Roger de Lafforest - Ces maisons qui tuent ...

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Riton le Besogneux

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Image[large]Roger de Lafforest[/large]
Ces maisons qui tuent

http://www.histoireebook.com/index.php?post/De-Lafforest-Roger-Ces-maisons-qui-tuent

I: Les dangers de la belle étoile
II: Les sept plaies des gypses
III: Les maisons à cancer
IV: Les « sanctueurs »
V: La mémoire des murs
VI: Précautions et remèdes
VII: Le fantôme est innocent






Extrait :
[justify]"Sans parler des grands cataclysmes naturels, l?homme est en butte aux agressions permanentes du climat, du décor, des éléments; en outre, il doit soutenir les hostilités ouvertes en permanence avec les forces invisibles tombant du ciel ou montant de la terre. En vérité, la nature est pour lui une ennemie mortelle. Quand il se dit et se veut « naturiste », ce ne peut être que par snobisme, et partiellement ou temporairement.
En fait, pour survivre, il lui faut des vêtements et une maison.
Les autres animaux de la création résistent mieux, mais l?homme, lui, à mesure qu?il se distingue de la bête et sort de la barbarie, ne trouve son salut qu?en faisant l?escargot. La maison est son seul refuge, sa vraie protection. Pour être en sécurité, il lui faut un toit et quatre murs.
Dormir à la belle étoile est une expression poétique et charmante, mais la réalité qu?elle exprime est redoutable. En fait, il est dangereux de dormir dehors la nuit; le minimum de prudence consiste à mettre un écran protecteur entre le dormeur et la « belle étoile » qui brille au dessus de sa tête. Je précise bien que c?est le sommeil de nuit en plain air qui fait de l?homme une cible offerte sans défense à tous les rayonnements cosmiques et telluriques à l?état sauvage.
Pour celui qui veille, les risques sont bien moindres. Quand à la sieste de l?après midi, elle ne présente que des avantages - à moins, bien entendu qu?elle ne soit faite à l?ombre d?un arbre maléfique. Mais, la nuit, le dormeur à la belle étoile se trouve en état de vulnérabilité absolue d?autant plus que les heures nocturnes sont celles où se déchaînent avec une violence sans retenue les bombardements et les déluges des forces invisibles (qu?elles soient spirituelles, physiques, électriques ou magnétiques)."[/justify] [...]

[...][justify]"En réalité ce n'est pas la maison en elle-même qui tue, mais le réseau sur lequel elle a été implantée. Il est très rare, pourtant que l'on ne trouve pas dans l'habitation un espace suffisamment sain ou mieux une zone neutre pour y établir son lit. Il suffit d'un point nocif en effet sous ce dernier pour générer, au bout d'une période de temps plus ou moins long, une pathologie. Les sourciers du temps jadis avaient établi la corrélation entre l'eau et la nuisance si bien que les anciens n'implantaient jamais une habitation sur une source, un cours d'eau souterrain ou quelque nappe aquatique parce qu'ils avaient pris l'habitude de les consulter. Souvent le puisatier remplissait cet office. Il savait se servir de la baguette de coudrier avec suffisamment de précision pour obtenir des résultats fiables. Au pendule, les plus experts vous donnaient la profondeur à atteindre pour obtenir l'eau et même le débit qui serait celui de votre puits à tel ou tel endroit. Il est vrai que l'eau est un excellent conducteur des négativités telluriques. Ainsi une ligne d'eau sous le sol est jalonnée de points négatifs presque sans discontinuité. Lorsque vous voyez un puits jouxtant la maison, vous avez un signe certain d'un écoulement souterrain sous la maison et déjà une quasi certitude de nuisance. d'autres indications sont données et répertoriées depuis longtemps comme zones perturbées par des points nocifs, notamment les régions affectées par des lignes de faille. Le long de ces cassures de l'écorce terrestre remontent les flux négatifs des radiations telluriques. Citons encore les cavités souterraines, grottes etc qui produisent un effet de résonance. Une citerne à mazout désaffectée enterrée dans un sous-sol peut produire cet effet. Il y a aussi parfois un filon de roche radioactive.
Dans les endroits particulièrement perturbés le réseau de base ou réseau "H" présente la plupart du temps un maillage rétréci j'en ai couramment rencontré qui étaient inférieurs à 50 cm. Nous sommes loin des 2 mètres sur 2,5 mètres de la "normale". C'est le premier travail que doit effectuer le géobiologue car la corrélation est toujours significative : plus est serré ou petit par rapport à la normale, en d'autres termes plus la résille est réduite, plus grande et pour cause sera la fréquence des points pathogènes sur la surface considérée. On pourra en détecter facilement jusqu'à trois sur la place occupée par un corps dans le lit..."[/justify][...]
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