Herman de Vries de Heekelingen - L'Orgueil juif


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Herman de Vries de Heekelingen - L'Orgueil juif


L'Orgueil juif, petit livre publié en 1938 par la Revue internationale des sociétés secrètes. Herman de Vries de Heekelingen dénonce ce qu’il appelle "l’orgueil racial" et la "politique raciale" des Juifs, tout en rapprochant cette dernière de la "politique raciale" allemande, celle du régime national socialiste :

« Les législations d’Esra et de Néhémie, près de cinq siècles avant notre ère, défendaient tout mélange de sang (…) Esra et Néhémie ont empêché tout métissage ultérieur par des mesures draconiennes (…) On ne peut nier que ces mesures aient été inspirées par des principes raciaux (…) Ce sont les Juifs qui, les premiers, ont pris des mesures tendant à conserver la pureté de leur race, pour autant qu’on puisse appeler "pure" une race aussi mélangée dès son origine (…) Ou bien on est partisan d’une "politique raciale", ou bien on y est opposé. Si l’on critique le racisme allemand, on doit également être adversaire du racisme juif.





Introduction

« Sommes-nous un peuple modeste ? Il me semble qu’il est difficile, même à un Juif qui est aveugle pour tout ce qui concerne la question raciale, de s’obstiner à prétendre que nous sommes un peuple modeste ».

Samuel Roth


Pour expliquer ce qui m’a amené à analyser les manifestations et les conséquences d’un orgueil particulier au peuple juif, je rappellerai en quelques lignes ce qui s’est passé de la publication de mon livre précédent dans lequel j’avais essayé d’étudier impartialement la question juive, en utilisant presque uniquement des sources et des documents juifs.
Après avoir étudié ce qui nous sépare des Juifs, j’énumérais les tentatives stériles pour trouver une solution au problème juif. Enfin, dans la troisième partie du livre, j’exposais les résultats obtenus par le sionisme ; résultats auxquels je ne ménageais pas les éloges. Du côté non-juif, cette dernière partie fut souvent critiquée, parce qu’on estimait la solution proposée trop favorable aux Juifs. Du côté « juif, mon livre fut accueilli par une bordée d’injures : « poison dangereux — citations franchement falsifiées ou même inventées sans vergogne — pamphlet sans envergure, sans originalité — collection de faux et d’affirmations gratuites — un malheureux livre — un monument de haine — un livre infâme », et j’en passe.
Pourquoi ce débordement d’insultes, sans que leurs auteurs aient jamais apporté l’ombre d’une preuve ? Pourquoi ?
J’ai attribué d’abord ce vocabulaire inusité au fait que les races orientales ont volontiers un langage plus pittoresque que le nôtre ; mais cela n’explique pas la mauvaise foi et le manque de scrupules dans des discussions historiques. En examinant de plus près ces attaques, je découvris que toutes avaient une même origine : l’orgueil blessé, blessé du fait qu’un non juif avait osé critiquer certaines tendances juives. C’est ce qui m’amena à étudier de plus près l’orgueil propre à la race juive. Le résultat de mes recherches est exposé dans les pages qui suivent.
Une appréciation basée sur des considérations personnelles n’ayant pas la valeur d’une conclusion basée sur une documentation juive, je me réfère exclusivement à des auteurs juifs. Pour permettre au lecteur le contrôle des citations, j’ai fait précéder, dans les références bibliographiques, les noms d’auteurs juifs d’un astérisque ; les noms de Juifs baptisés sont précédés d’une croix.



Extrait page 35

Les non-juifs se prosterneront devant le peuple de Dieu dans les chaînes comme des captifs ! Il ne s’agit pas ici du langage fleuri d’un oriental, mais nous nous trouvons bel et bien en présence de l’expression de la pensée intime du peuple juif. Il a le plus profond mépris pour tous ceux qui ne sont pas membres du peuple élu, du peuple-roi. Il ne connaît d’expression plus méprisante que celle de goy. Rien de plus bas, de plus impur, de plus vil que le goy.
Goy signifie non-juif ; il est synonyme de nochri (étranger, païen) et d’akum, qui originairement signifiait « adorateur des étoiles ». Akum était formé des initiales de quatre mots : Abde Kochabim U Mazzaloth, serviteur des étoiles et des signes du zodiaque. Primitivement, le Talmud désignait tous les non-juifs par le mot goim (pluriel de goy). La censure intervint au moyen-âge à cause des blasphèmes contenus dans le Talmud. La congrégation de l’Index ordonna, en 1590, de remplacer le mot goy, partout où il se référait aux chrétiens, par le mot akum (adorateur des étoiles). Elle croyait ainsi changer les tendances blasphématoires de certains passages, en les appliquant aux adorateurs des étoiles au lieu de les appliquer aux non-juifs, en général, et aux chrétiens, en particulier. C’est le contraire qui arriva : la signification originaire de la phrase n’était pas oubliée et akum devenait un synonyme de goy. Bien plus, restreignant la signification de ces deux mots, on les traduisit par « chrétien ».
Les Juifs excellent dans l’art d’embrouiller les choses, lorsqu’ils se trouvent devant une cause indéfendable ; ils ont donc profité de cette confusion pour prétendre que le texte talmudique, mille fois cité : « Le meilleur des non-juifs, tue-le », relevait d’une traduction impropre du mot goim.
Selon le rabbin Simon Lévy, il s’agirait là : « des idolâtres de ces païens sans foi ni loi, corrompus jusqu’à la moelle, non encore moralisés par la religion du Christ ». Ces affirmations sont reconnues sans valeur par des autorités juives comme le savant rabbin Joseph Bloch (connu par ses attaques contre les publications d’Auguste Rohling) qui dit que le mot goy se réfère à tous les non-juifs sans exception. Malgré cela, les Juifs qui désirent nous faire avaler des fables, trouvent toujours des non-juifs à leur dévotion pour diffuser leurs inexactitudes ; ainsi M. Oscar de Férenzy accepte et propage l’explication du rabbin Lévy, sans user de la moindre critique.


Herman de Vries de Heekelingen - Biographie
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