The Savoisien

Exegi monumentum aere perennius


Books

Monday 10 June 2019

German Victims - Website

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German Victims - Deutsche Opfer


Canaanites were Germans; comes from Chetaan = Kenaan = Kanaan means “Land of the Goten (Goths)” (Goten = Guten = good ones.) However, Canaan was usurped by the Jews and Germans killed and driven out (12 Tribes of Israel=Germans). The Jews are idendity thieves.

Huge numbers of typical, pre-historic Germanic graves found in Palestine and the Middle East by 1925. Hebrew is an ancient German language.

We Germans are the victims, not the Jews! They genocided us, and not the other way around. Jesus was Germanic, and probably a freedom fighter, a true Israelite, in Palestine against the invading Jews and genociders of the German (Israelite) tribes. The Bible is based on Germanic history, stolen and re-written by the Jewish scribes of Rome! Jews are Edomites and NOT God’s chosen! Jesus: “You belong to your father, the devil, and you want to carry out your father’s desires. He was a murderer from the beginning, not holding to the truth, for there is no truth in him. When he lies, he speaks his native language, for he is a liar and the father of lies.”

The Germans (Amalek, the main target of the Jews) lived all over Palestine and the World. Their symbol is the Swastika, “forbidden” by the Jews because it is a powerful symbol going back to at least the Bronze age. Because the German tribes had been the leaders in all the world, they were the Jews’ primary target for annihilation.
The Jews, a nomadic tribe, invaded the German lands in Palestine and holocausted the Germans or drove them out with Caesar’s help by bribing him (12 tribes of Israel-Israel an ancient German word). First they weakened them with usury during drought times. The Romans called the Germans/Celts Galli and one of their main places Galilee. Jesus had to be German because the Germans lived all over Canaan, Galilee, Jerusalem. For 2,000 + years and today, the Germans and their Swastika are the target of invading Jews. Jesus is the symbol of the 15 Million good-natured murdered Germans AFTER the war by the occupation, led by the Jews.
The reason why Whites are so attracted to the Bible is because it is indeed white history; HOWEVER, THIS HISTORY HAS BEEN USURPED BY THE JEWS, SEVERELY CHANGED BY THE ROMAN CHURCH AND THESE IDENDITY THIEFS, THE JEWS, WERE PUT INTO THE PLACE OF THE GERMANS. Jesus, a German, could have never said some of these self-destructive verses.


Sunday 9 June 2019

Arnold Krammer - The forgotten friendship

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Arnold Krammer - The forgotten friendship
Israel and the Soviet Bloc, 1947-53


Arnold Krammer is Professor of History at Texas A&M University. A highly praised teacher for more than three decades, Krammer has written a number of books in both English and German about POWs, among them Nazi Prisoners of War in America and Hitler's Last Soldier in America (with Georg Gaertner), Undue Process: The Untold Story of America's German Enemy Aliens, and more than forty articles ranging from World War I, through the Spanish Civil War, World War II, and the Holocaust.


In May, 1947, after supporting the Arabs for thirty years, the Soviet Union astonished the diplomatic world by endorsing the Zionist aspirations for the establishment of a Jewish state in Palestine. This opened a remarkable two-year period of Soviet-Zionist cooperation, during which Russia supplied Israel with considerable military aid.
Krarnmer examines in depth the events leading to Russia’s decision and the tremendous impact of this two-year period. He bases his account on information from official and private archives and interviews with most of the surviving participants of the 1948 Israeli mission to Prague, former diplomats, and military leaders, as well as newspapers and memoirs.
Thoroughly examining the Kremlin’s complex motives, Krarnmer provides new insight into the role of international power politics in the Arab-Israeli conflict. He furnishes the first detailed examination of the Haganah’s activities in Czechoslovakia, especially the purchase of weapons and their transport to Israel. Russia not only supplied munitions and fighter planes to repel the impending Arab attack, but also secret training areas for Israeli troops in Czechoslovakia and even a brigade of Czech “volunteers.” In tracing Stalin’s change of outlook in the fall of 1948 and Russia’s gradual return to support of the Arabs (from 1949 to 1952), Krarnmer emphasizes Soviet press reports and broadcasts as signs of deteriorating relations, and details Israel’s growing disillusionment with the Soviet bloc.
" ... covers fully the amazing story of deliveries of Czechoslovak military equipment to Israel ... Since the developments themselves were rich in meaning and action, the central part of the manuscript is full of drama which is undoubtedly a rare case for a scholarly work. ... a significant contribution to scholarship. "

Josef Korbel, University of Denver.


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Thursday 6 June 2019

Harold Covington - Un lointain orage

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Harold Covington - Un lointain orage


Prologue - La roue tourne
À la fin du xxème siècle vivait un professeur d’université japonais du nom de Francis Fukuyama. Il avait écrit un long essai, très intellectuel et très chic, intitulé La Fin de l’Histoire, qui avait connu une certaine célébrité.
Francis Fukuyama était un prostitué intellectuel, qui vendait son esprit pour de l’argent. C’était un universitaire docile, qui se courbait devant les puissants et les riches de son époque. Il leur disait ce qu’ils voulaient entendre, et il récoltait leurs largesses. Lorsque les hommes blancs en costard sans visage lui disaient « Saute », Francis Fukuyama répondait « Quelle hauteur ? » Quand les hommes en costard disaient « Cours », Francis Fukuyama répondait « Quelle distance ? » Il évitait poliment le mot quelque peu gênant de ploutocratie, et y substituait l’habitude nettement plus convenable de ne faire référence à la riche, corrompue, amorale, incompétente et discrètement homosexuelle élite dirigeante anglo‑sioniste de la fin du xxème siècle que par le nom grotesque de social‑démocratie. Elle n’était, bien entendu, ni sociale ni démocratique, mais la vérité importait peu à cette époque.
La thèse de Fukuyama était que la social‑démocratie était la forme finale de tout gouvernement humain pour le reste des temps. Il affirmait que la combinaison prétendument irrésistible de la social‑démocratie et du capitalisme international avait triomphé de tous les systèmes concurrents tels que la monarchie, le fascisme, le communisme, le national‑socialisme, le socialisme, et bien entendu la théocratie telle qu’elle se pratiquait notamment dans le monde arabe, où le pauvre petit Israël connaissait une persécution si injuste.

L’Histoire était arrivée à sa fin, disait au monde le professeur Fukuyama. Tout ce qui restait à faire, c’était de rendre la chose officielle en s’occupant des quelques derniers petits détails, en faisant monter tout le monde à bord, à sa place dans le moule, avec quelques coups de pieds si besoin. Une fois qu’on se serait débarrassés de tous ces minuscules petits encombrements que sont les races, les religions, les cultures, la morale et la famille nucléaire (c’est‑à‑dire une fois qu’on aurait détruit tout ce qui fait la diversité de l’humanité, la vraie, pas la notion politiquement correcte), alors toutes les nations de la Terre danseraient la farandole à queue‑leu‑leu dans une chenille géante au‑dessus de la grande plantation de consommateurs euro‑américaine. Là, l’humanité paîtrait dans des prairies, dansant, chantant, fumant des drogues et baisant tout ce qui bouge, nimbée de la lueur chaude et apaisante de la télévision. Le cours de l’Histoire même s’arrêterait et ce serait de nouveau le Jardin d’Éden, à ceci près qu’au lieu d’un serpent dans notre nouveau paradis l’on trouverait Ronald McDonald.
Le monde serait, à partir de cette date et pour l’éternité, dirigé bénévolement depuis la salle de conférence de l’élite par des êtres pâles et invisibles dans des costumes très chers, alors que murmurerait à leur oreille ses conseils spirituels le vénérable rabbin Hyman Heeblebaum du temple Schmuck‑El, portant son petit calot de tricot bleu et blanc, le coeur plein de la fraternité entre les hommes et confiant dans son savoir talmudique antique de ce qui est le meilleur pour nous tous.
Faux, connard.
Tout faux.
Les États‑Unis d’Amérique où je suis né étaient un mensonge. Un affreux, terrible, médiocre, mauvais, ignoble mensonge ne méritant rien d’autre que de crever dans le sang, traversé de part en part par la pointe d’une épée. Dans ces États‑Unis d’Amérique, si votre peau était blanche et que vous aviez un pénis, vous n’étiez rien. Arrière, sale beauf ! Personne n’en avait rien à foutre de vous. Personne ne lèverait le petit doigt pour vous aider, et vous étiez juste bon à entretenir les jouets et les appareils des riches. Vous étiez de la matière organique qu’utilisaient des pourceaux bipèdes en costard pour se faire du pognon sur votre sueur. Vous viviez une vie de chien, étiez battu comme un chien, et creviez comme un chien. Eh bien, Dieu m’en soit témoin, nous avons montré à ces bâtards de riches, à leurs avocats juifs et à leurs singes de compagnie que les chiens ont des crocs !
Oh, oui. C’est incroyable ce que quelques balles bien placées et une charge ou deux de Semtex sous les fesses très kasher d’un rabbin peuvent faire pour aider la roue de l’Histoire à redémarrer illico et à se remettre sur le droit chemin.
Je m’appelle Shane Ryan. J’étais l’un de ces petits encombrements dont Fukuyama et ses pairs n’ont jamais vraiment pu se débarrasser.
J’étais Volontaire dans le Nord‑Ouest.
Voilà comment nous avons remis en marche la roue de l’Histoire.


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Monday 3 June 2019

S. Ricard - Précis de mythologie scandinave

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S. Ricard - Précis de mythologie scandinave


Préface
« Apprends à te connaître toi-même, » voilà le conseil que nous adresse un des sages de l’antiquité ; mais pour bien profiter de ce beau précepte, il faut connaître avant tout son origine, les idées religieuses, le genre de vie et la ma-nière de penser de ses aïeux. Il faut remonter à la source primitive de l’histoire, en poursuivant les traces des glorieux exploits de nos ancêtres, lors même qu’elles se perdent dans la nuit de la fable, qu’elles s’effacent dans les ténèbres du temps passé ou se cachent dans la poésie du mythe. Certes, il faut bien en convenir, c’est dans le mythe que se révèle la première forme de la vérité ; que se trahit l’idée sérieuse qu’avait conçue de la vie cette population primitive du Nord, ainsi que le désir ardent de saisir et de comprendre la divinité ; c’est dans le mythe que pousse le premier germe de l’histoire et de la religion d’un peuple.
Et cette connaissance de la mythologie, où la trouverons-nous ? Dans l’Edda qui est le monument littéraire le plus antique de la poésie scandinave. Cette oeuvre immortelle consiste en deux parties dont l’une qui porte le nom de son auteur prétendu, Sæmund Frode le savant, né en Islande au milieu du onzième siècle, s’appelle aussi l’Edda poétique ou l’ancienne Edda. Elle ren-ferme d’abord des fragments de poèmes religieux dans lesquels on retrouve les doctrines qui faisaient l’objet du culte de nos ancêtres ; ensuite des fragments de poèmes héroïques appartenant plus ou moins au cycle de chants guerriers communs à la race germanique et à la gothique ; mais nulle-part ces chansons ont conservé autant de leur caractère sauvage ou ont moins été influencées de l’esprit du Christianisme que dans le Nord. Il est hors de toute contestation que Sæmund n’est l’auteur que de quelques-uns des poèmes de ce recueil, dont plusieurs se perdent dans les ténèbres de l’antiquité. L’esprit païen que révèlent ces produits d’une valeur si poétique et d’un style si différent, ainsi que le nom que portent plusieurs d’entre eux, prouvent que Sæmund n’en peut être que le compilateur, et que nous ne pouvons que lui attribuer l’honneur d’avoir trans-crit les vieux apographes ou retenu par écrit les traditions à demi oubliées déjà au moyen-âge. Il est encore possible que Stæmund, dans les voyages qu’il en-treprit en Allemagne, ait connu la série des poèmes qui chantaient les exploits merveilleux des Giukungers, des Volsungers et des Niflungers, qu’il ait même retrouvé peut-être le cycle des récits historiques que Charlemagne a rassembler et consigner, mais que le temps nous a malheureusement fait perdre. Cette hypothèse cependant n’affaiblit en rien la supposition selon laquelle Stæmund s’est borné à rédiger les narrations poétiques de l’Edda ; car ce qu’il y a d’incontestable, c’est que plusieurs de ces chants héroïques, sur le même sujet que traite la poésie nationale de la Germanie, étaient connus et répandus dans le Nord longtemps avant que Sæmund ait vu le jour ; aussi tous les savants érudits de l’Allemagne accordent-ils aux poèmes de l’Edda un âge qui surpasse de beaucoup celui qu’ils attribuent à la chanson germanique la plus renommée des Niflunger.
Quant à l’Edda prosaïque, on l’attribue à Snorro Sturleson, illustre histo-rien du treizième siècle. Ce recueil auquel on donne souvent aussi le nom de son auteur supposé, est à regarder en quelque sorte, quant à la partie mytholo-gique, comme une reproduction prosaïque de l’Edda de Sæmund ; mais il con-tient en outre une prosodie, s’il est permis de donner ce nom à la nomencla-ture et à l’explication de quelques figures rhétoriques et poétiques, ainsi que quelques dissertations sur ]’alphabet islandais.
Ce que nous venons de dire du mérite littéraire de Sæmund, s’applique également à celui de Snorro ; il n’est qu’en partie auteur de cet ouvrage qui révèle la collaboration de plusieurs. Quant à la pureté des idées et à la noble simplicité du récit, l’Edda poétique l’emporte de beaucoup sur l’ouvrage de Snorro, dans lequel se ressent déjà l’influence d’un temps où l’éclat du prestige, qui entourait les dieux et les héros de l’antiquité, pâlit devant l’aube du Chris-tianisme.

Introduction
Il y avait jadis en Suède un roi très sage, nommé Gylfe, tellement rempli d’enthousiasme pour la puissance des dieux, qu’il partit pour Asgaard, afin d’en admirer les hôtes de plus près.
Arrivé à la résidence des dieux, il aperçut d’abord un édifice d’une éléva-tion incommensurable à vue d’oeil. C’était Valhalla. À l’entrée de la salle se trouvait un homme qui s’amusait à jouer aux glaives ; il s’en acquittait avec une dextérité surprenante, car il saisit à la fois six glaives jetés en l’air. L’homme aborda le roi, en lui demandant son nom. Gylfe prit le nom de Gangléri, en disant qu’il était venu de bien loin, et qu’il désirait parler au Sei-gneur du château, afin de lui demander de l’hospitalité pour la nuit. L’homme s’offrit à le conduire auprès du Seigneur, et disparut aussitôt dans l’édifice, sui-vi du roi.
Le roi Gylfe y vit beaucoup d’appartements et beaucoup de monde, dont quelques-uns s’amusaient à jouer, d’autres à boire, d’autres encore à lutter. Il s’arrêta enfin devant les sièges où étaient assis les souverains d’Asgaard. Ceux-ci l’invitèrent, et le roi, profitant de son bonheur, s’informa de tout ce qu’il aspi-rait à savoir.
C’est ainsi à peu près que l’Edda1 prosaïque commence son récit de la my-thologie scandinave.
Nous aussi nous avons, comme le roi de Suède, entendu parler des puis-sants dieux du Nord, et à notre tour nous irons à Asgaard admirer de plus près leurs exploits merveilleux.


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Monday 27 May 2019

Jacques Revel - Fours à pain, mode d'emploi

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Jacques Revel - Fours à pain, mode d'emploi
Construire son four - Restaurer un four - Mettre en chauffe - Faire son pain


L'ouvrage explique comment construire soi-même un four à pain et l'utiliser au mieux. Il présente la réalisation pas à pas d'un modèle simple et en donne un mode d'emploi très détaillé, agrémenté de nombreuses recettes.

Cet ouvrage présente le pas à pas de la construction d'un modèle très simple de four à bois traditionnel. Avec ce four efficace et durable, édifié en quelques semaines pour un budget réduit, vous serez à même d'obtenir des pains savoureux. Vous trouverez ensuite un mode d'emploi détaillé de votre nouvel outil, permettant son utilisation optimale en répondant à bien des questions (quel bois choisir ? comment allumer son feu ? comment l'entretenir ?...). Enfin, vous découvrirez les secrets de la préparation du pain et les étonnantes possibilités de la cuisine au four à pain, grâce aux trente recettes que comporte cette nouvelle édition.


Pain - PDF