Francophonie et frères d'Alliance - Ouvrages de Francis Parkman


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Francophonie and Alliance brothers
Francophonie et frères d'Alliance
SACR - Aldebaran Video

« La civilisation espagnole a écrasé l'indien ; la civilisation anglaise l'a méprisé et négligé ; la civilisation française l'a étreint et chéri » Francis Parkman, historien Américain.

Jean Marc Soyez dans Historama disait : « Car il ne faut pas oublier que de tous les étrangers qui ont abordé ou aborderont en Amérique, les Français sont les seuls à y avoir été invités par les autochtones ».

Tous ces héros oubliés dont les noms sonnent encore à nos oreilles : St Castin, Beausoleil, Dumas, Magdeleine, Piskaret, d'Iberville, Cadillac, Tsohahisen, La Vérandrye, Boishébert, Kateri Tekakwitha, Langy,... Et toutes ces victoires, La Monongahela, Corlar, Dover, William Henry, Carillon ou Ticonderoga et Sainte Foy... Comment ne pas rappeler Pontiac, chef Ottawa, allié des français qui failli, en unissant les tribus Amérindiennes après le Traité de Paris, mettre les anglais à la mer !
N'oublions pas les Illinois, dont toute la tribu désirait embarquer vers la France, plutôt que de rester face aux britanniques. Ils savaient leur fin proche après le départ des français... Un vieil Ottawa dans les reportages de Kevin costner disait : « Avec les français, nous n'avions pas de problème, nos filles se mariaient avec eux... »



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Francis Parkman
La prise de Québec et ses conséquences

France and England in North America :
francis_parkman.jpgPioneers of France in the New world
The Jesuits in North America in the seventeenth century
La Salle and the discovery of the Great West
The Old Régime in Canada
Count Frontenac and New France under Louis XIV
A half-century of conflict
Montcalm and wolfe
The conspiracy of Pontiac
The Oregon trail


Charles Haight Farnham - A life of Francis Parkman



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La prise de Québec et ses conséquences
Traduction d'une partie de l'ouvrage "Montcalm and Wolfe" par Ulric Barthe


Un mot au lecteur

La publication de ce volume est le fruit de réflexions diverses, où le patriotisme avait naturellement sa large part. J'ai cru me rendre utile à la jeunesse franco-canadienne en lui fournissant l'occasion de lire dans sa langue quelques chapitres de l’œuvre impérissable de Francis Parkman.
Voici un homme qui n'était ni de notre pays, ni de notre race, et qui a consacré à vrai dire toute sa vie à l'étude de l'histoire du Canada français, dont il s'était épris tout jeune, dès l'école. Le fruit de ses laborieuses et passionnantes recherches forme la matière de douze forts volumes de luxe, aujourd'hui répandus dans toutes les bibliothèques du continent. Une couple seulement ont été traduits et publiés en France ; ici, au Canada, personne n'avait encore tenté ce travail. Les pages qu'on va lire sont peut-être un commencement de réparation de cette indifférence.

Francis Parkman, né à Boston en 1823, y est mort en 1893. Dès sa jeunesse, à Harvard, il se destinait et s'entraînait aux études historiques, et s'assignait un champ jusque-là incomplètement exploré : celui des luttes des deux plus grandes races d'Europe pour la suprématie dans l'Amérique du Nord. Au sortir de l'école, il allait séjourner parmi les indiens du Maine, et plus tard vivre pendant cinq mois de la vie nomade des Dakotas de l'Orégon, pour s'imprégner de ce que Pierre Loti appelle l'âme des choses, pour s'acclimater au milieu où s'étaient jouées les parties héroïques qu'il allait raconter. Aussi en le lisant croit-on percevoir le bruissement et les âpres parfums particuliers à la forêt canadienne, le grondement de nos eaux géantes, le langage mystérieux des bois, pistes empreintes sur la neige ou dans les jonchées de feuilles mortes, cris d'animaux souvent cris de guerre, signaux bizarres où le coureur de bois de jadis lisait comme dans un livre.

Parkman fouilla les bibliothèques, les archives, des deux continents ; lui protestant, il s'enferma dans les monastères pour mieux se rendre compte et se pénétrer du mysticisme intrépide qui anima les premiers missionnaires du Canada français ; aussi l'un de ses plus admirables ouvrages est-il le volume qu'il a consacré aux Jésuites dans l'Amérique du Nord. Son livre sur Lasalle, Marquette et les autres découvreurs de l'Ouest a les allures d'une épopée antique. Enfin, son œuvre, d'une vaste envergure et profusément documentée, embrasse tout le régime français en Amérique, depuis les exploits des pionniers français, Dominique de Gourgues en Floride, Samuel de Champlain au Canada, jusqu'à la conspiration de Pontiac.

J'y ai choisi quelques-unes des scènes finales de ce qu'on peut appeler avec raison l'époque romantique de l'histoire du Canada. Ce n'est qu'un fragment, formé de quelques chapitres extraits du Montcalm & Wolfe de Parkman. Là se révèle l'art consommé qu'a apporté l'historien dans la disposition et le plan de son travail. Il se trouve que ces pages détachées, prises un peu au hasard, se lisent comme le roman le mieux mené. Au premier plan, l'exposition du sujet ; puis la bataille des Plaines d'Abraham amenant la reddition de Québec ; la bataille de Sainte- Foy suivie de la reddition du Canada ; et enfin, comme épilogue, le Traité de Paris et la fin de la guerre de Sept Ans, avec leurs lointaines conséquences sur l'avenir du Nouveau Monde.

Le Traducteur.



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Le Dernier des Mohicans
1992

En 1757 dans l'Etat de New York, alors que la guerre fait rage entre Français et Anglais pour l'appropriation des territoires indiens, un jeune officier anglais, Duncan Heyward, est chargé de conduire deux sœurs, Cora et Alice Munro jusqu'à leur père. Ils sont sauvés d'une embuscade par Hawkeye, un frontalier d'origine européenne, élevé par le Mohican Chingachgook et son fils Uncas. Les trois hommes acceptent d'escorter les deux jeunes filles jusqu'à leur destination...




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David Wilcock - Investigations sur le champ de Warren Weston - Father of lies