Savitri Devi - Souvenirs et réflexions d'une aryenne


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Savitri Devi - Souvenirs et réflexions d'une aryenne

Dans la préface qu’il a écrite pour la première Edit. française des “Tischgespräche” attribués à Adolf Hitler, et publiés sous le titre de “Libres propos sur la Guerre et la Paix”, le comte Robert d’Harcourt rappelle que le Führer “aimait les bêtes” et qu’il a, en particulier, “écrit des pages d’une fraîcheur charmante sur les chiens”. L’académicien français met ce trait de caractère et ce fait en parallèle avec le cynisme du Chef d’État, aux yeux de qui la sagesse politique était “en raison inverse de l’humanité”, “Humanité envers les bêtes”, dit-il encore ; “bestialité envers les hommes — nous avons connu ce mystère de coexistence”. Et il ajoute que ceux qui, dans les camps de concentration allemands, envoyaient leurs victimes aux chambres à gaz, “étaient les mêmes qui pansaient, avec des délicatesses d’infirmière, la patte d’un chien blessé”.
J’ajouterai, moi, à ces remarques d’un adversaire de l’Hitlérisme, tout ce que le Führer a fait pour l’animal (et l’arbre lui-même), dans l’esprit de l’immémoriale conception aryenne du monde : l’interdiction des trappes, ainsi que de la chasse à courre, et la restriction de la chasse, quelle qu’elle fût, dans toute la mesure où cela était encore possible dans la société allemande : la suppression de la vivisection, — cette honte de l’homme — ainsi que de toutes les atrocités connectées avec l’abattage des bêtes de boucherie. L’usage du pistolet automatique était obligatoire dans tous les cas, y compris celui des porcs, et j’ai rencontré en Allemagne une paysanne qui m’a assuré avoir purgé une peine de quatre ans dans un camp de concentration, pour avoir tué un cochon au couteau, (par ladrerie pour ne pas avoir à payer l’homme auquel elle aurait dû confier l’abattage “sans douleur” de la bête). J’ajouterai que, lui-même végétarien, Adolf Hitler rêvait, en procédant par étapes, “après la guerre”, de supprimer complètement l’horrible industrie des abattoirs, même “humanisés”, il l’a, en particulier, déclaré à J. Goebbels, le 26 Avril 1942. Mais, bien loin de me choquer par leur “contraste” avec toutes les mesures d’exception prises contre des êtres humains tenus pour actuellement ou potentiellement dangereux, ces lois et ces projets m’apparaissent, à moi, comme une des gloires du Troisième Reich, et une raison de plus pour être fière de ma foi hitlérienne.
La Comte Robert d’Harcourt représente, lui, “l’opinion publique” de l’Occident en général, tant chrétien que rationaliste. Son point de vue est celui de tous ceux qui nous ont combattus, et même d’une partie de ceux qui ont collaboré avec nous, — collaboré pour des raisons étroitement politiques, malgré notre “négation de l’homme”, non pas à cause d’elle, au nom d’une échelle commune de valeurs.
On nous reproche de “nier l’homme” en placent le dernier des animaux sains, la moindre plante saine — le dernier des pissenlits, parfait, lui, à son niveau, — au-dessus du déchet humain, du débile mental, à fortiori de l’idiot, et l’aristocratie animale ou végétale, au-dessus de l’Untermensch, même apparemment “normal” ; de l’être humain sans race et sans caractère, pétri de suffisance et de lâcheté ; mesquin ; incapable de penser par lui-même, et essentiellement égoïste. On nous reproche de préconiser la suppression physique des déments, des “retardés profonds”, des idiots et des monstres qui, aux frais des contribuables, encombrent les asiles des pays “civilisés”, et la stérilisation des gens affligés d’une hérédité dangereuse. On nous reproche, peut-être plus que tout, d’avoir permis à des physiologues et médecins allemands d’expérimenter sur des êtres humains ennemis du Reich, tirés des camps de concentration, — alors qu’il leur était défendu de se servir de bêtes ; en d’autres termes, d’avoir eu plus d’égards pour l’animal que pour l’ennemi idéologique actuel, voire même potentiel. C’est à cela, surtout, que pensent le plus grand nombre de nos adversaires, farcis de propagande “dénazifiante” pendant plus de vingt-cinq ans, quand ils déclarent que nous “nions l’homme”.
Il s’agirait d’abord de s’entendre sur la connotation (et partant, sur la dénotation) de ce concept d’ “homme”, duquel on fait tant de cas. C’est, apparemment, la connotation qu’ils lui prêtent, qui intéresse le plus nos détracteurs. Ils appellent “homme” tout primate à station verticale, capable de langage articulé, auquel ils ‘attribuent automatiquement “la raison” et, de plus, — s’ils sont Chrétiens — “une âme immortelle créée à l’image de Dieu”. Mais ce sont la station verticale et le langage articulé — traits qui sautent aux yeux — qui renseignent, semble-t-il, ces amis de l’homme, sur la présence (moins évidente) des autres caractères, dont l’objet de leur sollicitude serait, selon eux, pourvu. En conséquence : le cas qu’ils font de tous les vivants qui présentent ces deux traits distinctifs — que dis-je ? Voire même de ceux, qui en sont totalement privés mais qui possèdent la forme humaine… . car nos adversaires placent l’idiot au-dessus de la plus belle des bêtes ! On voit, ici, une fois de plus, combien il est vrai que la dénotation d’un concept est en raison inverse de sa connotation. Ce qui, au fond, donne à nos adversaires l’impression persistante que nous “nions l’homme”, c’est que nous sommes beaucoup plus exigeants qu’eux quant à la connotation de ce terme, et que, partant, sa dénotation, à nos yeux, se rétrécit d’autant. Il ne nous suffit pas, en effet, pour accorder à un primate le nom d’homme, et le respect qui y est attaché dans les langues cultivées, que cette créature se tienne de préférence sur ses pattes de derrière, et soit capable d’émettre des sons articulés ayant, pour elle et pour d’autres, un sens. Il ne nous suffit pas, à plus forte raison, qu’elle ait, sans même présenter ces deux caractères, une silhouette vaguement semblable à celle de l’un d’entre nous. Nous voulons qu’elle possède ce minimum d’intelligence qui lui permettra de penser par elle-même, et ce minimum de noblesse qui la rendra incapable de certaines réactions devant l’obstacle, inaccessible à certaines “tentations”, imperméable à certaines influences avilissantes, et à fortiori incapable d’actes mesquins ou lâches ; d’actes laids. Nous voulons bien, sinon “aimer”, du moins respecter “tous les hommes” au même titre que nous respectons tous les beaux êtres vivants, animaux et plantes, dans lesquels nous sentons des reflets plus ou moins atténués du Divin, — de l’éternel. Mais pour cela, il faut qu’il s’agisse bien d’ “hommes”, au sens fort du mot. Nous sommes, prêts à respecter, en tant qu’individus, jusqu’aux gens, adversaires idéologiques, voire même ennemis de race, que nous avons : combattus collectivement hier, et que nous combattrons encore demain, — à les respecter si, pris à part, ils répondent à ce que-nous attendons de “l’homme” : s’ils allient, à une intelligence non-asservie, les qualités de caractère qui distinguent (statistiquement) les races que j’appelle supérieures — et d’abord, bien sûr, notre race aryenne — et même l’individu exceptionnellement noble des races statistiquement inférieures. Cela ne nous empêchera pas de les combattre, s’ils sont idéologiquement dangereux ; d’autant plus dangereux qu’ils ont plus de valeur intrinsèque. En d’autres termes, nous respectons comme “hommes” les gens qui, s’ils ne sont, idéologiquement, déjà des nôtres, seraient, à nos yeux, dignes de le devenir.

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