[right][small]Le fait que l'idéologie du Genre ait été inventée
par un dangereux pédophile est totalement inconnu des ?familles et parents d'élèves en France.
Il semble évident que si ces faits étaient connus du plus grand nombre,
on ?pourrait voir une levée de boucliers considérable contre l'idéologie du Genre.?[/small][/right]

On pourra lire aussi :
Séverin Jules - Le monopole universitaire (1905) Education nationale
Les Juifs ennemis de la Nation
La fausse éducation nationale - L?emprise judéo-maçonnique sur l?école
Nicolas Deschamps - Le monopole universitaire destructeur de la religion et des lois
[large]La fausse éducation et la théorie du "Gender"[/large]
Le document remarquable pour endoctriner nos enfants et leurs ouvrir l'esprit à un nouveau paradigme.
Éduquer contre l'homophobie dès l'école primaire
La théorie du « gender » qu?est-ce c?est-y donc que cela ?
[justify]On n?arrête pas les progrès dans la perver$ion. Chaque Loi nouvelle se voit ouvrir des portes à d?autres Loi. Après le mariage des homosexuels, vous savez ce nouveau genre qui définit que dorénavant, il n?y aura plus de Papa et Maman, il pourra y avoir Papa et Pédé où Maman et Gougnotte. Un schisme en vérité. Car les lois de la physique s?en voient ainsi mise à mal. Dorénavant plus de pôle négatif, ni positif. En contradiction complète avec les Lois de la physique élémentaire de base qui veut qu?il y ait un pôle Positif et un Négatif qui s?attire mutuellement.
Il est évident que pour que cela fonctionne, il va falloir conditionner le peuple dès son plus jeune âge. Quoi de plus simple lorsque l?on oblige les jeunes enfants à assimiler la théorie fantasmagorique à l?école, ce milieu si républicain envahit par la fausse éducation nationale depuis si longtemps.
Nos pauvres enfants n?apprenant déjà rien si ce n?est que 2x2=5 et encore il leurs faut le démontrer de façon si compliqué que même les parents et pire les grands-parents ne peuvent plus aider à la démonstration de cette idiotie.
Où il Leurs faut aussi apprendre que l?histoire du Monde commence le jour où l?on pris conscience que ce pÔoove peuple d?hébraïques subit les affres de l?holocauste, en oubliant le fait que d?autres peuples eurent à subir aussi ces tristes moments. Plus d?histoires de Nation, la guerre de 1870 ? Marignan ? 1500 quoi ? Comment s?est construite l?entité France ? Qui sont les Bourguignons, ceux-là même qui combattaient la France ? La Savoie ? etc. et dans d?autres pays mis despotiquement sous la bannière aux douze étoiles sur fond bleu, à l?identique ; plus rien au niveau européen. Pour le France, cela est une catastrophe. Nous qui avions des ancêtres gaulois, nous voilà avec de nouveaux ancêtres indignes, méchants et particulièrement sectaires. Repentons nous. Avilissons nous, pour la plus grande joie de nos dirigeants aux ordres du sémite.

Toto & Tata et Titine & Gougnotte peuvent dorénavant se marier, former un couple. Il est bien évident qu?ils vont pouvoir s?offrir des mômes, pour ressembler à tout un chacun et participer à la fondation de famille plus qu?honorable et dispendieuse des aides familiales. S?offrir en les achetant via une immondice porteuse ou des manipulations d?éprouvettes savantes qui dans les cinq à six générations démontreront leur monstruosité par la dégénérescence ainsi mise en évidence. Le saviez-vous, mais dans l?ADN, tous les ADN, il existe comme pour les données contenues dans votre ordinateur un système de correction d?erreur. Lorsque la transmission de la donnée s?effectue avec une erreur, un système de reconstruction de l?information se met en fonction. Pour l?informatique cela va assez vite, mais pour le vivant, cela demande toutefois quelques générations pour l?adaptation. Comme quoi ces chercheurs en herbes verront leurs diaboliques créations n?être qu?une chimère.
Revenons à ce lucratif trafic qui sera mis en place pour la procréation des nouveaux genres. Nous devrions aussi avoir : vols d?enfants, disparations plus que suspectes et son lot habituel de saloperies en tous genres dont sont coutumiers les trafiquants de chair fraiche. Un bien bel avenir que voilà pour les têtes blondes aux yeux bleus ou autres petites négresses ou négrillons à la peau si différente et si douce au toucher.
La théorie du « gender » a fait son apparition dans les manuels scolaires de la rentrée 2011 et sera enseignée aux élèves du lycée des filières générales et comme cela ne suffit plus à nos enfant en bas âge à partir de la future rentrée scolaire de 2013. Face à ce courant d?idées élevé au rang de vérité scientifique, des voix s?élèvent d?abord dans l?Eglise pour dénoncer une négation de la différence naturelle des sexes et la promotion d?une « sexualité complètement désarticulée ». Ces immondes hérétiques à la religion franc-maçonnique que représente l?église catholique osent remettre en cause la pensée des penseurs du grand Architecte ? Honte et guerre à ceux-là.
Le principe de cette théorie s?appuie sur la distinction radicale chez la personne humaine entre son sexe biologique et son identité sexuelle. Si le sexe biologique est déterminé dès la naissance, l?identité sexuelle est « la perception subjective que l?on a de son propre sexe et de son orientation sexuelle » (selon le manuel Hachette), et est le fruit d?un climat culturel et d?un conditionnement social. Le garçon qui se rue sur un camion et la petite fille sur une poupée serait ainsi le résultat de représentations sociales transmises, sans relation avec le sexe biologique. L?être humain doit donc demeurer libre de construire sa propre identité sexuelle. Indépendante de l?identité sexuelle de la personne, l?orientation sexuelle devrait quant à elle être un choix totalement libre selon ses désirs. De la même manière qu?il doit rester libre de se construire sa relation avec Dieu. Cela amenant l?effet destructif de son identité national.
Voici un ouvrage de qualité, issu de l'esprit fertile des loges du B'nai B'rith.
Nous vous permettant de le lire. Nous vous conseillons toutefois d?acheter un tube de vaseline et de l?offrir à votre petit garçon qu?il s?essaie sur son frère ; si vous avez une fille pas de souci, la s?ur ou la tante fera l?affaire (recommandé par Léon Blum dans son admirable livre Le mariage). Ainsi vous vous rendrez compte de la perversité de ces gens.
Leur but détruire la famille, la religion, les races en une marmelade métissée, inculte et surtout soumise à leurs vices. Un réservoir ou il fera bon puiser ses désirs soudain en toute quiétude. On exagère. Quoique ! Certes pour l'instant cela à l'air exagéré ces mots. Dans 5 ans croyez-vous que cela sera ? Voyez déjà dans vos foyers les dissensions face à l'invasion qui nous submerge. Dites un mot différent de la vulgate officialisée dans ces matrices éducatives et vous passez pour un affreux pervers, un fasciste notoire, un raciste. Qu?importe le reste, vous êtes.
Bonne lecture, si vous osez lire.
Nous vous conseillons toutefois pour que nos propos ne soit pas pris comme étant ceux d'un nationaliste franchouillard contre la pédérastie et autres jeux ludiques sexuelles envers les mômes ; que vous lisiez ce document sorti des poubelles de la censure pour vous rendre compte que ces deux auteurs ne se trompaient pas en leur temps d'avoir dans l'indignité écrit leur prose contre la Fausse éducation nationale.[/justify]
Bertrand Jean et Wacogne Claude, La fausse éducation nationale l'emprise Judéo-Maçonnique sur l?École Française. Pour décompacter le document le mot de passe est : www.histoireebook.com
[center][youtube]http://www.youtube.com/watch?v=T7tAVfC5scA[/youtube]
hop là ! Et après à la casserole ...[/center]
[justify]Pour cela Le grand Peillon, ce larbin inculte, destructeur des familles, de Nation et de religion autres que la sienne a pondu avec l?aide de nombreux conseillers, du genre de Jules Isaac et Malet, un manuel formidable. N?oublions pas que sont concernées toutes les provinces devenues, ces anciennes nations, que constituent l?entité Europe. La technocrassouille de Bruxelles injecte ses poisons à petites doses progressivement pour soumettre les peuples à cette immonde idéologie.
Eduquer contre l?homophobie dès l'école primaire - Des outils théoriques et pratiques pour avancer
Extrait
Michel Teychenné a été chargé par Vincent Peillon de rédiger un rapport sur les discriminations Lesbiens, Gays, Bi et Trans (LGBT).
Le ministre de l?éducation nationale m?a confié un rapport concernant la lutte contre les discriminations liées à l?orientation sexuelle ou à l?identité de genre afin de mettre en place des actions et mesures concrètes pour les prochaines rentrées, à appliquer dans les écoles et des établissements. En septembre 2012, le Premier Ministre a chargé la ministre des droits des femmes de préparer, en liens étroits avec les ministres concernés, un plan national de lutte contre l?homophobie. C?est dans ce cadre que Vincent Peillon m?a chargé de ce rapport spécifique au ministère de l?éducation nationale.
Le milieu éducatif n?est pas exempt d?actes homophobes et transphobes, qu?ils soient exercés ou subis par les élèves, leurs familles ou des adultes de la communauté éducative. L?école est le reflet de la société, et le récent débat sur le mariage pour les personnes de même sexe a montré que les relents homophobes étaient bien présents la société française. Les jeunes scolarisés et leurs familles sont concernés par la lutte contre les discriminations commises en raison de l?orientation sexuelle ou de l?identité de genre. En effet, le taux de suicide des jeunes filles et garçons LGBT est très nettement supérieur à la moyenne des autres jeunes d?âge égal. La solitude et la pression sociale subies par ces jeunes sont souvent aggravées par l?homophobie vécue ou intériorisée, et peuvent parfois mener au suicide. Cette situation alarmante nécessite une prise de conscience de tous et de toutes, une politique volontariste de lutte contre toutes les discriminations liées à l?orientation sexuelle ou à l?identité de genre portée par l?ensemble des acteurs éducatifs, syndicaux et associatifs.
L?homophobie est un délit. Les préjugés, les idées fausses et la stigmatisation sont encore trop présents dans notre société. Dans le cadre de l?élaboration de mon rapport, je réfléchis à un certain nombre d?actions comme par exemple : la sensibilisation des personnels de l?éducation nationale à ces questions, depuis leur formation initiale, puis par la formation continue ; l?information et la formation des élèves ; le renforcement des partenariats avec les associations LGBT intervenant un milieu scolaire ; le nécessaire renforcement de la recherche universitaire sur toutes les questions qui touchent aux discriminations liées à l?orientation sexuelle ou à l? identité de genre dans le milieu scolaire.[/justify]
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[center][large]Vision d'avenir[/large]
On m'a greffé un cloaque de poule. Formidable ! ...
Petit souci toutefois, faudra que je couve mon ?uf, pendant 21 jours après la ponte.[/center]
[large]Les premiers mariés homosexuels en voyage de noces à Tel-Aviv[/large]
[justify]Vous savez ces deux remarquables caricatures, qui plus est ils ont achetés un môme, pour satisfaire leur ludique passion et jeu divers.
M. Vincent Autin et M. Bruno Boileau, premier couple homosexuel à s?être marié en France depuis l?adoption de la loi permettant le mariage pour tous, se rendra à Tel-Aviv pour son voyage de noces et pour le vingtième anniversaire de la Gay Pride.
Le voyage est offert par la mairie de Tel-Aviv et son agence « Tel-Aviv Global and tourism ».
Le couple sera hébergé durant son séjour, du 6 au 9 juin, par l?ambassadeur de France en Israël, Christophe Bigot, dans sa résidence à Jaffa.
Vendredi 7 juin, jour de la Gay Pride, ils rencontreront la presse au jardin Meir, pour un petit déjeuner, rue King George à Tel-Aviv, de 11h a 12h. Puis ils participeront bien entendu au défilé traditionnel, le vingtième.
Taubira impose un stage sur « l?identité de genre » aux magistrats. L?USM mécontente.
Lundi 3 juin, les magistrats sont convoqués à Paris pour assister à un stage de formation sur « les discriminations commises à raison de l?orientation sexuelle ou de l?identité de genre ».
L?insistance et le ton employé par le ministère pour obliger les magistrats à assister à cette formation a provoqué la colère du principal syndicat de magistrat, l?USM.
Dans un courrier adressé le 30 mai à la Garde des Sceaux, l?USM s?inquiète de ce qui s?apparente à des instructions politiques en contradiction avec la supposée indépendance de la justice :
« Les conditions d?organisation de cette réunion sont symptomatiques de difficultés récurrentes, en contradiction avec les déclarations laissant croire à un assouplissement du lien hiérarchique entre les parquets et le ministère de la justice.
Les interlocuteurs naturels de la chancellerie, comme le rappelle le projet de loi, sont les procureurs généraux, du fait de leur statut et des moyens matériels mis à leur disposition. Tel n?est pas le cas des autres magistrats des parquets et parquets généraux qui n?ont pas vocation à sacrifier une partie de leur week-end pour se déplacer et être à Paris, un lundi matin à 9 heures ..
Le ton comminatoire employé par la directrice des affaires criminelles et des grâces (?), pour ordonner leur présence et imposer (de quel droit ?) leur participation à un stage de deux jours organisé dans le prolongement de cette réunion est à cet égard totalement inadmissible. »
Cela montre une nouvelle fois que le gouvernement n?a pas les mêmes priorités que les Français. Alors que l?insécurité progresse, que la politique pénale de la garde des Sceaux fait débat et que les magistrats se plaignent d?être totalement débordés, la ministre fait de la formation aux questions liées à « l?identité de genre » sa priorité.
L?USM fait d?ailleurs remarquer que cela a un coût et que le ministère ferait sans doute mieux d?utiliser cet argent à autre chose : « les dépenses somptuaires liées au déplacement de nombreux parquetiers, deux cents dans le cas d?espèce, (sont) en total décalage avec les restrictions budgétaires drastiques imposées aux juridictions. »[/justify]
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[large]Tragique destin du premier cobaye de la théorie du genre[/large]
[small]par Observatoire de la théorie du genre[/small]

Ses parents, ne sachant que faire, finissent par se tourner vers le Pr. John Money qui avait acquis une certaine notoriété grâce à son travail sur les enfants « intersexes » au sein du centre universitaire John Hopkins de Baltimore.
Le Pr. Money pensait que l?identité sexuelle des enfants, garçon ou fille, était suffisamment plastique, durant les premières années de la vie, pour permettre de réassigner un nouveau genre à un enfant grâce à un suivi médical (pris d?hormone), psychologique (une thérapie) et culturel (rôle de l?environnement et des parents).
Il finit donc par convaincre les parents du petit Bruce qu?il était tout à fait possible de changer le sexe/genre de leur enfant et que celui-ci serait plus heureux, du fait de son infirmité au pénis, en petite fille[/justify].
[justify]C?est ainsi qu?il entreprit de transformer le petit Bruce, âgé alors de 22 mois, en « Brenda ».
Après opération, il suivit en thérapie la « nouvelle » petite fille durant plusieurs années pour la convaincre de sa nouvelle identité, mais aussi pour l?étudier.
Le Pr. Money souhaitait, grâce à cette expérience, apporter la preuve de la validité de ses thèses sur la « flexibilité de la division sexe/genre ». Il publia dès 1972 un livre pour vanter les résultats de son expérience.
Une expérience qui sert de caution à la « théorie du genre ».
C?est à partir de ce simple cas que la « théorie du genre » s?est développée en prétendant que « ce que nous appelons communément le « sexe biologique » renvoie bien davantage aux rôles et comportements sexuels qu?à un processus biologique de sexuation. Les motivations de Money montrent que ce que nous appelons le « sexe », biologique, stable, évident, comporte toujours un surplus par rapport à la sexuation des corps.
Ce que nous appelons alors le « sexe des individus », c?est-à-dire la bicatégorisation sexuelle des individus en « mâles » et « femelles » serait davantage le fait de facteur exogène que d?une détermination endogène.
Cela ne remet pas seulement en question la causalité « naturelle » du sexe (mâle et femelle) sur le genre (homme et femme) et la sexualité (hétérosexualité), prônée par la majorité des écrits médicaux du XIXème siècle, mais bien notre définition même du sexe biologique » [1]
Dès 1972, Ann Oakley, une sociologue britannique, s?est appuyée sur les travaux de Money pour imposer la distinction entre sexe et genre et la populariser au sein des milieux féministes grâce à son livre « Sex, gender et Society ».
« Les recherches sur les individus « intersexes » ainsi que sur les phénomènes de transsexualité, démontrent que ni le désir sexuel, ni le comportement sexuel, ni l?identité de genre ne sont dépendants des structures anatomiques, des chromosomes ou des hormones. D?où l?arbitraire des rôles sexuels. » affirme, de façon péremptoire, Ilana Lôwy, dans les Cahiers du genre. [2]
Quant à Elsa Dorlin, professeur de philosophie à l?Université Paris 8, elle poursuit :
« A partir de cette première élaboration, le concept de genre a été utilisé en sciences sociales pour définir les identités, les rôles (tâches et fonctions), les valeurs, les représentations ou les attributs symboliques, féminins ou masculins, comme les produits d?une sociabilisation des individus et non comme les effets d?une « nature ». » [3]
Une expérience qui finit comme un drame
Les avocats de la théorie de genre, qui aujourd?hui encore s?appuient sur l?expérience de Money pour légitimer leurs thèses, oublient toujours de préciser ce qui est arrivé à la petite Brenda. La transformation a-t-elle été aussi réussie qu?ils le prétendent ?
La réalité est malheureusement beaucoup plus tragique.
Malgré les traitements hormonaux et la thérapie, Bruce devenue Brenda n?a jamais réussi à se sentir bien dans sa peau. À 13 ans, il ou elle manifesta des tendances suicidaires et refusa de continuer à voir le Pr. Money.
Face à la détresse de leur enfant, les parents de « Brenda » furent amenés à lui révéler la vérité sur sa réassignation de genre et « Brenda » entrepris une nouvelle transformation pour redevenir un garçon et demanda à ce que désormais on l?appelle « David ».
En 1997, David se soumit à un traitement pour inverser la réassignation, avec injections de testostérone, une double mastectomie et deux opérations de phalloplastie.
Cette malheureuse expérience marqua profondément David Reimer qui décida de rendre public son histoire.
Il publia, en 1997, un livre dans lequel il témoigna des conséquences néfastes de ces thérapies afin d?éviter que d?autres enfants subissent les mêmes traitements.
En 2004, David Reimer, toujours fragile, finit par se suicider.
Voilà comment finit la vie tragique de Bruce/Brenda/David Reimer.
Malheureusement, ce drame n?a pas empêché ceux qui voyaient en lui un simple cobaye au service de leur « théorie » de continuer à se référer à cette expérience comme si elle avait été une réussite.
La mort tragique de David Reimer aurait du servir de leçon aux apprentis sorciers de la théorie du genre. Malheureusement, ils ont préféré oublier ce triste épilogue et continuent, aujourd?hui encore, à le cacher pour ne pas discréditer leur théorie.[/justify]
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[1] Elsa Dorlin, Sexe, genre et sexualité, PUF, 2008, pp.36-37
[2] Cité par Elsa Dorlin, ibid, p.39
[3] ibid, p.39
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