sur les partis extrémistes dont la France rencontre l'action destructive chaque fois qu'un conflit mondial met son existence en péril.
Il s'en est fallu d'un simple hasard que l'incendie allumé n'ait pas eu l'entier effet qui était escompté par ses auteurs :
l'anéantissement total de l’œuvre plus que séculaire édifiée par la France en Algérie, œuvre pour laquelle les étrangers eux-mêmes ont manifesté si souvent, dans le passé, leur admiration. En effet, sur deux points du territoire, Sétif et Guelma, et le jour même de la proclamation de la victoire de la civilisation sur la barbarie — ce qui est particulièrement significatif — les populations autochtones, savamment et longuement travaillées et entraînées, ont confondu préparation et exécution. Ce malentendu a faussé le point de départ du mouvement, en enlevant à l'action son caractère d'explosion générale devant prendre l'autorité au dépourvu et empêcher toute réaction efficace.
C'est ainsi qu'au lieu de se trouver en présence de près de huit millions de manifestants armés, les Français ont eu à faire face à deux foyers actifs d'insurrection, couvrant près de 6.000 kilomètres carrés, en deux régions à population très dense, où l'émeute — les constatations faites l'ont démontré — n'avait même pas l'excuse de la misère.
Presque simultanément, se sont produits sur tout le territoire, entre Bône et Saïda, c'est-à-dire sur 900 kilomètres de distance, des remous démontrant la préparation d'une action offensive qui n'était, du reste, un secret pour personne.
Car tous les Français habitant la colonie, de Nemours à La Calle, d'Alger aux confins sahariens, connaissaient le danger qui, chaque jour, s'aggravait avec une audace déconcertante. Les Pouvoirs publics, chaque jour étaient alertés, avec une insistance pressante, par des rapports de fonctionnaires, des relations de gendarmeries, des protestations d'élus, des pétitions citant des faits inquiétants ou graves, soulignant des attitudes, proclamant l'urgence des mesures à prendre pour éviter une catastrophe qui s'annonçait prochaine et dramatique.

Chaque jour, également — nous y insistons — l'opinion publique, stupéfaite et impuissante, assistait à des actes de l'autorité dont le moins qu'on puisse dire est qu'ils traduisaient une ignorance totale des devoirs qui lui incombaient, dans l'intérêt de la paix publique, de l'ordre social, de la dignité française.
C'était la protection officielle, inexplicable, dans les hautes sphères administratives, de tous les éléments hostiles à la France dans les milieux indigènes, d'hommes qui organisaient ouvertement, dans les douars et dans les villes, la révolte et le renversement de nos institutions. C'était l'humiliation de tous les hommes d'origine indigène qui étaient venus à nous, sincèrement, sans réserve, dans notre grande famille, en sollicitant, comme un honneur, la naturalisation française.
Le nombre de nos amis musulmans — en présence des vexations dont ils étaient l'objet et d'un sentiment de légitime découragement — allait s'amenuisant avec rapidité. On n'osait plus, dans la masse autochtone, s'affirmer comme ami des Français. On appréhendait des vengeances possibles, puis probables, puis certaines.
La naturalisation, dans leur statut, des indigènes algériens a porté un coup fatal à la situation morale des vieux naturalisés qui avaient tout sacrifié de leur passé pour venir à nous, sans restrictions, loyalement. Elle les a classés, en quelque sorte, dans la catégorie des réprouvés, alors que la plupart n'avaient pas renoncé à leur foi religieuse de musulmans.
Ainsi, les services rendus, les progrès accomplis, les sacrifices consentis, le labeur accumulé, le passé de protection, de relèvement économique et social, de solidarité et d'affection semblaient — par l'action de certains dirigeants ne tenant aucun compte des contingences dans lesquelles se trouve l'Afrique du Nord — devoir se retourner contre nous, au lieu de nous attirer des sympathies.

Et grâce à une propagande couverte par la censure officielle, l'opinion publique, en France, était — et reste encore — audacieusement trompée, abusée sur la situation et l'attitude des Français d'Algérie — fonctionnaires, commerçants et colons.
Le résultat de cette politique — que l'état de guerre ne saurait expliquer, mais qu'il empêchait de critiquer ouvertement, car la censure à sens unique était impitoyable — a abouti aux journées sanglantes des 8 et 9 mai 1945, où plus de cent Français furent massacrés dans des conditions horribles, rappelant, dans un raccourci effrayant, le grand drame des circoncellions, dont les mêmes campagnes furent témoins, à quatorze siècles de distance...
Le drame est passé, comme passent tous les événements, même les, plus douloureux, pour les sociétés humaines.
Chose triste à dire : le danger n'est pas écarté pour la France et ses représentants, en Afrique du Nord. Il persiste et il s'aggrave.
On semble refuser de s'inspirer des enseignements de l'expérience vécue si tragiquement. On fait pis encore : on cache la vérité. On fausse l'Histoire, dans un sentiment que la raison et l'équité se refusent à expliquer. On jette un voile sur des faits dont il faudrait tirer des conclusions logiques, exemptes de passion, mais fermes, afin d'en éviter le retour.
On gracie les coupables, condamnés régulièrement par des tribunaux. On renvoie dans le bled ces éléments nocifs et perturbateurs qui, forts de l'impunité inattendue dont ils viennent d'être l'objet, et qu'ils attribuent à de la faiblesse (pour ne pas employer un autre mot), deviennent plus arrogants, plus agressifs, plus menaçants.

On voudrait préparer des lendemains rendant inéluctable l'évacuation totale des Français de l'Afrique du Nord que l'on n'agirait pas autrement.
Les Français d'Algérie, qui avaient quelque droit de s'enorgueillir de l’œuvre accomplie par eux et surtout par leurs ascendants — dont les tombes garnissent les cimetières du bled africain — vont-ils être acculés à cette extrémité ?
Certains, déjà, songent à cette solution, combattue par beaucoup.
Leur laissera-t-on le droit de se défendre auprès de leurs frères de France, odieusement trompés sur la situation exacte existant au sud de la Méditerranée ? Leur permettra-t-on de souligner l'injustice criante que l'on commet à leur égard et qui risque — en compromettant gravement la situation de notre pays sur la plateforme, désormais historique, qui a sauvé la civilisation dans le duel gigantesque qui vient de prendre fin — de diminuer à jamais la position de notre nation dans le concert européen ?
Trop de mensonges effrontés ont été répandus. Un malentendu grave, doit disparaître.
Comment ?
En disant la vérité, la vérité simple, la vérité vraie.
Or, la vérité est toute à l'honneur des Français de l'Afrique du Nord, dans le drame de mai 1945, dont on cherche à détruire les archives.
Elle montre des faits d'évidence que l'on doit mettre en pleine lumière, dans un souci de justice impartiale.
Le premier de ces faits est que, partout où les Français isolés ont eu quelques instants, si courts soient-ils, pour organiser leur, défense, ils l'ont fait avec une crânerie, un courage et une persévérance qui font honneur à notre race.

La deuxième des constations est que, malgré la propagande nocive, ouvertement déclenchée dans les milieux autochtones, malgré les menaces qui ne leur ont pas été épargnées (et qui continuent à s'exercer), des indigènes sont restés fidèles aux amitiés françaises.

La troisième est que l'armée a sauvé la situation, malgré les faibles moyens dont elle disposait. Tout l'honneur en revient à ses chefs, aux officiers, sous-officiers et soldats qui, résolument, parfois isolément, se sont jetés, sans souci du danger, en rase campagne, au milieu de milliers d'insurgés, qu'ils ont mis en fuite, arrêtant ainsi le plus atroce des carnages. Parmi ces soldats, ces héros, étaient des indigènes. Certains ont payé leur dévouement de leur vie.
Ces exceptions doivent être constatées, soulignées dans un sentiment d'équité, dont nous ne devons jamais nous départir, même dans les plus graves des conjonctures.
Nous employons ce mot « exceptions » par comparaison avec la masse des émeutiers, réunis en maints endroits, sur un simple mot d'ordre, et donnant l'impression d'une unanimité totale dans l'attitude des révoltés.
Cet entraînement du milieu a reçu, chose inouïe, la collaboration spontanée, les directives, pouvons-nous dire, de fonctionnaires indigènes locaux qui, grâce à nous, avaient été élevés aux grades sociaux les plus enviables, beaucoup à la dignité de citoyens français, certains même ayant pénétré notre civilisation au point d'épouser des femmes françaises.
Nos observations seraient incomplètes si nous ne rendions hommage aux nombreux fonctionnaires français qui, sentinelles avancées de notre civilisation, dans le bled algérien, ont su vaillamment faire face à leur devoir, en courant les plus grands périls, aux côtés des colons.

Il y a eu quelques défaillances regrettables, heureusement très rares, de personnalités administratives. Constatons le fait, simplement pour mémoire. Il ne fait que souligner davantage la belle attitude prise par la presque unanimité de ceux qui, ayant la responsabilité du pouvoir et de l'ordre, à l'intérieur et dans les villes menacées, ont su rester dignes des fonctions dont ils étaient investis.
Ces constatations faites, entrons dans le vif du récit des événements qui ont marqué les journées tragiques de mai 1945, en Algérie, en élaguant, de parti-pris, tout détail douteux ou qui ne nous serait pas confirmé par des témoins dignes de foi.



André Chaumet - Juifs et américains Rois de l'Afrique du Nord
François Gourgeot - La domination juive en Algérie
Georges Meynié - Les Juifs en Algérie - L'Algérie juive

Algérie - PDF
Conspiration - PDF


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Monday 28 March 2016

Francis Parker Yockey - Imperium - Audiobook

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Francis Parker Yockey - Imperium - Audiobook
Read by Alex Linder


francis_parker_yockey.jpgImperium is the first sequel the literary world knows to Spengler’s monumental The Decline of the West.

In fact, the author of Imperium does more than even Spengler attempted — he defines and creates the pathology of Culture in all of its infinitely urgent importance, including the discipline of Cultural Vitalism.

Imperium rejects the Nineteenth Century : the parched fossils of its thought — Marx, Freud and the scientific-technical world outlook; its exhausted political nostrums — the pluralistic state, liberalism, democracy, communism, internationalism; all of which fail to satisfy the organically vital realities of politics.

Imperium presents unique and almost esoteric political, social and historical definitions and explanations which shall become more widely known — indeed, commonly understood — if our West survives.

Imperium is probably the first book to advocate European unification — to dogmatically predict it — in terms other than the crassly materialistic.

Imperium is the first comprehensive and profoundly constructive alternative to the Marxist-liberal degeneracy surrounding us.

Imperium is the creation of a man who believed in his Destiny — and in this book — so thoroughly that he became a martyr to it.

Imperium is written with a dramatic style and flair for expression seldom encountered even in novels.

Yet rising above all else is the simple fact that in Imperium a creative genius has given the world something new : A fourth dimension of intellect and a new concept of spirituality. Imperium heralds the dawn of a new day of Faith.

Among all books, therefore, Imperium has a distinct status. Hardly a man alive will agree with all it contains, yet will not find his personal horizons extended by the reading of it.

The original two volumes are here combined, unabridged, into one, with a brilliant Introduction by Dr. Revilo P. Oliver.


Francis Parker Yockey - Imperium - Ebook
Francis Parker Yockey - Imperium - Español

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Francis Parker Yockey - Imperium - Audiobook read by audio bot

Sunday 27 March 2016

Justin Boneaventure Pranaitis - O Talmud desmascarado

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Justin Boneaventure Pranaitis - O Talmud desmascarado
Os ensinamentos rabínicos secretos a respeito dos cristãos e não-judeus


Trechos do Livro Sagrado dos Judeus, escolhidos e comentados pelo Reverendo I. B. Pranaitis, sacerdote católico, Doutor em Teologia e professor de idioma hebreu da antiga Academia Imperial Eclesiástica da Igreja Católica Romana de São Petersburgo.


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Justin Boneaventure Pranaitis - PDF

Justin Boneaventure Pranaitis - Le Talmud démasqué
Justin Boneaventure Pranaitis - Il Talmud smascherato
Justin Boneaventure Pranaitis - The Talmud Unmasked
Justin Boneaventure Pranaitis - El Talmud desenmascarado





The Murder of Andrei Yushchinsky by G.G. Zamyslovsky
Andrei_Yushchinsky.jpgThis is an English translation of G.G. Zamyslovsky’s book "Ubiystvo Andryushi Yushchinskago", published in Russia in 1917. It is about the trial of Menachem Mendel Beilis, who was charged with the ritual murder of Andrei Yushchinsky, a 13-year-old boy, committed in Kiev in an occult rite with other fanatics. Georgy Georgiyevich Zamyslovsky was a well-respected member of the Russian State Duma (analogous to the Senate in the U.S.), and also an attorney. He served as a civil prosecutor (or “civil plaintiff”) in this case. Zamyslovsky has done us a great service by reproducing sections from the authentic transcript and even documents of the pre-trial investigation (testimonials, on-site examinations, etc.), items that have long disappeared into the Bolshevik tophet. For example, Pranaitis’ opinion was taken from his pre-trial testimony, not from the testimony he gave in court. This book was ordered destroyed by the Bolsheviks and is extremely rare.

Friday 25 March 2016

Arkologie fondamentale

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Arkologie fondamentale
Revue de réflexion
D'application
De recherche


Les "Formes", voie royale de communication
Avec ce N°1, le groupe Arkologie se donne un outil répondant à deux aspirations. La recherche sur les formes et la diffusion de la notion de forme. Ce que nous entendons par « formes » peut être associé à un mode de communication rendu possible entre des gens de disciplines totalement différentes...

www.arkologie.com


Wednesday 23 March 2016

Mitch Tilbury - The ultimate Tesla coil design

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Mitch Tilbury - The ultimate Tesla coil design and construction guide


The Ultimate Tesla Coil Design and Construction Guide is a one-stop reference covering the theory, design tools, and techniques necessary to create the Tesla coil using modern materials.This unique resource utilizes Excel spreadsheets to perform calculations and SPICE simulation models on the companion website to enhance understanding of coil performance and operating theory.


About the Author
Mitch grew up on a farm in a small town in Minnesota. A move to Colorado as a teenager found him graduating high school in 1975 and leaving for boot camp in the U.S. Marine Corps. A twenty year military career as an electronics technician and CH-46 helicopter crewchief in the U.S. Navy brought him to retirement in 1998. He graduated Summa cum Laude from Southern Illinois University in 1991. Mitch transitioned to the space industry as a Reliability Engineer and Engineering Analyst where he currently conducts worst case performance, electrical stress, and failure modes and effects analyses, reliability predictions and a host of engineering tasks which assist in spacecraft design.


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Friday 18 March 2016

Gustavo Barroso - Brasil, colônia de banqueiros

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Gustavo Barroso
Ex-Presidente da Academia Brasileira de Letras

Brasil, colônia de banqueiros
(História dos empréstimos de 1824 a 1934)


Com muita propriedade, o grande escritor, folclorista, ensaísta, poeta, jornalista, membro mais jovem da Academia Brasileira de Letras e Integralista Gustavo Barroso chamou o Brasil da década de 30 de um país “ Colônia de Banqueiros” (o livro de Gustavo Barroso é leitura proibida pelos “ Donos do Mundo”).
Não foi a toa que o escritor usou esse termo, visto que o país até 1930 era uma Nação meramente agrária, que dependia do Capital Estrangeiro para quase tudo, desde a implementação de insumos agrícolas, até a aquisição de bens duráveis, meios de produção e estruturas de saúde e educação.

A História da Independência do Brasil certamente poderia ser caracterizada como uma farsa circense, pois o Brasil jamais deixara de ser Independente, tendo se desvinculado das garras de Portugal para cair nas garras dos banqueiros internacionalistas Rotschild, Rockfeller e a Casa dos Morgan, que emprestaram em 1823 a módica quantia de 2 milhões de libras esterlinas para que o Brasil pagasse sua "Independência", cobrando os famigerados juros que desde então escravizaram nossa economia.
E quando o Barão de Mauá tentou implantar uma indústria siderúrgica de base no Brasil, uma Termelétrica a gás e o complexo naval da Ponta da Areia, esses salafrários banqueiros tudo fizeram para impedir o empreendimento brasileiro, usando de toda a patifaria e sordidez que bem caracterizam as ações desses agiotas satânicos. Isso sem contar a Guerra do Paraguai, inventada para destruir os anseios industriais brasileiros e paraguaios, além da venda hiper-lucrativa de armas para as matanças.


Gustavo Barroso - PDF
Gustavo Barroso - Judaísmo, maçonaria e comunismo
Gustavo Barroso - História secreta do Brasil


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Thursday 17 March 2016

Wu Zi - Bing Jing - Le miroir de la guerre

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Bing_Jing.jpgWu Zi ( 吳 子 ) - Bing Jing

Cahiers 1
Cahiers 2
Cahiers 3
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Cahiers 8
Cahiers 9
Cahiers 10
Cahiers 11
Cahiers 12



Titre en langue originale : « 兵 鏡 » ( abrégé de : « 兵鏡吳子十三篇綱目 » )
Titre en japonais : « Hei Kyô »
Titre en français : « Le miroir de la guerre »
Titre en anglais : « The Mirror of War » / « The Soldier Mirror »

Année : aux alentours de 1620.

Le « Bing Jing » est une grande encyclopédie militaire de la Chine traditionnelle, couvrant tous les aspects de l’art de la guerre en 20 volumes, rassemblés au sein de 12 cahiers.


Arts Martiaux - PDF


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Wednesday 16 March 2016

Auguste Rohling - El judío talmudista




Auguste Rohling - El judío talmudista


Introducción
A mis queridos hermanos en Jesucristo.
Antes de publicar esta obra tengo que hacer esta declaración: Hace ya algunos años que apareció en Münster (Westfalia) una obra del abad Rohling, titulada "Dar Tálmud-Jude". El libro causó gran sensación, pero no gozó de una larga existencia. La judería, con su formidable potencia, se puso en movimiento para provocar por parte de las autoridades la rápida confiscación. Como motivo de este acto de violencia, se alegó que el libro contenía algunos errores, que eran sin embargo insignificantes.
Durante 10 años me he tomado la molestia de someter este libro a un profundo examen y, después de haberlo rehecho totalmente y corregido las fuentes, lo presento de nuevo a la consideración del pueblo cristiano. No es el odio al judaísmo lo que me ha incitado a este trabajo, sino únicamente la piedad hacia mis hermanos cristianos. El estudio de la literatura religiosa judía y las experiencias que he tenido durante mi ministerio pastoral de 40 años, me han hecho conocer en toda su extensión los grandes peligros que los actos judíos deparan a la fe y a la fortuna de nuestros hermanos cristianos. Yo estoy viejo y enfermo; espero el momento en el que entraré en una vida mejor. Pero antes de dejar esta vida, a la hora de mi muerte, experimentaría un consuelo indecible si pudiera pensar que mis palabras han servido para convencer a mis hermanos cristianos del gran peligro de la judería que amenaza su fe, vida, honor y fortuna.

Monte Giuliano, 15 de julio de 1888.
Abad M. de LAMARGUE


Auguste Rohling - Le Juif-Talmudiste
À mes chers frères en Jésus-Christ
Talmud - PDF


juif_araignee.jpgPrólogo a la edición española

Editado por primera vez en 1888 y después en 1936, el libro "El Judío Talmudista" es una obra polémica que en determinadas épocas ha podido compararse a los famosos "Protocolos de los Sabios de Sión".
En esta ocasión, como también se hizo con la segunda edición de 1936, se ha conservado la introducción de la primera, debida al Abad de Lamarque y, por considerarlo de interés para la pequeña historia de este libro, también se reproducen algunos fragmentos del prólogo de la edición de 1936.
La época de la segunda edición de este libro coincidió con los períodos más duros de la persecución religiosa en Rusia y con las más violentas campañas antirreligiosas y ateas de los comunistas en todo el mundo, e igualmente en esta época los judíos habían pasado de dominados a dominadores, manifestando públicamente en numerosas ocasiones una especie de secreto odio contra los goyms (no judíos). El hecho mismo de que un 80 por ciento de los dirigentes comunistas fueran judíos -en Rusia 459 entre 502, sobresaliendo los más importantes: Marx (Mardochai), Lenin, medio judío (Ulianov), Trotzki (Bronstein), Jagoda (Herschel-Jehuda), Lazarus Mossesohn Kaganowitch, etcétera; Alemania: Rosa Luxemburg, Karl Liebknecht, medio judío, Kurt Eisner, Gustav Landauer, etcétera; Grecia: Abraham Benarogias (Abraham Ben Aron); Rumania: Ana Pauker (Anna Rabinsohn), Iosif Kisinevski (Ioska Broitman), Max Goldstein; Yugoslavia: Moisés Pijade; Hungría: Bela Khun (Khon), Bela Wago (Weis), Matyas Rakosi (Rosenkranz); y en España, aunque no oficialmente comunistas, Alcalá Zamora y Fernando de los Ríos, entre otrosy la situación política mundial en general con el movimiento fascista en marcha o en el poder en diversos países, hizo que el Abad Augusto Romling empezase así su obra :
"Visto el cariz inquietante que los sucesos toman de día en día, bajo la dirección de la judería y su oficina, la francmasonería, hemos creído hacer una buena obra, una obra cristiana, imprimiendo este libro, raro y desaparecido desde hace tiempo de la circulación gracias a los diligentes cuidados de los judíos. Está, sin embargo, de más actualidad que nunca. Aclara con crudeza los solapados y misteriosos asuntos del judaísmo.
"A todo esto se añade el magistral prefacio del Abad Lamarque, que ha consagrado toda una vida de trabajo y abnegación para ilustrar a sus hermanos y para apartar el peligro mortal y destructor que la judería cernía sobre ellos. "En los 48 años que hace de la aparición de esta obra, el judaísmo ha seguido paso a paso los criminales preceptos de la más detestable de las religiones. Echando una mirada retrospectiva, desde aquella fecha uno se espanta al ver cuántas guerras, revoluciones y cuántos monstruosos estragos han producido los judíos a la humanidad en general y al cristianismo en particular.
"Casi todo el gran capital mundial ha pasado a manos de un púñado de banqueros judíos talmudistas, maestros supremos de la francmasonería mundial, que bajo sus directrices llevan toda la política de los Estados hacia la realización de los preceptos del Talmud.
"Todos los medios les son buenos para llegar a la dominación mundial, a la que creen tener derecho desde que le escribió la Biblia. De este modo, todos los acontecimientos precedentes a la revolución rusa estaban enmascarados con una cierta prudencia. Ahora la prensa judía lanza un desafío al mundo glorificándose de sus más espantosos crímenes.
"Desprecia a la cristiandad y la insulta sin pudor. Cuanto más grande es la pasividad de sus víctimas, más grande es su altivez e insolencia. Es una muestra de esto, entre otras miles, el artículo del judío Marcus Elie Ravage, aparecido en la "Century Magazine" de enero de 1928. Escandalosa obra maestra judía, llena de cinismo, de bravatas y de desafío. He aquí algunas líneas escogidas al azar :
"Vosotros no os habéis dado aún la menor cuenta de la enorme culpa que nos es imputable a los judíos. Nosotros somos los intrusos, somos los destructores; nosotros nos hemos apoderado de vuestros bienes, de vuestros ideales y vuestros destinos. Los hemos pateado sin compasión. Somos nosotros la principal causa, no sólo de la última guerra, sino de casi todas vuestras guerras.
"No sólo hemos sido los autores de la revolución rusa, sino también los instigadores de todas las grandes revoluciones de vuestra historia. Nosotros llevamos la desunión y el desorden a vuestra vida privada y pública. Y lo hacemos aún hoy día; nadie puede decir por cuánto tiempo podremos continuar con el engaño.
"¡Quién podría descubrir cual hubiera sido vuestro gran y sublime porvenir si nosotros os hubiésemos dejado en paz. Pero no os dejamos en paz. Os hemos dominado y hemos derribado el bello y majestuoso edificio que vosotros habíais construido... Nosotros hemos derribado vuestro Dios, hemos arrinconado la herencia de vuestra raza y hemos puesto en su lugar a nuestro Dios y nuestras tradiciones. Tomad las tres principales revoluciones de los tiempos modernos: La revolución francesa, la revolución americana y la revolución rusa, ¿es que son otra cosa que una idea judía? , etcétera, etcétera.
"Toda la prensa yiddish, todas las logias judeo-masónicas del mundo daban rienda suelta a su alegría, con verdaderas crisis de histeria, cuando la sangre de los mártires del pueblo ruso se derramaba, mientras que la otra prensa, la prensa mentirosa, débil, vendida a los asesinos y aprovechadores de esta calamidad, bajo el signo del triángulo y el compás masónico, cloroformizaba al mundo con una cobardía que las generaciones futuras no dejarán de juzgar muy severamente; absteniéndose de todo comentario (mientras que el menor incidente judío les inflamaba como la pólvora), dejando hacer cuanto no era para recomendar el restablecimiento de relaciones con estos bandidos y asesinos judíos, cuyas fichas antropométricas se encuentran en todos los archivos policíacos de las grandes ciudades."
A continuación, siguiendo en su estilo de lenguaje apasionado, describe minuciosamente y con detalle los nombres y torturas de verdugos y víctimas, que desde Arzobispos a sacerdotes fueron perseguidos en la Rusia Soviética, explicando la monstruosidad y el sadismo de los líderes del movimiento ruso. Más adelante explica :
"Durante esta época, el judío talmudista Nachamkes, que se convirtió en Steckloff, fue el primer organizador de la prensa bolchevique y se erigió en dictador omnipotente. En toda la organización de la prensa, el judío Nachamkes no admitió más que a un solo no judío: Máximo Gorki. Los demás, sin excepción, son judíos talmúdicos.
"Este Steckloff-Nachamkes fue el promotor del Movimiento sin-Dios. Con su comparsa, el judío Kamkoff (Katz), comisario de prensa, organizó y popularizó las procesiones antirreligiosas que se celebran periódicamente en la Rusia Soviética."
Y sigue después con la descripción de los actos antirreligiosos, cuya transcripción exacta se evita en razón de que pudiera considerarse una ofensa a la Iglesia y a la persona de Jesucristo, pese a que la intención del autor al describirlos es precisamente la contraria.
"Steckloff -dice el abad Romling- ha publicado en varias ediciones de "Pravda" (que él dirige) que el comunismo y el cristianismo no se pueden fusionar bajo ningún pretexto, y que para asegurar el éxito del primero es preciso destruir y hacer desaparecer toda traza de cristianismo en el corazón del pueblo." "La cristiandad debe ser ahogada en un mar de sangre y de horror.
Incendiaremos todas las Iglesias del Universo -se dice en "Bezbojnik" del 5-11-30. En la Unión-Judeo-Soviética este objetivo ya se ha logrado. De los 44.000 sacerdotes de la Iglesia ortodoxa, hoy apenas quedan 1.200. De entre ellos, algunos centenares a lo sumo desempeñan sus funciones. Más de 40.000 de estos sacerdotes, monjes, fueran asesinados, murieron de hambre o perecieron en los campos de trabajos forzados, y sobre los pocos que todavía viven o que desempeñan sus cargos, está constantemente suspendida la espada de Damocles de la deportación, es decir, de la muerte lenta por hambre y frío. Así, más de 150 arzobispos, obispos, archimandritas, metropolitanos, fueron masacrados. En Karkov solamente, se sometió a suplicio a 70 sacerdotes, y violaron a centenares de religiosas."
"Y no hubo ni un solo rabino entre los 40.000 sacerdotes víctimas de los judíos talmudistas. Según "Minsk" del 25-11-30: "No hemos sido nunca objeto de persecuciones por nuestras convicciones religiosas bajo el reino de los soviéticos. Consideramos que es nuestro deber declarar que ni un solo rabino no es, ni ha sido jamás amenazado con la pena de muerte en la URSS, ni con ninguna otra pena severa. Desde la instauración del régimen soviético ningún rabino ha sido fusilado”. Este llamamiento fue firmado por cinco rabinos de la ciudad de Minsk".
Sigue más tarde el Abad Romling explicando y citando textos judíos contra la persona de Cristo, algunos de los cuales fueron prohibidos en Inglaterra debido a las blasfemias, insultos e inmoralidades que contienen.
El Abad Romling, al citarlos, pide excusas a los lectores por imaginar la repugnancia que da, no sólo a un cristiano, sino incluso a un ateo el ver impresas expresiones y descripciones de la mayor bajeza y corrupción, por todo lo cual no se transcriben ahora.
Para terminar, el Abad Romling dice :
"Hay que señalar que cada vez que los judíos atacaron la religión y templos musulmanes o budistas, la reacción fue tan rápida y violenta que los judíos no osaron intentarlo de nuevo.
"Sacerdotes a los que están confiados nuestros mejores hijos: Sabed que el más grande enemigo de la humanidad y de la Cristiandad es EL JUDÍO, sea cual sea la nacionalidad a la que pretenda pertenecer. Documentaos, leed el Talmud y no os dejéis engañar por una prensa corrompida en la que los miembros francmasones están infiltrados hasta en la redacción de los periódicos católicos para sembrar la semilla nefasta; no os dejéis engañar por la falsa sonrisa de los rabinos. Mañana reanudarán sus crímenes si están seguros de no encontrar frente a su criminal acción más que abulia y cobardía.
"Bajo peligro de muerte, los cristianos no pueden dejar de ignorar las leyes talmúdicas".
Después de leídos estos fragmentos del segundo prólogo, a nadie extrañará que esta pequeña obra haya sido objeto de persecuciones y ataques por parte de los líderes judíos. No hay ninguna duda de que el Abad Romling utiliza hasta la saciedad un lenguaje apasionado, pero es ahí precisamente donde reside el interés de esta obra; ambos lados, cristianos y judíos llevan desde el año 1888 (fecha de la primera edición) un enfrentamiento a ultranza por una obra que a muchos parecerá aséptica, pero que en general interesa a todos quienes quieren hacer de jueces, oyendo también a la otra parte.


Monday 14 March 2016

Le Gentil - Non, le grand-père de George W. Bush n’a jamais été « banquier d'Hitler »

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Le Gentil - Non, le grand-père de George W. Bush n’a jamais été « banquier d'Hitler »
Et non, les Bush ne sont pas nazis,
contrairement à ce qu’affirment George Soros et les larouchistes


Nous nous sommes déjà penchés sur la question, mais puisque l’Internet continue à reproduire régulièrement les mêmes vieilles rengaines usées à la corde de « Bush nazi! » et de « Prescott Bush banquier d’Hitler! », et même si les conspirationnistes n’ont pas l’habitude de laisser les faits déranger leur routine et faire dérailler leur joyeux train de propagande, il convient tout de même de revenir un peu sur le sujet pour souligner certains faits et les apporter à l’attention de ceux qui les ignorent encore.


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Thursday 10 March 2016

Pour qui nous battons-nous ?

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Pour qui nous battons-nous ?


Mes très chers camarades de lutte, mes très chers frères guerriers de lumière. Laissez-moi pour introduire mon propos, vous compter un événement de ma vie de militant qui transformera à jamais ma façon d'aborder la lutte pour la survie de notre race.

Pour qui et pour quoi nous battons-nous ?
Il y a de cela une dizaine d'années, lorsque mes poings sentaient les os d'un crane se briser sous mes coups au moins une fois par semaine, par une belle après-midi ensoleillée d'un samedi de fin de printemps, j'attendais avec quelques camarades le passage d'un groupe d'antifascistes sur une place d'une ville du sud de la France.
Antifascistes que nous ne croiserons jamais, ils étaient tous terrés chez eux ayant eûs écho de notre présence en ville.

putte_a_bico.jpgAprès une heure d'attente, à scruter les moindres faits et gestes de toutes les personnes qui passaient sur la place, nous fumes soudainement éblouies, subjugués par la beauté de deux anges. Deux françaises pure race sublimes, qui n'avaient pas encore la vingtaine, issue de bonne famille, habillées BCBG, venues passer le samedi soir en centre ville avec leurs copains. Elles devaient très probablement vivre dans un village de riches aux alentours de la ville. Le genre de petites merveilles à qui l'on donne le bon Dieu sans confession. Dotées de cette élégance et prestance toute française qui se fait si rare aujourd'hui. Haut niveau de culture, d'éducation, d'élocution, etc... Des jeunes femmes françaises du plus haut niveau avec qui l'on pourrait rapidement et sans hésitation fonder un foyer...


Après deux minutes d'attente des jeunes filles aux abords d'une des fontaine de la place, un maghrébin qui les avait repéré depuis le balcon de son appartement descendis se présenter. Cet homme était l’archétype du bougnoule putride marseillais. Pantalon de sport, mentaux en cuir, air max, cheveux gras plaqués en arrière, chevalière en or, dents manquantes, ongles noircis de trois semaines, cigarette sur l'oreille, œil vitreux d'alcoolique, la quarantaine. C'était ce type de bougnoule putride si dégueulasse que son existence justifie à elle seule l’extermination de toute les populations d'Afrique du Nord et du Moyen-Orient, et de tout ceux qui en sont issus de près où de loin.

bouribico.jpgAprès une minute de salamalecs et gesticulations animales, le bougnoule remonta dans son appartement avec les deux jeunes françaises. Cinq minutes après trois autres bougnoules tous plus dégueulasses les uns que les autres arrivaient au bas de l'immeuble au pas de course et montaient dans l'appartement. 45 minutes plus tard les deux françaises ressortaient dans la rue encore dégoulinantes de sueur et mal rhabillées. Les 4 bougnoules les regardèrent goguenards depuis le balcon, bières à la main et joins aux lèvres, aller rejoindre leurs petits copains qui les attendaient sagement dans un restaurant du bas de la place.




Cette anecdote se suffit à elle-même, il n'est pas nécessaire de développer sur les sacrifices christiques qui ont fait de vous se que vous êtes et la distorsion spatio-temporelle qui vous sépare des français; les tortures en garde à vue, le vol du peu de ce que vous possédez par les corps constitués du gouvernement. Les viols commandités de vos proches par les services de l'état, les tentatives de meurtres répétées, les dizaines de camarades laissés pour mort entre deux poubelles par des policiers ayant besoin d'une promotion, etc.
Pendant ce temps là, celles qui seraient censées être un jour nos épouses se prostituent gratuitement et automatiquement au premier maghrébin ou nègre qui viennent les solliciter, et se quelque soit le milieu social et culture dont elles sont issues ou l'éducation qu'elles ont reçues. Les françaises et les français en général sont totalement dénuées de conscience racial et ont des mœurs trop dégénérées pour pouvoir faire machine arrière. Le pays ira au bout de sa logique de destruction.
Il n'est pas nécessaire de parler en détail de toutes ces françaises qui font élever des enfants à leurs maris qui ne sont pas d'eux, l'un des taux les plus élevé au monde avec les USA. De ces françaises qui se lèvent à quatre heure du matin réveillées par des textos pour aller se faire sodomiser par des nègres dans une petite rue sur la banquette arrière d'une voiture, puis qui remontent chez elles la capsule annale pleine de foutre faire un bisou à leur enfant en bas âge et se recoucher auprès de leurs maris qui se lèveront deux heures plus tard subir des travaux d'esclaves qui leurs permettent tout juste de faire survivre leurs familles; etc, etc, etc...
Malheureusement les hommes des milieux militants français ne sont pas épargnés, bien au contraire. Combien d'ex putes à nègres reconverties dans le nationalisme ? Elles se créent des personnages et font illusion totale auprès d'hommes désespérés qui ont tout sacrifié pour la survie de notre race, qui se retrouvent seuls, près à toutes les soumissions pour avoir une française, ces ex putes à nègres sont alors accueillies à bras ouverts.

Quel avenir pour notre race dans un pays où les femmes nées après 1980 vivent dans un film pornographique où les acteurs masculins sont des négros et des bougnoules ?
Pour qui, et pour quoi vous battez-vous ?

Les seuls qui tirent bénéfice de cette situation, de vos souffrances, de vos sacrifices... sont les fins de races de cette extrême droite qui a tout ratée, cachée dans ses tours d'ivoires. Ils rigolent de vous, attendent vos bulletins de vote en mangeant des petits fours et en buvant du champagne. Ils écrivent des livres sur vos souffrances et vous les vendent, ils s'affichent sur Youtube dans des discussions interminables où ils se demandent quand le "peuple français" va finir par se réveiller pour enfin sauver leurs intérêts de classe/caste. Qu'ont-ils jamais fait à part organiser des manifestations grotesques et des conférences inutiles ?
Que connaissent-ils de la France d'aujourd'hui ? Ces sacs à paroles pourraient vous tenir pendant des heures à vous expliquer qu'il faut que coûte que coûte vous ne lâchiez jamais le combat... mais le combat pour qui ? Pour quoi ?
La seule chose qu'il vaille la peine d'être sauvé en France c'est vous-même, rien d'autre.


La France ne mérite pas l'élite spirituelle et chevaleresque que vous constituez. Pour que votre pureté d'âme et raciale puisse s'épanouir il vous faut aller vers des contrées où les peuples sont sains. Le catholicisme à peu à peu ancré dans l'esprit des français que tout les hommes se valaient, pré-conditionnant les différents peuples qui constituaient la France à accueillir tout se qui leurs étaient étranger et hostile. Cette notion d'égalité est totalement absente des peuples d'Europe de l'Est. Il est inconcevable pour une macédonienne ou lituanienne de simplement parler avec un nègre. Pour elles, les scènes de la vie quotidienne française relèvent du pire des cauchemars.

A quelques heures de voiture à l'est de la France, des peuples fiers de leur race, qui depuis plus de 4000 ans n'ont jamais cessés le combat contre les envahisseurs du tiers-monde. Des femmes qui lorsqu'à trente ans sont seules, n'ont fréquentées qu'un ou deux hommes, se préservent pour un hypothétique futur mari avec qui fonder un foyer. Des pays où la capacité de travail, la volonté et l'intelligence d'un homme sont valorisées et où le fruit du labeur du travailleur n'est pas automatiquement confisqué par l'Etat pour être redistribué à des parasites.


Abandonnez vos certitudes quelques semaines et allez voir par vous-même...
Ou bien disparaissez en silence, dans l'anonymat, la souffrance et la solitude.

Quia suam uxorem etiam suspiciore vacare vellet



Par le vénérable Professeur Z,
septembre 2015 à Gore en Nouvelle-Zélande pour la Lettre Heuristique.


Thompson - Dolazak Hrvata - English subtitles



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La France a perdue sa guerre civile
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Message aux jeunes Aryens de France

Wednesday 9 March 2016

Mark Sargent - Enclosed world

Flat earth, Science, and NASA, using B.o.B. Flatline track


Flat_earth.pngYou're about to look at the world with new eyes
enclosedworld.com

Every since you were a child, you've been taught some simple truths. 1+1 = 2, and the world you live in is a globe. We all know this is true, but how do we really know? Can you say how you know this without using the word NASA ?
Is it possible that we are all living in a Truman show enclosed structure, thousands of miles wide ?


By the time you are done here, you'll discover that it's not only possible, but likely.


Mark K. Sargent
Growing up on South Whidbey Island, Washington, Mark Sargent started his career playing computer games professionally in Boulder Colorado. From there he spent the next 20 years training people in proprietary software. In 2014, he looked into what is no doubt the most ridiculous conspiracy ever, called "Flat Earth Theory", and through extensive research, discovered that it wasn't so laughable after all.
Early in 2015, he released a series of youtube videos titled "Flat Earth Clues", which delves into the possibility of our human civilization actually being inside a "Truman show" like enclosed system, and how it's been hidden from the public since 1956.


Mark Sargent - Videos
Flat Earth shill wall of shame - PDF
Eric Dubay - The Atlantean conspiracy
Eric Dubay - 200 proofs earth is not a spinning ball
Dossier Terre plate


Tuesday 8 March 2016

Les Croix Fléchées en Hongrie - Ébredj Magyar !

Kárpátia - Ébredj Magyar !


Le vrais sang ne trahis pas
Pendant que divers déchets biologiques parisiards et autres branleurs d'internet nous expliquent qu'Hitler à discrédité le racisme, ou que Pétain est un héro car il contribua à la destruction de l'Europe en résistant par tout les moyens à la libération de la race Aryenne; les pays qui se sont lancés corps et âmes dans le combat contre nos ennemis lors de la seconde guerre mondiale forcent plus que jamais le respect.
Quid de l'Angleterre ? De la France ?
Partez construire la reconquête de l'Europe en Terre Aryenne, le salut de notre race ne viendra pas de pays qui n'existent déjà plus depuis bien longtemps.


Budapest.jpg


Les Croix Fléchées en Hongrie
Sources : « Les fascismes inconnus », Défense de l’Occident, numéro spécial 81, avril-mai 1969, 111 pages.





La vieille Hongrie, avec ses structures archaïques, ses immenses propriétés, sa classe de nobles possesseurs d’immenses latifundia, sa bourgeoisie faible ou composée de Juifs et d’Allemands, avait connu, lors de l’effondrement de 1918, la surprenante dictature de Bela Kun.

Celui-ci, soutenu par une partie des Juifs et l’infime prolétariat urbain, instaure par un coup de surprise la République des Conseils. Celle-ci va durer 100 jours. Cent jours pendant lesquels se déchaîne la terreur rouge organisée par Szamvely et dont les tchékistes sont le plus souvent juifs. Faisant appel aux sentiments nationalistes des Hongrois, Bela Kun lance un appel à la lutte contre les Tchèques (qui s’emparent de la Slovaquie) et surtout contre les Roumains (qui occupent la Transylvanie). Mais les formations de Gardes rouges, d’abord victorieuses, sont battues finalement par les troupes roumaines, plus nombreuses et mieux équipées. Celles-ci entrent à Budapest, renversent le régime des Conseils et ne l’évacuent qu’après l’avoir copieusement pillée. Dans la Hongrie de l’Ouest, l’amiral Horthy a formé un gouvernement anti-bolchevique qui, aidé par les troupes de l’Entente, a réussi à refouler les Gardes rouges. Profitant de l’effondrement bolchevique, il s’installe à Budapest, tandis que sévit dans tout le pays la terreur blanche qui frappe les sympathisants du régime disparu, et en priorité, les Juifs.

Effrayés par leur expérience du pouvoir soviétique, les Hongrois vont se montrer désormais d’un anticommunisme irréductible, tandis que l’antisémitisme devient un phénomène quasi général dans de vastes couches de la population.

Le régime Horthy (régence sans roi) est conservateur voire réactionnaire, clérical et immobiliste au point de vue social. L’irrédentisme hongrois face aux pertes territoriales du Traité de Trianon subsiste, mais Horthy mène une politique prudente. L’accent reste mis sur l’anticommunisme.

Dans le pays, nobles, bourgeois, paysans, officiers de réserve créent de nombreuses associations pour éviter le retour aux événements de 1918-1919. Le général Julius Gombos organise le mouvement des Hongrois réveillés, qui dispose de milices, d’informateurs et de tout un service de sécurité. Les Hongrois réveillés n’hésitent pas à lancer des opérations terroristes contre les adhérents des partis de gauches. Gombos crée, comme paravent à l’association, le Parti chrétien national qui va devenir le premier parti politique, tandis que les Sections de sécurité nationale forment l’appareil para-militaire du parti.

D’octobre 1932 à octobre 1936, Gombos, devenu premier ministre, essayera de transformer la Hongrie en État fasciste, mais Horthy, trouvant que son ancien lieutenant est trop extrémiste, finira par le désavouer et appellera le banquier Imredy, lui aussi féroce antisémite (ce qui le gênera fort lorsque ses adversaires Croix fléchées prouveront que son arrière-grand-père était juif). Pour faire face à la montée nationale-socialiste, conservateurs et fascisants hongrois mettent sur pied un parti groupant toute la droite, le Magyar elet partja (Parti de la vie hongroise).

Mais qui sont donc ces nationaux-socialistes qui ébranlent la toute-puissance du clan conservateur hongrois ?



Ferenc Szálasi pendant une réunion des Croix Fléchées.


Le national-socialisme hongrois.

Parallèlement aux Hongrois Réveillés existait une autre organisation anticommuniste et antisémite, les Défenseurs des chrétiens de race du Comte Stefan Bethlen. En 1932, deux groupes dissidents de cette association formèrent les deux premiers partis nationaux- socialistes hongrois.

1 - Zoltan Böszörmény créa le Parti national-socialiste des travailleurs Hongrois, d’orientation nettement « gauchiste ».

2 - Zoltan Mesko, le comte Sandor Festetics, Istvan Baloogh et le comte Fidel Palffy formaient, eux, le Parti national-socialiste des travailleurs et paysans hongrois. Après de difficiles négociations, les deux mouvements s’unirent en un parti unique, le Parti national-socialiste unifié (Egyesült nemzeti szocialista partja. Le programme du nouveau parti fut exprimé dans un livre publié à Budapest en 1932 : « Az egyesült nemzeti szocialistapart programja » (Le programme du Parti bational-socialiste unifié). Ce programme, adopté sous l’influence de Böszörmény, prévoyait une profonde réforme agraire, le partage des grandes propriétés, une politique résolument antisémite et la récupération des terres perdues en 1918. Le monde ouvrier voyait ses problèmes abordés sur le plan résolument revendicatif, violemment anticapitaliste.

3 - En 1935, le Parti national-socialiste unifié obtint deux députés : Sandor Festetics à Enying et Istvan Baloogh à Debreczen. Les résultats étaient donc modestes, mais malgré la concurrence des Croix fléchées, le parti peut poursuivre son ascension, grâce à l’habile direction de Palffy.





Voici, maintenant le tour des Croix fléchées. Leur chef, le major Ferenc Szalasy, est un pur produit de la Première Guerre mondiale. Officier déclassé, ultra-nationaliste (bien que d’origine germano-slovaque), il est autant un chef mystico-religieux, qu’un responsable politique. Il va organiser son mouvement comme un ordre religieux (assez semblable à celui de la Garde de fer roumaine).

En 1933, pour convaincre les Hongrois de se rallier à son programme de rénovation nationale, il publie son premier livre : A magyar állam felépítésének terve » (Plan d’organisation d’État Hongrois).

Au printemps 1935, Szalasy crée un nouveau parti : Nenzeti akarat partja (Parti de la volonté nationale) et écrit le programme de celui-ci dans son “Mein Kampf” : Cél és követelések (But et revendications). Dès ses débuts, le parti des Croix fléchée (qui porte ce nom du fait de son insigne, la croix de saint Étienne fléchée) lance une action politique orientée vers le prolétariat, tant urbain qu’agricole.

Profitant de la faiblesse des partis de gauche, les Croix fléchées prennent leur place, s’infiltrent dans les syndicats, orchestrent les revendications prolétariennes. Dans toutes les entreprises, les Croix fléchées dirigent les grèves contre les capitalistes. Les cheminots, les postiers sont, très tôt, largement noyautés par les Chemises vertes de Szalasy. De nombreux ouvriers sociaux-démocrates passent à ce parti, infiniment plus dynamique que leur ancien parti.

Les Croix fléchées s’articulent en groupes de militants et formations para-militaires, où de nombreux éléments douteux s’infiltrent. Chaque CF se nomme « Frère », l’hymne du mouvement est Ébredj magyar (Debout Magyar), l’uniforme est la chemise verte, le chef, Szalasy, multiplie les invocations religieuses, appelant la bénédiction du Ciel sur sa croisade contre les Juifs et les bolchevicks.

Après deux voyages de Szalasy, à l’automne de 1936, en Allemagne, celui-ci, prenant conscience du potentiel révolutionnaire du prolétariat hongrois, accomplit un virage à gauche encore plus net.

On assiste alors à la naissance d’un fascisme « gauchiste », dont le succès populaire est rapidement évident. Le sous-prolétariat est pratiquement entre les mains des CF, le petit peuple des journaliers agricoles, des manœuvres est truffé de Chemises vertes, qui liquident les restes de l’implantation de la gauche.



Ferenc Szálasi avec l’organisation féminine des Croix Fléchées.


En 1938, les adhérents CF dépassent les 200 000 (tandis que le PNSU aligne une cinquantaine de milliers d’adhérents). Mortellement inquiets de la vague révolutionnaire fomentée par les CF, les réactionnaires de l’entourage de Horthy décident de briser le mouvement.

Sous l’inculpation d’être un semeur de troubles, Szalasy est arrêté en juillet 1938 et condamné à trois ans de prison. Mais sous la direction de son adjoint Kálmán Hubay, les CF volent de succès en succès. En mai 1939, malgré les pressions gouvernementales, les arrestations, les licenciements de travailleurs szalasistes, les Croix fléchées remportent une éclatante victoire. L’ensemble du camp national-socialiste qui va uni à la bataille obtient 25 % des voix : les CF ont 31 députés, le PNS unifié en a 18. Le nombre des adhérents dépasse cette année-là 250 000.

Mais rapidement, du fait de l’absence forcée de Szalasy, des luttes de tendance se produisent chez les CF Les éléments « radicaux » accentuent encore la propagande gauchiste et préparent presque ostensiblement un coup de force contre le régime Horthy.

Hubay, chef de l’aile droite, veut tenter une fusion avec le PNSU afin de contrebalancer l’influence des gauchistes, mais les premières négociations échouent au printemps 1940, du fait de la pression des gauchistes qui savent l’opération dirigée contre eux.

Finalement, alors que le parti atteint les 300 000 adhérents, Hubay fait exclure les gauchistes. Szalasy est libéré en août 1940 et en septembre 1940 l’accord se réalise entre les deux grands mouvements nationaux-socialistes. Ainsi naît le Mouvement national-socialiste hungariste de la Croix fléchée, dont le chef reste Szalasy.

Pour parer au départ des « radicaux » du parti et au mauvais effet produit dans les masses populaires par l’accord avec les « droitiers » de Palffy, les CF lancent la grande grève des mineurs, en octobre 1940, la plus puissante action prolétarienne hongroise, depuis les origines de la classe ouvrière dans ce pays.

Le succès populaire de la grève n’empêche pas les CF d’être en perte de vitesse. L’habile politique de Teleki, Premier ministre, les coupe de nombreux milieux bourgeois.

De plus, en automne 1940, Imredy, pour revenir au pouvoir, lance un nouveau parti fasciste, avec 26 députés, dissidents du parti gouvernemental (Magyar elet partja) : le Parti du renouveau hongrois. Le Parti du renouveau exerce une très forte attraction sur de nombreux membres des CF, déçus par l’incapacité de Szalasy à mener une action vigoureuse contre Horthy. Des négociations visant à une fusion des deux partis, faites à l’instigation des Allemands, échouent et l’hostilité ne cesse de grandir entre eux.

L’importance de la politique extérieure s’accroît sans arrêt depuis 1938 dans la vie des CF. L’alliance avec l’Allemagne permet d’effacer en grande partie le Traité de Trianon, mais les CF renâclent devant les exigences allemandes et ne sont pas des inconditionnels de l’alliance. Mieux, lorsque les Allemands attaquent l’URSS, Szalasy demande que la Hongrie reste neutre. L’habile manœuvre allemande de Kasice (de faux bombardiers russes attaquent la ville) entraînant la guerre, Szalasy se rallie, mais sans enthousiasme excessif, à la croisade contre le bolchevisme.





La guerre ne ranime pas l’élan CF, quoique les troupes engagées sont assez faibles. En automne 1941, les habiles manœuvres d’Imredy contre les CF sont couronnées de succès ; le PNSU avec Palffy fait scission tandis que de nombreux croix-fléchés passent à Imredy qui conclut un pacte avec le PNSU.

Du fait de nouvelles dissidences et changements divers, l’opposition de droite hongroise en 1943 est ainsi formée : Parti du renouveau : 25 députés ; Croix fléchées : 19 ; NS de Palffy : 13.

Le palais, siège des CF, avenue Andrasny est nettement moins fréquenté. Mais les replis allemands en Russie incitent les chefs de la nation hongroise à un décrochage de la guerre, du moins si les circonstances s’y prêtent. Par contre l’opposition de droite reste fidèle à l’alliance avec l’Allemagne. Il ne faut cependant pas croire qu’Imredy, Palffy ou Szalasy préconisent à cette époque des mesures radicalement différentes de celles d’Horthy et de son Premier ministre Bardossy. Face à la menace roumaine, les Hongrois (après l’écrasement de leur IIe Armée à Stalingrad) n’engagent que neuf divisions de sécurité à faibles effectifs (90 000 hommes) contre les partisans en Ukraine. Au contraire, le maréchal Antonesco, le plus fidèle et conséquent allié du Reich, après la destruction de 22 divisions roumaines à Stalingrad (IIIe et IVe armées), lève 18 nouvelles divisions pour poursuivre la croisade contre le bolchevisme. Les nationaux-socialistes hongrois, pour qui l’ennemi numéro un reste le Roumain plus que le Russe, ne font qu’une très timide campagne pour le renforcement de l’armée hongroise d’Ukraine. Mieux, lorsque l’état-major hongrois veut maintenir l’armée de renfort que vont extorquer les Allemands sur la ligne des Carpates et non au front, les CF soutiendront cette attitude.

La non-vassalisation des CF à l’Allemagne, à cette époque, explique que lorsque les Allemands, exaspérés par les atermoiements hongrois et qui, depuis le malheureux exemple italien se méfient profondément de leurs « alliés » s’installent en Hongrie en mars 1944, le nouveau gouvernement, imposé par les Allemands, ne comporte aucune CF. Le général Sztojay, germanophile notoire, ne fait appel qu’à des représentants de l’aile droite du Magyar elet partja, au Parti du renouveau et au Parti national-socialiste unifié. C’est alors que les deux ex-Croix Fléchés (« traîtres » d’automne 1941, passés à Imredy) Endre et Bakry sont chargés, comme sous-secrétaires d’État, d’organiser la déportation des Juifs. En accord avec le Höhere SS und Polizeiführer Winkelmann (chef suprême de la SS et de la Police), assurait la sécurité des arrières des 4 divisions allemandes occupant la Hongrie (8e division SS de cavalerie Florian Geyer, 16e SS de Panzergrenadiers Reichsführer SS, 18e SS de Panzergrenadiers Horst Wessel et 22e SS de cavalerie Maria-Theresia) et avec les services d’Eichmann, la gendarmerie hongroise effectue des dizaines de milliers d’arrestations.

Malgré leur antisémitisme déclaré, les CF ne participent pas à ces actions, le mouvement s’enfermant dans une hostilité feutrée à l’égard du gouvernement Sztojay. De plus, son nationalisme déterminé lui fait accepter difficilement l’occupation « alliée ».





Mais, la situation se dégrade très vite. Horthy, comprenant que ses tentatives de négociation avec les puissances occidentales n’ont aucune chance d’aboutir, prend langue avec les Soviets et prépare son passage dans le camp russe. Malheureusement pour ses projets, les Roumains le précèdent dans cette voie le 25 août 1944 et, dès lors, tout change. Pour les CF, l’ennemi héréditaire roumain est désormais l’allié de l’ennemi politique bolchevique. Il n’y a plus d’hésitation à avoir et les CF, flairant les intentions d’Horthy, concluent un accord avec le SD, dont les agents s’emploient à éviter la trahison du Régent.

Après les péripéties d’opéra-bouffe (enlèvement du fils d’Horthy, voyages quasi officiels à Moscou d’officiers hongrois, préparation non moins évidente du putsch CF), le 14 octobre 1944, le Régent, qui a nommé un fidèle, le général Lakatos, Premier ministre, prend la parole à la radio pour annoncer l’armistice. Aussitôt, Allemands et CF prennent leurs contre-mesures.





Un commando SS de Skorzeny s’empare du palais du Régent et le fait prisonnier. Des unités de SS Polizei du SS obergruppenführer Winkelmann prennent position aux points stratégiques. Les milices Croix fléchées foncent sur leurs objectifs. Le major Lazlo Ferenczy occupe la radio qui émet, entre des marches militaires hongroises et allemandes, sans arrêt le message de Szalasy : « Face au danger russe éternel et pour la sauvegarde de la civilisation chrétienne et occidentale, la Hongrie continue la lutte aux côtés de ses frères d’arme allemands ». Szalasy se proclame « Régent de la Nation », Imredy et Bardossy, ralliés de la dernière heure, forment un nouveau gouvernement que va dominer la Croix fléchée. Les résistants de gauche, dirigés par le major de réserve Bajcsy-Sillinsky (du Parti des petits propriétaires) et regroupés dans le Front hongrois de l’indépendance, tentent un contre-putsch. Le commandant de la gendarmerie Norbert Orendi liquide le complot et abat Bajcsy-Sillinsky. Les conjurés survivants passent devant le « Tribunal des règlements de compte » CF qui les condamne à mort.

Tandis que de furieux combats se livrent en Transylvanie, qu’une partie de la 1re armée hongroise avec le maréchal Bela von Dalnoki-Miklos passe aux Russes et qu’un soulèvement communisant est écrasé à Keskemet, le régime CF s’installe.

Malheureusement pour lui, Ferenc Szalasy se révèle comme ce qu’il a toujours été, une sorte de prophète mystique, sans aucune qualité de chef d’État. Réfugié rapidement dans l’Ouest de la Hongrie, il se limite à travailler sur des projets de réforme populaire, totalement utopiques à cette époque. La direction réelle du mouvement passe aux « durs », qui, sous le slogan Kitartos (« Résistance »), veulent mobiliser le peuple hongrois contre les rouges.





Devant les atrocités commises par les Russes, le sentiment national se révolte. Des troupes roumaines occupant la Transylvanie, le motif est suffisant pour qu’un vaste mouvement d’adhésion au régime Szalasiste se produise. De 100 000 (printemps 44, les 2/3 des effectifs s’étant alors retirés), les Croix fléchées passent à plus de 200 000. Le major Ferenczy met sur pied une forte milice de Chemises vertes. Dans le cadre de l’organisation de l’État, Audor Jaross (ancien leader de la minorité hongroise de Slovaquie et député à Prague jusqu’en 1938) devient ministre de l’Intérieur et laisse les mains libres à la gendarmerie, dont les chefs (Naoas, Fekethelmy, Czeidner et Orendi) raflent des milliers de Juifs, malgré certaines réticences de l’état-major CF. Son adjoint, Gabor Vajna, chargé des questions de police, donne la direction de ses services à l’un des « durs » CF, Peter Hain, qui entreprend l’extermination de l’opposition. Pour renforcer l’effort de guerre de la nation, encore trop insuffisant, Emil Kovarcz, autre leader CF, prend la tête d’un ministère pompeusement baptisé « Mobilisation de toute la nation en vue de la guerre totale » (et dont les résultats seront infiniment plus modestes que le titre…). Un abbé excommunié pour son extrémisme, l’abbé Kun est chargé du contrôle de l’Église catholique, fort réticente, malgré son anticommunisme, à l’égard du régime.

Mais les Russes continuent leur ruée en avant et encerclent, le 13 décembre 1944, la capitale. Dans la ville encerclée, ou règne rapidement l’anarchie, le « Frère » Ervin Csyky, jeune homme de 27 ans, reçoit le commandement des milices CF, tandis qu’Ernö Vajwa est nommé commissaire du gouvernement.

La coordination entre les divers organismes chargés de la défense de la capitale se fait fort mal. Après un intermède de quelques jours de Winkelmann, le SS obergruppenführer Pfeffer-Wildenbruch, chef du IXe SS Gebirgskorps (Corps SS de montagne de volontaires croates), reçoit le commandement de la défense de Budapest. Csyky commande, plutôt mal que bien, les milices du parti, le général Kalandy, pro-Croix fléchée, la gendarmerie, tandis que le général Ivan Hindy, chef du 1er corps d’armée de la Honved (armée hongroise), commande les troupes régulières (dans un esprit peu favorable aux CF).





La défense de Budapest est mal organisée, chaque autorité refuse de collaborer avec les autres, Honved et Chemises vertes finissent par échanger des coups de feu. Des extrémistes veulent massacrer les Juifs de la ville, mais les autorités CF, en les mobilisant, finissent par leur éviter ce sort.

Les milices CF se battent très courageusement, les combats pour Budapest seront (avec Varsovie, Okinawa et Stalingrad) les plus durs de toute la Seconde Guerre mondiale. Mais les actes de pillage, d’ivrognerie, voire de désertions se multiplient. Les trois divisions SS qui forment l’armature de la résistance : 8e SS de cavalerie (reichsdeutsche et volksdeutsche), 22e SS de cavalerie (volksdeutsche de Hongrie et volontaires Croix fléchées), 33e SS de cavalerie Szent-Istvan (Volksdeutsche de Hongrie et volontaires CF) tiennent avec vaillance mais les divisions de Honved commencent à lâcher pied.

Les assauts des troupes germano-hongroises pour dégager la garnison échouent pendant tout le long du mois de janvier 1945.

Comprenant que la situation est désespérée, malgré les réticences de Pfeffer-Vildenbruch, les éléments les plus acharnés des défenseurs (et spécialement les CF, menacés de mort en cas de capitulation) décident de briser l’encerclement soviétique.





Le 13 février, une horde de dizaines de milliers d’hommes, souvent accompagnés, de leurs familles (dans le cas des miliciens CF), sous la foi de la fausse annonce de la percée des sauveteurs de la 11e armée, se ruent à l’assaut des forces russes. Un épouvantable massacre se produit, l’artillerie fauche des vagues entières se jetant dans une sorte de charge suicidaire contre les lignes bien fortifiées des russo-roumains. Seuls 785 hommes (soldats de la 60e division d’infanterie Feldernhalle, 8e et 22e SS, et quelques CF) pourront forcer l’encerclement et gagner les lignes allemandes.

Le soir même, Pfeffer-Wildenbruch capitule, tandis que les Russes « vident » la capitale, le nombre des prisonniers n’étant pas à la mesure des difficultés rencontrées dans ce siège de deux mois.

La minuscule « Hongrie Nationale » de Ferenc Szalasy décrète un deuil national, mais elle est frappée à mort.

Les Allemands ont beau repartir à l’attaque (VIe SS Panzerarmee du SS oberstgruppenführer Sepp Dietrich) à la fin mars, le régime des Croix fléchées vit ses dernières heures.

La puissante contre-attaque soviétique balaie les divisions de Waffen SS et, en même temps, les lambeaux de territoires encore aux mains de l’administration Croix fléchée.





Le gouvernement Szalasy s’enfuit à Vienne, bien que ses troupes continuent à combattre courageusement contre l’ennemi. La 26e division Waffen SS Hunyady (formée de volontaires hongrois) se bat en Pologne, puis en Poméranie contre l’Armée rouge. Les restes des divisions CF et les débris des 14 divisions de la Honved, restées fidèles à Szalasy forment barrière en avant de Vienne et le long du front croate.

Vienne tombe le 4 avril, tandis que le gouvernement Szalasy tombe aux mains des Occidentaux, qui le livrent au nouveau régime hongrois. Tandis que la majorité des forces szalasistes sont internées en Autriche, des bandes CF tentent de mener une guérilla contre les Russes dans une Hongrie presque totalement dévastée.





Les ministres szalasistes passent en jugement devant le Tribunal du peuple à Budapest et sont, tous, condamnés à mort. En janvier 1946, face au Danube, Szalasy, Bardossy, Imredy, Vajna, Ferenczi, Hubay, Hain, Kovarcz et d’autres sont pendus. Szalasy meurt bravement, revêtu d’une chemise verte, en faisant le salut fasciste.

Une épuration extrêmement dure frappe les CF et tous les autres nationaux-socialistes. Des centaines de militants sont exécutés, des dizaines de milliers d’autres sont internés dans des camps de concentration. Toute possibilité d’action ultérieure est rapidement brisée, bien que des bandes subsistent pendant un certain temps.

Spéculant sur la présence de nombreux juifs dans les cadres du Parti communiste (qui joue le premier rôle dans la coalition gouvernementale) les CF clandestins réussissent à monter un pogrom à Kiskumandaras en 1946. Pour en finir, Imre Nagy, ministre de l’Intérieur, est remplacé par l’extrémiste Lazlo Rajk, qui réussit à briser l’action des partisans proches des CF. Dans l’émigration, les premiers réseaux se reforment en Allemagne, en Autriche, en Italie, voire en France ou ceux USA. L’ex-abbé Kun crée le journal Kitartos (« Résiste »), qui tente de regrouper les CF en exil.

Mais les Chemises vertes rescapées ont beaucoup de mal à se mettre d’accord et les querelles de personnes continuent au sein des groupes péniblement constitués.

S’il existe encore des CF en exil, leur rôle est pratiquement terminé. Cependant certains d’entre eux pourront participer au soulèvement de Budapest. Le régime Kadar donnera des détails assez précis sur les agissements de certains anciens Waffen SS hongrois parmi les « Combattants de la liberté ». Mais il semble pas que ce rôle ait pu être bien considérable.





Jugement sur les Croix fléchées

Le mouvement des Croix fléchées est suffisamment original pour permettre une étude intéressante sur le « Fascisme de gauche ». En effet, le fascisme hongrois est d’origine populaire et a des composantes proches de celles du communisme. Les Croix fléchées recrutent dans le prolétariat et non pas seulement dans la bourgeoisie.

Mieux encore, les CF ne se limitent pas à recruter des éléments prolétariens isolés, « atomisés » par le premier stade de développement, mais aussi des ouvriers groupés dans des syndicats « de gauche », et qui passent de ce fait au fascisme. L’implantation du fascisme devient telle que celui-ci est capable de diriger de grandes luttes ouvrières par ses propres moyens. L’incapacité des organisations de gauche à encadrer le prolétariat explique ce succès. Face à l’aristocratie et aux milieux financiers, les Croix fléchés, lors de leur plus grande extension, réussissent, comme le voulait leur programme, à grouper toutes les diverses classes du peuple autour de leur mouvement.

Le fascisme « de gauche » ne peut prendre le pouvoir, malgré sa force propre, que grâce à l’aide des Allemands. Ceci tient à la fois à la force du régime Horthy, soutenu par tous les conservateurs et réactionnaires hongrois et à la faiblesse de caractère de Ferenc Szalasy, homme très mou et influençable, ballotté par les différentes fractions du parti. L’incapacité du chef CF ruine aussi les efforts de son régime pour créer une Hongrie nouvelle. Les événements militaires n’auraient, de toute façon, pas permis les réformes rêvées par les plus idéalistes des Croix fléchées.

nyilas.jpgL’idéologie très pauvre des Croix fléchées explique que leur doctrine fut un activisme, bien qu’un grand nombre d’intellectuel, se soient rangés sous les bannières des Chemises vertes.
Mais cette faiblesse idéologique explique la facilité avec laquelle nombre de CF furent récupérés par les communistes (le premier appel au ralliement de ceux-ci fut lancé par Mattias Rakosi, pourtant lui-même d’origine juive) et devinrent de fidèles serviteurs du nouveau régime. La vérité oblige à dire que ce ne fut cependant pas le cas de la majorité CF, qui devint ainsi l’une des fractions des parias du régime.




nationalsocialradical.wordpress.com

Miklós Horthy - A life for Hungary
Miklós Horthy - Emlékirataim

Itsvan Bakony - PDF
Hungary - PDF

Monday 7 March 2016

Andreas Moritz - Timeless secrets of health & rejuvenation

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Andreas Moritz - Timeless secrets of health and rejuvenation
Breakthrough medicine for the 21st century


What actually causes disease ? The answer might be surprising. In this new edition of his best-selling book The Key to Health and Rejuvenation, Andreas Moritz reveals the most common but rarely recognized reasons responsible for illness and aging and how to achieve continuous vibrant health.
Andreas puts the responsibility of basic health care back into the hands of the individual. He states, "Healing occurs effortlessly and naturally once the conditions that are required for the body to return to its most natural state - balance and efficiency - have been met."
The basic theme is the relative ease involved in creating good health. While physicians attempt to combat or subdue illness, they "know very little about employing the mind and body to actually heal a person."

The book includes a complete self-help program, part of which is derived from the ancient medical system of Ayurveda. In addition, this book is packed with useful information on all major health issues and effective methods of cleansing the blood, liver and gallbladder, intestines, kidneys, blood vessels, lymphatic system and body tissues.
The nearly 500 pages, divided into 15 chapters, explain everything about the mystery of mind and body, the laws of health and illness, the risk factors of common diseases, the diagnostic parameters, the most common causes of disease and how to remove them, the basic misconceptions people and doctors have about health and wellness, and the journey to lifelong health and spiritual happiness.

Neither conventional nor alternative forms of medicine provide the population with the basic, practical steps to remove the root causes of illness and use practical measures of health promotion as a primary approach of treatment. Timeless Secrets of Health and Rejuvenation fills this gap by showing you how to employ your body's own healing powers to bring balance and harmony into all aspects of your life.
Overall, this book is the bible of good health, happiness and rejuvenation for those who long for a balanced lifestyle.


Andreas Moritz - The amazing liver cleanse
Andreas Moritz - L'étonnant nettoyage du foie & de la vésicule biliaire - Protocole
Andreas Moritz - PDF

Hulda Clark - La Cure du Foie
Hulda Clark - The cure for all diseases


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Friday 4 March 2016

Roger Dommergue - Auschwitz : Le silence de Heidegger

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Roger Dommergue - Auschwitz : Le silence de Heidegger
La mystification de l'antinazisme et des réalités de l'imposture de la seconde guerre mondiale


Roger Polacco de Ménasce, endocrinologue et écrivain issu d’une famille juive ayant un temps fait fortune dans le coton égyptien et la banque, il était notamment connu pour ses pamphlets, sa lutte contre la loi Gayssot (qu’il estimait être "la preuve par neuf d’une imposture"), et sa théorie sur l’action endocrinienne de la circoncision rituelle juive du huitième jour, qu’il désignait comme directement responsable du particularisme juif et de ses constantes à travers le temps et les civilisations.


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Roger Dommergue Polacco de Ménasce - PDF
Révisionnisme - PDF


Avis de décès du Révisionniste juif Roger-Guy Dommergue Polacco de Menasce
Roger Pollaco de Ménasce - Entrevue fin 2009
Ein interview mit Roger Dommergue Polacco de Menasce
Le martyre et l'holocauste des nègres par les juifs trafiquants esclavagistes
La fin du judéo cartésianisme
Roger Dommergue - Entretien avec le professeur


Jean Gautier - L'enfant, ce glandulaire inconnu


Nenki.jpgwww.galzu.info
Nous nous sommes connu suite à travers d'une connaissance mutuelle en France qui me demanda si la maison des Editions Nenki désirerait publier son livre. J'obtins son # de téléphone et à partir de ce jour nous devinrent deux grands amis. J'étais renversé ahuri par toute sa personne, son intensité, son humour, ses répliques. Mentalement vigoureux pour son âge, engagé, honnête et intègre. Un homme de coeur. Un juif détaché du monde matériel et de l'argent. Il me fit parvenir tous ses livres, ses écrits, ses lettres, correspondances depuis deux décennies et me donna les droits d'auteur. Quelques-uns furent placés sur le Web, subtilement. Bientôt, toute ses œuvres seront disponibles sur ce site. Des milliers de pages. Il s'ennuyait seul, je lui téléphonais au 15 jours. Il voulait que je diffuse tout sur mon site. Je lui ai offert d'aller en entrevue et il acquiesça avec un enthousiasme fervent. J'ai publié son livre mais sans y mettre de numéro d'ISBN et le nom de ma maison. Je savais, dû aux lois canadiennes, qu'il serait proscrit avant longtemps. Mais le livre était facilement disponible sur Internet, mais pour une raison bizarre, incompréhensible, il fut négligé. Je lui envoyais les profits des ventes à tous les mois car il était dans une situation très précaire. Il existe une entrevue entre lui et moi sur ce site. Cliquez ici pour l'entendre: Il s’est éteint en paix à Châteauroux à l’âge de 88 ans, alité depuis plusieurs années et ayant choisi de vivre modestement.
De la plume de l'auteur: "Messieurs, Un souci de vérité synthétique motive ce long exposé. Je vous le livre sans aucun espoir de réponse intelligente et exhaustive. En effet hormis Simone Weil, Bernard Lazare, Bergson et quelques autres congénères, je n'ai jamais rencontré de Juif intellectuellement honnête. Je ne vois que leurs mensonges et leur mauvaise foi exsuder de partout. J'aimerais ne pas être parmi les Juifs, une rarissime exception susceptible de probité et de synthèse. J'ai suivi vos deux émissions "Océaniques" qui étaient de façon radicale, axées non pas sur Heidegger, mais sur son SILENCE. Poser la question du silence de Heidegger est déjà inconscient en soi et je vais m'en expliquer de la façon la plus claire possible. Personne parmi vous tous présents à cette émission, n'a mis en doute un seul instant l'intelligence supérieure de Heidegger. Alors pourquoi ce hiatus ?"

Thursday 3 March 2016

Eric Dubay - Le Complot de la Terre Plate VOSTFR


Eric Dubay - Le Complot de la Terre Plate - VOSTFR
Version sous-titrée en français du documentaire d'Eric Dubay : Le complot de la Terre Plate


Eric Dubay - The Atlantean conspiracy
Eric Dubay - 200 proofs earth is not a spinning ball
Dossier Terre plate


Visualizing a Flat Earth



Flat Earth model with planets in motion



Traduction : Epurnon Muove


That’s All Folks !

Salut les aminches ! Comment allez-vous yau-de-poêle ?

Bon, un dernier billet pour vous dire que le temps est venu pour moi de passer à autre chose. (Eh ouaip !) Faisons un rapide bilan : plus de 200 vidéos sur YT et 3 fois autant d’abonnés, 150 pages vues en moyenne par jour sur les >360 articles du blog, et des mentions en passant sur d’autres sites, surtout en mal mais aussi en bien. L’objectif est, pour moi, quasiment déjà atteint (et il l’est dans la mesure où je connais la vérité et où vous, si vous êtes ici, la connaissez également). La France nombriliste mettra du temps à s’en rendre compte mais le sujet de la Terre plate est, du moins dans le monde anglophone, déjà dans la sphère quasi-publique. La dernière sortie de B.o.B. et les réponses de NdG Tyson ont mis la Terre plate sur le devant de la scène et le buzz n’est plus limité aux sites « conspirationnistes » (a.k.a. drapétomanistes) ou aux chaînes YT. Les médias de masse et de plus en plus de sites généralistes sans lien aucun avec la science ou les « complots » se font l’écho de la vérité – en la dénigrant, soit, mais tout de même – et une audience chaque jour grandissante devient concernée. C’est aussi un problème parce que les informations disponibles croissent de manière exponentielle. Il ne m’est plus possible de tout suivre. Il faudrait que je consacre de + en + de temps pour produire de - en - de matériel original et pertinent alors je préfère en rester là, avec ce qui existe déjà et reste de bonne qualité dans l’ensemble.

J’imagine que le relai a déjà été pris. Peut-être la communauté a-t-elle besoin d’un forum pour organiser les recherches de ceux qui ont encore des questions ? Si ça arrive, faites des sauvegardes : ils ont fermé le forum d’Eric Dubay sans préavis ! Il y aura intérêt à diviser ce vaste sujet en sections avec de véritables expériences scientifiques à la clé : concernant la Lune, le Soleil, les problèmes de perspective, les gyroscopes, les témoignages de gens touchés directement par la Terre plate et qui ouvrent enfin les yeux…Aux suivants de voir.

Il n’y a pas trop de soucis à se faire : comme le dit souvent Mark Sargent, le sujet de la Terre plate résonne avec les gens. C’est un « complot » (c.-à-d. fait) qui a cela d’unique qu’il n’est pas simplement factuel, un aspect transcendant y est attaché et cela parle aux ‘chercheurs’. Porfirio Diaz aurait dit en parlant de son pays : « Pauvre Mexique, si loin de Dieu et si près des États-Unis. » De manière tragique et non plus comique, c’est le cas de la France en général ainsi que de d’un nombre grandissant de pays et individus. C’est une tendance qui approche de ou est déjà à son apogée, mais qui ne durera plus longtemps et s’inverse déjà pour certains. La Terre plate est ce qu’on aura de plus approchant d’une preuve scientifique (pas religieuse ou spirituelle) de l’existence de Dieu, et c’est pourquoi, rapidement, le public va s’y intéresser…et se diviser. Les mois à venir amèneront leur lot de ‘debunkers’, d’attaques ad hominem croissantes, de diversions (*cough* campagne électorale *cough*), esquives, etc. Mais ce qui doit arriver arrivera. Que ce soit une question de temps comme le disait Thomas Paine dans Common Sense (« Le temps fait plus de convertis que la raison. »), parce que cela sert les intérêts du NOM, ou que c’est la volonté de la ruse de la raison elle-même, la Terre plate est garantie de gagner en publicité.

J’estime avoir mis à disposition suffisamment de matériel pour convaincre les esprits ouverts, et avoir par conséquent ‘fait mon boulot’ comme on dit. Vous pouvez utiliser mes articles ou mes vidéos sans même citer leur origine (d’aucuns l’ont déjà fait), libre à vous, ils ne m’appartiennent pas.

En vous souhaitant bon courage à tous et à toutes pour la suite des événements qui promettent de ne pas être de tout repos,

EM


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Wednesday 2 March 2016

Nicolaes Petter - L'académie de l'admirable art de la lutte




Nicolaes Petter - L'académie de l'admirable art de la lutte
1674


Montrant d'une manière très exacte non seulement la force extraordinaire de l'Homme, mais aussi les mouvemens merveilleux, l'usage singulier, & les souplesses des principales parties ou membres du corps humain.

Avec une instruction claire & familiaire, comment on peut en toutes occasions repousser surement & adroitement toutes sortes d'insultes & attaques.

Représentée en soixante & onze tailles douces, qui sont très belles, & qui ont été dessinées par le Célèbre & fameux Mr. Romein de Hoogue.

Ouvrage non seulement des plus agréables & des plus nécessaires pour toute sorte de personnes, mais aussi très utile pour bien connoître les mouvement & les souplesses du corps humain.

On trouvera à la fin de l'Ouvrage des tables, qui expliquent clairement & distinctement toues les tailles douces.


Arts Martiaux - PDF