Yvri - Le sionisme et la juiverie internationale


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Définition du sionisme

Dans l’esprit de la plupart des « gentils », le Sionisme est une idée, un mouvement légitime. Certains estiment même qu’on devrait le favoriser croyant y voir seulement la politique du retour et de l’établissement de tous les Juifs en Palestine.
Mais en réalité, et d’après les sources juives, le Sionisme est le mouvement national juif basé sur l’idéal messianique de domination juive mondiale. Cela, nous le trouvons exposé dans nombre d’ouvrages juifs anciens et récents : L’histoire du Sionisme par Nahum Sokolov, Le Sionisme par Richard Gottheil, et dans les traductions des œuvres d’Asher Ginsberg, grand chef sioniste. Les revues et journaux nommément juifs prêchent clairement ce mouvement national d’Israël, basé sur l’idéal de domination juive mondiale.
Le plan juif est si colossal, et ses motifs secrets sont si complètement opposés à toute la psychologie du « chrétien moyen » que nous en restons confondus.
C’est la réaction normale d’auto-défense de l’esprit chrétien, repoussant dans l’ombre de trop sombres images, qui, pendant tant d’années, a contribué, plus que toute autre chose, au succès du plan juif. On ne voulait pas le considérer de près.
Et durant ce temps le programme juif néfaste faisait son chemin, et allait vers sa réalisation d’une façon sûre et méthodique.
Pour compléter la définition sommaire du Sionisme, il faut donner un aperçu de son essence propre.

Déjà, dans les âges anciens, le coté surnaturel de la mission des prophètes de l’Ancien Testament (ils prêchaient un empire mondial, mais spirituel, par le Messie des Juifs), fut déformé par un groupe important d’intellectuels juifs et mis au service de leurs appétits terrestres, surtout vers la fin de l’histoire du Peuple choisi, quelque temps avant la venue du Christ. Ceux-ci rêvaient, dès lors, d’un empire mondial juif, mais terrestre et matériel, contraire à ce règne spirituel de Dieu que prêcha le Christ par l’Église du Nouveau Testament.
Voyez comment Israël Friedlander, sioniste notoire récemment décédé, dans un ouvrage intitulé Passé et Présent, définit cette aspiration des Juifs à la conquête du monde : « Cette solution est généralement appelée messianisme, mais étant donné son but final elle serait plus justement appelée sionisme, bien que ce nom soit d’origine récente. Le Sionisme moderne n’est que la continuation de la doctrine messianique, dégagée de ses coquilles d’oeuf théologiques. »
Dans les Études sur le Nationalisme juif de Léon Simon, sioniste, nous lisons : « L’âge messianique signifie pour le Juif … l’universelle acceptation du Juif et de Javeh, son Dieu à lui seulement ! » « Ce que nous appelons toujours encore nationalisme juif, écrit encore Friedlander dans Passé et Présent, est la résultante directe de l’enseignement prophétique. Et si nous le considérons à cette lumière nous verrons de combien il dépasse le nationalisme bâtard qui regarde comme choses essentielles la simple possession d’un territoire et un gouvernement politique autonome. »


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