Roger Lambelin

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[center][large]Roger Lambelin[/large][/center]
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[center]Roger Lambelin, né à Laval (Mayenne) le 13 octobre 1857 et mort à Paris le 16 mai 1929,
écrivain, journaliste et militant royaliste français.
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[justify]Fils de Louis-François Théodore Lambelin et de Marie-Elisabeth Bertier, Roger Lambelin naît à Laval le 13 octobre 1857. Son père, né à Lille en 1815, est décoré de la médaille de Crimée, chevalier de l'ordre de la Légion d'honneur et de l'ordre de Pie IX et appartient à une vieille famille de terriens lillois, diversifiée depuis le XVIIe siècle, dans les activités d'épuration d'huile, d'extraction de pétrole et de transports maritimes, les Lambelin-Ternoy-Goube. Dès 1872, Roger Lambelin adhère aux cercles catholiques ouvriers, fondés par Maurice Maignen, le comte Albert de Mun, et le professeur François Guermonprez (1849-1932). En 1876, intègre l'École spéciale militaire de Saint-Cyr, où il est apprécié pour son sérieux et sa rigueur. Nommé au grade de capitaine, participe à la conquête du Tonkin en 1885-1887, et est blessé, d'un coup de feu à la tête, lors de l'assaut de Ba Dinh. À cette époque, écrit sous le pseudonyme de Raoul Loky. En 1888, démissionne de l'armée, pour rejoindre son père dans la Mayenne et se consacre à la politique et à la littérature. Crée Samedi Revue, où Charles Maurras fait ses débuts. Collabore, en même temps, à plusieurs revues : the Economist, la Revue du monde catholique. Devient également le collaborateur régulier de la Gazette de France, où il rédige le bulletin de l'étranger. Conseiller municipal royaliste de Paris (de 1894 à 1912).

En 1889, est un des fondateurs, de la Jeunesse royaliste avec l'avocat Eugène Godefroy. Collaborateur des débuts de l'Action Française. A présidé, de 1909 à 1912, le Bureau politique du duc d'Orléans, le prétendant au trône. En 1896, épouse Marie Gabrielle Bon de Gayffier et est fait chevalier de la Légion d'honneur 3 ans plus tard. En 1908, réorganise la Bibliothèque historique de la Ville de Paris (projet voté au conseil municipal le 24 décembre). En 1910, décès de son épouse après une longue agonie. Décide de quitter le bureau politique du duc d'Orléans, contre l'avis de ce dernier. En mai 1914, épouse Anne de Mas Latrie, alors âgée de 36 ans, dont le grand-père Louis de Mas Latrie, est, avec le marquis de Beaucourt, le fondateur de la Revue des questions historiques. Mobilisé en août 1914, rejoint le 1er régiment d'infanterie coloniale et est blessé le 8 septembre au combat d'Écriennes ce qui lui vaut une citation à l'ordre de la brigade. Est ensuite affecté à l'État-major du corps expéditionnaire des Dardanelles, avec le grade de commandant. En 1917, est nommé au commandement du 14e bataillon malgache en Alsace et apprend la langue de ses troupes.

Par la suite, après la Première Guerre mondiale, il se consacre à la publication d'ouvrages antisémites où il dénonce des complots judéo-maçonniques, craignant que la constitution d'un état juif ne se fasse aux dépens des arabes[réf. nécessaire] et embrase la région, entraînant les occidentaux dans un futur volcan. Il préface les Protocoles des sages de Sion, falsification antisémite forgée par la police tsariste avant la Première Guerre mondiale. Roger Lambelin contribue également à la propagande germanophobe menée par l?AF.

En 1922, devient directeur de la Revue des questions historiques, qu'il sauve d'une faillite annoncée. À sa mort, en 1929, l'Église lui refuse les obsèques religieuses, en raison de son appartenance à l'Action française qui avait été condamnée par le Vatican trois ans plus tôt. La veille de sa mort, il reçoit la visite de son ami fidèle, Charles Maurras.[/justify]


[large]Publications[/large]

* Le Général Gordon (sous le pseudonyme de Raoul Loky) ? Extrait de la Revue du Monde catholique, éd. V. Palmé, 1885
* L'intervention européenne au Mexique, extrait de la Revue des Questions Historiques, 1891.
* Metz et le Maréchal Bazaine, extrait de la Revue des Questions Historiques, Paris, 1892.
* Nouveaux documents sur l'histoire de Marie Stuart, extrait de la revue des Questions Historiques, Paris, 1893.
* Le retour de l'Ile d'Elbe, extrait de la Revue des Questions Historiques,Paris, 1893.
* La Bataille de Waterloo, extrait de la Revue des Questions Historiques, Paris, 1899.
* Fils de chouan, roman contemporain Plon, 1894
* La Sicile, notes et souvenirs Desclée de Brouwer, 1894
* La Première invasion de la Belgique, extrait de la Revue des Questions Historiques, Paris, 1903.
* Notre marine marchande, sa décadence, sa législation, son avenir (,Challamel, 1898
* L?entente nationale ? L?armée et la franc-maçonnerie ? recueil de discours de divers orateurs, Bourges, 1905
* L?expansion maritime de l?Allemagne : le cinquantenaire du Norddeutscher Lloyd [small]? Extrait du Correspondant, éd. de Soye, 1907[/small]
* Rapport au nom de la sous-commission du budget sur le budget de 1909, Imp. municipale, 1908
* Visite aux Invalides: L'Eglise Saint Louis, plans et détails, préface de Roger Lambelin, Paris, 1908.
* Comptes-rendus divers, extrait de la Revue des Questions Historiques, Paris, 1914, n°95.
* Sous le soleil d?Egypte. Un c?ur d?homme, roman (, Nouvelle Librairie Nationale, 1914, Grasset, 1921
* Protocoles des Sages de Sion, introduction par Roger Lambelin, Grasset, 1921 (plusieurs rééditions 1936, 1937)
* L?Egypte et l?Angleterre vers l?indépendance : de Mohammed Ali au roi Fouad, Grasset, 1922
* Le péril juif ? L?impérialisme d?Israël, Grasset, 1924
* La question du Soudan égyptien, extrait de Le Correspondant, Paris, 1924.
* Deux livres d'histoire générale: Angleterre et France, extrait de la Revue des Questions Historiques, 1924
* Le péril juif ? les victoires d?Israël, Grasset, 1928
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[center]Roger Lambelin - Protocols des sages de Sion - d'après Lambelin[/center]

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[center]Roger Lambelin - Protocols des sages de Sion.zip (873.51 KB)
[large]histoire ebook[/large]
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[center]PRÉFACE[/center]

[justify]Février 1925,

Depuis tantôt quatre ans que fut publiée la première édition de cette traduction de la version russe de 1912, les Protocoles ont fait couler des flots d?encre. De nouvelles traductions parurent notamment dans un des pays où le péril juif semble le plus avéré ? en Roumanie ? et les discussions se poursuivirent dans la presse pour tâcher de percer les voiles mystérieux qui enveloppent ce document si ardemment étudié et commenté. Du côté chrétien parurent, en 1922, une étude fort intéressante de Mgr Jouin, sur les Protocoles de G. Butmi, d?après l?édition de 1901, et un ouvrage historique de Mrs Nesta Webster où l?Illuminisme de Weishaupt est présenté, avec citations à l?appui, comme l?une des sources des doctrines et des méthodes exposées dans les Protocoles. Du côté juif et philo-sémite, tout fut mis en oeuvre, en France, en Angleterre, aux Etats-Unis, en Allemagne, pour tâcher d?enlever au fameux document la valeur, l?autorité, qu?il tenait de son texte même. MM. Salomon Reinach, Lucien Wolf, Zangwill et une pléiade d?écrivains qui n?étaient pas tous juifs, s?appliquèrent à démontrer qu?il ne fallait pas attribuer à Israël l?éclosion du bolchevisme russe, et les hypothèses les plus variées furent émises sur l?origine d?un pamphlet dont l?auteur ne pouvait être qu?un agent de la police tsariste, désireux de provoquer des pogroms. Cependant, en raison de leur nombre, et de l?absence de preuves susceptibles de les étayer, les hypothèses ne semblaient guère vraisemblables. Le comité de presse institué par les organisations juives de Londres pour combattre ce qu?on appelait « un nouvel antisémitisme » était à bout de souffle quand, soudain, le Times annonça une mirifique découverte. C?en était fini du mystère cachant l?origine des « Protocoles ». Le pamphlet était bien un faux, une forgery ; Israël pouvait se réjouir, remercier Jéhovah : ses ennemis étaient confondus, pulvérisés... En trois articles, parus dans ses numéros des 16, 17 et 18 août 1921 le Times racontait sa découverte. Son correspondant de Constantinople avait reçu d?un Russe réfugié en Turquie, après promesse faite de ne jamais révéler son nom, un livre de petit format ayant pour titre Dialogue aux Enfers entre Machiavel et Montesquieu et pour auteur Maurice Joly. Ce Préambule rocambolesque offrait-il quelque intérêt ? C?est douteux, mais cela donnait un petit parfum romantique au récit, d?autant que le Russe, prudent et désireux de garder l?incognito, était qualifié d?ancien membre de « l?Ochrana » (police secrète russe).
Le livre figurait au catalogue du British Muséum et de la Bibliothèque nationale. Il avait paru à Bruxelles à la fin de l?Empire et avait valu à son auteur une condamnation pour « excitation à la haine et au mépris du gouvernement impérial. ». Il était donc superflu d?aller à Constantinople pour le découvrir. Dans le pamphlet politique, dirigé contre Napoléon III, il n?est aucunement question des Juifs. Mais Maurice Joly formule, par l?organe de Machiavel, toute une théorie sur le gouvernement des peuples comprenant : légitimation des coups d?Etat, établissement d?un pouvoir tyrannique, fondé sur la corruption, la domestication de la presse, de la magistrature, de l?Université, soutenu par la police et la force armée. Par une transposition facile, ce pouvoir tyrannique, défini par Machiavel, peut s?appliquer à l?impérialisme d?Israël aussi bien qu?à l?absolutisme napoléonien. De fait que certains passages des Protocoles sont soi-disant inspirés de paragraphes du Dialogue aux Enfers, toute la presse juive et même certains journaux qu?on croyait indépendants, en ont déduit que 1er petit livre révélé par Nilus et Butmi était une Supercherie, un « faux » au même titre que les Monita Secreta attribués naguère aux Jésuites. Cependant Maurice Joly était un républicain fanatique, peu suspect de s?être prêté à une manoeuvre contre la démocratie et les Juifs. Qui donc avait pu se servir de son pamphlet pour le transformer en arme de guerre, en char d?assaut manié par les antisémites ? Le Times et quelques autres feuilles donnèrent libre cours à leur imagination et firent intervenir dans l?affaire l?hypnotiseur Philippe, le grand duc serge Alexandrovitch, une princesse Radziwill, et finirent par attribuer la paternité des Protocoles à un trio de policiers russes...
Mais cette attribution n?était encore qu?une hypothèse et aucune application plausible, aucun témoignage valable n?en établissait la véracité. En nous maintenant strictement sur le terrain de la critique historique, il faut reconnaître que l?origine des Protocoles demeure mystérieuse et que son auteur ou ses auteurs restent inconnus. Toutefois quelles que soient les sources du document, son texte vaut d?être retenu et divulgué. Si le texte des Protocoles porte en soi un enseignement, offre un intérêt puissant et actuel, c?est parce qu?il procède d?inspirations juive et maçonnique et montre de quelle manière les sociétés secrètes, la corruption, le terrorisme peuvent être utilisés par Israël pour réaliser sa domination mondiale. Cette mystérieuse brochure, selon le mot du Morning Post est un « varie mecum des méthodes par lesquelles de grands empires ont été et peuvent être détruits. »[/justify]


[center]INTRODUCTION[/center]

[justify]Sur divers points du lointain horizon, l?on perçoit la formation de vagues d?antisémitisme. Elles n?ont encore qu?un très faible relief ; mais sous le souffle des poussées juives qui se manifestent de tous côtés, elles vont se creuser, accélérer leur allure et peut-être Seront-elles formidables quand elles déferleront, avec une écume blanche fusant vers le ciel, Sur les rivages où Israël a cru construire d?imprenables citadelles. L?antisémitisme est-il provoqué par des causes superficielles et temporaires ou par des raisons durables et profondes ? Les Juifs doivent-ils être considérés comme responsables, pour une large part, du malaise mondial consécutif à la guerre ? Ce sont des faits rigoureusement constatés, des rapprochements loyalement opérés, des considérations logiquement déduites, qui peuvent seu1s permettre de répondre à ces questions. Le gouvernement britannique, M. David Lloyd George étant premier ministre, est complètement inféodé é la politique d?Israël. Il serait difficile de contester cette affirmation. Six Israélites sont Privy councillors ; deux siègent au ministère : sir Alfred Mond et l?honorable Edwin Montagu et ce ne sont peut-être pas les plus enjuivés du Cabinet.
Quand les chefs du mouvement sioniste, prévoyant la victoire finale de l?Entente, voulurent poser de solides jalons pour l?édification du futur royaume palestinien, c?est le ministre des affaires étrangères, M. Arthur James Balfour, qui, au nom du gouvernement de Sa majesté britannique, écrivit à lord Rothschild et prit l?engagement de favoriser de tout son pouvoir la création du « Foyer national juif ». C?est un Israélite, devenu Lord Chier Justice Of England, Rufus Isaacs lord Reading, qui fut envoyé à Washington comme haut commissaire et ambassadeur extraordinaire pour y régler avec les Israélites du président Wilson : l?ambassadeur Morgenthau, le banquier Jacob Schiff, le juge Brandeis, le professeur Francfurter, les délicates questions politiques et financières que soulevèrent les derniers mois de la guerre et les préliminaires de la paix.
Quand l?Angleterre obtint de la Société des Nations un mandat provisoire sur la Palestine, où, sur 700 000 habitants, il n?y avait guère que 65 000 Juifs, c?est encore un israélite, sir Herbert Samuel, qui reçut des pouvoirs quasi-souverains pour administrer la Terre Sainte et y établir un régime juif.[/justify]
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[center][large]Le peril juif
L'impérialisme d'Israël
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[center]Roger Lambelin - Le peril juif - L imperialisme d Israel.pdf (16.08 MB)
[large]histoire ebook[/large]
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[justify]Et l'on peul se demander si la vraie bénéficiaire de la grande guerre n'est pas une puissance sans territoire, qui possédait des intelligences chez tous les belligérants, dirigeait la finance internationale, exerçait une action sur les gouvernements et les Parlements comme sur les organisations socialistes et soviétiques : la puissance juive.
A mesure que la guerre se prolongeait, les Juifs allaient supputé le parti à tirer des événements tragiques qui ensanglantaient et ruinaient la vieille Europe. Ayant été plus ou moins enrôlés dans les rangs des combattants, on les accuserait difficilement d'être des '' sans patrie ''. La guerre une fois finie, leur peuple dispersé, mais toujours un, étendant partout ses tentacules, saurait imposer sa loi à des nations divisées, jalouses les unes des autres - ces jalousies seraient habilement entretenues - et profondément atteintes moralement et financièrement.
Après de minutieuses enquêtes, Israël acquit la conviction que, malgré le précieux concours donné par la Révolution russe, fomentée par ses soins, les empires centraux succomberaient dans la lutte. Alors, il offrit aux alliés, moyennant certaines conditions, de mettre à leur profit dans la balance de la guerre le poids de son or et de ses forces occultes. L'heure de la victoire serait ainsi avancée... Grâce aux concours que les Juifs s'étaient assurés dans les gouvernements de l'Angleterre, des États-Unis et de la France, le marché fut aisément conclu. Parmi les conditions imposées figurait le don de la Palestine aux Juifs, représentés par '' l'organisation sioniste ''· Le ministre des Affaires étrangères de Sa Majesté britannique, M. Arthur Balfour, fit à cet égard une déclaration formelle par une lettre adressée à Lord Rothschild, le 2 novembre 1917.
La date et la déclaration méritent d'être retenues.
Elles marquent l'origine d'une période de l'histoire du monde. C'est l'acte de naissance ou plutôt la déclaration avouée de l'impérialisme d'Israël, l'aurore du jour où '' la promesse '' faite au peuple élu sera '' accomplie '', où commencera la réalisation du rêve séculaire des Hébreux.

Il est bon de noter qu'en octroyant aux États '' alliés et associés '' leur concours, leur haute protection à une heure qui pouvait être décisive, les Juifs n'avaient nulle intention de poursuivre l'écrasement de la Germanie.
Ils possédaient de l'autre côté du Rhin trop d'intérêts matériels qu'il importait de sauvegarder; et puis, combien de financiers, de commerçants, d'industriels qui vinrent, depuis cinquante ans, fixer leur résidence, édifier leur fortune en Angleterre, en France, dans les Amériques, étaient originaires d'Allemagne et y avaient conservé des parentés, des relations, des affaires !
Aussi les hostilités avaient à peine cessé que les Israélites du monde entier, actionnant les gouvernements sur lesquels ils avaient barre, et particulièrement l'Angleterre et les Etats-Unis, eurent pour principal souci de maintenir la cohésion territoriale et l'avenir économique du Reich, d'autant que l'abdication de l'empereur Guillaume leur avait permis de s' emparer, en Allemagne, de toutes les avenues du pouvoir. De là, la précipitation de l'armistice, les stipulations de la paix wilsonienne, l'opposition des Anglo-Saxons à l'autonomie des provinces rhénanes, la mauvaise humeur témoignée à la Pologne renaissante, le morcellement de la catholique Autriche-Hongrie qui rendait impossible l'établissement dans la vallée du Danube d'un contre-poids au bloc germanique protestant...

La Société des Nations, au dire d'un des écrivains les plus connus d'Israël, procède '' essentiellement de l'inspiration juive '', et M. Lucien Wolf, qui en connaît tous les rouages et les détours, dans une conférence faite à Londres en janvier 1921, incita tous ses coreligionnaires à la soutenir par tous les moyens possibles :
'' Nous avons le plus grand intérêt au succès de la Ligue. Elle est en harmonie avec nos plus nobles et nos plus saintes traditions. Elle a pour nous un intérêt majeur en tant qu'elle assure la plus favorable solution
à la question juive. Son avenir est d'ailleurs assuré. ''
Le mot final est expressif. Les Juifs ont maintenant conscience de leur force, et comment ne l'auraient-ils pas quand on compare la situation de leurs communautés éparses en 1789 à celle dont ils ont quelque droit de s'enorgueillir aujourd'hui !
Voyez les positions qu'ils ont conquises, depuis lors, dans les différents pays; les points d'appui qu'ils ont organisés méthodiquement en vue d'une offensive générale. Leur puissance financière est formidable et ils savent merveilleusement l'utiliser en dirigeant la presse, les loges maçonniques ; en man?uvrant les gouvernements, l'opinion, les assemblées parlementaires. Ils se sont acquis dans tous les milieux, dans les salons mondains comme dans la politique, des auxiliaires, des complices plus ou moins conscients : c'est ce qu'on nomme aux Étals-Unis '' le front chrétien du Judaïsme ''.
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[center][large]Le péril juif
Le règne d'Israël chez les anglo-saxons
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[/center][right][small]Il y a plus qu'un péril juif :
Un règne juif.
Charles Maurras.
Action française du 4 Octobre 1920.[/small][/right]
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[center]Roger Lambelin - Le peril juif - Le regne d Israel chez les anglo-saxons.pdf (15.11 MB)
[large]histoire ebook[/large]
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[justify]La grande guerre survint. Quiconque était un peu au courant de la vie diplomatique et militaire de l'Allemagne ainsi que des questions balkaniques la pressentait prochaine dès le printemps de 1912. Les israélites étaient, dans tous les États, trop bien informés pour n'avoir pas prévu le conflit mondial. L'avaient-ils désiré ?
Avaient-ils par des menées occultes travaillé à son déclenchement ? Le doute est permis, mais ce qui est incontestable, c'est qu'ils s'étaient admirablement préparés à tirer, de la guerre et de la paix qui y mettrait fin, des avantages considérables et un surcroît de puissance dont on a lieu d'être effrayé.
La marche. ascendante d'Israël vers la conquête de l'Univers qui, jusqu'alors, avait été prudente, discrète, lente, marquée de temps d'arrêt, allait brusquement prendre des cadences rapides, les allures d'une marche triomphale.
L'impérialisme juif se révélait avec une force et aussi avec une candeur déconcertantes. Auprès de lui, l'impérialisme allemand, l'impérialisme britannique, l'orgueil américain sont peu de chose. La complicité ou l'aveuglement des États belligérants ont favorisé les desseins d'Israël; le socialisme international et la finance internationale ont puissamment facilité leur réalisation. Du président Woodrow Wilson et de M. Lloyd George, les juifs sont parvenus à faire leurs agents les plus dociles et les plus dévoués et, man?uvrant les gouvernants des États-Unis et de la Grande-Bretagne, les représentants d'une race de treize ou quatorze millions d'individus, dispersés dans tous les pays du globe, ont réussi à imposer au monde une paix spéciale qui est vraiment une pax judaica et un super gouvernement, dénommé Ligue ou Société des Nations, dont ils sont les maîtres.
En signe de victoire, ils ont obtenu d'installer en Palestine pour leur peuple, sans territoire depuis la Dispersion, un '' foyer national '' et, sous l'égide de l'Empire britannique, le drapeau cl' Israël flotte déjà sur Jérusalem, la Cité sainte du monde chrétien, la métropole incomparable de l'idée religieuse et de la civilisation.

Comment a pu s'opérer en quelques années cette conquête juive ?
L'union sacrée observée pendant la guerre l'a certainement facilitée; mais, depuis longtemps déjà, les israélites avaient occupé dans tous les pays des positions solides, leur donnant les moyens de déclencher des offensives rapides, lorsque se présenteraient des circonstances propices. En Russie, ils comptaient plusieurs de leurs coreligionnaires dans le parti des Cadets; ils étaient les maîtres des organisations secrètes et des groupements socialistes.
Les israélites jouèrent un rôle capital dans les intrigues, les défaillances, les trahisons qui démoralisèrent la Cour, la noblesse, l'armée et entraînèrent la chute du tzarisme. L'Empire, que maintenait seule debout son armature gouvernementale, était voué à l'anarchie quand le tzar Nicolas fut déchu de son trône. Les socialistes juifs imposèrent par la force à la Russie décapitée et démembrée le régime plus ou moins communiste des Soviets et il suffit de consulter les statistiques assez concordantes, émanant de sources diverses, pour connaître
la composition du gouvernement tyrannique et sanglant, dont l'israélite. Trotsky et Lenine sont les chefs.
Sur les 22 membres formant le Conseil supérieur des Commissaires du peuple, 17 sont juifs; et, si l'on totalise les hauts fonctionnaires gérant les ministères et les grands services publics, on constate que 458 d'entre eux, sur 556, sont juifs.


En Allemagne, c'est dans le domaine de la grande industrie que les israélites avaient conquis des positions capitales. Ils en étaient les magnats. La plus puissante compagnie de navigation du monde avant la guerre; la '' Hambourgeoise-Américaine '' n'avait-elle pas à sa tête le docteur Ballin ? Mais ils exerçaient aussi une action prépondérante dans les milieux socialistes et il est bon de se souvenir que le 4 août I9I4, au Reichstag, c'est par l'organe du juif Haase que le parti de la social-démocratie promit son entier concours au gouvernement impérial.
Après la défaite des Empires centraux et l'abdication ou la déposition des souverains régnants de l'Autriche-Hongrie et des États Allemands, partout les juifs sont portés au pouvoir par les organisations socialistes.
Grâce à eux s'opère un camouflage démocratique et républicain
, qui vaudra à l'Allemagne protestante, surtout lors des Conférences inter-alliées de Paris, la bienveillance du président Wilson et de M. Lloyd George.
Chez les vaincus, les juifs ont donc pénétré fort avant dans les régions du pouvoir, et si des réactions commencent à se produire contre leurs menées envahissantes de l'autre côté du Rhin, ils n'en ont pas moins conquis une puissance politique infiniment supérieure à celle qu'ils possédaient avant le conflit mondial.
Mais c'est surtout chez les vainqueurs que leur ascension vers les cimes mérite d'être étudiée dans ses causes et dans ses procédés. Là, il n'y eut pas de cataclysmes politiques, de carences de pouvoir. C'est par le jeu naturel des institutions, par l'action personnelle des politiciens et des financiers israélites, par la presse à leur dévotion, grâce aussi aux intelligences et aux complicités trouvées chez les gouvernants et les chefs d'État, que se sont opérées les conquêtes juives. Aux États-Unis et en Angleterre, cette conquête fut aussi facilitée par des affinités d'ordre philosophique et religieux, car le puritanisme procède, dans une large mesure, de l'esprit judaïque.
Les documents consultés, les dépouillements opérés dans les journaux et périodiques anglais, américains et juifs, les observations faites et les témoignages recueillis en Egypte et en Palestine, les renseignements fournis par des correspondants bien placés pour être exactement informés sur certaines menées d'Israël, m'ont permis de suivre d'assez près les étapes de l'établissement du règne juif chez les Anglo-Saxons. Sans doute des faits nouveaux seront découverts et révélés qui permettront plus tard de fonder sur des assises définitives l'histoire de cette étonnante conquête; mais il m'a paru que, dès maintenant, de solides jalons devaient être plantés et qu'il importait de signaler aux patriotes de tous pays les dangers de l'impérialisme juif.

[large]La marée qui a submergé la Russie, qui encercle les pays anglo-saxons, monte encore , vers de nouvelles conquêtes. Pour sauvegarder la civilisation chrétienne et l'indépendance des peuples, il est urgent d'édifier des digues puissantes, capables d'arrêter et de refouler ses flots.[/large][/justify]
[right][large]R. L.[/large][/right]
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