Louis Beam - Le Multiculturalisme


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Louis Beam - Le Multiculturalisme

Outil pour diviser pour mieux régner
Introduction pour les novices

Aucune nation ne naît multiculturelle. Le multiculturalisme est une situation artificielle autant que malsaine qui ne peut affecter que les États en déclin général. Un État multiculturel porte au plus profond de lui les germes d’une future destruction nationale.
Toutes les nations multiculturelles aboutirons à un état de délabrement politique, moral, économique et social. L’avidité et la corruption caractériseront le gouvernement ainsi que les mesures oppressives dirigées contre les citoyens. Le mensonge et la tromperie seront le fond de commerce des médiats, des politiciens et des institutions éducatives. Tels sont les indicateurs de l’avènement du multiculturalisme.
Dans les temps modernes, le multiculturalisme est institué du haut vers le bas comme un outil de la haute classe dirigeante et utilisé pour pousser un ou plusieurs groupes raciaux ou ethniques contre un autre. Le chaos culturel qui s’ensuit sert les desseins politiques, les objectifs économiques et les besoins de puissance des élites dirigeantes et de leurs commanditaires. Cette technique a été développée par les idéologues marxistes qui ont utilisé le multiculturalisme en Russie pour diviser et vaincre la résistance à l’établissement d’un État communiste. Le résultat final de leur prise de contrôle réussie fut l’assassinat de trente millions d’êtres humains dans la seule Union soviétique. Beaucoup plus ailleurs.
Les mêmes cabalistes internationaux qui ont soutenu Lénine, Trotzky et Staline comme chefs multiculturels de l’Etat soviétique à partir de leurs établissements bancaires de New York, soutiennent de la même façon les chefs multiculturels des États-Unis, du Canada et d’Europe aujourd’hui. Un réseau interconnecté de fondations telles que Ford et Carnegie, d’empires bancaires internationaux tels que Rockefeller et Rothschild, et d’organismes gouvernementaux qu’ils contrôlent fermement travaillent en tandem avec les relais de la propagande contrôlée comme le New York Times, CBS et Hollywood, pour promouvoir, favoriser et encourager le multiculturalisme aujourd’hui. Bien que les exemples utilisés dans cet essai traite principalement des États-Unis, le même processus avec les mêmes méthodes sont employés ailleurs. C’est par là une preuve prima facie d’une cabale qui favorise le multiculturalisme comme un outil pour atteindre ses objectifs.
Le multiculturalisme est utilisé comme un marteau pour forger les peuples dociles qui composeront les États obéissants du Nouvel ordre mondial. Comme arme de guerre politique moderne, le multiculturalisme a peu d’équivalents, ce qui explique son utilisation actuelle contre toute l’Europe occidentale, les États-Unis, le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Le morcellement délibéré de ces nations et la perte de l’identité nationale et de projet qui aboutit à des groupes politiques en conflit sert de tremplin à un gouvernement mondial. Et qui donc composera ce gouvernement mondial ? Une classe dirigeante consistant en une « hiérarchie économique » remplacera la « hiérarchie naturelle » de la philosophie du XIXe siècle. Une force qui considère les pays et les gens qui y vivent d’abord comme des cibles économiques à exploiter, et ensuite comme des cibles militaires devant être vaincues si elles résistent.
Il ne faut pas se laisser abuser par l’apparence trompeuse des gogos enthousiastes de gauche qui sont le plus souvent, mais pas toujours, considérés comme les porte-parole de la splendeur du multiculturalisme. Les partisans libéraux du multiculturalisme ne sont rien d’autre que des parasites opportunistes à cheval sur le dos d’un champignon social attaquant le corps politique. Puisque certains libéraux incohérents ont été les porte-parole du multiculturalisme, ils ne devraient pas être considérées comme représentant les principaux courants libéraux, pas plus que ne devraient l’être de soi-disant conservateurs tels que Bob Dole et Newt Gingrich parlant au nom des constitutionnalistes et des populistes. Le véritable instigateur, l’élite invisible qui promeut le multiculturalisme telle une arme de guerre, sont tout sauf libéraux, progressistes ou démocratiques. Au contraire, ce sont des tyrans sociaux mondialistes qui convoitent plus de puissance, plus de richesse, et plus de contrôle sur les gens – ils se moquent complètement de l’opinion de ceux qu’ils veulent gouverner.
Les plans des élites prévoient un gouvernement mondial dictatorial composé d’États fédérés par la force, qui, à proprement parler, sont des États policiers sans frontières. L’Organisation des Nations unies servira de vitrine commerciale et de visage public à ceux qui dans les coulisses manipulent les événements mondiaux. Leur projet économique est une plantation mondiale de travailleurs supervisés par des sociétés transnationales qui ne se soucient pas plus des droits de l’homme de ceux qui produisent leurs produits ou services que Staline de ses travailleurs misérables. Les États vassaux devront produire les biens et s’assurer de l’obéissance de leurs sujets en considérant toute opposition à l’État policier sans frontières comme du terrorisme. C’est ainsi que se dérouleront les meilleures années. Dans les mauvais périodes, quand les sociétés multinationales élitistes seront incapables de maintenir le contrôle, la puissance militaire de l’OTAN sera utilisée pour imposer l’obéissance par des États non-alignés.

Méthodes utilisées et leur effet

Tout comme les publicités télévisées sont faites par ceux qui profiteront de leur diffusion, le multiculturalisme est favorisée dans un pays par ceux qui entendent tirer profit de son acceptation.
Ceux qui prônent le multiculturalisme sont appelés mutliculturalistes et se trouvent être généralement de ceux qui possèdent le moins de culture personnelle. Comme un arbre qui meurt perd ses feuilles et est attaqué par les champignons et les vers de la décomposition, ainsi est une nation minée par les multiculturalistes. La culture dominante est attaquée de toutes parts. Ce n’est pas tant un résultat de la malignité qu’une nécessité. Par la diffamation, le nivellement et l’affaiblissement de la culture dominante, un environnement est créé pour les troubles sociaux, politiques, économiques qui produisent le changement qui bénéficiera aux promoteurs d’un État multiculturaliste. Si le gouvernement et les médiats de masse mettent en avant sans relâche les questions de race, de sexe, et de diversité plutôt que les vrais problèmes qui devraient être abordés, il y aura une division croissante de la société dans le même sens. C’est exactement ce que les partisans du multiculturalisme veulent.
L’instabilité sociale, causée par une érosion constante des normes et des valeurs, couplée avec une ruée sur des opportunités économiques raréfiées par l’affrontement des groupes ethniques, produit exactement l’aliénation et le conflit nécessaire pour la mise en place d’un État multiculturel. En outre, l’absence de normes et de valeurs communes conduit à la désorganisation individuelle, qui entraîne un comportement asocial. C’est le cadre vital d’existence d’un État multiculturel. En un mot : l’anomie.
Comme outil politique, le multiculturalisme a plusieurs applications. Il est utilisé pour empêcher un consensus national parmi l’électorat. La confluence de vues divergentes sur la vision de la vie, les cultures, les croyances, les religions, les habitudes ethniques, etc., alimente une rivière tourbillonnante de mécontentement que le multiculturaliste chevauche. C’est une méthode parfaite pour s’assurer qu’il ne puisse y avoir à l’avenir d’entente, d’unité, et un désir de destin commun parmi les gouvernés. Le multiculturalisme représente une forme de base du « diviser pour mieux régner », au profit du gouvernement corrompu et ses commanditaires.
Le multiculturalisme est également un outil financier utilisé pour niveler socialement et économiquement une population ciblée. Lorsqu’il est mis en oeuvre, il conduit en fait à une bataille pour les ressources qui se raréfient autant que les opportunités économiques, avec un gouvernement favorisant le travail bon marché. Un flux continu de travailleurs pauvres est assuré grâce à l’immigration (légale et illégale) qui, en travaillant pour de moindres rémunérations, entraîne sans cesse les salaires vers le bas. Pour la grande majorité des citoyens le niveau de vie n’augmentera pas, mais, au contraire, diminuera constamment.
En règle générale :
Le degré de multiculturalisme dans une société est directement proportionnel à la corruption au sommet du système politique et inversement proportionnelle à l’unité nationale.
En d’autres termes : le multiculturalisme aura réussi autant que le pays aura échoué.
Le multiculturalisme peut en outre être utilisé comme « outil de transition » pour faire passer une population ciblée d’une forme de gouvernement à une autre. Quand une situation politique de cupidité, de corruption massive, et la divergence des objectifs est couplée à une condition sociale de drogue, de violence et de mécontentement, il existe ainsi le parfait environnement pour un changement de gouvernement vers un système qui sert au mieux les intérêts à long terme de l’élite dominante. Observer qu’à la fois le problème et la solution sont fournis par les mêmes personnes permet de comprendre pourquoi la CIA importe quelque cent milliards de dollars de cocaïne et autres drogues aux États-Unis. Cela explique dans le même temps que le FBI, l’ATF*, mais aussi, des agences fédérales gouvernementales plus secrètes sont impliqués dans le terrorisme intérieur ou sa dissimulation. Dès lors, ce que l’on croyait à tort être des événements indépendants apparaissent avec leur fil conducteur et leur but communs.
Dans le milieu délétère du multiculturalisme existe la possibilité d’une propagande pour rééduquer le peuple en une entité plus malléable. Une population ciblée sera façonnée mentalement par de nouvelles formes d’éducation publique dans les écoles, l’endoctrinement des médiats et par les discours des élites. Ainsi placé dans un creuset de nécessité économique et de pression sociale, les citoyens libres deviennent des masses découragées, s’adaptant et acceptant les changements fondamentaux de l’évolution nationale comme une solution de survie. Pour les réticents, la soumission par la force s’ensuivra sous forme de sanctions juridiques déguisées en loi anti-drogue, anti-terrorisme, ou anti-haine. Tout cela conduit vers ce que George Orwell a si bien prédit dans son livre 1984 :
« Il est à peu près certain que nous entrons dans une ère de dictatures totalitaires — une ère où la liberté de pensée commencera par être un péché mortel, avant de devenir une simple abstraction vidée de tout sens. »
On engendre une société dans laquelle ceux qui ont le comportement le plus asocial, le style de vie le plus déviant, ou sont en situation d’échec personnels sont ceux auxquels le gouvernement accorde le plus. Ce n’est pas un hasard ! Ce n’est pas la maladresse du gouvernement, ni n’est une déviance du libéralisme, c’est le résultat d’une préméditation, d’une intention, d’un objectif. Un programme défendu par les deux administrations républicaines et démocrates dont les bailleurs de fonds sont les mêmes. C’est le programme d’un gouvernement qui est tombé définitivement entre les mains des forces du mal. Ne pas reconnaître ce point essentiel conduira à prendre éternellement des chemins détournés, ou blâmer inutilement ceux qui n’ont pas le pouvoir de changer le cours des événements. La colère dirigée contre les libéraux, les Noirs, ou les gens de couleur est gaspillée. C’est la réorganisation du gouvernement du bas vers le haut qui serait productive.
Le multiculturalisme, comme la drogue, est une arme insidieuse. Elle détruit à la fois l’âme et le corps d’un peuple. Tous les liens avec la famille, la communauté et le peuple dans son ensemble sont détruits par ces deux opiacés de l’esprit humain. Les deux sont diffusés par le haut par l’élite mondialiste décidés à créer un ordre mondial dont le pouvoir est tel que ses sujets n’y ont aucun potentiel de résistance.
Par sa nature même chaque État policier naissant cherche à exploiter à la fois la puissance de l’État et le peuple pour sa propre volonté. Lorsque des appels sont lancés au moyen de slogans mystérieux tels que la guerre contre le crime, la drogue, le terrorisme, la haine, la pauvreté, etc. la signification réelle est « abandonnez le pouvoir à l’État et applaudissez au viol de votre liberté ». En résumé : le multiculturalisme est un autre programme conçu pour créer les sujets d’un État policier sans frontières. Lorsque la « guerre contre la drogue » s’ajoute à la « guerre contre le terrorisme », le monde d’Orwell d’une guerre sans fin est réalisé. Ce serait leur monde, leurs ordres ; rien de nouveau : la volonté despotique est aussi vieille que l’humanité elle-même.
L’antithèse du multiculturalisme est la solidarité morale, religieuse et culturelle entre les habitants d’une nation. Croire en lui-même est le bien ultime d’un peuple. Une cohésion qui produit une vision nationale, avec des limites claires de ce qui est acceptable et de ce qui ne l’est pas dans les affaires d’une nation, tout en permettant les différences naturelles entre les individus. Le multiculturalisme comme arme de guerre devient inopérant et est rejeté d’ un tel environnement.
Une première étape nécessaire vers la guérison consiste à examiner la politique, la politique sociale, et la gouvernance issus de Washington avec une nouvelle vision, enfin éclaircie après toute une vie de fausses informations et de tromperies propagées par l’élite dirigeante. Prétendre plus longtemps que les prostitués de la classe politique de Washington, vendus, corrompus, vous représentent vous, ou qui que ce soit d’autre, équivaut à taillader votre propre poignet avec une lame de rasoir. Une attitude autodestructrice peut vous offrir le statut de « classe protégée par le gouvernement » via les lois pour la diversité, mais il ne vous sauvera pas vous, votre famille, ou votre nation.
Les États-Unis, le Canada, et la majeure partie de l’Europe sont gouvernés par des politiciens dont on peut dire au mieux qu’ils sont des hommes de piètre réputation, chacun étant là pour piller l’État. Une chose est claire, la classe dirigeante américaine d’aujourd’hui est beaucoup plus proches du point de vue idéologique d’un gouvernement mondial dirigé par une poignée de privilégiés qu’elle ne l’est du monde de la Révolution américaine ou de la Convention constitutionnelle de 1789. Pourtant, l’esprit de 1776 vit encore sur cette terre. Une fois de plus, la rébellion contre les tyrans et dans l’obéissance à Dieu est en marche. Écoutez attentivement et vous entendrez au loin sonner la cloche de la liberté, appelant ses vaillants fils et ses nobles filles à son secours. Ils ne distinguent ni la gauche, ni la droite, mais seulement la trahison. Et ils n’auront pas peur de répondre à l’appel. Que les tyrans tremblent. Et même si le Ciel doit s’écrouler, que justice soit faite.


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