La pédérastie en Islam, une autre façon de voir la religion

Moderator: Le Tocard

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Sycophante

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[large]Il est licite d?élargir l?anus par sodomie pour le jihad[/large]
[small]Merci à Maried[/small]
Question simple : Cela se passe-t-il aussi dans les yeshiva ?
[right][small]Coiffant les aspirations les plus viles, flattant les pulsions les plus archaïques,
encourageant la paresse intellectuelle, l'intolérance, l' hypocrisie, la violence,
prêchant un virilisme pathologique, justifiant les pires ignominies antiféministes,
l'islam n'est ni une sagesse , ni une civilisation (mode de vie), c'est un fléau
.
Gérard Zwang[/small][/right]
En raison de la stricte séparation entre les hommes et les femmes, en terre d'islam, il était plus facile aux hommes de trouver des garçons que des filles pour avoir des rapports sexuels.
Les marchés regorgeant de femmes esclaves, les hommes cherchaient à diversifier leurs objets de plaisir en se prenant aux garçons.
Ne trouvant pas à se marier avec une femme, certains hommes se tournaient vers les garçons pour assouvir leurs besoins sexuels.

L'homosexualité se rencontrait dans différents milieux :
L'armée: Les soldats turcs dans les pays qu'ils dominaient n'hésitaient pas à enlever les garçons et à les sodomiser.
- Les écoles :
Dans la société musulmane il n'y avait pas d'écoles proprement dites,mais des enseignants privés qui accordaient ensuite des certificats aux jeunes qui s'attachaient à eux.
Ces enseignants abusaient facilement des enfants qui leurs étaient confiés.
- Les milieux soufis :
Certains cercles soufis habillaient de beaux garçons et les installaient au milieu de leurs rites de dévotion (dhikr).
Cela tournait parfois à la sodomie.
Parfois le coït d'un garçon était sensé lui transmettre l'esprit soufi.
Au Maroc du début du siècle, la baraka du marabout ou du sharif (descendant du Prophète) se transmettait par le coït du disciple.

Les bars :
Ces locaux employaient des jeunes garçons pour servir le café et pour attirer leurs clients, devenant des lieux de débauche.

Les hamams :
Ici aussi les garçons servaient à laver les clients à huis clos.

- Les esclaves :
Les rapports sexuels avec une femme esclave étaient libres, mais il arrivait que le maître abusait aussi de ses esclaves mâles, relation pourtant interdite par les légistes musulmans.
Shihab-al-Dine Ibn-Ahmad Al-Abshihi (mort en 1446) raconte qu'un marchant est allé se plaindre auprès du juge de Homs (en Syrie). Il le trouva couché sur son ventre se laissant pénétrer par un garçon.Le juge expliqua au plaignant que le père du garçon est mort laissant une grande fortune ; il fut donc mis sous la tutelle du juge.

Certains sont venus demander au juge de lui remettre sa fortune du fait qu'il est devenu majeur.
Pour en avoir la conviction, le juge lui a fait passer le test de la majorité, à savoir qu'il pouvait éjaculer.
Serhane explique que dans les milieux traditionnels marocains, les parents envoient leurs enfants mâles aux écoles coraniques.
Dans ces écoles, les enfants sont confiés au faqih (savant religieux), du lever du jour jusqu'au coucher du soleil. L'autorité de ce faqih est illimitée.
Son rôle ne se limite pas à instruire et à éduquer l'enfant.
La dimension sexuelle y occupe une large place.
L'enfant peut faire l'objet de la sodomisation qu'il subit dans la peur, la soumission et la violence.
Ces écoles, dont le but est l'apprentissage de la parole divine, peuvent servir également de cours tacites de pédérastie appliquée avec ou sans le concours de l'honorable maître de l'école.
C'est un lieu de contradiction où le Coran peut cohabiter avec le viol.

Un proverbe marocain dit :
"Qui veut apprendre doit passer sous le maître".

Tout le monde l'accepte comme s'il s'agissait d'un rite pendant lequel le faqih fait passer sa bénédiction et son savoir à ses élèves par le biais de la sexualité.
Bien que tout le monde soit au courant des pratiques du faqih, les gens obligent leurs enfants à se rendre à l'école coranique et ferment les yeux sur les pratiques homosexuelles, voire pédophiles, qui s'exercent dans ces lieux.
Cette complicité voulue, maintenue, a de tout temps favorisé le développement de la pédérastie dans le milieu traditionnel marocain.
Et c'est à dessein que les parents n'envoient que les enfants mâles aux écoles coraniques.

Connaissant les perversités du faqih, ils préfèrent limiter les dégâts, protégeant ainsi la virginité de leurs filles.
Serhane ajoute que les parents tolèrent ce genre de pratiques chez un homme qui porte en son sein la parole divine.
Comment, en effet, peut-on accuser un homme qui a appris le Coran?
Dans l'esprit traditionnel, le viol du faqih n'est pas considéré comme un véritable viol puisque l'homme est un illuminé de Dieu.

Certaines personnes vont même jusqu'à croire que le sperme du faqih comprend une dose d'intelligence et de bénédiction divine qu'il est souhaitable que le maître coranique transmette directement à l'élève.
Ce dernier doit donc mettre son corps à la disposition de l'homme du Coran (132.5)

Rapports avec les morts
Les légistes se sont attardés sur le cas d'un homme qui pénètre une femme morte, ou une femme qui fait entrer le pénis d'un mort dans son vagin. On distingue ici entre les rapports dans le couple ou hors du couple.
A) Rapports dans le couple : Aucune sanction n'est prévue pour un tel acte.
B) Rapports hors du couple :Abu-Hanifah dit qu'il ne s'agit pas d'adultère, mais d'un délit puni d'une peine discrétionnaire.
Cet acte n'est pas entrepris par une personne saine d'esprit, et ne conduit pas à des troubles généalogiques.D'autres légistes qualifient cet acte d'adultère doublé d'une atteinte au mort, passible de la peine fixe (133. D'autres distinguent entre l'homme mort et la femme morte. Si un homme pénètre une femme morte, il commet l'adultère parce qu'il sent le plaisir. Mais si une femme introduit dans son vagin le pénis d'un homme mort, elle ne sent pas le plaisir, et donc il ne s'agit pas d'un adultère; elle est cependant passible d'une peine discrétionnaire (134.6)
C) Rapports avec les animaux : Le Coran ne mentionne pas de tels rapports.

Mais Mahomet aurait dit :
Le jour de la résurrection Dieu ne regardera pas sept catégories de personnes et ne les purifient pas ; il leur dira : entrez en enfer avec ceux qui y entrent : Celui qui pénètre un homme et celui qui se laisse pénétrer, celui qui se masturbe (celui qui baise sa main), celui qui pénètre un animal, celui qui pénètre une femme par son anus, celui qui épouse la femme et sa fille, celui qui commet l'adultère avec la femme de son voisin et celui qui nuit à son voisin jusqu'à ce qu'il le maudisse.
Dieu a maudit celui qui pénètre un animal et celui qui fait ce qu'ont fait les gens de Lot.
Si quelqu'un pénètre un animal, tuez-le ainsi que l'animal.
L'homme qui pénètre un animal et la femme qui se laisse pénétrer par un animal comme le singe ou le chien ne commettent pas l'adultère, mais sont passibles d'une peine discrétionnaire.
Les shafiites, cependant, qualifient cet acte d'adultère en se basant sur le 132 Serhane, p. 44-47.133
________________
* Nihayat al-muhtaj, vol. 7, p. 405; Al-mughni, vol. 10, p. 152.134
* Muhsin: Al-himayah al-gina'iyyah lil-'ard, p. 46-47; Jabr : Al-Zina, p. 60. SharhAl-Zarqani, vol. 8, p. 76.

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[center]A la queue leuleu ...
Chanson mutine à la mode[/center]
Un des aspects qui caractérisent les sectes est leur comportement envers le sexe et les relations sexuelles. La sexualité et les sectes sont toujours très liées et la particularité qu'elles ont développé dans certaines de leurs pratiques sexuelles est inhabituelle et parfois même contraire à la morale et à la Loi.

En outre, pour chaque secte, ces pratiques sont rigoureusement codifiées. Il en est de même pour l'islam.

Je commence par cette phrase d'Anne-Marie Delcambre pour bien expliquer qu'en islam, tout est réglementé, tout est décrit et établi une fois pour toutes, qu'en islam l'individu en tant que tel n'existe pas: "C?est cela que les musulmans n?aiment clamer que pour l?Islam, l?individu ne peut pas disposer de son corps comme il veut, manger ce qu?il veut, faire ce qu?il veut" ("L?Islam des interdits", Desclée de Brouwer).

L'islam a tout déterminé de la vie sociale, politique, sociétale, etc. ... de l'individu, jusqu'à la manière de se torcher le derrière. Il est donc normal qu'il ait codifié le sexe et les relations sexuelles.

Je passe volontairement sur tout ce qui est connu des pratiques musulmanes, sur le "haram" en matière de relations sexuelles, sur la polygamie et le rôle de la femme (voir à ce sujet : http://apostat-kabyle.blog4ever.com/blog/lire-article-457071-9529985-statut__peu_enviable__de_la_femme_en_islam_.html) pour ne retenir que ce qui est beaucoup moins connu, sauf des spécialistes et habitués, à travers la "tradition" et à travers la littérature arabo-musulmane. Je passe aussi sur cette obsession de "l'honneur" qui fait qu'au XXIème siècle, dans certains pays comme la Jordanie ou la Turquie, on peut tuer des femmes et ressortir du tribunal libre et complètement blanchi.

Avant d'aborder le sujet, je dirai juste que pour 1,5 milliard de bigots de l'islam (donc je compte aussi les femmes), la femme est une "aoura" ou awra, ce qui se traduit par ... honte !!! C'est pourquoi la femme doit s'enfermer chez elle et revêtir un sac-poubelle quand elle sort.

Comme on va le voir, on est loin du romantisme qui consiste à présenter et surtout imposer un islam qualifié de tolérant. On est loin des romans de Najib Mahfouz et de toute la culture étalée partout, vantant les vertus et la grandeur de l'islam (comme l'Institut du Monde Arabe à Paris, comme la création au Musée du Louvre du département consacré aux arts islamiques), dans le but évident de démontrer l'indémontrable.
J'oppose à cela juste un argument parmi des centaines: les discours des "musulmans modernes" (existe-t-il musulmans plus "modernes" que les frères Ramadan?) par exemple au sujet de la lapidation : Hani Ramadan la justifie dans une tribune parue dans "Le Monde" tandis que son frère Tariq Ramadan appelle à un moratoire lors d?un débat avec Sarkozy, alors ministre de l?intérieur !

Je l'ai écrit à plusieurs reprises, sans jamais avoir été contredit : le coran ne mentionne pas une seule fois le mot "honneur". Tout comme il ne mentionne pas une seule fois le nom d'Ève (Hawa). Quand elle est mentionnée dans les hadiths, quand les femmes sont elles aussi mentionnées, c'est pour les dénigrer, les rabaisser plus bas que terre ou les accuser de tous les maux de la Terre:
? " Si ce n?était Hawa, aucune femme n?aurait trahi son époux".
? " J'ai vu l'Enfer, il est majoritairement peuplé de femmes".

A. Le paradis.
Pour une fois, commençons par la fin : le paradis d?Allah. Il faut savoir que la métaphore est très peu utilisée en islam. Donc, pour les musulmans, la description que le coran fait du paradis est une description de ce qui attend les plus méritants d'entre eux, à prendre au pied de la lettre. C'est d'ailleurs ainsi que le comprennent les musulmans, y compris les pires d'entre eux, les auteurs d'attentats-suicides. Ces derniers en effet n'ont d'autre souci que de se protéger non pas le cerveau ou un autre organe essentiel, mais les parties génitales !

Le paradis des musulmans a cette particularité d'être un gigantesque lupanar avec comme témoins et spectateurs les Anges et un dieu voyeuriste. Chacun des prophètes aussi participe à ces jouissances sexuelles, il est même "avantagé", puisque son quota de houries peut aller jusqu'à cent. Des houries vierges et pures, qu'aucun homme ni djinn n'aura touché, obsession de pureté féminine oblige. Des houries qui "n'appartiennent qu?à lui, ne sortent jamais de leurs demeures et ne désirent que lui". Le paradis musulman promet aux pieux croyants ce qu?Allah et son prophète ont interdit sur Terre. L'espérance du musulman (jamais de la musulmane, il n'y a pas l'équivalent masculin des houries) est donc dans l'attente de recevoir sa part de houries, mais aussi de "jeunes éphèbes éternellement jeunes", entièrement dévoués et immédiatement disponibles dès que l'envie s'en fait sentir. Le coran condamne les rapports sexuels entre hommes sur terre, il les autorise dans son paradis pour la satisfaction des fantasmes libidineux de ses adorateurs.

Le dieu des musulmans donne aux heureux élus la force de déflorer cent vierges en une seule journée. Au paradis d?Allah, le sens de la possession s'en trouve décuplé, et surtout, la sexualité ne s'envisage qu'en terme de pénétration. Jamais il n'est question de sentiments. Pourrait-on en avoir, quand on doit "déflorer cent fois en une journée" ?
Le paradis n'est pas seulement peuplé de houries aux grands yeux et de jeunes éphèbes efféminés, il a aussi ses esclaves. C'est Ibn Abbas qui l'affirme: au bord d'un des 4 fleuves du paradis d?Allah, al-Baydakh, se tiennent de jeunes esclaves sexuelles "se faisant face et chantant de voix que jamais les créatures ont entendue d'aussi belles". Si l?une d'elle plaît à un homme, il suffit qu'il lui frôle le poignet pour qu'elle le suive.
Le paradis est ainsi réduit à un vaste bordel où les seules activités pour les heureux élus "adossés à des lits alignés" sont de manger, boire et forniquer à l'infini.

Paradis sans les femmes terrestres. Ou pire encore, selon quelques hadith classés "faibles": "Les houries sont celles qui ont été saisies dans le monde d?ici-bas, vieilles aux yeux souillés de sécrétions, aux cheveux grisonnants, et que Dieu après leur vieillesse a recréées sous forme de vierges attentionnées, aimantes et passionnées, toute du même âge" (Ibn Qayyim). Après avoir servi d'objet sexuel sur terre, la pieuse musulmane subira éternellement les assauts de son mari céleste et subira la réparation à l'infini de son hymen.

Je termine ce chapitre par cette vision qu'ont les musulmans de leur paradis:
? "D?après Zayd ibn al-Arqam, le Messager d?Allah (bénédiction et salut soient sur lui) a dit :
« Un homme des occupants du Paradis aura une force égale à celle de cent hommes par rapport au manger,
au boire et au plaisir sexuel ».
Un juif dit alors : « Celui qui mange et boit éprouve nécessairement le besoin humain ! »
? Le Messager d?Allah (bénédiction et salut soient sur lui) dit :
« ce besoin revêtira la forme d?une sueur qui coule sur sa peau et entraîne un brusque dégonflement de son ventre »"
(rapporté par Ahmad, n° 18509 et par ad-Darami, n° 2704).
Remarquez que le juif est toujours présent, et, bien entendu, il incarne la perfidie et le mauvais esprit.

B. Mariage(s)
Revenons sur Terre.
Selon Aïcha, il existait quatre types d?unions sexuelles: le mariage anté-islamique, le mariage traditionnel (nikah al-baal), le mariage de fertilisation (nikah al-istibdad), où un homme stérile accepte de sa femme qu'elle "aille coïter" [sic] avec un autre et le mariage de groupe (nikah al-raht) où un groupe d'hommes (dix au maximum) peuvent copuler avec une même femme pendant une période convenue, pour assurer une bonne descendance (une sorte d'eugénisme naturel?). Ces pratiques tendaient à disparaître mais certaines d'entre elles reviennent à la mode dans ce contexte de "retour à la pureté originelle" de la part d'une grande majorité de musulmans. Maladie obsessionnelle de la pureté.

Il existait d'autres formes de mariage :
? Nikah al-bugha (différent du nikah al-raht): un groupe d'hommes fréquentent la même prostituée et
quand elle enfantait, elle faisait appel à un physionomiste pour désignait le père.
? Nikah as-sabi: relation avec des esclaves.
? Nikah al-badal: une forme d'échangisme définitif.
? Nikah al-imaa: le "propriétaire" d'une esclave l'envoie temporairement chez l'un de ses amis.
? Nikah al-shigar: le tuteur de la mariée doit se marier aussi dans le clan du groupe de l'époux.

Une mode venue de l'Iran des ayatollahs: le nikah al-mutaa, mariage de jouissance ou mariage temporaire, contracté pour quelques heures, quelques jours, quelques mois... ou pour 99 ans! Il a fait son apparition aussi chez les sunnites au Maroc et en Egypte. Un passage du coran permet ces unions: "il vous est permis de les rechercher, en vous servant de vos biens et en concluant mariage, non en débauchés. Puis, de même que vous jouissez d'elles, donnez-leur leur mahr (salaire), comme une chose due" (4.24).
A signaler que le même mot arabe "mahr", désigne le salaire versé à la prostituée et le douaire légal versé dans le cadre du mariage "normal" traditionnel. A l'épouse on verse son "salaire", comme à la prostituée.
Il faut aussi savoir que, selon Tabari, Ibn Abbas et Ubay ibn Kaab avaient dans leur vulgates coraniques la mention "jusqu?à un temps déterminé" à la fin de ce verset et qu'elle a été supprimée dans la "vulgate otmanienne" (la version en vigueur chez les sunnites).

C. Homosexualité
Juste quelques mots sur l'homosexualité, cette pratique est universelle et mon but n'est pas de la critiquer ou de la juger. Mais plutôt de relever la grande hypocrisie des musulmans quand il s'agit d'affaires de m?urs violemment réprimées par leur dogme.
Le coran a formellement condamné l'homosexualité masculine. Le septième calife omeyyade Sulayman ben Abd el-Malk a ordonné la castration de tous les "efféminés" de Médine. Pourtant, les hommes musulmans, traditionnellement, sont attirés par les relations avec d'autres hommes. Peut-être recherchent-ils un avant-goût de ce qui les attend au paradis d?Allah avec les éphèbes, toujours est-il qu'il est établi que l'homosexualité musulmane est un phénomène remarquable, pour ne pas dire plus. A travers tout le monde arabo-islamique, l'homosexualité s'est pratiquée, parfois d'une manière ostentatoire. Chez les arabo-musulmans, il est notoire que les hammams sont des lieux de pratiques réguliers et tolérés de l'homosexualité.
Lors de son périple moyen-oriental, Flaubert dont l'homosexualité est bien connue, écrit à son ami Louis Bouilhet : "Tu me demandes si j?ai consommé l??uvre des bains. Oui, sur un jeune gaillard gravé de la petite vérole qui avait un énorme turban qui m?a fait rire. Je recommencerai".

L'homosexualité introduit une autre catégorie de personnes : les eunuques. Qu'on peut classer en 2 groupes, sans qu'il y ait vraiment de barrières entre eux:
? les domestiques au service du Harem. Conséquence de la séparation des sexes imposée par le coran :
le gardien des femmes et les femmes qu'il garde ne doivent pas être tentés de faire l'acte "haram" (harem - haram, l'obsession encore et toujours).
La solution est donc d'émasculer ces gardiens. Toujours le complexe de la pureté de la femme.
? les proches gardes des sultans, émirs et classes dominantes.
Très pratique : rompu aux arts de la guerre et à la manière de donner du plaisir à son maître.
Dans le monde moderne, cette pratique a dû disparaître, sauf peut-être dans les palais des sultans et émirs d'Arabie.

D. Excision
Comme pour l'homosexualité, je ne développerai pas le sujet, d'autres l'ont fait bien mieux que moi, j'y ai toutefois consacré un article à travers un hommage à Benoîte Groult (http://apostat-kabyle.blogspot.fr/2012/04/benoite-groult-autobiographie-dune.html).

L'excision n'a qu'un unique but : empêcher le désir féminin, donc préserver la chasteté de la femme, "réduire ses pulsions sexuelles, de façon à assurer sa virginité au moment de son mariage et sa fidélité et soumission envers son mari par la suite". Car il faut protéger les "femelles" de musulmans de toute tentation et toute déviance sexuelle, surtout hors mariage. Encore et toujours cette obsession de "pureté", à laquelle la femme doit se soumettre. La jalousie maladive du prophète des musulmans se perpétue ainsi depuis presque 15 siècles, on en a fait une tradition et un signe d'honorabilité.
Ces pratiques ignobles sont encore en vigueur surtout dans certaines régions d'Afrique Noire, en Égypte et en Indonésie.
Une infirmière et sage-femme somalienne nommée Kowser Omer Hashi : "les fillettes insistent souvent auprès de leur mère pour subir l?intervention, sans savoir qu?elle est douloureuse. On ne permet pas aux filles de savoir ce qui se produit ou d?observer l?intervention. Elles entendent souvent dire que lorsqu?elles se font infibuler, elles reçoivent des cadeaux spéciaux ou qu?elles sont traitées comme de petites princesses".
Pour certains musulmans, "L?excision génitale féminine aurait pour but d'étouffer la nymphomanie en réduisant ses pulsions sexuelles, de façon à assurer sa virginité au moment de son mariage et sa fidélité et soumission envers son mari par la suite. Bon nombre clame que la pratique rehausse l?expérience sexuelle de l?homme et l?apparence esthétique de la vulve". Sans commentaire !

[center][large]Pratiques indéniablement sectaires.[/large][/center]
E. Séparation des sexes
Comme toutes les sectes, l'islam a aussi ses bizarreries.

Le verset 24.31 détaille quels sont les "mahram" (toujours la racine "haram") devant lesquels les femmes peuvent retirer leur voile et faire voir leur visage et leurs cheveux: "à leurs maris, à leurs pères, aux pères [sic] de leurs maris, ou à leurs fils, ou aux fils de leurs maris, ou à leurs frères, ou aux fils de leurs frères, ou aux fils de leurs s?urs, ou aux femmes musulmanes, ou aux esclaves qu'elles possèdent, ou aux domestiques mâles impuissants, ou aux garçons impubères qui ignorent tout des parties cachées des femmes".
Ce qui correspond, pour les hommes, aux mâles qui leur sont interdits en mariage. Mais le prophète des musulmans a eu à trancher d'un cas qui sert aujourd'hui de jurisprudence : l'allaitement de l'adulte. Voici le hadith, un sahih de Muslim :
"D'après Aïcha, Sahla bint Suhayl vint dire au prophète : Ô envoyé d'Allah! Je remarque les signes du mécontentement sur la figure de Abu Hudhayfa mon époux à cause de la présence fréquente de Salim, son allié, chez nous. Le prophète lui dit : Allaite-le. Et comment allaiterai-je un adulte pareil ? Le prophète sourit et dit : Je sais bien que c'est un homme adulte!"
Ce qui veut dire que la mixité entre hommes et femmes est possible en islam, à condition qu'elles allaitent les hommes qui sont amenés à les côtoyer.
Le coran et les hadiths ont édictés toute une série d'interdictions pour la femme, comme de voyager seule sans mahram, de travailler ou de sortir sans l'accord de son mari, de se faire soigner par un médecin-homme, elle ne doit pas serrer la main d'un homme même si elle est gantée, etc. Des interdits inimaginables ou cocasses, comme de ne pas retirer son voile en présence d'un homosexuel :
http://islamqa.info/fr/ref/166083 (site franco-anglais, très révélateur : pour les curieux, on y trouve même une fetwa sur Mickey).
On est au-delà de la secte des Mormons.

F. Sex-toys, nécrophilie et autres monstruosités islamiques
Le cheikh marocain Abdelbari Zamzami a légalisé dans plusieurs fetwas l'usage des sex-toys pour femmes, il a également légalisé l'usage de "flacons ou autres objets pour assouvir [leurs] envies sexuelles". Auparavant, il avait affirmé que l?islam autorisait la nécrophilie.
Le cheikh bien connu al-Qaradaoui a estimé dans une fetwa que les "caresses bucco-génitales" sont permises à condition que la femme ne boive pas le "liquide impur". Il ne fait que reprendre d'autres ulémas qui ont autorisé le "baiser génital" ajoutant "et il n'y a aucune honte à celà".
Une fetwa égyptienne interdit aux femmes de toucher aux bananes et aux concombres, à cause de leur forme phallique, tandis qu'une autre fetwa, celle-là d'al-Qaïda, exige que les vendeurs séparent les tomates et les concombres sur leurs étals car ils sont de sexe différent.
Comme ils disent, Allah le sait mieux!
Cette volonté de tout régenter, même les détails les plus intimes de la vie, c'est encore un comportement typiquement sectaire.

G. Pédophilie
Une autre pratique qu'on retrouve systématiquement chez les sectes.
Tout d'abord, une précision: cette abjection est malheureusement présente partout chez les peuples de la Terre. Mais à la différence de l'islam, elle est partout considérée comme un acte immoral et très justement et sévèrement puni par la loi. La Umma Islamiya est le seul groupe humain (au moins de cette importance) qui ait légalisé et reconnu cette pratique.

Bien entendu, les musulmans disent que cette pratique est interdite. Mais puisque la sunna non seulement l'autorise, mais aussi l'encourage, elle serait interdite par qui? Comme seule réponse, on nous dit:
" Néanmoins plusieurs avis juridiques existent sur la question "du mariage des impubères" de ceux qui le permettent mais donnant un droit d'annulation à la fille à sa puberté et de ceux qui s'y opposent formellement"[...]. Il y a donc bien en islam des "mariages d'impubères", euphémisme pour cacher une horreur de plus.

Mais la seule réponse valable pour les musulmans, on la trouve dans la chariya, qui est la base législative de tous les pays musulmans :
"L?âge de la puberté est de quinze ans pour les garçons et de neuf ans pour les filles. Le mariage d?une fille qui se marie pour la première fois est conditionné à la permission du père ou du tuteur ou d?un grand-père".

De nos jours, la pédophilie est encore assez courante parmi les nantis des pays du Golfe. Il est de notoriété publique que les domestiques qui travaillent pour les riches familles de Saoudi et des Emirats en fassent les frais, tout comme il est admis que ces mêmes riches ont comme destination favorite pour s'adonner à leur vice l'Egypte, le Maroc ou encore depuis peu la Libye, où des réseaux structurés leur procurent la "marchandise".
Deux fetwas, lancées en Arabie Saoudite et au Maroc, légalisent et légitiment la pédophilie.
En Afghanistan de jeunes garçons sont vendus comme objets sexuels à des hommes, c'est ce qui est dénommé "bacha bazi", (littéralement "jouer avec les garçons" et "bacha beris" (ou basha bereesh), forme d'esclavagisme sexuel. Au Pakistan une gamine de 3 ans a été mariée de force. Au Yémen, Fawzia Abdallah Youssef a été mariée à 11 ans, elle est morte 9 mois après d'une hémorragie alors qu'elle mettait au monde son enfant. Au Maroc, une adolescente s'est suicidée parce qu'elle avait été contrainte d'épouser son violeur.

Tous ces cas, même s'ils paraissent être des cas isolés, constituent néanmoins autant de preuves supplémentaires que l'islam, qui non seulement tolère mais ne condamne pas ces pratiques, n'a rien d'une religion.

H. Le cas Aïcha
Tout d'abord, il faut savoir que les musulmans cherchent à cacher dans des considérations "scientifiques" et historiques le fait que Aïcha ait été mariée à 6 ans et que ce mariage fut consommé quand elle a eu 9 ans.
Voir dans le lien qui détaille leur point de vue:
"Une propagande frappe fort faisant passer le Prophète de l'Islam pour un Pédophile. Suite à un hadith (parole rapporté) comme quoi Le Prophète s'est marié avec Aisha à l'âge de 6 ans, et aurait consommé le mariage à 9 ans. Ce récit est il vraiment fiable ?" : http://www.islamopedia.fr/pages/refutation/propagande/pedophilie-et-islam.html.

Leur argumentation, longue mais finalement pas très détaillée, n'est surtout pas convaincante. Car en premier lieu, elle remet en cause le verset 65.4 du coran :
"Si vous avez des doutes à propos (de la période d'attente) de vos femmes qui n'espèrent plus avoir de règles, leur délai est de trois mois. De même pour celles qui n'ont pas encore de règles. [...] Il est bien question de femmes qui n'ont pas encor de règles". Quiconque émet un doute ou remet en cause un quelconque verset du coran apostasie l'islam et risque donc la mort.

Dans un second lieu, leur argumentation remet en cause aussi les hadiths, ce qui est considéré aussi comme une forme d'apostasie et est donc punissable de mort. De très nombreux hadiths laissés par les plus grands ulémas (al-Bukhari, Abu Daoud, Muslim, al-Tirmidhi) attestent les faits et ne laissent aucun doute sur son âge, sur le fait qu'après son mariage elle jouait encore à la poupée et sur le délai d'attente de 3 ans avant consommation du mariage.
Mais je voudrais surtout mettre l'accent sur une pratique sexuelle particulière qui nous amène à considérer l'islam véritablement comme une secte : la mufa?khathat. Ce que ça veut dire ? "Placer entre les cuisses". Donc, Mahomet avait l'habitude de cette pratique durant les 3 années où il a cohabité avec Aïcha sans la déflorer. C'est d'ailleurs le Comité permanent pour la recherche scientifique qui le dit:
" A la question, « Quel est l'avis des savants [sur le mufa?khathat] puisqu?il est bien connu que le Prophète, la paix et la prière d'Allah soient sur lui, a également pratiqué le « placer entre les cuisses » sur Aicha, la mère des croyants, qu'Allah soit satisfait d?elle », le Comité a effectué des recherches approfondies et a émis cette fatwa :
" Après avoir soigneusement étudié la question, le comité a donné la réponse suivante: "En ce qui concerne le prophète, la paix et la prière d'Allah soient sur lui, plaçant son membre entre les cuisses de sa fiancée Aicha. Elle avait six ans et il ne pouvait pas avoir de rapports sexuels avec elle à cause de son jeune âge. C'est pourquoi le Prophète plaçait son membre (pénis) entre ses cuisses et l?y frottait doucement, l'apôtre d'Allah avait le contrôle de ses membres [d? homme] comme aucun autre croyant ... ».
Remarquez les formes de déférence qu'ont les musulmans pour Mahomet, même quand ils évoquent les pratiques les plus dégoûtantes, les plus scabreuses ! Quel Saint Homme ! Quel Grand Prophète !
Remarquez aussi qu'ils admettent ce qu'ils niaient avec force : Aïcha avait bien 6 ans lors de son mariage et 9 ans quand Mahomet l'a déflorée ! Falsificateurs pris à leurs propres pièges.

Des pratiques spécifiques aux gourous, on est bien loin de l'idée qu'on se fait habituellement d'un "Prophète", d'un "Messager de Dieu".
Voilà, musulmans, le culte qu'on vous a mis dans le crâne, qu'on vous a imposé dès votre naissance, et qu'on vous a présenté comme Vérité Universelle.
Je ne prétends pas la détenir, la vérité, je vous dis seulement : à vous de réfléchir, de chercher à savoir et éventuellement de m'apporter la contradiction.

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[center]Nous ne pouvons pas pousser plus !... ll doit avaler le reste ![/center]
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