Institut d'Études des Questions Juives - Le Juif et la France


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Institut d'Études des Questions Juives - Le Juif et la France

Voleur dès le début de l'Histoire

Dans leurs pérégrinations d'Égypte en Palestine, de Palestine en Chaldée, à Babylone, de Babylone en Asie Mimeure, puis par mer, en Italie, en Espagne, en Grèce, sur les côtes africaines, les Juifs étaient déjà parfaitement conscients de leurs rôles d'intermédiaires et de banquiers. Mais les peuples ne les assimilaient pas ; bien avant l'ère chrétienne, bien avant la légende des peuples, les rejetant pour avoir crucifié le Christ, les Nations se méfiaient des Juifs.

Alors que les Nations produisaient des richesses, les juifs, dès le début de leur Histoire, se présentent comme des commerçants inutiles, vivant de la sueur et du travail des autres. Et la preuve en est apportée par Cicéron dans son fameux plaidoyer " Pro Flacco " où il incrimine si durement les Juifs que cette page mérite d'être reproduite :
" Vient ensuite l'or des Juifs... C'est pour ce chef d'accusation,
Lélius, que vous avez choisi ce lieu et cette foule de Juifs qui nous entourent... Vous savez quel est leur nombre, leur union, leur pouvoir dans nos assemblées... Je parlerai bas, de manière à n'être entendu que des juges... C'était la coutume de transporter tous les ans d'Italie et de toutes les provinces vers Jérusalem, l'or amassé par les Juifs. Un édit de Flaccus interdit cette exportation aux Asiatiques... Il y avait de la sagesse à rompre le cours d'une superstition barbare, de la fermeté à braver, pour le bien de la République, cette multitude de Juifs qui troublent parfois nos assemblées. "

Race exécrée et pillarde, les auteurs antiques nous apportent l'écho des plaintes des anciens peuples ; Tacite ne craint pas d'écrire :
" Quand les Macédoniens possédèrent le pouvoir, Antiochus essaya de guérir les Juifs de leurs superstitions et de leur donner des mœurs grecques. Ses efforts pour changer en mieux ce peuple abominable furent arrêtés par la guerre des Parthes "

Et Renan, qui n'est pas suspect de cléricalisme, n'a pas craint d'écrire, à la suite de ses travaux sur l'Histoire du peuple juif :
" La race sémitique se reconnait presque uniquement à des caractères négatifs ; elle n'a ni mythologie, ni vie civile ; en tout, absence de complexité, de nuances, sentiment exclusif de l'unité. "
(Histoire générale de langues sémitiques.)



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