Saint-Yves d'Alveydre - Mission des juifs - Tome 2


Books

Saint-Yves_d_Alveydre_Mission_des_juifs.jpg


Saint-Yves d'Alveydre - Mission des juifs - Tome 2
Acheter la version papier du livre


Joseph Alexandre Saint-Yves, né le 26 mars 1842, à Paris et mort le 5 février 1909 à Pau, est un érudit, poète et écrivain français.
Saint-Yves définit la Synarchie comme la "loi qui, étant celle de l'organisation normale des Sociétés, est du même coup la loi de l'Histoire", France vraie.
En 1884, il publie la Mission des Juifs qui reprend le cadre historique de l’Histoire philosophique du genre humain de Fabre d'Olivet (empire de Ram, schisme d'Irshou, histoire d'Israël, ...) et s'étend sur soixante-quatorze siècles d'expériences antérieures à la Chrétienté.
Cet ouvrage, fort remarqué dans le milieu occultiste, lui valut de rencontrer le Dr. Gérard Encausse, alias Papus. Saint-Yves ne s'est cependant jamais regardé comme un occultiste : "La vérité est qu'il n'y a pas de sciences occultes, car ce qui est scientifique cesse d'être occulte, et ce qui est occulte cesse de l'être en devenant scientifique." Mission des Juifs.


Saint-Yves d'Alveydre - Mission des juifs - Tome 1
Joseph Alexandre marquis Saint-Yves d'Alveydre

Mission des juifs

Mission des français :
La France vraie Tome 1
La France vraie Tome 2

Mission de l'Inde en Europe

Saint-Yves d'Alveydre - PDF
Gérard Encausse dit Papus


TRIOMPHE D’ISRAËL - Tome Second
CHAPITRE XIV
LA SYNARCHIE D’ISRAËL — L’ANARCHIE DES PRUD’HOMMES DU TROISIÈME CONSEIL — LA MONARCHIE POLITIQUE

Pendant deux siècles, la Synarchie moïsiaque se maintint, malgré les circonstances qui militaient contre elle.
En Syrie et en Palestine, l’éloignement de toute métropole dorienne tendait à faire perdre au Conseil de Dieu la tradition scientifique de Moïse.
Aussi le Conseil des Dieux, avec son président, sous le nom de Juge, eut-il à porter le poids, non seulement du Gouvernement proprement dit, mais de la tendance de l’Autorité à céder à la routine et à perdre sa savante initiative.
De son côté, le troisième Conseil, celui des anciens, tendait perpétuellement à fusionner ses moeurs avec celles des Fédérations ioniennes qui l’entouraient. Dès lors, le but universel de Moïse et des Orthodoxes égyptiens, kaldéens et persans qui avaient soutenu son mouvement, fit place à des nécessités immédiates, nationales, de combat, pour ainsi dire, contre la fusion religieuse et sociale avec les milieux ambiants, et, par conséquent, à un sectarisme religieux, à un particularisme politique, inévitables dans de telles conditions.
Cet esprit, qui se retrouve à Babylone, mais centuplé par les souffrances d’un patriotisme martyrisé, présidera depuis Esdras à la rédaction ou à la transcription des livres qui constituent la Bible.
C’est pourquoi, dans le chapitre précédent, j’ai distingué à plusieurs reprises l’Alliance personnelle de Moïse de l’alliance consécutive des Israélites, et à plus forte raison des Juifs, c’est-à-dire d’une seule tribu ou de deux, quand les dix auront été enlevées à Ninive et dispersées.


Saint-Yves_d_Alveydre_-_Mission_des_juifs Tome_2.jpg

Жнива розпачу - The ukrainian famine research Courrier de contestation aux administrations