Lucien Rebatet - Les tribus du cinéma et du théâtre


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Lucien Rebatet - Les tribus du cinéma et du théâtre

Des désastres financiers, un abaissement calculé de la sensibilité et du goût français, tel est le bilan de l’activité juive à la scène et à l’écran. On peut en croire le plus mordant et le mieux informé de nos critiques.


CHAPITRE PREMIER
COMMENT LES JUIFS ONT EU LA VOCATION DU CINÉMA

Je vais aborder ici l’un des chapitres les plus classiques, les plus ahurissants aussi de l’invasion juive en France. Pour montrer avec une clarté suffisante les étapes de cet incroyable fléau, il est nécessaire, je crois, de déborder un peu le cadre de cette collection. Le cinéma est essentiellement international les Juifs qui l’ont saccagé chez nous appartenaient à l’espèce la plus insaisissable, la plus vagabonde. Il faudra franchir de temps à autre les frontières de notre pays pour bien découvrir la trame de leurs méfaits.
Le cinéma a vu le jour en France. Ses précurseurs s’étaient nommés Étienne Marey, magnifique chercheur au nom trop peu connu, Émile Reynaud, Démeny, Le Prince. Au printemps 1895, les frères Auguste et Louis Lumière faisaient breveter le premier appareil de projection, et donnaient en décembre suivant, boulevard des Capucines, la première représentation publique de cinéma, devançant de six mois Edison qui poursuivait en Amérique des études parallèles aux leurs.
On ne doit pas oublier non plus que deux autres pionniers de la photographie animée qui travaillaient à cette époque aux Etats-Unis s’appelaient Eugène Lauste, Parisien de Montmartre, et Jean-Acmé Le Roy, descendant d’émigrés français. Les premiers vulgarisateurs de la découverte, en même temps scénaristes, metteurs en scène, comédiens, opérateurs et exploitants de films ont été Charles Pathé et Léon Gaumont. Le premier artiste véritable du cinéma fut le délicieux bricoleur-poète Georges Méliès, créateur du premier studio et d’innombrables et féeriques truquages. Le premier commanditaire de films fut un honnête industriel du nom de Grivolas, offrant un million à Charles Pathé, qui avait débuté dans des baraques de fêtes foraines.
Jusque-là, nous n’avons été qu’entre Aryens. Dans leur Histoire du Cinéma1, si vivante et si prodigieusement documentée, Maurice Bardèche et Robert Brasillach nous ont fait le tableau le plus pittoresque de l’entrée du Juif dans le « septième art »

La chose se passa en Amérique aux alentours de 1900. Il y avait dans les ghettos de New-York et de Chicago quelques petits Juifs du nom de Marcus Loew, Adolphe Zukor, William Fox, Cari Laemmle nomades débarqués d’autres ghettos obscurs de l’Europe orientale ou des impasses les plus sordides de Withechapel. Ils étaient tous fripiers, brocanteurs ou revendeurs de fourrures maquillées, plus ou moins receleurs ou carambouilleurs. Ces faméliques vagabonds étaient prêts à n’importe quoi. Ils n’avaient rien à perdre, ni réputation ni fortune. Ils tenaient l’Amérique pour la terre de tous les miracles. Avec les bénéfices de quelques petites filouteries et quelques centaines de dollars d’emprunt, ils se jetèrent frénétiquement sur la nouvelle découverte.
On a beaucoup parlé de leur hardiesse. Le mot d’astuce conviendrait mieux. Les Lumière, Edison considéraient au plus leur admirable invention comme une curiosité scientifique, intéressante sans doute pour les laboratoires, mais dont le succès de spectacle serait bien vite épuisé. Edison, il est vrai, devait revenir de son erreur et défendre ses prérogatives avec une âpreté au gain fort remarquable. Mais les brocanteurs juifs étaient déjà solidement installés dans la place, plusieurs fois millionnaires et maîtres des premiers « circuits » de salles obscures.

Une vingtaine d’années plus tard, au lendemain de la grande guerre, le cinéma est devenu une des premières industries du monde.
L’Amérique y tient la tête de très loin. Les petits Juifs, aux machinations toujours un peu irrégulières, ont pris le chemin du Far-West pour fuir les hommes de loi. Le plus marmiteux d’entre eux s’est fixé dans un misérable village de Californie dont l’univers entier connaît maintenant le nom : Hollywood.
Pendant l’interminable tuerie européenne, l’Amérique a travaillé à tour de bras, connu dans tous les domaines un étonnant essor. Le cinéma a suivi le mouvement.
Il a trouvé, sur le plan commercial, son organisation définitive. A la base, la production, qui réunit les capitaux, engage les metteurs en scène, leur donne les moyens techniques de réaliser les films. Puis, la distribution ou location, qui loue les films aux directeurs de salles. Enfin, l’exploitation, c’est-à-dire tout l’ensemble des salles de projections.
Dans les grandes firmes américaines, telle que la Paramount de l’ex-regrattier Zukor, associé à un autre Juif, ex-impresario en faillite, J.-L. Lasky, tous ces organismes ne font qu’un. Le producteur possède ses studios. Il distribue lui-même les films qui en sortent à ses salles réparties sur tout le continent.
Ce système est d’une remarquable cohésion. Il a fait ses preuves. Si le cinéma est né dans les laboratoires de France, c’est à Hollywood qu’il a grandi, qu’il a conquis son autonomie à la fois d’industrie et d’art, que sa technique s’est prodigieusement développée et perfectionnée. Mais il serait tout à fait puéril et sommaire d’en conclure que le succès incontestable du cinéma américain a été l’oeuvre de « bons » Juifs, cependant que nous n’héritions que des « mauvais » Les Juifs promènent partout les vices de leur race. Hollywood est marqué de toutes leurs tares, et on en reparlera ici.
Il est symbolique d’observer que la première tribu juive du cinéma n’apportait d’autre contribution que son ingéniosité commerciale. Les Aryens avaient créé. Les Juifs accouraient derrière

eux pour exploiter leur travail. Ce mot d’ « exploitation », si plein de sens en la matière, est du reste entré comme on vient de le voir dans le vocabulaire quotidien du cinéma.
Les Zukor, les Laemmle, célébrés par Israël comme des pionniers géniaux de l’écran, n’ont jamais tourné de leurs mains un seul mètre de pellicule, écrit une seule ligne de scénario, dirigé de leur voix le moindre comédien. Mais ces intermédiaires nés surent à merveille acheter le talent des autres, organiser autour de lui une publicité fracassante, et ouvrir boutique pour le montrer aux clients.
Il serait absurde de prétendre dissimuler tout ce que le cinéma doit au demi-juif Charlie Chaplin.
On n’a jamais songé à nier qu’un Juif puisse avoir du génie, surtout lorsque dans ses veines le sang chrétien parvient - bien rarement il est vrai - à corriger l’hérédité de sa race.
Mais il ne faudrait pas davantage que Chaplin nous fît oublier toute la pléiade des réalisateurs de l’époque héroïque, ceux dont les images assurèrent le triomphe du cinéma américain, et qui tous étaient des chrétiens de vieille souche : Griffith, Ralph Ince, Van Dyke, Clarence Brown, Frank Borzage, Stroheim, John Ford, de Mille, Howard Hawks.
Tous ces hommes ont été aidés par des dizaines de milliers de comédiens, de techniciens, d’ingénieurs, d’administrateurs de leur race. L’organisation, les méthodes de travail que l’on admire tant à Hollywood sont des créations typiques de l’esprit yankee.
Il n’existait également, jusqu’à la dernière guerre, aucune commune mesure entre les conditions économiques des Etats-Unis et celles du vieux continent. La circulation monétaire y avait une intensité inconcevable pour nous. La malfaisance d’une opération de finance juive s’en trouvait nécessairement diminuée. Disons que le virus se diluait plus ou moins, qu’il était mieux supporté par un corps social combien plus jeune et actif que le nôtre.
L’importance industrielle du cinéma fut aussi reconnue aux Etats-Unis, encore trop tard pour fermer la porte à bien des forbans, mais beaucoup plus vite sependant que chez nous par ce qu’on appelle les gens sérieux : banquiers, commanditaires, businessmen », capables d’apporter par tranches énormes le fameux « argent frais » dont rêvent tous les producteurs du monde, mais n’ayant aucunement l’habitude de placer des dollars à fonds perdu et tous de taille à faire respecter leurs exigences et à surveiller même les manoeuvres d’un M. Zukor.
Les Juifs californiens ont donc pu se livrer entre eux ou ligués contre les chrétiens à des guerres féroces à coups de millions, conduire des spéculations et des escroqueries auprès desquelles MM. Natan-Tannenzaft eux-mêmes ne sont que de vulgaires joueurs de bonneteau : cela n’a encore jamais été mortel pour Hollywood, cela n’a encore été que des tempêtes passagères dans le gigantesque océan de dollars du cinéma américain.
Si l’on considère du reste cette montagne d’or et le nombre très petit en somme d’oeuvres durables et belles qu’elle a permis de créer, on s’indigne et l’échec d’Hollywood apparaît. Hollywood, avec tous les talents, toutes les beautés, toute la science auxquels il commande aurait pu mille fois plus ou bien coûté mille fois moins si le Moloch juif, insatiable et stérile, ne s’était taillé une part monstrueuse dans ses trésors.


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