[center]Fabrice Guillot
[large]L'émergence du roi Maigne et la Nouvelle-Jérusalem[/large][/center]
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[center]Guillot Fabrice - L'émergence du roi Maigne et la Nouvelle-Jérusalem.pdf
http://www.balderexlibris.com/index.php ... -Jerusalem
http://www.histoireebook.com/index.php? ... -Jerusalem[/center]
[---][center][large]L'EMERGENCE DU ROI MAIGNE ET LA NOUVELLE-JERUSALEM[/large]
(1ère partie)[/center][---]

[justify]AVERTISSEMENT :
Je tiens d'emblée à mettre en garde les lecteurs que le dossier que vous vous apprêtez à lire risquera d'en choquer plus d'un (j'entends surtout pour la partie terminale ) ; mais il faut savoir d'une part que je ne suis pas là pour entretenir l'illusion des masses , à la différence de bon nombre d'acharnés et fanatiques de la mouvance nouvel-âgiste à propos notamment de la fameuse date du 21 déc. 2012 et que d'autre part, je ne cherche pas non plus à faire du sensationnalisme. Les éléments qui suivent reflètent une probabilité avant tout, une éventualité, même si ceux-ci ont de fortes présomptions de réalisation. Pour ce dernier cas, cela permettra peut-être de s'armer mentalement afin de se préparer au pire plutôt que de baigner dans l'illusion permanente de l'arrivée d'un Messie ou du paradis sur Terre. En parlant de Messie justement, vous saurez plus de quoi il en retourne tout à la fin de ce dossier.
Introduction.
Effectuant des recherches depuis maintenant de nombreuses années suscitées par un désir constant de percer le secret de bien des mystères qui nous entourent, à la différence de pas mal de personnes adeptes de la spécialisation dans telle ou telle branche, je m'affiche davantage comme un spécialiste de la non-spécialisation, plus susceptible selon moi de relier les différentes parties de ce grand tout qui nous intrigue tant, un peu d'ailleurs à la manière de reconstituer les morceaux du grand puzzle des énigmes de notre monde dont les pièces sont éparpillées partout dans l'espace et le temps .
Il y a quelque temps, je suis tombé sur un livre ayant pour ainsi dire apporté plus d'eau à mon moulin; ce livre s'intitule " Le Grand Dérangement ou La part de fable dans l'Histoire ", paru aux éditions Louise Courteau au Québec en 2011 . Son auteur, Daniel Leveillard est Président National de l'Académie de Recherche Sociétaire des Hautes Etudes en Sciences Religieuses; il s'était déjà distingué avec "Les Mystères de Sang Royal - De Charlemagne à Louis XVII, existe-t-il une survivance ? ", éditions Lanore - Paris 2005. Chercheur en anthropologie culturelle, cet historien et auteur a retracé la généalogie des lignées royales françaises depuis l'origine de la royauté en France. Ses nombreuses recherches, son talent d'écrivain ainsi que son style de rédaction et son esprit d'analyse lui ont valu le qualificatif d'érudit par certains. Même si cela s'avère indiscutable sur de nombreux points, cet auteur semble toutefois se méprendre sur certains autres que nous tenterons de clarifier au fil de notre démarche mais il n'en reste pas moins que cet ouvrage me permit de complémenter remarquablement mes recherches dans des secteurs auxquels je n'avais d'ailleurs jamais pensé.
Ayant alors en mains une kyrielle d'éléments nouveaux, il fallait donc y mettre de l'ordre afin d'en faire faire ressortir quelque chose de cohérent; ceci fut fait grâce à une personne dont je fis la connaissance il y a quelques mois seulement. Cette personne s'est vu attribuer certaines facultés parapsychiques à la suite d'événements tragiques de son existence et ce, notamment par l'intermédiaire d'un oiseau particulier nichant à proximité de son domicile et dont les apparitions et le comportement lui apparurent à la longue comme des messages; ce volatile, un hibou, lui ayant fait reprendre espoir pour ainsi dire en vint alors à devenir tout simplement son animal fétiche dont elle fit son symbole. Les lecteurs bien entendu au fait du symbolisme négatif de cet oiseau répandu par les Illuminatis comme à Bohemian Grove par exemple, ne doivent pas forcément en déduire par là des visées similaires chez cette personne. Tout dépend de la façon avec laquelle on utilise une image, un symbole ou une connaissance qui restent en réalité on ne peut plus neutres. En tout cas, cette personne, que j'appellerai la Dame au Hibou, me permit par ses facultés d' entrevoir certains liens entre différents domaines d'investigation ainsi que certaines dates en relation avec le sujet dont nous allons traiter.
Mais commençons tout d'abord si vous le voulez bien, par le commencement, avec le très bon ouvrage de Daniel Léveillard.
LOUIS XVI ET L'OPERATION VARENNES.
Le thème majeur du livre de Mr Leveillard s'articule autour d'une certaine prophétie, la Prophétie du St-Pape et du Grand Monarque ainsi que du personnage dont serait issu ce Grand Monarque, à savoir, le roi de France Louis XVI. Il faut ici informer les lecteurs que cet écrivain reste avant tout convaincu qu'au moment où ce descendant caché fera son apparition, ce sera alors pour l'humanité l'inauguration d'une civilisation de l'Amour, avec un A majuscule. Ce Grand Roi, ce Roi Maigne (de l'ancien français maigne, maine, dérivé du latin magnus "grand"), ce Grand Monarque donc, qui fera resurgir le Rameau des Lys tant attendu. Je crois personnellement qu'un tel espoir tient surtout ses origines dans la religion chrétienne avec l' invention du personnage de Jésus dont Daniel Léveillard reste manifestement lui aussi un partisan de l'historicité, tout comme nous allons le voir d'ailleurs, le roi Louis XVI lui-même. De plus, malgré les recherches étymologiques de noms qu'il dissèque pour y trouver un sens caché, il n'a jamais dans son livre essayé de "décortiquer" ce nom même de J. é. s. u. s. .Enfin passons. Ce qu'il importe ici n'est pas de mettre l'emphase sur le caractère frauduleux à l'origine de cette religion (comme de toutes les autres dites du Livre par la même occasion) mais plutôt sur la vertu et la droiture que ladite religion aurait pu inspirer chez certains. Et il en fut donc apparemment de Louis XVI qui aurait essayé de faire passer les intérêts du peuple avant ceux de la monarchie. Ce souverain lucide, bienveillant, "progressiste", " en avance sur son temps", avait déjà pressenti qu' une trop grande importance accordée à la technologie à des fins capitalistes ne pouvait être, à plus ou moins long terme , que néfaste à la société. Etant de plus et par voie de conséquence, un fervent opposant à la Révolution, il en vint donc à être désigné dans les encyclopédies et dictionnaires conventionnels comme un roi faible, sans autorité manifeste. C'est bien parce qu'il représentait une menace certaine que l'Histoire l'a décrit sous ces traits. En fait , pour parvenir à une meilleure approche de la réalité, il suffit souvent de retourner les informations à 180°, ce qui en application de notre cas ici, donnerait quelque chose du genre " le roi Louis XVI était un faible oui, mais pour la Fraternité Babylonienne, ceux communément appelés les Illuminatis (puisqu'il aurait été fort pour les masses)". Il devait donc d'autant disparaître que celui-ci est issu des mêmes lignées. Car il y aurait bel et bien une évidence de l'ascendance davidique des rois de France, où il a fallu à un certain moment de l'Histoire, redéfinir le tracé frontalier pour donner à cet empire Franc qui allait devenir la France, la forme d'un polygone particulier, à 6 côtés précisément. Cet Hexagone, frontière extérieure, permettant à son tour le tracé intérieur de cette autre figure emblématique, l'étoile de David.
En tout cas, pour en revenir à la forte impression que " l'histoire" du Rédempteur (se rapportant vraisemblablement à celle du dieu Horus) eut sur notre monarque, il faut citer certains passages du livre lors de cette fameuse et surtout drôle de fuite à Varennes où il s'arrangea pour être au nombre de treize, comme dans le fameux tableau de Léonard de Vinci, où les synchronicités ne sont pas absentes.
Jugez plutôt :
(p 302) " Treize personnes - Louis XVI, Marie-Antoinette , leus deux enfants , Louis-Charles et Marie-Thérèse, sa soeur Elisabeth, Mme la Duchesse de Tourzel, gouvernante des enfants, deux femmes de chambre, mesdames Brunier et de Neuville, trois domestiques, messieurs de Moustier, de Malden et de Valory et le coiffeur Léonard, soit douze personnes, en plus du cocher, Balthazar, ce qui fait treize. C'est beaucoup trop pour ne pas être remarqués. En outre, on a beau ne pas être superstitieux, le nombre treize n'a pas vertu de porter bonheur ![/justify]
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[justify]" On fait mieux pour passer inaperçus, où la raison eût voulu que le roi partît seul avec sa fille d'un côté, la reine avec son fils d'un autre côté, ce qui n'aurait nécessité que l'usage de cabriolets, plus discrets et plus rapides, et ce qui préservait le sang royal dans le cas où l'un des deux fût pris, ou du roi ou du dauphin. Tout cela ne tient pas debout."
Effectivement cela n'a pas de sens où l'on se pose alors cette question :
(p308) "Louis XVI était-il un imbécile, ou ceux qui ont préparé l'opération, à la tête desquels l'incontournable Fersen? Sûrement pas. Alors quoi? Par une curiosité remarquable, c'était le jour d'été, et le chef de la garnison qui l'arrêtait s'appelait d'Etez. La coïncidence était-elle fortuite? Ce serait prêter beaucoup au hasard. A la vérité, le scénario était écrit, et qui en doute considère ceci: «Bonjour Sire», lui dit cet homme. Il connaissait effectivement le roi! Or après Drouet qui déjà l'avait connu, la suite de négligences tournerait carrément à un je-m'en-foutisme absolument incompatible avec cette opération où se jouait rien de moins que l'avenir de la nation.
"Mais réfléchissons: «Bonjour Maître», avait dit le disciple à Jésus, par où il le livrait. L'histoire prend ici une autre dimension. De l'autre côté de la rivière était une auberge dont l'enseigne était Au Grand Monarque. Par une curieuse coïncidence, il existe une prophétie qu'on appelle «du Grand Monarque». Jadis, à Babylone, on fêtait le Grand Monarque le 11 mars, date où la berline fut terminée de construire. Cette prophétie du Grand Monarque est liée à la prophétie des papes, écrite par un certain Malachie, alors que Louis XVI était là en vert malachite. Pour tout finir, Drouet était allé chercher le cheval Isabelle dans le hameau de Malassis, alors que Malachie en français se dit Malassis.
"Mauvais jeu de mots, peut-être, mais qui niera que Louis XVI était «mal assis» sur son trône? Et qui niera que, se livrant lui-même, comme Jésus au Jardin des Oliviers (la couleur malachite rappelant le vert olive), il triomphait devant le peuple, le message étant: «Si j'avais voulu fuir, je l'aurais fait sans problème». Et qui en doute considère ceci. La rivière, à cet endroit où le roi était arrêté, comporte un gué. Il était facile de passer, où personne n'aurait osé tirer sur le roi. On dit communément qu'il manqua soixante-douze mètres pour que ce fût réussi. En fait, cinq mètres les pieds dans l'eau, et c'était gagné. Pourquoi ne l'ont-ils pas fait? Il n'y a qu'une réponse possible: Louis XVI ne voulait pas passer. La réussite était dans l'apparence d'un échec, où tout était minutieusement préparé."[/justify]
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Louis XVI donnant l'aumône aux pauvres, hiver 1788 (tableau de Hersent)[/center]
[justify]Daniel Leveillard nous parle alors du rapport de cet "échec" de l'opération Varennes avec le secret de la disparition de Louis XVII (le vrai):
(p309) " Quel scénario de génie ! Cette sacrée berline, où il aurait fallu un fiacre. Un sacré fiacre, un saint fiacre, alors que Louis XVI avait dit à Marie-Antoinette : «J'ai trouvé la clef» au jour de la Saint-Fiacre. Oui, tout était calculé. Tout le monde ne parlait plus que de la fuite avortée. Ce qu'on appelle «détourner l'attention». C'était en 1791, personne ne s'interrogeait sur le vrai dauphin de France, et l'enfant dans la voiture n'était qu'un substitut. Ce qui ne veut pas dire, comme le bruit en courut pourtant, qu'à Varennes on avait changé l'enfant, mais que, puisqu'il n'y a pas de fumée sans feu, le mystère résidait dans l'aîné."
Voici maintenant à la page 310 le message rendu par Louis XVI dans une apparition au pape Pie X qu'on ne saurait difficilement accuser d'affabulation :
"« Plusieurs se sont assis sur mon trône et y ont trouvé leur perte. Tout ce qui aura survécu de mes descendants s'assemblera un jour autour de la place où mon sang a coulé. Au milieu d'eux paraîtra celui qu'on croît mort. C'est lui qui doit tenir mon sceptre en sa main. C'est mon aîné.» C'est-à-dire non pas le Louis XVII du Temple, Louis-Charles, mais Louis-Xavier qui effectivement, était l'aîné, lequel donc ne serait mort qu'officiellement, et non en réalité. Ce que confirma Marie-Julie Jahenny sur les propos de la Sainte-Vierge : «C'est un Louis XVII inconnu.» "
LE SAINT-SUAIRE.
Pour la poursuite de notre dossier quant à la survivance de Louis XVII, il est impératif de prendre en considération un élément, artéfact plus précisément, possédant la particularité de défier aussi bien historiens que scientifiques à travers les siècles et ce, jusqu'à nos jours. Abordons alors dès à présent le problème posé par le fameux Linceul de Turin ou Saint-Suaire.
Mr Leveillard y consacre d'ailleurs un chapitre où il y voit l'oeuvre d'un "faussaire génial" qui nous mène directement au Sang Royal. Cette idée de sang royal lui fait évoquer la promulgation en France, de la loi salique (le 2 février 1319), puisque liée à ce sang. Une loi, d'origine judaïque bien plus que salienne et qui priva, selon lui, les anglais de régner sur la France, d'où naîtra la Guerre de Cent Ans avec l'idée anglaise à la fin de ladite guerre de priver la France de son trône. Leveillard relève une coïncidence donc, l'apparition du Saint-Suaire en ce 14ème siècle où, selon lui, "le dessin serait apparu spontanément sur ce linceul vierge qu'était alors le drapeau de France ". Mais la plus grande coïncidence concerne en fait (p252) "une tache de sang, à l'endroit du coeur, qui dessine à la perfection le visage de profil de Louis XVI (ou d'un sosie) (ndlr : retenez bien ce dernier terme) .
Quelques lignes plus loin, notre historien affirme que "le fils caché de Louis XVI, ce Sang Royal qu'on disait mort et donc «feu», avait en fait échappé, et pris identité comme étant né un 12 avril. Or, le 12 avril 1997, le Saint-Suaire échappait à un feu pris dans la nuit. Je ne crois pas que ce soit par hasard mais «Main de Dieu» (ndlr : n'a-t-on pas encore employé cette dénomination pour l'élection du pape François qui a fait la fierté du peuple argentin, l'ancienne "Main de Dieu" ayant été dans ce pays celle du joueur Maradona lors de son but resté célèbre, en coupe du monde 1986 ?)."[/justify]

[justify]L'auteur rappelle la "tradition du Grand Roi ou Grand Monarque, ce descendant caché de Louis XVI et donc de son sang et à sa ressemblance, dont il est dit encore qu'on verra son vrai visage quand ce sera l'heure de Pierre II. " Or, poursuit Leveillard, "lors de l'ostension de 1898, lorsqu'on photographia le Saint-Suaire, d'où fut révélé cet incroyable mystère que le dessin était en fait comme un «négatif photographique», le photographe s'appelait Secundo Pia, qui signifie «Pierre II»." (p 253)
Par conséquent, " qui aurait pu dessiner à l'avance les traits physiques de cet autre roi, de figure semblable au Roi Martyr (Louis XVI), ô combien sacrifié, mais par lequel doit s'exercer la Main de Dieu et cet immense mystère où se profile, dans l'ombre, la résurgence du Rameau des Lys, ce rameau «replié dans un coin» ? "
Il faut savoir, nous dit Leveillard, "qu'un français, Normand de surcroît, Charles-Tiphaigne de la Roche, dans un roman intitulé Giphantie (1760), anagramme de son nom, avait déjà décrit le procédé de catalysation (p255). Mail il reste curieux, poursuit-il, que le découvreur du Suaire à Constantinople était un certain Orthon de la Roche (p258)", où il y voit à nouveau la "Main de Dieu".
Continuons donc notre chemin, notre quémin en bon vieux français, à la recherche d' autres synchronicités.
A propos de ce fameux linge, on nous fait remarquer qu' "aucun fil n'est tiré, ce qui suggère une «évaporation» du corps ; alors le Suaire, effectivement, semble laisser transpirer cette idée précisément d'une «évaporation», et «transpiration», donnant d'ailleurs au mot «Suaire» sa signification logique, issue du mot «sueur», le linge dès lors étant bien un suaire et non un linceul ayant servi à l'ensevelissement de Jésus. La distinction n'est pas vaine entre le Saint Linceul des origines et le Saint-Suaire actuel, qui laisse entendre deux linges différents, et sans aucun doute d'époques différentes, même si linceul et suaire sont devenus synonymes de nos jours. " Puis un peu plus loin, " considérant à nouveau cette tache de sang au niveau du coeur et représentant quelqu'un à la ressemblance de Louis XVI, comme un il est de mon sang, ou un de ses descendants, je reviens à cette évaporation du fils de Louis XVI, qu'on dira effectivement mort, tradition étant qu'il se soit «évaporé dans la nature»".
Nous avons vu avec l'auteur que ce fils cryptique de Louis XVI avait pris identité sous pseudonyme, comme étant né un 12 avril. Or justement, "le 12 avril 1997, le Saint-Suaire échappait au feu, comme s'il avait été protégé par une mystérieuse évaporation d'eau empêchant le feu de l'atteindre. Et c'est en 1204 que le Saint-Suaire, évaporé, a été retrouvé, dans Constantinople en feu ; comme 12.04 et 12 avril. Précisément, la prise de Constantinople eut lieu un 12 avril." (p259)[/justify]

[center]portrait du Linceul
...reconstitué par la Nasa[/center]

[justify]" Ce linge, poursuit-il, particulièrement lié à Louis XVI par les liens du sang, porte en ses traits le dessein relatif à la résurgence du Rameau des Lys, cette tache de sang où se profile le portrait d'un homme à la ressemblance de Louis XVI et donc un de ses descendants . Ce Suaire faisait jadis l'objet d'une ostension annuelle, dont la fête avait été fixée au 4 mai. Or, c'est le 4 mai 1789 que l'on voit pour la dernière fois le fils aîné de Louis XVI, Xavier . On retrouve ce lien avec le Saint-Suaire, comme si le Suaire attirait l'attention sur Xavier, ô combien oublié de l'Histoire ."
Pour conclure ce chapitre sur le Saint-Suaire, l'auteur nous explique qu'il ne peut y avoir de hasard ; "dès lors, comment ne pas y voir «la Main de Dieu» ? Et donc que ce linge "est l'expression de ce dessein de Dieu, relatif à la résurgence du Rameau des Lys, ce Grand Roi, ce Roi Maigne, ce Grand Monarque, dont la tradition du même nom affirme que sa vie doit récapituler la vie de Jésus, et qui donc, en ce sens, sera à l'image de Jésus. Comme un jumeau (encore lui !). (...) Ces évangélistes (du latin evangelium signifiant «annonce») "avaient nécessairement en esprit cette vision future du Grand Monarque qui sera à l'image de Jésus, mais également la vision de ce jumeau dont la mort sacrificielle, à l'image de Lazare, serait le catalyseur psychologique aboutissant à la révélation du vrai visage de ce monarque à l'image de Jésus." (p 259)
La Mythologie Grecque au secours d'un Dauphin.
Quant à ce fils aîné de Louis XVI, Xavier, que l'histoire a fait passer pour mort, "dans le calendrier républicain, au 4 juin, jour officiel de la mort du fils aîné de Louis XVI, on mit la Saint-Barbeau, un poisson qui en verlan se lit «beau bar», le bar étant un poisson également. Et la ville de Varennes porte en armoiries précisément 2 beaux bars en reflet, qui reflètent parfaitement l'esprit de Louis XVI car ce dernier, en parfait Bourbon, aimait pratiquer l'art du jeu de mots. «Bobard» en vérité, que la fuite à Varennes, et bobard que la mort de Xavier, qui fut effectivement conduit à Quillebeuf, où dans l'église il y a Saint-Léonard, patron des enfants évadés, qui seul justifie la présence du coiffeur Léonard à Varennes. Un jeu de mots pour signer non pas sa propre évasion, mais celle de son fils." (p312)[/justify]

[center]Quillebeuf, à l'embouchure de la Seine[/center]
[justify]Comme si tout ceci n'était pas assez fort de jeux de mots et synchronicités, l'opération Quillebeuf n'était pas autre chose nous rappelle Leveillard . Dans sa note additive en fin d'ouvrage sur la survivance de Louis XVII, il revient sur cette opération . Jugez encore ce petit morceau d'anthologie :
(p504) " Maintenant où était le vrai Louis XVII ? A ce sujet, j'ai déjà expliqué très clairement comment Louis-Xavier était parti pour une ville de Normandie portant son anagramme, à savoir «X à Vire» (incognito à Vire). Ou quelque part alentour, dans les Vaux de Vire. Louis XVII ne portait-il pas le titre ducal de «Normandie» (qui, selon le voeu de Philippe II Auguste aurait dû revenir de facto au fils aîné du roi, c'est-à-dire Louis-Xavier)? On le confie alors à une mère nourricière qui devient administrativement sa mère biologique, laquelle a toute liberté quant à ce fils qui lui échoit. En quelque sorte, celle-ci hérite d'un blanc-seing. Or, comment s'appelait la mère nourricière de Louis-Xavier à Versailles ? Elle s'appelait Geneviève Poitrine. La poitrine d'une femme se dit «sein» et «Geneviève» vient du latin genova qui signifie «blanc». Un blanc sein. J'ai expliqué aussi comment cette mère de remplacement se prénommait «Ambroisie», mot qui rappelle le Lait de Mai des anciens qui symbolisait le lait maternel, issu de la poitrine (de la Vierge Maia) comme abrosios en grec, signifie «non mort», alors que Xavier est «non mort».
(p505) " Le 4 juin, l'enfant disparaît. Quarante jours plus tard, c'est la Bastille. Et six mois plus tard, le 30 janvier 1790, c'est le naufrage du bateau Télémaque. Que cela a-t-il à voir ? Certes, à priori rien du tout. Pourtant, il existe un calendrier de confusion, dit calendrier des mages, fondé sur la confusion précisément des deux nouvel an, civil et religieux, au temps des mages à Babylone. Or, dans ce calendrier, où le 22 septembre est confondu avec le 14 mars, le 30 janvier 1790 équivaut au 14 juillet 1789, première coïncidence. Deuxième coïncidence, le bateau porte le nom de Télémaque, alors que Télémaque est le nom du fils d'Ulysse,le héros grec, où l'on trouve l'homophonie remarquable de «Fils du Lys», ce qui rappelle le fils du roi. Troisième coïncidence, ce bateau est censé porter le Trésor de la Couronne, et qui niera que pour la Couronne, le fils aîné de France ne soit un précieux trésor ?
Quatrième coïncidence, le bateau aurait sombré à cause d'un mascaret. Mais il n'y a pas de mascaret en janvier. De plus, ce n'est pas une vague de si peu de mètres qui peut faire couler un navire de haute mer apte à affronter les tempêtes. A condition il est vrai, qu'il soit face à la vague et non pas amarré, mais cela tous les marins le savent. Or, justement, il aurait été amarré, ce qui est invraisemblable, et d'autant que le mascaret est un phénomène prévisible dont on sait à l'avance qu'il va se manifester. Cette histoire est impossible. D'ailleurs, l'épave n'a jamais été retrouvée malgré de nombreuses recherches. En fait de mascaret, l'histoire réelle est bien plutôt celle d'une mascarade.
Cinquième coïncidence, bien que cela ne tienne pas debout, admettons que l'histoire soit véridique. Cela revient à dire qu'Adrien Quémin aurait commis une faute professionnelle grave. Au regard du sinistre (perte du Trésor Royal), il aurait mérité la prison à vie. Au contraire, il va bénéficier d'une rente à vie ! Dans une belle maison au Val de la Haye. De plus, le Val de la Haye est une bourgade où étaient les meilleurs capitaines de navigation en Seine. Imaginons un capitaine qui aurait commis une faute aussi grave vivre là, au milieu de capitaines avertis ! Il nous faut expliquer ! Enfin, tout l'équipage aurait disparu avec le Télémaque, sauf le capitaine et un moussaillon. C'est vraiment trop ! Le moussaillon, c'était Louis-Xavier, où Adrien Quémin devient une figure du père (ndlr :ajoutons aussi que ce patronyme rappelle le latin que mando signifiant précisément «chargé de mission», qui donnera «commando»; de plus, Adrien viendrait aussi du latin ater, qui a donné «atérien», signifiant «noirci», «obscurci» et «atermoiement», précisément «gagner du temps en obscurcissant les faits»). Car, sixième coïncidence, ce capitaine est né le 23 août 1754, comme Louis XVI, dont il était en quelque sorte un jumeau, un double (encore!), une représentation. Louis XVII qui sombra là dans l'anonymat plus certainement que le bateau, où c'est la France qui sombrait.
En fait, Adrien Quémin a conduit Louis-Xavier jusqu'à Quillebeuf (par ce petit quémin le long de la Seine !). Septième coïncidence, cette bourgade est placée sous le patronage de St-Léonard, saint patron des évadés et de même celui des prisonniers qu'il faisait s'échapper ! L'église portant le nom de Notre-Dame de Bon Port comme Louis-Xavier était donc arrivé à bon port. Adrien avait rempli la mission qu'on lui avait confiée. Quant à Xavier, après être passé «de l'autre côté de l'eau», forcément en barque, il fut confié à sa nouvelle mère, au nom d'Ambroisie, qui en fit son fils. Concernant encore ce Saint-Léonard, on trouve à ses pieds dans cette église, deux prisonniers, d'une taille infantile, à genoux, face à face. Comme deux enfants qui seraient le reflet l'un de l'autre et donc, deux «jumeaux» (toujours là!), rappelant Charles, prisonnier au Temple, et l'enfant mort au Temple, mis en ressemblance de lui.
A tout cela s'ajoute une autre coïncidence. Si cette thèse est véridique, alors le Val de la Haye devient symbole du transbordement de Louis XVII qu'on disait mort, et donc, symboliquement, un transbordement des cendres. Or, en 1840, quand on procéda au transfert des cendres de l'Empereur (Napoléon), il se trouve que le 9 décembre, le bateau qui transportait le corps en direction de Paris, et qui s'appelait Normandie (comme Louis XVII), fut soudain frappé d'une panne de moteur et dut s'arrêter afin qu'on procédât à un transbordement vers un petit bateau de pêche, la Dorade, qui était là. Justement, là, au Val de la Haye, presque devant la maison d'Adrien Quémin. Pour comble, la ville sur l'autre rive s'appelle «Couronne» !"
De plus, "le Télémaque en réalité avait été rebaptisé juste auparavant du nom de Quintanadoine (formé de Quinte «5ème», Anax, «Roi», Do, «donner», Ino, «Force de Dieu») qui signifie «La Main de Dieu donnera un roi à la 5ème génération».[/justify]
Frontispice et page-titre de la traduction en anglais du roman de Fénelon (1715)

[justify]Un Dauphin traverse la Manche.
Afin de continuer sur notre quémin, il est bon de faire quelques rappels de cette loi salique ; cette loi, inventée de toutes pièces en 1319 et d'origine judaïque privait les Britanniques du droit de régner en France, loi de succession de mâle en mâle. Celle-ci, "pour rappeler la loi franc-salienne, n'a pour autant rien de franc alors que c'était la loi en Israël. La leçon étant d'importance. Bien sûr, il y avait la question d'Isabelle à qui revenait de droit le trône de France, ce qui n'était pas grave, lequel trône revenait de droit à son fils Edouard dès son accession au trône d'Angleterre, ce qui, là, était très grave : «Roi de France et d'Angleterre» (la cause de la guerre de Cent Ans), mais il y avait aussi cette autre raison : c'est alors même qu'Israël était sur le point de renaître, que le roi de France accepta la charge de «successeur de David», retirant par là même ce titre aux prétendus rois de Jérusalem." Une guerre de Cent Ans donc, "où les rois d'Angleterre se disaient rois de France et que la France nia en invoquant cette loi salique ; une guerre qui n'aurait jamais eu lieu sans Guillaume (retenez ce prénom), usurpateur du trône selon les Anglais et l'Eglise - ni donc la Révolution !" (p244)
«Un jour, vous serez sans roi!» : ce terrible serment fait par les Anglais au lendemain de cette guerre n'était pas un vain mot, et personne ne pouvait l'ignorer depuis François 1er rencontrant un Henri VIII suffisamment explicite («Moi, Henri VIII, roi de France et d'Angleterre ....»)."
Précisons donc ici la définition première du Royaume-Uni : Royaume non pas entre les îles Britanniques que nous connaissons mais entre l'Angleterre ET la France où le trait d'union représente la Normandie. Car apparemment, "sans la faute de Guillaume, l'Angleterre devrait être aujourd'hui française et où la Manche n'était pas considérée par les Anglais comme une mer (séparant deux pays), mais comme un chenal traversant le pays ("Channel" en anglais)."
On peut donc logiquement penser à ce moment que le vrai Louis XVII ait rejoint l'Angleterre, vraisemblablement à partir de Quillebeuf, à l'estuaire de la Seine. Cette opération, d'après les travaux de la Dame au Hibou, visait bien à donner vengeance aux anglais, pénalisés par cette loi salique.[/justify]
le "chenal" reliant la France et l'Angleterre

Un roi bien mort pour les masses et bien Maure, donc caché, pour une minorité !
Autres Prophéties.
Avant de traverser nous aussi la Manche, recensons avec l'auteur tout ce qui a pu être annoncé à propos de la venue de ce Grand Roi car il n'y eut pas simplement celle du Saint-Pape . Concernant celle-ci, je tiens à préciser que Daniel Leveillard assimile ce pape qui dévoilera ce Grand Roi comme le 111ème dans la prophétie de St-Malachie, à savoir Benoît XVI, raison pour laquelle il lui écrivit une longue lettre. Mais il ressortirait en fait que Malachie parlait du 112ème après celui en place au moment de ses visions, c'est-à-dire Clément IV, ce qui nous donnerait donc le pape François. De plus, le site Wikipédia parle bien d'une 112ème devise, "Petrus Romanus" qui, nous dit-on, apparaît pour la 1ère fois dans l'édition princeps d'Arnold de Wyon du Lignum Vitae de 1595.[/justify]
[center]St-Malachie d'Armagh, évêque d'Irlande

pape Clément IV (le No "zéro" de la liste)

[justify]La plus connue de ces prophéties est celle dite du "Roy des Frayeurs" de Michel de Nostre-Dame à propos du fils Capet. Ce fils Capet que les républicains au moment de la Révolution avaient ordre de rechercher par toutes les routes de France. En parlant de Nostradamus justement, permettez-moi alors d'ouvrir une parenthèse de taille. D'après un certain Rudy Cambier, les fameuses "Centuries" n'ont pas pu être rédigées par celui que l'on présente comme le "plus grand visionnaire de l'Histoire" qui s'en est ainsi approprié la paternité. Au cours de ses travaux, il s'est aperçu que le language de ces fameux quatrains n'appartenait pas à la région de Provence de Nostradamus mais aux frontières belges et qui de plus, relevait du 14ème siècle et non du 16ème! Ces célèbres quatrains dont le caractère sybillin peut prêter à de nombreuses interprétations, auraient été composés entre 1323 et 1328 par un moine cistercien du nom de Yves de Lessines, prieur et 15ème abbé de l'abbaye de Cambron, entre Mons et Ath, à la frontière belge donc, et révélerait l'emplacement d'un trésor templier. C'est la forme du futur employé dans ces Centuries qui ont fait croire à un caractère prophétique mais le fait est qu'on y trouve effectivement des allusions troublantes au fils Capet. C'est donc à cause de ces allusions intrigantes que j'ai décidé d'inclure ici cette "prophétie du Roy des Frayeurs", même si ce caractère prophétique des Centuries n'est pas fondé en réalité. La parenthèse étant fermée maintenant avec cette imposture qui risquera d'en surprendre beaucoup parmi vous j'en conviens, et confirmée d'ailleurs par la Dame au Hibou, dressons pour terminer avec Daniel Leveillard la liste d'autres prophéties plus claires avec le sujet nous concernant (p471):
La prophétie du Champ des Bouleaux, la prophétie Emilienne, la prophétie de Limoges, la prophétie de Mayence, la prophétie de Plaisance, la prophétie d'Orval, la prophétie de Prémol ...
Prophéties auxquelles s'ajoutent, hors les 2 voyants de La Salette, sainte Mélanie Calvat et saint Maximin Giraud, toute une pléthore d'autres saints personnages (dont la liste serait ici inutile).
Force est de constater un nombre relativement important de prophéties liées à ce Grand Monarque, ce qui devrait marquer par conséquent un étape cruciale dans l'Histoire de l'Humanité.
Un Dauphin traverse l'Atlantique.
Avec la disparition du vrai Louis XVII du territoire français, nous en perdons logiquement la trace si l'on se fie aux historiens et chercheurs de ce pays, l'intérêt étant d'aller voir "ailleurs". Etant parti à la poursuite de notre Dauphin, je me suis mis alors moi aussi à naviguer, non pas sur les mers mais sur la Toile. En consultant certains forums chez nos collègues d'Outre-Manche et d'outre-Atlantique, j'ai pu tomber sur une certaine Donna Kimmons, aujourd'hui installée à Wimberley au Texas. Cette personne qui descendrait du roi Edouard VII et du clan Plantagenêt (confirmant une fois encore la même origine des lignées royales franco-britanniques, où l'on aurait ici à faire à deux côtés d'une même pièce, un peu à l'instar des Beatles et des Rolling Stones dans l'industrie du Rock), me donna un nom qui effaça alors mes doutes. En effet, il était fait mention dans le livre "Le Plus Grand Secret" de David Icke, de l'existence d'un certain Daniel Payseur comme descendant caché du roi Louis XVI, ce même nom de Payseur que ma correspondante texane venait de me donner. De plus, il n'y avait aucun doute non plus du côté de la Dame au Hibou. Nous en savons un peu plus dans ce livre à compter de la page 310 où Icke nous informe que "deux ans après l'exécution du roi Louis XVI, le Dauphin s'est évadé dans un panier à linge avec l'aide de son médecin, le Dr Naudin. Le neveu retardé du marquis de Jarjayes lui a été substitué et il est décédé en 1795. Le prince a été amené secrètement au château de Vendée et s'est vu offrir l'asile par le prince de Condé. Par la suite, le prince Louis a été déplacé vers une forteresse près du Rhin où il a vécu sous le nom de baron de Richmond. Il est arrivé en Angleterre en 1804 (confirmé par la Dame au Hibou) avec l'intendant royal de France, George Payseur, et il a reçu la protection du roi George III [...]. Le prince a alors encore une fois changé de nom pour celui de Daniel Payseur, pendant que George Payseur devenait George Bayshore. George III a alors donné au prince un bateau et accordé à George Bayshore 600 acres (quel chiffre!) de terres en Caroline du Nord."[/justify]
[right]portrait du vrai Louis XVII, Louis-Joseph Xavier, le futur Daniel Payseur
(peinture du 18ème siècle de l'école Elisabeth Vigée-Lebrun)[/right]

On s'aperçoit donc que notre fils caché s'est constitué un véritable empire, une fois parvenu dans le Nouveau-Monde. Il n'est pas besoin d'être prophète pour en déduire qu'il eut lui aussi une descendance. J'ai pu arriver ainsi à retrouver une partie de cette descendance grâce à certains documents disponibles sur la Toile et des informations fournies par Donna Kimmons. Voici donc ce que l'on peut récolter:
Daniel Payseur (1781 - 1860) qui aurait eu 2 fils dont l'un, Adam, aurait été assassiné jeune, le 2ème fils s'appelant Jonas W.
Jonas W. Payseur (1819 - 1884) que David Icke ne mentionne pas dans son ouvrage, et
Lewis Cass Payseur (1850 - 1939 ), fils aîné de Jonas, qui sera chargé de gérer le gigantesque empire de son grand-père décédé en 1860 (à noter que d'après la Dame au Hibou, Lewis Cass Payseur serait né non pas en 1850 mais 1845 mais cela n'a pas grande importance ici).
Un empire comprenant des compagnies ferroviaires, mines d'or et d'argent, forêts, banques et Cies apparentées, filatures de coton, sociétés de machines à coudre, compagnies d'alimentation électrique, aciéries et autres industries sidérurgiques, sociétés automobiles, compagnies d'assurances, industries du tabac, fabriques de montres, compagnies immobilières, alimentaires et diverses. C'est dire justement l'ampleur de ses possessions, un véritable empire. Comme si cela ne suffisait pas, notons que les négociations qui aboutirent à la création de la Réserve Fédérale eut lieu sur les terres de Jekyll Island en Géorgie qui appartenaient encore aux Payseur et où tous ces géants de la finance, Rockefeller, Morgan, Rothschild et Harriman en étaient des administrateurs. Précisons pour terminer, qu'à l'origine, Daniel Payseur se trouvait à la création d'une compagnie de télégraphe, la Western Union (ayant créé une filiale en 1875, la AT & T) ainsi que de l'Office des Services Stratégiques, l'OSS, ancêtre direct de la CIA !
Les documents sur lesquels on peut tomber sur Internet évoquent aussi la descendance de ce LC Payseur, qu'il eut avec sa femme, Mary Alice Hudson. Ce couple aurait eu 3 filles, Pearl, Una et Iola. Vu apparemment l'absence d'héritier mâle, la famille s'est vu obligée à un moment d'en trouver un pour la poursuite de la gestion de cet empire colossal. Celui-ci aurait été trouvé en la personne de Leroy Springs (vrai nom Springstein), un parent de la famille Rothschild qui aurait passé le flambeau à sa mort en 1931 à son fils, Elliot. Ce qui expliquerait qu'aujourd'hui, cet empire serait aux mains des Rothschild mais ce qu'il importe ici est que nous avons des engrenages aux noms différents mais s'imbriquant dans d'autres, ce qui permet à la mécanique Illuminati, celle de la Fraternité Babylonienne, un fonctionnement sans heurt dans l'édification du Nouvel ordre Mondial.
Conclusion.
Voilà donc notre enquête qui semble toucher à sa fin. Mais je me doute que vous devez avoir une réaction en tant que lecteurs avertis que vous êtes. Effectivement, nous avons là une descendance du souverain Louis XVI qui se termine sur une dépossession pure et simple d'un empire gigantesque, nous venons de le voir. Vient aussitôt à l'esprit cette fameuse prophétie des papes et du Grand Monarque où ce descendant caché du Roi Louis XVI fera surface à la 5ème génération. D'après ces documents disponibles, il semblerait que cette descendance justement s'arrête à la 3ème avec le décès de Lewis Cass Payseur, n'ayant engendré que des filles ; ce qui expliquerait aussi la transmission de ses biens colossaux à une autre dynastie, celle des Rothschild par l'intermédiaire de ce Leroy Springs. La piste que nous avons suivie, en partant de France, puis en Angleterre et enfin, en Amérique serait-elle fausse ? De plus, comment expliquer d'un côté, le comportement du roi Louis XVI voulant d'abord faire passer les intérêts du peuple avant ceux de la Monarchie et de l'autre, celui d'un fils versé dans la gestion d'un empire fabuleux accumulant richesses sur richesses, en totale contradiction apparente avec la politique du roi de France ? Y aurait-il un lien logique entre ces éléments à première vue incohérents ? Pour clore cette première partie, comment expliquer d'une part, ce moyen effroyable (la décapitation) utilisé aux fins de faire disparaître ce roi qui dérangeait tant et d'autre part, la protection apportée au descendant de ce même monarque, qui s'est vu hissé au sommet d'un véritable empire financier ?
Tout ceci semble en effet déconcertant mais la 2ème partie le sera bien davantage. Un monde où la réalité, vous le savez désormais, dépasse bien la fiction.
[center]( fin première partie )[/center]
Note : les sources utilisées pour la rédaction de cet article seront indiquées à la fin de la 2ème partie.[/justify]