October 2018

Monday 29 October 2018

Bernhard Schaub - L'action européenne

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Bernhard Schaub - L'action européenne
Genèse et objectifs du mouvement de liberté européen


La situation en Europe se caractérise par l’insécurité, l’insatisfaction, la peur de l’avenir … Personne ne sait plus à qui encore faire confiance, aucune promesse n’est plus tenue. Le citoyen se sent trompé, mais, en général ignore par qui.
Il ne fait que pressentir que tout, quelle qu’en soit la manière, doit être relié au thème de l’argent. Il prétend choisir lui-même ses gouvernants, et il persiste dans cette attitude, alors même que ceux-ci ne tiennent pas leurs promesses électorales. Les grands problèmes, dans bien des pays d’Europe, sont de natures différentes ; dans l’Ouest, toutefois, ils sont semblables : endettement étatique, surpopulation étrangère, perte des valeurs, pauvreté croissante malgré le miroir aux alouettes qu’est la croissance économique, quand ce n’est pas précisément la faillite de l’Etat qui est proclamée.
Beaucoup sont à la recherche d’une issue libératoire. Il y a bien quelques mouvements révolutionnaires, mais lequel d’entre eux peut-il réellement changer quelque chose ? Bernhard Schaub, dans le présent ouvrage, nous montre le seul chemin pour sortir de la crise qui s’accroît depuis 100 ans de manière exponentielle, et le lecteur, qui a compris ses explications, s’interroge : mais comment n’a-t-on pas songé plutôt à cette brillante idée ?
L’avenir de l’Europe ne peut résider que dans une Europe réellement unie, une Europe de peuples indépendants.


action_europeenne.jpgEmblème de l’action européenne

Les couleurs bleu et or sont les couleurs du ciel. Dans le chant du matin de Hans Baumann, il est dit : « Alors le matin propulse sa lame flamboyante dans le firmament, déploie sa bannière d’azur que le soleil baptise de ses rayons ». L’or de la sagesse dans l’azur froid de l’âme tranquille, c’est l’idéal de tout effort spirituel ; faut-il donc voir dans ces couleurs celles qui, depuis toujours, ont été le symbole du Nordique et de l’Aryen. La Suède, en tant que pays nordique typique frappe son drapeau de ces couleurs.
Lorsqu’il s’est agi de trouver un emblème pour l’UE, pilotée de et par l’étranger, l’on s’est - instinctivement ou en toute conscience - décidé pour les couleurs bleue et or. Toutefois l’étoile à 5 branches, usée et mésusée par les francs-maçons, étoile qui était déjà devenue le signe des USA et de l’URSS, fit, elle aussi, son entrée dans le drapeau de l’UE afin de bien faire savoir ainsi quel seigneur servent l’Union européenne et le Conseil de l’Europe.
Sur notre drapeau nous avons mis une croix droite, composée de 4 croix en tau. Les croix en tau sont aussi interprétées comme les marteaux de Thor : c’est pourquoi l’allemand l’appelle croix « martelée », alors que le français la nomme croix « potencée ». Elle est visible, par exemple, sur le tambour d’argile préhistorique de Hiirnsommer (district de Langensalza), sur un montant du bateau d’Oseberg, du temps des Viking, et sur un abécédaire discoïde alémanique, du temps des grandes migrations de peuples. Elle représente la forme primitive de toutes les croix droites dont les extrémités sont arrangées de toutes les façons. Ainsi, la croix potencée peut prendre d’autres formes, telles que la croix fourchée, pattée, fleur de lysée, tréflée, ou la croix d’un ordre chevalier, comme les utilisèrent les templiers ou les chevaliers de saint Jean de Jérusalem. Les chevaliers Teutoniques la portaient parfois, précisément sous la forme où nous l’utilisons, comme précurseur de la croix « poutrée ». Dans le manuscrit des chants Manessiques, nous la trouvons sur le manteau du chevalier (teutonique) Tannhâuser.
D’après Walter Blachetta (« Manuel des symboles allemands ») notre croix européenne a la signification de la « procréation et de l’accomplissement au sens de la loi du créateur divin ; elle est aussi le signe de la décision capitale ».
Autour de la croix est disposé un cercle. L’anneau ou le cercle est, depuis toujours, le signe de l’achèvement, de la perfection, de l’éternité, de l’indissoluble fidélité, du soleil divin et de l’ensemble de l’univers. Le cercle est, pour cette raison, l’image de la communauté dans laquelle chaque individu est contenu. Des forces surnaturelles ont toujours été liées à l’anneau, comme le montrent nos contes et légendes jusqu’à l’ « anneau des Nibelungen » : il corrompt les indignes et élève les dignes au pouvoir.


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Saturday 27 October 2018

Livre bleu n°1

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Livre bleu n°1
L'argent pourrit les hommes


L'argent est amusant... L'argent est excitant... L'argent... l'argent... l'argent ? ? ? Je t'achète, tu m'achètes... Nous achetons tout... ? ? ? Aujourd'hui nous sommes tous vendus... Chaque Français (européen) est endetté ? ? ? Ce livre est simple et clair, et montre la combine derrière le système de l'argent... La démasquerez-vous ?


Livre bleu n°2
Jan Van Helsing - Livre Jaune N° 1
Jan Van Helsing - Livre Jaune N° 2
Livre Jaune N° 5
Livre Jaune N° 6
Robin De Ruiter - Livre Jaune N° 7

Tuesday 23 October 2018

Frederik To Gaste - La vérité sur les meurtres rituels juifs

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Frederik To Gaste - La vérité sur les meurtres rituels juifs
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Lecture de La vérité sur les meurtres rituels juifs de Frederik To Gaste



Préface

C’est pour répondre au désir d’une grande partie de la population que le présent opuscule entreprend, en toute concision, de tirer de l’obscurité les crimes les plus abominables ayant jamais été commis sur des êtres humains, crimes connus sous l’appellation de « meurtres rituels ».
Ce n’est pas une mince affaire, compte tenu de l’énorme documentation à compiler et à scruter, que de reconstituer le parcours sanglant des crimes juifs à travers les siècles jusqu’à nous afin de faire éclater la vérité au grand jour.
Comme un vampire fermement accroché à la carotide des peuples hôtes, tout à son œuvre d’exsanguination, le juif a toujours été le fléau de l’humanité. Au cours de son existence parasitaire, une aspiration fondamentale a dicté sa conduite : flétrir la vitalité des peuples jusqu’à les paralyser, tandis qu’il convoitait l’hégémonie d’un monde réduit par lui en esclavage, non sans avoir procédé à une soigneuse pesée d’intérêts et de conséquences. Qu’il n’y soit pas encore parvenu revient en grande partie à son essence même ; car, de nature, de naissance, le juif est prédisposé au crime qui le consume en tant qu’hôte impromptu, figure en marge de l’humanité dans son avidité de parasite. Destructif dans l’épanouissement de ses forces, le juif promeut compulsivement sa quête de nuisance dominatrice, devant constamment faire face à la contre-offensive des peuples menacés de ses coupables assiduités. En revanche, là où un juif est parvenu à brider un peuple, il en est toujours résulté une fatale décomposition.
Contrairement aux autres peuples enracinés dans leurs terres dont ils ressentent l’emprise et où ils ont laissé s’épanouir leur nature et leur race, le juif est resté un être vagabond, agité et versatile : un étranger parmi les étrangers. Inapte à l’assimilation, il vit avec une haine fanatique à l’égard du non-juif de tout ce qui ne relève pas des mœurs et usages transmis, autant de commandements de sa religion. Jéhovah, le Dieu de la vengeance, exige de ses enfants un sacrifice pour la réconciliation entre eux et lui : le prix du sang ; ainsi, tout comme son Dieu, cruel et sans scrupules, voilà le juif !
L’on comprend pourquoi le sacrifice du sang joue un rôle si important dans le rite juif : il a force de purification ; il libère le juif officiant de ses péchés et le fait apparaître agréable aux yeux de son Dieu sanguinaire chaque fois qu’il s’agit du sang d’un de ses ennemis. Or, est ennemi de Jéhovah tout non-juif ; par conséquent, le sacrifice du sang de celui-ci est, pour le juif, la suprême ordonnance.
Il serait oiseux de s’aventurer dans une querelle attisée par les juifs portant sur les meurtres rituels ; car, bien que les juifs démentent cette pratique comme telle, il subsiste cependant le rite incontesté du sacrifice du sang qui, à lui seul déjà, rend plausible le fait du meurtre rituel. Pour le juif, ces sacrifices ne peuvent passer pour des meurtres, d’autant qu’il s’agit des Goyim abhorrés de son Dieu Jahwe (Jéhovah), pour qui ils ne sont que des animaux.
Avec quelle cruauté le rituel juif accomplit la lente exsanguination de ses humaines victimes, voilà qui est présenté en quelques chapitres résumés dans cet opuscule par des exemples particuliers de meurtres rituels imputables aux juifs et irréfutablement prouvés, dont le nombre avoisine le millier.
Il n’a pas toujours été possible de faire toute la lumière en ces mystérieuses ténèbres qui entourent les meurtres rituels. Du reste, un chapitre y sera consacré, où l’on appréciera les moyens et le raffinement déployés par la juiverie internationale pour nier les lourdes accusations de sacrifices rituels, sans pouvoir toutefois nier le fait en tant que tel.
Sa profonde motivation, le sacrifice présenté au Dieu juif la trouve dans la haine déjà mentionnée que conçoit le juif à l’égard du non-juif : éliminer le Goy doit résonner chez le juif comme une perpétuelle exhortation.
Nulle part la juiverie n’a trouvé meilleure occasion de s’illustrer que dans les combats politiques, et, où elle a réussi à pousser les peuples à bout, c’est dans un impavide et impitoyable recours au meurtre comme moyen de combat politique.
Il est révélateur de constater, et les combats politiques, en particulier ceux de ces dernières années, le prouvent sans conteste, que le juif est partout compromis là où la vie humaine ne joue aucun rôle sur les champs de bataille politiques.
L’exemple le plus repoussant nous est ici donné par l’Union soviétique, où l’élimination des hommes est menée de manière systématique, comme seul un cerveau juif peut le concevoir dans ses fanatiques conséquences ; et c’est bouleversé que le monde apprit l’existence des vastes champs de cadavres, de ces tragiques exécutions sommaires d’une balle dans la nuque, dont les victimes de la terreur juive se chiffrent par millions : inconcevable, inimaginable, le destin de ce peuple, harcelé, torturé, et ce n’est pourtant qu’une phase expérimentale de ce que les juifs méditent envers tous les peuples qui tombent dans leurs griffes et endurent leur hégémonie : l’élimination totale ! Voilà l’avenir : l’anéantissement de tous les non-juifs, acte régulièrement symbolisé par le meurtre rituel.
Ce qu’à travers les siècles la juiverie a fomenté, dans son travail de taupe, elle l’achèvera maintenant dans cette guerre qui sera la sienne ; elle considère comme un devoir historique de réduire les peuples en esclavage sous son hégémonie mondiale : le règne de Juda ! L’alliance que le juif a créée entre le judaïsme, la ploutocratie et le bolchevisme, il la considère comme le couronnement de ses efforts pluriséculaires ; en ce funeste syncrétisme, sous les insignes « or et sang », le judaïsme célèbre son triomphe suprême, le triomphe de voir présider Jahwe à la fête de Pourim, la plus sanglante de tous les temps !


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Préface
Pourquoi les juifs commettent-ils le meurtre rituel ?
Tués par les juifs
Martyrisés à mort
Martyre de Simon de Trente
Le meurtre du père Thomas
« Je devais me procurer du sang utile ! »
Abattue dans la synagogue
Le parthénocide de Polna
Oeil pour oeil, dent pour dent


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Oeil pour oeil, dent pour dent
Ces quelques exemples devraient suffire à démontrer la sous-humanité juive dans toute sa bestiale cruauté, dans sa haine implacable envers les ressortissants d’autres races et d’autres religions.
Mais les meurtres rituels ne sont qu’un chapitre dans le grand livre juif du crime. Il n’existe aucun domaine de la criminalistique dans laquelle le juif ne puisse revendiquer la triste gloire d’une suprême compétence, d’être le champion absolu de toutes les abominations, relativement à sa population, tout particulièrement en matière de crimes, qui exigent moins de courage que de ruses et d’absence de scrupules, que ce soit en escroquerie comme dans la traite des blanches, en fausses monnaies et dans le vaste domaine du pistonnage et de la tromperie tout simplement. Si nous devions disserter sur les aptitudes et performances criminelles du juif, que de pages il nous faudrait noircir !
Dans tous les pays du monde, les dossiers de police regorgent d’affaires de meurtres causés par des éléments asociaux ; mais la commission des meurtres rituels est restée le fait du juif, prédisposé par nature à l’expression de ses instincts bas et criminels. Meurtres pour s’adonner à leur frénésie sanguinaire, meurtres pour satisfaire leur haine inextinguible contre les Goyim, meurtres pour obéir aux lois de leur religion. Qu’est-ce donc pour un Dieu, celui qui exige de ses adeptes des victimes sacrificielles ? Mais la représentation de Dieu est toujours liée au caractère du peuple qui lui voue un culte : en cela, dans le domaine de la religion, il n’y a aucun pont entre le christianisme et le judaïsme !
Aujourd’hui, après leur ultime tentative d’inciter les peuples européens à se détruire mutuellement en un gigantesque massacre, les juifs ont joué leur rôle parmi nous. Mais le juif croit encore avoir en main un dernier atout, puisqu’il a réussi à dompter dans son intérêt le bolchévisme, de pure extraction juive, en association avec le capitalisme anglo-américain, qui ne l’est pas moins. Mais là encore, cet ultime atout finira par leur échapper et la guerre, par eux déchaînée, s’achèvera par l’élimination radicale de la juiverie. Le tribunal sera dur mais juste ! Les peuples aryens se sont éveillés et ne sont plus disposés à se laisser dépouiller et asservir, à voir leurs femmes être violées et à laisser expulser leurs enfants des maisons et des fermes. L’heure est proche, car la juiverie internationale a perdu définitivement la partie, en coupable.
C’est un chapitre sombre de l’histoire humaine, au cours duquel ont présidé une stupidité et un aveuglement incompréhensibles, qui prend fin, et des temps plus prometteurs, exempts de juifs, qui se profilent.


Frederik To Gaste - Die wahrheit über die jüdischen ritualmorde

Crime rituel - PDF
Ritual murder - PDF


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Sunday 21 October 2018

Léon Daudet - Deux idoles sanguinaires

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Léon Daudet - Deux idoles sanguinaires
La révolution et son fils Bonaparte


Léon Daudet est un écrivain, journaliste et homme politique français, né le 16 novembre 1867 dans le 4ᵉ arrondissement de Paris et mort le 30 juin 1942 à Saint-Rémy-de-Provence.
Fils d’Alphonse Daudet, journaliste et écrivain, fondateur avec Charles Maurras du journal Action Française (1908).


TABLE DES MATIÈRES :
Causes et origines de la révolution de 1789
Sur les hommes de la révolution en général
Vedettes et hommes secrets
La patrie en danger
Foules et dictateurs
Autour de Thermidor
ROBESPIERRE seul avec lui-même
L’enchaînement de la légende révolutionnaire
Genèse et formation d’une idole
L’assassinat du Duc d’Enghien
Une caricature de la monarchie
La fièvre, le délire et l’hémorragie


Léon Daudet - PDF
Pour plus d'informations

Voir aussi : Georges De Pascal - La juiverie


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Thursday 18 October 2018

Pierre-Antoine Cousteau - Après le déluge

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Pierre-Antoine Cousteau - Après le déluge
1956


1 - « Ami, entends‑tu le vol lourd … »
2 - Au delà du père Ubu
3 - Tout ce joli monde
4 - La Braderie
5 - Les bons copains
6 - Les grands frères slaves
7 - Les têtes carrées
8 - Du neuf, du raisonnable et du constructif

PITIÉ POUR LA RÉSISTANCE !
Aujourd'hui je commence un peu à m'y habituer. Mais au début ce fut dur. J'avais retrouvé la liberté dans les meilleures dispositions d'esprit.
Complètement régénéré, complètement amendé par les méditations carcérales. Tout pénétré de l'énormité de mes crimes. Bien convaincu qu'il avait été sacrilège de s'opposer aux restaurateurs de la Démocratie. Sachant une bonne fois pour toutes que la Résistance était absolument sacrée. Honteux d'avoir pu mettre en doute, jadis, les vertus fulgurantes des preux libérateurs qui m'avaient incarcéré. Et bien décidé à ne plus jamais retomber dans d'aussi exécrables erreurs. Or, le premier garçon qui prononça devant moi le nom du général de Gaulle me dit tout naturellement, comme une chose qui allait de soi : « Ce con de De Gaulle ».
Je fus scandalisé.



D'abord parce que j'ai horreur des vocables grossiers. Et surtout parce qu'il me paraissait inimaginable qu'on pût traiter avec une pareille désinvolture l'homme du 18 juin. D'autant que le garçon qui blasphémait ainsi n'était point un fasciste hitléro-nippon. C'était un médaillé de la Résistance.
Mais ça ne faisait que commencer. Depuis il ne s'est point passé de jour sans que j'entendisse dire - et dire par des gens qui avaient vécu les quatre années d'occupation dans l'attente mystique du sauveur bibiciste - exactement la même chose dans les mêmes termes. Jamais une fausse note. Jamais une protestation. L'épithète s'impose à ce point qu'elle a fini par se souder au patronyme et que des gens qui châtient habituellement leur langage sacrifient à la vulgarité par souci d'exactitude.


Pierre-Antoine Cousteau - L'amérique juive

Pierre-Antoine Cousteau - PDF
Voir aussi : Lucien Rebatet


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Sunday 14 October 2018

Alfred Rosenberg - Le Mythe du XXe siècle - Audiolivre VOSTFR



Alfred Rosenberg - Le Mythe du XXe siècle - Audiolivre
Version abrégée VOSTFR
Regarder sur Bitchute : Partie 1 - Partie 2 - Partie 3

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Le 1er octobre 1946, Alfred Rosenberg fut condamné à mort à Nuremberg, l'un des douze condamnés à cette peine. Rosenberg n'avait jamais occupé un poste militaire, ni dirigé une opération militaire, ni ordonné la mort d'une personne. Le Tribunal militaire international l'a déclaré coupable de tous les chefs d'accusation dont il était accusé :

1. Crimes de guerre
2. Complot pour faire la guerre
3. Crimes contre la paix
4. Crimes contre l'humanité

Le président du Tribunal avait présidé quelques années auparavant les procès-spectacles de Staline pendant les Grandes Purges, au cours desquels environ un million de civils avaient été arrêtés et exécutés pour comportement "contre-révolutionnaire". Avant le début du Tribunal, il a déclaré : "Le fait que les dirigeants nazis soient des criminels a déjà été établi. L'idée est d'obtenir une punition rapide et juste pour le crime. Si le juge est censé être impartial, cela n'entraînerait que des retards inutiles."

Parmi les affirmations de l'accusation, on trouvait que 20 000 juifs avaient été vaporisés avec de l'"énergie atomique" à Auschwitz ; 840 000 prisonniers de guerre soviétiques avaient été tués à Sachsenhausen en un mois avec une machine à pédale à broyer le cerveau ; et que les morts du camp étaient transformés en abat-jour, savon, sacs, gants, chaussons, pantoufles, etc – tout ceci étant désormais considérés comme faux par les historiens classiques.

Les règles normales de la preuve ont été suspendues et le procureur général a déclaré : "Ce tribunal est la continuation de l'effort de guerre des nations alliées. Il n'est pas lié par les améliorations procédurales et substantielles de nos systèmes judiciaires ou constitutionnels respectifs."

Le Tribunal militaire international déclarera de nombreux dirigeants allemands et japonais coupables de crimes de guerre et ordonnera leur exécution. Le sénateur Robert Taft a qualifié les exécutions de " tache sur le bilan américain que nous regretterons longtemps " et le juge en chef de la Cour suprême Harlan Fiske Stone a qualifié le Tribunal de "lynchage de haute volée".

Un juge américain du Tribunal, Charles Wennerstrum, a déclaré : "Si j'avais su il y a sept mois ce que je sais aujourd'hui, je ne serais jamais venu ici. L'accusation n'a pas réussi à maintenir l'objectivité à l'écart de la vindicte, à l'écart des ambitions personnelles en matière de condamnations. Des avocats, des greffiers, des interprètes et des chercheurs ont été employés qui ne sont devenus Américains que ces dernières années, dont les antécédents étaient ancrés dans les haines et les préjugés de l'Europe."

Aucune nation ou aucun représentant allié n'a jamais été jugé pour crimes de guerre par le Tribunal ou toute autre cour, même si Hiroshima, Nagasaki, Tokyo et d'autres villes japonaises étaient encore en ruines. L'Allemagne, qui a perdu 3 600 000 civils à cause de la famine, des bombardements et des meurtres dirigés par les Alliés, a connu les plus grands viols de l'histoire.

Le peuple germanique a commencé à faire l'expérience de son génocide culturel délibéré à travers des programmes de conditionnement social qui ont été mis en œuvre à travers le monde occidental. Ces programmes de modification du comportement ont été conçus par les psychiatres de la "Frankfurt School" et le président de l'American Psychiatrist Association, Donald Ewen Cameron, qui a soutenu que la disposition génétique du peuple allemand à la guerre le rendait inapte à détenir l'autorité ou à avoir des enfants.

Le Dr Cameron, qui a dirigé le témoignage psychiatrique à Nuremberg, croyait que les spécialistes du comportement devraient agir comme planificateurs de la société et que les Nations Unies nouvellement formées devraient appliquer ces principes de conditionnement social au niveau mondial. Quelques années plus tard, le Dr Cameron a lancé le tristement célèbre projet de modification du comportement "MKUltra" de la CIA, torturant psychologiquement des milliers de victimes civiles.

Connu personnellement pour sa compassion et son incorruptibilité, Rosenberg était autodidacte et exceptionnellement cultivé. Au moment où il a écrit Le Mythe du XXème siècle (Der Mythus des zwanzigsten Jahrunderts), ses vues s'étaient cristallisées en une nouvelle synthèse de l'histoire, de la philosophie, de la nature et de la culture qui a fondamentalement défié les institutions politiques et religieuses.

La philosophie révolutionnaire du Mythe était presque certainement la raison pour laquelle il a été condamné et exécuté. C'est peut-être encore aujourd'hui l'idée la plus dangereuse au monde. Mais dangereux pour qui et pourquoi ?

Pourquoi l'étude directe de la philosophie de Rosenberg est-elle si rare et apparemment découragée même chez les historiens professionnels et les politologues ? Pourquoi le livre potentiellement le plus important de l'Axe est-il maintenant obscurci dans l'insignifiance présumée, surtout quand Rosenberg a été exécuté pour son contenu ?

Ces questions demeurent pour l'étudiant sérieux de l'histoire à considérer. Plus fondamentalement, l'examen direct de la philosophie de Rosenberg, pourtant condamnée par le capitalisme et le communisme, remet en question la liberté et l'objectivité du penseur critique moderne de considérer par lui-même Le Mythe de Rosenberg.




Alfred Rosenberg - The Myth - Movie, Audiobook, PDF
Alfred Rosenberg - Le Mythe du XXe siècle - PDF Fr
Alfred Rosenberg - PDF


Wednesday 10 October 2018

Ariel Toaff - Pâques de Sang

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Ariel Toaff - Pâques de Sang
Les juifs d’Europe et le meurtre rituel juif


La traduction suivante a été réalisée gratuitement pour protester contre une injustice : la destruction par l'ADL du livre Blood Passover (Pâques de sang) d'Ariel Toaff sur le meurtre rituel juif. L'auteur est le fils du Grand Rabbin de Rome et professeur de la Renaissance juive et d'histoire médiévale à l'Université Bar-Ilan en Israël, près de Tel Aviv.

M. Toaff est particulièrement qualifié pour écrire ce livre, car il connaît parfaitement la littérature qui en découle en anglais, français, allemand et italien, ainsi que les sources documentaires originales en latin, italien médiéval, hébreu et yiddish. Ce n'est pas quelque chose sur quoi il a travaillé en secret. Au contraire, il y a travaillé ouvertement avec ses étudiants de l’université et ses collègues en Israël pendant plusieurs années ; un de ses étudiants allait même publier un article sur le sujet. L'auteur est extrêmement attentif à ce qu'il dit et ses conclusions doivent être prises au sérieux. Ce livre se lit comme une intrigue policière.

S’il avait été publié en Israël, en hébreu, personne ne s'en serait soucié. On trouve un grand nombre de textes littéraires en hébreu que les juifs ne veulent pas que les Gentils connaissent. Mais l'annonce par le Dr Toaff de la publication de son livre en Italie, en italien, a soulevé une tempête de colère dans le monde entier. Sous une pression insupportable, le livre a dû être retiré de la publication.


Ariel Toaff - Pasque di sangue
Ariel Toaff - Blood Passover
Ariel Toaff - PDF

Le meurtre rituel juif - Le culte caché
Crime rituel - PDF


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