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LEON DEGRELLE
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Brasillach Robert - Léon Degrelle et l'avenir de Rex
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Eggon Olivier
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Mémoire sur l'impossible extradition de Léon Degrelle
Léon Degrelle
Le fascinant Hitler
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Le cas récent des avatars posthumes du plus grand philosophe allemand du XXe siècle, Martin Heidegger, est exemplaire. Il a suffi, pour qu'il fût vomi, qu'on découvrît la déclaration qu'il avait prononcée en 1933, lorsqu'on lui avait offert, en Allemagne, une chaire d'université :
"Pour moi, il est clair que, mettant de côté tout motif personnel, j'entends accomplir la mission qui me permettra de servir de la meilleure façon le travail d'Adolf Hitler."
Une fois démasqué comme un hitlérien de 1933, le célèbre Heidegger, loué partout la veille par la gauche unanime, devint, sur l' heure, un rebut de la philosophie! Son infamie, aussitôt, fut cornée par toute la presse de l'univers.
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CHAPITRE PREMIER : Hitler, quel Hitler ?
CHAPITRE II : Les gaz du IIIe Reich
CHAPITRE III : L'expert au travail
CHAPITRE IV : Les fours crématoires
CHAPITRE V : Combien de morts ?
CHAPITRE VI : Des siècles d'exagération
CHAPITRE VII : Les camps sans les gaz
CHAPITRE VIII : Les communistes, bourreaux des camps
CHAPITRE IX : Cinquante ans d'outrages
CHAPITRE X : Les cris des non-gazés
CHAPITRE XI : Le texte hitlérien du président Jenninger
CHAPITRE XII : L'avis du public
Léon Degrelle : persiste et signe
Interviews recueillies pour la télévision française par Jean-Michel Charlier
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Cest le cur de lhomme, et lui seul, qui est en état de faillite.
Cest faute daimer, cest faute de croire et de se donner,
que le monde saccable lui-même des coups qui lassassinent.
Léon Degrellle
Je suis Belge et je sais de quoi je parle. A Liège, j'ai vécu toute la guerre et les tumultes de la Libération. Je sais la haine inexpiable et sans mélange que l'occupation allemande et la collaboration y allumèrent chez la plupart de mes compatriotes. A l'époque, jeune trotskiste idéaliste, j'ai moi-même partagé ce sentiment pour avoir vu des parents proches, des amis très chers, arrêtés, emprisonnés, déportés, mon père dénoncé trois fois à la Gestapo, et pour avoir, moi-même, été mis un an au travail forcé avant de rejoindre la Résistance.
Trente-cinq ans plus tard, cette exécration aveugle semble toujours aussi exacerbée chez beaucoup de mes compatriotes.
Seuls quelques-uns d'entre eux et, chose singulière, surtout ceux qui ont combattu dans le camp des Alliés, avec l'idéal le plus pur et le plus désintéressé, comme le colonel de Lovinfosse, le soldat le plus décoré de Belgique et le chef de l'Intelligence Service en Belgique durant la guerre se sont honnêtement interrogés et ont essayé, en conscience et en toute objectivité, de comprendre pourquoi tant de gens dont le patriotisme, le courage, la pureté d'intentions et la vocation du sacrifice étaient, a priori, au moins égaux aux leurs, ont pu, eux, passer dans le camp d'Hitler. Jusqu'à partager les théories du nazisme raciste. L'opportunisme, le hasard ou l'esprit de lucre paraissent des explications par trop courtes et trop simplistes.
En France, la situation est à peu près la même qu'en Belgique. A l'inverse de ce qui se passe aux Etats-Unis et en Angleterre, une craintive auto-censure pratiquée par tous les grands médias empêche qui que ce soit d'aborder sans parti pris certains problèmes.
Et jusqu'ici, si absurde et injustifiable que cela puisse paraître en pays démocratique, raisonnable et tolérant, il était à peu près impensable, même dans une perspective strictement historique, d'espérer traiter impartialement et objectivement, à la radio ou à la télévision, de tout ce qui touchait au nanisme.
L'intervention sur les ondes d'un survivant de l'aventure hitlérienne même officiellement innocenté de tout crime de guerre, et témoignant sur des faits vieux d'un tiers de siècle eût immanquablement suscité l'obstruction systématique et la fureur des professionnels de l'anti-germanisme et du pacifisme
Qu'apparaissent dans une émission autrement que sous les traits de fantoches sanglants ou haïssables Hitler, Mussolini, Pétain, Laval, Skorzeny (1), Borghèse ou Rudel (2), et aussitôt planent les menaces d'interdiction ou de déprogrammation (3), justifiées par la crainte de manifestations violentes ou de réactions de certains milieux qui, pour hautement respectables qu'ils soient, sont incapables d'impartialité.
Il est certain qu'on entretient parmi les journalistes des grands médias la fausse impression que, même à trente ou quarante ans de distance, le grand public reste à ce point traumatisé par les séquelles de la Seconde Guerre mondiale qu'on ne peut lui proposer, sous peine de réactions brutales, que des uvres orientées, même si plus de la moitié de ce public n'était pas né au moment des faits.
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(1) Responsable des missions spéciales de la SS ; notamment il fut le libérateur de Mussolini en 1943.
(2) Général qui commandait l'aviation d'assaut allemande durant la Seconde Guerre mondiale.
(3) Il suffit de se reporter à la récente affaire « Manouchian », interdite d'antenne durant trois semaines, sur veto des communistes français.
Last edited by MimilleLaBordille (30-07-2010 20:27:18)
CAMPAIGN IN RUSSIA
The Waffen SS On the Eastern Front
THE EPIC OF THE VOLUNTEER WALLONIAN LEGION, A UNIT OF THE PAN-EUROPEAN WAFFEN SS, AS TOLD BY IT LEADER, LEON DEGRELLE
Leon Degrelle - Campaign in Russia.pdf
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The Russians came at dawn, the better part of two regiments, men and tanks silhouetted against the blood-red sun as they moved forward across the steppe. Huddled among the peasants' huts of Gromovaya-Balka, the men of the Wallonian Legion awaited them, silently cursing the frozen earth, which had offered implacable resistance to their entrenching tools.
Against the oncoming Soviet troops-4,000 of them-and the 14 tanks which accompanied them, the 500 Belgian volunteers who held the village disposed of no weapons heavier than machine guns. Their only hope was to hold on until the German command , hard pressed all along the Samara front, could rush thew reinforcements badly needed in other sectors. Curporal Leon Degrelle crouched behind the frozen carcass of a horst' , sighting down the barrel of his MG34. He gave no heed to the bitter cold or to his injured foot, painfully broken two legs before.
The Russian artillery shells were already landing in the village, inflicting terrible casualties when they were on target. Now the Soviet infantry broke into a run, their blood-curdling battle cry, "Ourrah pobieda!, " "H urrah for victory!," ringing in the ears of the French-speaking Walloons, drowning out the cries of the wounded and dying. Degrelle and his comrades began to fire, tearing big gaps in the ranks of the advancing Russians ...
Last edited by Charognard (17-10-2010 19:00:59)
LÉON DEGRELLE
LES ÂMES QUI BRÛLENT
Leon Degrelle - Les ames qui brulent.pdf (372.8 KB)
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PRÉFACE
Cet ouvrage, Les âmes qui brûlent, comprend une série de notes spirituelles que lauteur écrivit au hasard de laventure de sa vie, avant et pendant la Deuxième Guerre Mondiale. Chaque époque a son style, dépouillé ou ampoulé, classique ou romantique. A travers le style et audelà de lécrivain se retrouvent certaines formes, certaines façons de penser propres à un temps.
Une partie de ces notes sont des réflexions de soldat, écrites alors que lauteur à tort ou à raison combattait en Volontaire dEurope au Front de lEst, de 1941 à 1945, contre les armées des Soviets. Là aussi il ny a pas à revenir sur la manière dexprimer des sentiments qui étaient tels quon le dit et qui alors sexprimaient ainsi.
Ce manuscrit était voué fort probablement à ne jamais paraître. Il fut découvert par le plus grand écrivain espagnol de notre époque, mort depuis peu, le Docteur Gregorio Marañon, membre des cinq Académies de son pays. Le Docteur Marañon navait politiquement rien de commun avec les mouvements autoritaires du Vingtième Siècle. Il appartenait à un libéralisme courtois, très étranger aux temps violents où comme un météore se consuma lauteur de ces pages. Gregorio Marañon en lut par hasard le manuscrit, consacra les loisirs des deux dernières années de sa vie à le traduire en espagnol, dans une langue dune pureté admirable. Il les présenta au grand public de son pays dans une introduction dont il lira la traduction en annexe. « Ces pages, écrivait Gregorio Marañon, sont dune beauté impossible à surpasser, vibrantes de pathétisme humain ».
Louvrage connut en Espagne, sous le titre Almas Ardiendo, plus de cinquante éditions. Il se réédite toujours.
Mais lauteur navait point fait imprimer cette oeuvre dans son texte original. Le lecteur de langue française daprès 1945 lui paraissait plus blasé que le public espagnol et presque imperméable à des méditations de cet ordre. Londulation dune quelconque vampiresse de cinéma intéresse beaucoup plus le public moderne que le frémissement angoissé dune âme. Dailleurs, lâme, quest-ce encore ? Les problèmes moraux, spirituels, importunent aujourdhui lhomme et la femme dits à la page. Ils préfèrent les liquider dun petit ton supérieur, ou condescendant, ou persifleur. Dans le meilleur des cas ils ne sont plus ressentis de la même manière. Ni les problèmes religieux non plus.
Néanmoins, les idées exprimées dans ces notes, les sentiments qui y vibrent ont entraîné ladhésion de foules considérables. Ils peuvent donc encore présenter un certain intérêt, ne fût-ce que comme témoignage.
Dans une confession préliminaire lauteur fait le point, a dit ses doutes, son désarroi, sest livré, sans trop dillusions, avec des flammèches despérance tout de même. Car, par-dessus les générations et les différences de vie et de style tout court, il y a, toujours, dhomme à homme, des correspondances spirituelles. Un garçon de vingt ans, des années après lauteur de ce livre, peut connaître les mêmes vibrations. Celles-ci vivront jusquà la fin du monde. Quimporte alors, au fond, la façon de les exprimer ou lidentité de celui qui les exprime ?...
Last edited by LouSomPauII (17-03-2011 20:48:28)
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My Revolutionary Life CHAPTER ONE : Muzzling the Vanquished
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AN INTRODUCTION TO MY REVOLUTIONARY LIFE BY JOHN NUGENT. THE BARNES REVIEW is delighted and proud to announce the return to our pages of Gen. Leon Degrelle of Belgium after a one-year hiatus that seemed 12 months too long for many of our readers. After 10 years of le générals piercing historical and military insights about prewar Europe and World War II, we have discovered in these pages another side of Degrelle, equally fascinating but very personal: the human who, like all great leaders, hid his suffering while the almost superhuman leader, warrior and, later, un - bowed leader in exile was out inspiring others. We meet a leather-tough visionary who experienced tragedies and triumphs like all mortals. But his were the great events of history, and he was the unique Leon Degrelle. This author of now 55 articles in THE BARNES REVIEW was in fact the last surviving World War II leader. Unlike ivory-tower historians who toe the establishments official line, Degrelle writes and speaks from personal encounters, discussions and hard questioning. He grilled Winston Churchill while dining with him at the House of Parliament restaurant. (Churchill confessed that were he a German he himself would be for Hitler.) Degrelle discussed war strategy and the escape of the English at Dunkirk with Hitler, who admired the forthright and dynamic Degrelle greatly. As one military commander to another, he met with Spains nationalist leader Francisco Franco, who later rescued him from violent postwar leftists. And he debated a Benito Mussolini whose strengths and weaknesses young Degrelle quickly penetrated.
A brilliant student of law, political science, religion, archeology, art and philosophy, at 26 Degrelle used his mind and heart to found the Rexist Party to end the ruthless rule of Belgiums plutocrats and create a national community inspired by national and Christian values. By age 29 he was the biggest vote getter in the Belgian Parliament, getting 36 Rexist deputies elected with his spellbinding writing, oratory and superhuman energy. My Revolutionary Life will explain how this private man from a small French-speaking village could become the fiery political leader who turned Belgium upside down. It makes clear how a brilliant intellectual could thereafter switch from speeches to action when the war came, founding his own regiment of elite Waffen-SS infantry on the dreaded Eastern Front. There, the one-time wordsmith rose quickly from private to a supremely honored and decorated colonel through hand-to-hand combat and military leadership on the alternately fiery or freezing Russian Front. Degrelle the warrior was also Degrelle the mourner: of the 800 men in his regiment fighting the Red steamroller, only he and two comrades survived.
Last edited by DejuificatorII (07-12-2011 22:20:42)
Nous serons toujours là.
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