[justify]
[large]Un film juif pour des juifs...[/large]
c'est coOoonnu, les jouifs sont des malades mentaux. La preuve ce scénario ou l'horreur est constante.
Ecrit par des jouifs pour des jouifs. Cela plait beaucoup dans le milieu.
Nous, on regarde pas ce genre de saloperie, cela peut nous induire des souvenirs pouvant nous faire délirer façon expressif du bulbe atteint de surdose d'hormones de la surrénale.
Une bien belle preuve des problèmes qui poursuivent cette ethnie de dégénérés du fait et à cause de la consanguinité, l'inceste, de la circoncision du 8e jour, de l'étude de leur livre sérieux sur la manipulation des hommes, des superstitions, de leur cuisine casher et autres débilités.
La tétralogie culte suscita, lors de sa sortie, une levée de bouclier et l?indignation de l?ensemble des critiques. Il faut dire que le film n?y allait pas de main morte et se positionnait comme un modèle de ?nazi porn?, à savoir un film érotique ultra-violent exploitant, fort complaisamment, les exactions commises durant la Seconde Guerre Mondiale. La recettes n?était pourtant pas neuve puisque le premier exemple en est le fameux et banni
Camp Spécial Numéro 7, datant de 1968.
Apparemment tourné sur le plateau de la série télé Hogan?s Heroes (Stalag 13), le film prend pour cadre un camp de prisonniers, le
Medical Camp N°9, dans lequel sévit Ilsa, une doctoresse nazie, blonde et sadique, dotée d?une énorme poitrine.
Durant une heure trente vont ainsi se succéder une castration en gros plan, des orteils broyés à la tenaille, des tortures sexuelles diverses, des viols et mutilations, des scènes érotiques sado-masos aux limites du porno, de l?urologie et une foule de violences barbares (les maquillages sont excellents) particulièrement vicieuses. L?hémoglobine coule évidemment à flot dans une série de vignettes gore à souhait d?une cruauté rarement vue à l?écran. Bref, il s?agit d?un authentique catalogue de perversions qui s?achève en bain de sang. La scène la plus marquante intervient sans doute lorsqu?un général nazi dîne en regardant une jeune juive mourir pendue à une corde, les pieds posés sur de la glace qui, lorsqu?elle fond, entraîne un long et douloureux étranglement. Ensuite, Ilsa, seulement vêtue de ses bottes de cuir (mais pas d?un chapeau melon !), pisse longuement sur le général, satisfait de ce traitement. D?autres séquences clés montre la tortionnaire enfoncer un vibromasseur électrifié dans l?intimité de plusieurs prisonnières.
Le métrage pose, évidemment, la question de la censure et certaines personnes, y compris de fervents adeptes de la pornographie, demandèrent qu?il soit considéré comme illégal et interdit.
L?état d?Israel n?apprécia pas, mais alors vraiment pas, ce film qui lança la vague du ?nazi-porn? avec, pour exemple :
Bourreaux S.S. 1 & 2,
La Dernière Orgie du Troisième Reich,
Train Spécial pour l?Enfer S.S.,
Camp d?Amour pour Chiens Jaunes,
Kolossal Orgies,
S.S. Girls,
La Maison Privée des S.S.,
Fureur S.S.,
S.S Camp5,
Horreur Nazies,
Les Nuits Chaudes de la Gestapo,
Les Déportés de la Section Spéciale S.S.,
Hôtel du Plaisir pour S.S.,
Holocauste Nazi, et, dans une genre plus respectable,
Salon Kitty de Tinto Brass ou même
Portier de Nuit, sans oublier la récente tétralogie chinoise
Camp 731. On peut cependant considérer Ilsa, au-delà du malsain, comme une bande dessinée pour adulte, érotique, horrible, sanglante et délirante, qui s?impose en vrai classique trash. Le côté irréaliste est d?ailleurs souligné par ces prisonnières aux formes généreuses et cette ambiance de douce folie. Il paraît évident que le produit ne cherche aucunement le réalisme et doit se rapprocher davantage des scénarios de pornos basiques ("bonjour, je suis le plombier", "quelle bonne surprise, justement mes canalisations ont besoin d?être entretenues !") que de l??uvre historique.
Les cinéphiles pervers y trouveront certainement leur compte en matière de sexe.
_____________
[large]Conseils de Révision 2008[/large]
février 2008

L'un des grands inspirateurs de l'holoporno à l'israélienne, si violemment traduite en images dans les bandes dessinées appelées
stalagim en hébreu, est un écrivain connu sous plusieurs noms qui signait en particulier «
Ka-Tzetnick 135633 », ce qui se lit comme prisonnier n°135633 d'un camp de concentration » (KZ - Ka Tzet - en allemand). Ce gus est connu pour avoir été le premier, en Israël, à écrire des histoires, et des histoires scabreuses, sur Auschwitz, décrivant comment "sa jeune soeur", puis "son jeune frère", sont devenus des prostitués dans le fameux "
Block 24" qui était le bordel des SS dans le camp.
Cet auteur, Fehiel Feyner, de son vrai nom, a même été appelé comme témoin au procès d'Adolf Eichmann, où il a fait un numéro de cirque incroyable avant de s'effondrer à la barre.
Nous donnons plus loin le compte-rendu officiel de cette pantalonnade. On est bien obligé, aujourd'hui, sous la poussée révisionniste, de reconnaître, à Yad Vashem, que le "
Block 24" et les prostituées juives sont des inventions purement romanesques. "La situation était déjà assez dure pour qu'on n'en rajoute pas" murmure-t-on à Yad Vashem dans l'oreille des journalistes qui prennent leur téléphone pour en savoir plus long sur ces admirables inventions.
Willkomirsky était un inventeur complet qui, en tant que tel, a connu un succès mondial devant les audiences juives. Un peu comme Shabbatai Tsévi a pu, un temps, se faire passer pour le Messie, dans des communautés médusées par un tel coup de force dans l'invention littéraire, au XVIIe siècle, dans toute l'Europe. On peut dire sans doute que les juifs sont plus crédules que les autres. En tout cas, ils n'ont pas développé d'instruments critiques dans leurs réflexions talmudiques, qui met parfaitement sur le même pied les inventions les plus audacieuses et les faits établis. Aristote n'a jamais été traduit en hébreu... On n'enseigne pas la logique dans les yeshivas...
Mme
Tova Reich, dans son petit bijou intitulé
My Holocaust expose tous les secrets de fabrication. Elle a vécu au centre du dispositif de l'
Holocaust Memorial Museum. Elle nous explique comment tout ce tissu de fiction a été fabriqué par des baratineurs infernaux, obsédés sexuels, amasseurs de pognon. Le pauvre
Saul Friedländer, au soir de son existence de profiteur du Zolo, peut bien essayer de supplier les lecteurs du
Spiegel (8 octobre 2007) de croire que L'Holocauste ne va pas disparaître. Il ne parle que pour lui, et pour protéger sa source de revenus. Il rabâche. Mais c'est trop tard. Même dans son baratin, il est obligé de répondre aux révisionnistes et d'inventer l'idée que Hitler voulait "oblitérer tout ce qui était juif dans le monde" à cause de l'entrée en guerre des Etats-Unis. Frieddländer est un inventeur aux petits pieds.
Il n'y a même plus besoin d'intervenir. Les fictions explosent d'elles-mêmes les unes après les autres. L'heure arrive où nous pourrons tirer le rideau.[/justify]