Henri Faugeras - Les juifs peuple de proie


Books

Faugeras_Henri_-_Les_Juifs_peuple_de_proie.jpg


Acheter la version papier du livre
Henri Faugeras - Les juifs peuple de proie

Les Juifs sont issus d’un triple métissage : d’abord un croisement originel sémite-mongol en Asie centrale (dans les chaînes de l’Altaï), puis un deuxième croisement, nègre celui-là, du peuple métis ainsi créé. Dans la suite des temps, de nouveaux métissages ont particularisé certaines variétés de la race juive primitive, sans en modifier d’ailleurs le caractère profond dès lors fixé (Juif askénasique de l’Europe centrale, Juif séphardique de l’Afrique du Nord et de l’Espagne, Juif Gerim et Khasar de Russie, Juif Falasha d’Abyssinie, Juif négroïde du Sénégal, Juif de l’Inde, Juif babylonien, Juif chinois). Ainsi, blancs, jaunes, noirs confondent dans la variété raciale juive leurs caractéristiques souvent opposées, mais sans les fusionner, d’où un déséquilibre initial réalisant la sommation des défauts et des tares des races composantes : Les familles israélites nous présentent en matière de folie les plus beaux sujets que l’on puisse imaginer , écrit le Professeur Charcot.
L’anthropologie nous montre un unique deuxième cas de triple métissage : les Zambaïgos d’Amérique du Sud croisés blancs d’Europe, rouges d’Amérique, noirs d’Afrique ; ce sont des êtres pervers et féroces, totalement déséquilibrés dont il est dit : Dieu a créé l’Indien et le Nègre, mais c’est le Diable qui a produit le Zambo.
Le caractère racial le plus apparent chez le Juif est le caractère négroïde : développement précoce, cheveux fréquemment crépus, nez épais, lèvres charnues. A ce caractère s’ajoutent le teint olivâtre et les pommettes saillantes du Mongol, les pieds plats et les mollets maigres du Sémite. Le Juif subit par ailleurs les atteintes des maladies spéciales aux espèces dégénérées, en particulier névrose et déséquilibre mental.
L’Homme blanc est équilibré, constructeur. Le Nègre est un enfant même dans son âge mûr, le Mongol un vieux même dans sa jeunesse.
Le Juif, désaxé physique, mental et moral, du fait de son triple métissage, sera essentiellement un destructeur. Son comportement procède de ses origines raciales, mais en les dénaturant. La hâblerie du nègre devient chez le Juif imposture et astuce, son désir naïf de jouissance devient égoïsme féroce, son immoralité spontanée devient amoralité insolente, sa paresse devient volonté absolue de refuser tout travail réel : arrogant et servile, rapace et prodigue, orgueilleux, féroce, lâche, passionné jusqu’à la fureur, toujours instable et pervers, mais ayant hérité du sang mongol une inlassable patience, une indomptable ténacité, un sens psychologique aigu, une absence totale d’idéalisme. Si la perversion et la férocité de son égoïsme font du Juif un destructeur, ces mêmes vices lui imposent le conservatisme absolu de tout ce qui lui apparaît comme un bien propre, et d’abord de sa race et de sa tradition, religion, race, nation constituant un tout indivisible.
Avec cela, peuple sans art, sans technique, sans culture, le peuple le plus grossier et le plus imbécile de la terre, dit Voltaire. La langue juive originelle, l’Hébreu, est un mélange barbare de langues asiatiques, si rudimentaire qu’elle ne présente que deux temps dans la conjugaison des verbes, qu’elle ne comporte même aucun mot signifiant école.

Livré à lui-même, le peuple juif, uni dans ses communautés raciales, ne dépassa jamais le stade du ghetto, ghetto des pays latins et slaves et mellah de l’Afrique du Nord où, dépenaillés, teigneux, amorphes, rachitiques, les Juifs traînent par les rues de leurs taudis leur indolence nostalgique et leur incurable horreur du travail manuel, mais, toujours prêts à foncer sur une proie, à exercer ces instincts de vautour dénoncés par le Général Marbot pendant la campagne de Napoléon Ier en Russie : A peine étions-nous hors de Wilno, écrit-il dans ses mémoires, que les infâmes Juifs se ruèrent sur les Français (blessés et malades demeurés dans la ville) pour leur soutirer le peu d’argent qu’ils avaient ; ils les dépouillèrent de leurs vêtements et les jetèrent par un froid de 3o° tout nus par les fenêtres.
Moïse, le législateur hébreu, a formulé au peuple juif dans le Deutéronome le but racial de son action : Tu posséderas grandes et bonnes villes que tu n’auras pas bâties, maisons pleines de toutes sortes de biens que tu n’auras pas remplies, citernes que tu n’auras pas creusées, vignes et oliviers que tu n’auras pas plantés. Et le juif Maurice Samuel constatait en 1924, trois mille cinq cents ans plus tard, les circonstances et moyens de cette action : Entre les Gentils et nous il y a un abîme. Les Juifs forment le plus raciste de tous les peuples. Nous Juifs, destructeurs, resteront éternellement des destructeurs. Rien de ce que vous ferez ne satisfera à nos besoins et à nos demandes. Nous détruirons toujours parce que nous voulons un monde à nous seuls.


Pour plus d'informations


/blog/public/img/henri_faugera_les_juifs_peuple_proie.png

Léon de Poncins - Le judaïsme et le Vatican Hanna Zakarias - L'Islam et la critique historique