Sigismond de la Chesnaie - Malô Lilâk - Tome 1


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Sigismond de la Chesnaie - Malô Lilâk - Tome 1
Autopsie détaillée d'une inversion génocidaire

Ce livre est dédié à toutes les victimes des vrais holocaustes, ceux-là mêmes que l’Histoire essaie de faire passer pour fictifs ou sans importance.


TABLE DES MATIÈRES

Note de l’auteur
Introduction
Chapitre premier
La psychopathologie et l’hystérie juives
Chapitre II
La contagion hystérique juive chez les Goyim
Chapitre III
Témoignages des Goyim à l’appui des « martyrs »
Chapitre IV
Le Journal d’Anne Frank
Chapitre V
L’Audiovisuel au service des « martyrs »
Chapitre VI
Passage au crible ‹négationniste›
A – Carlo Mattogno (1e partie)
B – Carlo Mattogno (2e partie)
C – Carlos Whitlock Porter
D – Les deux rapports Leuchter
Chapitre VII
Dénouement ‹ déconstructionniste ›
Chapitre VIII
Les Allemands des Sudètes et de Bohême-Moravie
Chapitre IX
Les Allemands du territoire central et oriental
A – Province de Silésie
B – Le camp de Zgoda
C – Province du Brandebourg oriental
D – Province de Poméranie
E – Province de Prusse occidentale, Posen, Dantzig
F – Province de Prusse orientale
Chapitre X
Les Allemands ethniques d’Europe centrale et orientale
A – Les Allemands de la Volga et de Russie
B – Les Allemands de Yougoslavie
C – Les Allemands de Roumanie
D – Les Allemands de Hongrie
E – Les Allemands des Carpates (Slovaquie)
F – Les Allemands de la Baltique et de Lituanie
Chapitre XI
L’ Holocauste de la fuite et de l’expulsion : bilan
Chapitre XII
L’Holocauste à Neptune
A – Le ‹ Wilhelm Gustloff ›
B – Le ‹ Goya ›
C – Le ‹ Cap Arcona ›
D – Le ‹ Steuben ›
E – L’ ‹ Orion ›
F – Le ‹ Thielbek ›
G – Le ‹ Karlsruhe ›
H – Le ‹ Neuwerk ›
I – Autres navires
J – Bilan
Chapitre XIII
L'Holocauste à Vulcain
A – Dresde
B – Hambourg
C – Berlin
D – Pforzheim
E – Cologne
F – Magdebourg
G – Darmstadt
H – Cassel
I – Essen, Munich & Heilbronn
J – Nuremberg, Dortmund & Düsseldorf
K – Duisbourg, Francfort/Main & Wurtzbourg
L – Stuttgart, Brême & Mannheim
M – Wuppertal, Gelsenkirchen & Kiel
N – Aix-La-Chapelle, Bochum & Hanovre
O – Schweinfurt & Lübeck
P – Autres cités
Q – Bilan
Chapitre XIV
Les camps de prisonniers et l’holocauste d’Eisenhower
A – Les camps soviétiques
B – Les camps anglais et canadiens
C – Les camps allemands
D – Les camps français & africains
E – Les camps belges, hollandais & luxembourgeois
F – Les camps yougoslaves
G – L’holocauste d’Eisenhower & bilan
Chapitre XV
Martyr et pillage sous l’Occupation
A – Le martyre de la famine et du froid
B – Le supplice des femmes et des enfants
C – Démantèlement industriel, économique et scientifique
D – Pillage culturel, autodafés et destruction des monuments
Chapitre XVI
Abâtardissement et rééducation de la race allemande
Chapitre XVII
Dénouement crypto-historique


NOTE DE L’AUTEUR

Le terme holocauste nous est familier depuis quelque temps seulement après qu’un événement terrible eût prétendument lieu pendant le deuxième conflit mondial, événement aujourd’hui posé en dogme officiel et qui a vu une race de soi-disant bourreaux s’en prendre à une race de soi-disant victimes.
Ce terme désignant donc un génocide, a parcouru au fil de plusieurs décennies un long chemin où il n’a cessé de prendre, suite à des campagnes acharnées de désinformation, de propagande, de manipulation, de lavage de cerveau mais aussi et surtout d’effacement et de camouflage de bon nombre d’éléments factuels, une importance ayant atteint une valeur d’axiome et de dogme donc, où la remise en cause pure et simple de ce qui est balancé comme l’une des pires tragédies qui soient, est devenue passible de se voir frappé d’anathème. Chacun est donc invité sinon fortement encouragé à laisser ses synapses au repos chaque fois qu’un tel sujet refait surface (et ô combien souvent !) afin de réfléchir le moins possible à tout ce qui est présenté au travers de films, documentaires, émissions diverses du petit écran et surtout d’auditions de témoins oculaires auto-proclamés et ce, aux fins d’assimiler autant que faire se peut, le contenu de tant d’inepties.
Le terme holocauste, contrairement à ce que l’on pourrait croire, ne fut pas forgé au sortir de la IIe Guerre mondiale mais existait bien avant. Nous en donnerons une définition tirée d’un dictionnaire, l’édition du Larousse Illustré de 1928‑32, à une époque donc, où cette prétendue catastrophe n’avait pas encore eu lieu. La voici :

“ holocauste n.m. (du grec holokaustos de holos, entier, et kaustos, brûlé)
combustion complète)( sacrifice religieux où la victime était entièrement consumée par le feu (s’est dit surtout chez les Juifs). (le soulignement est le mien)
Fig. Offrande entière et généreuse, sacrifice.
Encycl. Sous sa forme originelle en hébreu (ôlam, kâlil), ce mot signifie « anéantissement par le feu ». Le rit de l’holocauste était très solennel et le Lévitique (i, vi) le décrit minutieusement. La victime devait être un animal mâle, et sans tache. Le prêtre, avoir l’avoir sacrifiée, arrosait l’autel d’airain de son sang, et jetait dans les flammes ses chairs et ses entrailles. Chaque matin dans le temple de Jérusalem, un holocauste ouvrait la série des sacrifices, et, chaque soir, un second la fermait. Aux jours des grandes fêtes, le nombre des victimes offertes en holocauste était considérable.
Les Assyriens et autres peuples de l’Orient offraient également des holocaustes à leurs dieux. C’est sous cette forme que les grecs sacrifiaient aux divinités infernales. ”

L’Ôlam Kâlil des origines, qui s’est vu se moderniser en Holocauste et en Shoah par la suite avec les officiants cette fois passés victimes, a donc subi pour ainsi dire une inversion des pôles quant à sa véritable teneur, où la communauté juive s’est fait passer dans ce prétendu massacre hitlérien pour les plus grands suppliciés de l’Histoire. Le lecteur sera ainsi amené dans cet ouvrage à retrouver le décor à l’endroit et se forger sa propre opinion.


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INTRODUCTION

« On peut mentir un temps à tout le monde, On peut mentir tout le temps à une partie du monde, mais on ne peut pas mentir tout le temps à tout le monde. »

Il est assez bien connu qu’une société basée sur le mensonge et la corruption ne peut durer éternellement car celle-ci se mettra tôt ou tard à vaciller sur des fondations de plus en plus branlantes du fait même de la prise de conscience croissante des populations, pour finir par s’auto-détruire complètement, soit par implosion, par explosion ou ces deux formes combinées. Cette prise de conscience croissante commencera logiquement avec les individus les plus clairvoyants qui, selon leur capacité d’agir et d’influencer autrui, pourra dès lors se répandre par contagion afin que les masses justement soient mises de plus en plus au fait de ce qui était maintenu dans l’ombre. Il va sans dire que nombre de ces lanceurs d’alerte furent mis au ban de la société et ce, d’autant plus que leur position hiérarchique et par voie de conséquence d’influence donc, fut élevée. Toutes les méthodes furent alors employées afin de réduire ces indésirables au silence (assassinat, disparition, suicide provoqué, ostracisme, diffamation, condamnation (...)
Mais voilà qu’à l’ère des médias électroniques, de plus en plus de citoyens peuvent découvrir maintenant ce qui aurait été impossible il y a quelques décennies, grâce notamment à des documents d’importance capitale (comme celles des archives fédérales de Coblence que nous verrons en détail) et bien-sûr à de véritables historiens et chercheurs dont le travail sans relâche en vue de faire triompher la Vérité depuis tout ce temps devrait être cité en exemple. Des spécialistes s’étant donné la peine d’enquêter sur place, de collecter autant de documents et de témoignages que possible, dont certains durent le payer de leur vie ou d’une autre manière, et à qui nous rendons hommage ici. Des témoignages recueillis donc directement à partir de faits vérifiables et non pas sortis d’esprits névropathes et hystériques enclins à toutes formes d’affabulations et de folie imaginaire, celles-là même qui composent encore l’essentiel des « preuves » officielles, ces soi-disant preuves qui permettent encore aujourd’hui à ces esprits malades de se déchaîner sur un peuple, que ce soit au niveau des lois, des réparations de guerre, d’une discrimination impressionnante et d’une accusation de tous les maux notamment grâce à la magie hollywoodienne, et ce, plus de soixante-dix ans après les faits supposés. C’est déjà donner une petite idée du niveau d’obsession maladive de ces esprits tortueux à l’encontre d’un peuple catalogué ainsi de terrible menace pour l’Humanité et les droits de l’Homme. Déjà, pendant la guerre, des hommes politiques et écrivains avaient planifié leur destruction totale avec toutes sortes de calculs inimaginables (qu’on passera en revue dans le second panorama) dont on se demande comment il est possible de considérer les propos d’êtres aussi dégénérés comme paroles d’Evangile. Pourtant, rien ne fut porté à l’atteinte de telles personnes ni à celles des véritables bourreaux de certains camps de concentration vers la fin du conflit, occupés alors par les vaincus et gérés par les vainqueurs. Lorsque des tentatives de ce genre, avec preuves à l’appui, furent faites, comme par exemple celle de demande d’extradition de l’ancien commandant du camp d’extermination de Zgoda-Schwientochlowitz en Pologne en 1945, le Juif Salomon Morel, aux fins d’inculpation de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité en 1996 puis en décembre 2003 par le tribunal de Katowice qui avait lancé un mandat d’arrêt contre lui, tout cela fut en vain vu que notre commandant s’était réfugié en Israël en 1992, l’année même où il fut entendu une seule fois par la justice suite à une enquête officielle lancée après une investigation au sujet de cet infâme camp polonais. En effet, les autorités israéliennes avaient refusé cette extradition pour motif de prescription car selon elles et d’après Sepp Jendryschik (dont nous aurons l’occasion de reparler beaucoup dans le deuxième panorama), dont le père mourut en 1945 justement dans ce camp, « Morel pourrait être accusé tout au plus de lésions corporelles ». Cette affaire peut d’ores et déjà être close vu que celui qui avait pour nom de guerre chez les partisans juifs, meshugganer, signifiant « maboul », décéda en Israël en 2007 à l’âge de 87 ans et sans aucun doute paisiblement.
Plus de soixante-dix ans donc après ce drame mondial, nous pouvons encore constater l’état de léthargie dans lequel semblent se complaire bon nombre de gouvernements et organismes publics en ce qui a trait à la révélation de ce qui demeure enfoui dans des salles d’archives, des associations de réfugiés ou encore de revues à faible tirage créées par de véritables témoins et victimes ou proches de victimes de cet autre drame du XXe siècle. Bien entendu, ces mêmes gouvernements et organismes publics étant à la solde directe ou indirecte de ceux-là mêmes qui écrivent, font écrire ou supervisent les manuels scolaires ainsi que tout ce qui concerne l’histoire officielle au-travers de magazines à grand tirage, reportages et j’en passe, nous en conviendrons que rien de tout cela n’est en somme surprenant.
C’est dans un tel contexte que certains historiens et puristes en la matière, ayant constaté la teneur incohérente ainsi que moult contradictions de tout cet étalage de « preuves » abracadabrantes à propos de l’histoire relative à la Seconde Guerre mondiale, se sont lancés dans des travaux de recherche foncière aux fins de collecte justement de données difficilement accessibles mais ô combien précieuses, que les grands pontes du politiquement et du socialement corrects s’efforcent de garder cachées, c’est-à-dire celles n’ayant pas encore fait les frais d’un autodafé ou autre destruction. C’est ainsi que le terme révisionniste comme d’autres vocables tels que racisme ou Apartheid devint lui aussi « à la mode » pour se voir connoté négativement par toute la clique des bien-pensants, résolus à mener coûte que coûte la guerre aux « fauteurs de trouble » et autres marginaux. Nous eûmes droit récemment d’ailleurs à un exemple du « chemin à suivre » avec le trépas du « champion » de la lutte contre l’Apartheid, le « grand » Nelson Mandela, ce révolutionnaire « au service des droits de l’homme et de la paix » qui s’est vu recevoir un véritable culte de la personnalité aux quatre coins du globe. En Afrikaans, Apartheid signifie à l’origine « séparation » et s’est vu par la suite imposé une définition plus « conforme » comme « discrimination » ou encore « ségrégation », illustrant mieux l’état d’esprit contemporain. Il faut savoir justement que cette « séparation » qui avait été imposée, avait pris une tournure réaliste dans les années soixante par le Premier ministre de l’époque, Hendrik Verwoerd ; en effet, celui-ci avait tenu compte des différences énormes de culture, de race et autres entre les diverses communautés composant la population sud-africaine, voyant que le mélange d’autant d’ethnies sur un même territoire ne pouvait aboutir à rien de solide et de fructueux. Sa politique considérait donc ces divergences et permettait une partition du pays où lesdites communautés pouvaient avoir leur propre autonomie. Tout cela fut critiqué de vive voix bien-sûr alors qu’une telle politique aurait permis une cohabitation sans doute exemplaire d’autant de peuples différents. C’est encore une fois au nom des droits de l’homme et de la sacro-sainte liberté que ce Premier ministre sud-africain dut disparaître (le 6 septembre 1966 !) afin de laisser la place à quelque remplaçant davantage enclin aux « valeurs démocratiques ». L’exemple de ce pays austral ne vient pas se greffer ici par hasard vu que nous aurons l’occasion, dans le dernier panorama, de mettre en relief un personnage justement natif de cette contrée et dont les révélations croiseront à merveille le chemin de notre pèlerinage.
Pour en revenir donc au sujet qui nous intéresse, nous avons aujourd’hui des antirévisionnistes qui, eux-aussi, sont bien décidés à faire rentrer dans les rangs les quelques brebis ayant osé s’écarter du troupeau. Mettons alors bien les points sur les « i » ici : le terme révisionnisme cherche, comme son nom l’indique, à faire une révision de tout ce qui a pu être rapporté, ici en l’occurrence historiquement, afin d’écarter tout ce qui peut relever du mythe, de la fable et du tabou (généralement créés par les vainqueurs) et d’en dégager une vérité aussi objective que possible. C’est ainsi que l’Histoire est et devrait être logiquement révisionniste, faute de quoi, ce ne serait pas de l’Histoire. Certains avaient d’ailleurs mis en opposition Hérodote qui semblait mêler mythes, légendes et vérités à Thucydide qui s’efforçait de retirer toute part de merveilleux des événements afin d’en extraire quelque chose de cohérent. Bien entendu, les virtuoses du retournement à 180° s’en sont donné à coeur joie afin que, pour les masses, ce qui est vrai passe pour être faux et vice-versa, au même titre que la laideur passera pour belle et le dégénéré mental pour un saint. Nous aurons donc l’occasion de passer en revue dans ce livre les travaux de certains de ces anticonformistes qui, grâce à leur courage, leur ténacité et surtout leur probité intellectuelle, nous permettent d’avancer à grandes enjambées sur le chemin de la Vérité historique qui nous intéresse ici et donc d’élargir le champ de vision de tout un chacun à d’autres domaines connexes ou non.

Le lecteur (re)découvrira d’abord tout un pan de la partie conventionnelle des événements tragiques de la Seconde Guerre mondiale, celle qui bien-sûr est toujours enseignée dans nos bonnes vieilles écoles et semée aux quatre vents, avec quelques morceaux choisis de « témoins oculaires et de survivants de l’Holocauste », un pan donc politiquement correct que nous aurons alors le plaisir de faire voler en éclats lorsque les briques et autres morceaux le constituant seront passés au crible de l’analyse « non-conventionnelle ». C’est seulement après que l’on prendra connaissance de l’identité des vraies victimes de ce conflit au-travers d’un passage en revue de documents qui, heureusement aujourd’hui, gagnent petit à petit en popularité (même si le terme est un peu exagéré). Il nous faudra ensuite essayer de tisser un lien entre des éléments apparemment contradictoires mais en réalité relativement logiques, avec notamment les dessous du Nazisme, pour finir avec une note d’espoir, tirée de certaines visions prophétiques quant à la finalité du monde, ce monde en chute libre et chaotique dans lequel a plongé l’Humanité, un monde vraiment « à l’envers ».

Il faut noter pour terminer que l’ouvrage que vous vous apprêtez à lire est relativement dense, raison pour laquelle celui- ci est abondamment illustré aux fins d’aération du texte (et de l’esprit !). Précisons ici que les grands bonimenteurs de l’Holocauste utilisent évidemment à profusion images et photographies afin de donner un caractère substantiel et « vérifiable » à leurs supputations, raison pour laquelle ils n’hésitèrent pas à en employer de fausses ou d’autres, sans aucun rapport avec le sujet, sachant « qu’une image vaut mille mots ».

Ainsi, par exemple, en montrant la photographie d’un local avec des pommeaux de douche au plafond, accompagnée des commentaires correspondants et surtout en la faisant suivre de la photographie d’une montagne de corps décharnés, sont-ils à peu près assurés de faire avaler la pilule à la majorité des masses de l’existence réelle des chambres à gaz.
En ce qui nous concerne ici en revanche, les reproductions de plans, de photographies ou clichés aériens, de couvertures de livres ou portraits, etc. essaient d’être le plus conformes, adaptées et appropriées que possible au contexte particulier de ce livre (avec des légendes et des nuances parfois ironiques en rapport avec les faits et non pas fonction des lubies et autres délires obsessionnels des défenseurs de la cause holocaustique) et donc, de cet épisode peu glorieux de l’histoire de l’Humanité.
De même, la reproduction de vieilles cartes postales de certains lieux visera à créer un fort contraste entre d’une part, l’impression de paix qui s’en dégage, et les scènes terribles qui s’y déroulèrent par la suite, de l’autre.

L’ouvrage sera composé de 4 panoramas, avec les 3 premiers traitant du passé, et le 4e de l’avenir, avec des petites incursions au présent pour l’ensemble.


Révisionnisme - PDF
Seconde guerre mondiale - PDF
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