Jean Bertrand - Claude Wacogne - La fausse éducation nationale


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Jean Bertrand (Henry Babize) - Claude Wacogne
La fausse éducation nationale
L’emprise judéo-maçonnique sur l’école française

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Encore plus d'actualité, ce document inédit et forcément introuvable est enfin mis à la disposition du public pour son information et celle des chercheurs. Il permettra de se rendre compte de la main mise de ces groupements pseudo-occultes et parfaitement manipulés par ceux qui les dirigent.

Vous, parents, croyaient que vos enfants apprennent la VERITE, des moyens de lire ou d'écrire. Vu le nombre d'analphabète, on peut affirmer que la mise en place de cette vaste conspiration contre l'enseignement à bien réussi. Du sens critique, de la réflexion, que nenni, ils n'apprendront qu'à se faire manipulés pour en faire de bon et honnète Akum.

Ces idiots utiles de professeurs n'ont que ce qu'ils méritent à agir ainsi. L'esprit humain, même enfant se rend bien compte de la manipulation et ne connaissant rien d'autre encore qu'une violence pour contrer cela, devient grégaire au possible. Même qu'y en a qui brûlent leurs écoles. A quant un lynchage dans une salle de classe ?

Opération réussi. Bravo !!! ...


Extrait :
"Les ministres de l’éducation nationale et leurs fonctionnaires étaient francs-maçons ou juifs
Les Francs-Maçons, chargés de fonctions publiques,
ont le devoir d’appliquer les principes maçonniques.
(Convent G ∴ O ∴ 1923, p. 365.)

Le plan de conquête maçonnique de l’école visant en définitive au monopole de l’enseignement, a été réalisé et poursuivi par tous les Ministres de l’Instruction Publique, sauf deux, MM. Bérard et Mallarmé. Après les FF ∴ Jules Simon, Paul Bert et Jules Ferry, ce furent les FF ∴ Goblet, André Berthelot, Spuller, Lockroy, Léon Bourgeois, Charles Dupuy, Émile Combes, Bienvenu-Martin, Maurice Faure, Jules Steeg, René Viviani, Augagneur, Albert Sarraut, Honnorat, Mario Roustan, Albert Dalimier, Aimé Berthod, Henri Guernut ; quelques autres ministres, sans être maçons, furent maçonnisants, tels Yvon Delbos, Anatole de Monzie, Edouard Daladier, Lucien Lamoureux, Bertrand Nogaro, Edouard Herriot, Pierre Marraud, Jean Durand, Philippe Marcombes.
Ce sont eux qui feront voter les lois de 1882, de 1886, de 1901 et de 1904, lesquelles laïciseront l’école laïque et porteront atteinte à tout autre enseignement. La Maçonnerie en coulisse dirigera la manoeuvre, il lui faut une école populaire nouvelle où ses mots d’ordre fassent loi et à cette fin, elle propose ses méthodes : « Ce n’est pas l’officier prussien qui a vaincu, professe-t-on en 1871 dans les milieux maçonniques, c’est l’instituteur prussien ». Mais quant à expliquer aux masses comment travaille cet instituteur tant vanté, on s’en garde bien, les enseignements ne seraient pas conformes à la doctrine. Les réformateurs laïques, sûrs de porter en eux la vérité, n’ont pas besoin de s’instruire au dehors. Pour eux, pour leur secte, la défaite de la France n’est qu’une occasion, suivant la formule du F ∴ Jules Simon, de « refaire la France par l’Éducation ».

Ce sont donc tous ces ministres maçons ou maçonnisants qui feront avancer la réalisation de l’école unique ; ce sont eux qui patronneront la Ligue maçonnique de l’Enseignement ; ce sont, par exemple, Herriot et François Albert qui se glorifieront en 1925 d’avoir découvert dans Condorcet le plan de l’école unique ; c’est de Monzie dont les circulaires seront inspirées par les Loges."


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