Aper Jules - Le Trio : Juifs, Francs-Maçons, Protestants


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Aper Jules - Le Trio
Juifs, Francs-Maçons, Protestants


Ils en ont fait du bruit ces faquins de fourberie, tantôt panamistes, tantôt espions déguisés, toujours prêts à livrer la France à ses ennemis, quand ils ne la pressurent pas entre leurs mâchoires de crocodiles.
Depuis de longs mois, que de flots d'encre versés pour démasquer les Scheurer, les Dreyfus, les Reinach, les Naquet et toute leur séquelle !
Le Sénat, la Chambre des députés, les tribunaux civils et militaires, la presse, tout le monde s'en est mêlé ; et, Dieu sait le résultat.
Collé comme une pieuvre à la nation française, le juif ne démordra pas qu'on ne le noie dans ses turpitudes. Il est fort, très fort le juif par ce levier puissant qu'on appelle l'argent; il s'en sert avec une habileté, une constance, un va-tout qui déconcerte le public sur toute la ligne. Il faut le reconnaître pourtant, le juif n'est fort que par notre faiblesse. Pourquoi lui avoir ouvert toutes grandes les portes de la patrie, quand nos pères le tenaient à distance et refusaient de dormir sous le même toit, dans la même enceinte que lui ? Qui a commis ce méfait ?— C'est la fameuse révolution de 93.
Le juif honni, bafoué, méprisé partout, a réussi à se faire accepter, choyer et honorer en France. De par une loi de surprise, il est devenu citoyen français ! C'était son vœu. «Une fois entré dans la place, suivant son instinct naturel, il dépouille ses concitoyens et vend la patrie au plus offrant. Le juif, depuis la ruine de Jérusalem par Titus, n'a plus de patrie. Ce nom si doux à tout cœur bien né sonne mal à l'oreille du Juif-errant.
Condamné à vagabonder à travers les nations du globe, s'il s'arrête çà et là, c'est pour sucer l'or et l'honneur du pays qui l'a laissé planter sa tente sur son territoire. Qu'on le veuille ou non, discuterait-on ce fait pendant des siècles, en fin de compte, il faudra nécessairement admettre avec l'histoire que le juif, inassimilable par instinct, est le pire ennemi des peuples assez légers pour le laisser prendre pied chez eux.
C'est donc une grosse faute commise par les Français, il y a cent ans, que d'avoir essayé de s'assimiler le juif, en lui accordant le droit de cité. Ce qu'il a abusé de cette faveur, on commence à l'entrevoir et l'on se demande comment s'en débarrasser ? ...
De fait, l'opération parait hérissée de difficultés. C'est une herbe, une zyzanie qui étouffe la moisson avant maturité, c'est un chiendent inextricable.
Le juif est partout chez nous: il nous enveloppe et nous étreint. Il est dans l'armée pour la trahir et la déshonorer; il est dans la magistrature pour l'aveulir et la faire mépriser; il dicte ses arrêts comme il a dicté l'arrêt d'un Ponce-Pilate. Il est dans l'école, et l'école est une sentine où l'on ne reconnaît ni Dieu ni diable : on n'y apprend plus guère qu'à tuer, à voler et à polissonner. Il est dans la finance, à la bourse, à la banque, dans le commerce; et les kraks se multiplient de telle façon que la poche contenant le portemonnaie n'est pas même en sûreté.
Le juif est marchand d'occasion en tout et partout : il vend des terrages, des maisons, des chevaux, des bêtes à cornes, des moutons; il vend des habits, des étoffes de coton, de laine, de fil et de soie; il vend des lorgnettes, des pince-nez, des montres, des livres, des ornements de culte. Que ne vend-il pas encore ?
Il accapare l'or, l'argent, le cuivre, les blés, les huiles, le charbon, le bois, la pierre... S'il ne vend pas d'esclaves en Europe, il en ramasse pour les vendre en Asie, en Afrique et dans les îles.
Dans ce trafic abominable de tous les jours, il est aidé matériellement et moralement par le protestant rusé et le franc-maçon encanaillé : c'est le trio complet, syndiqué, confédéré, fraternisé. Le protestant taupine; le franc-maçon conspire; le juif vole pour les trois : ce sont là trois larrons en foire.
Comment sortir de là ? Comment échapper à ce trio formidable ? — Par la défense bien organisée dans une lutte sans merci.
La lutte pour la vie est de tous les jours, de tous les instants. En face de l'ennemi commun, se croiser les bras, rester dans l'inertie, dans l'indifférence, ce serait un crime de lèse-patrie, ce serait abdiquer sa dignité d'homme; en France, ce serait n'être pas français.
Nous ne resterons donc pas inactifs, nous Français, de bon sang de France: nous lutterons par tous les moyens contre les ennemis de la Patrie ; nous combattrons avec héroïsme, et, s'il le faut jusqu'à la mort. Mieux vaut mourir que d'être esclaves.
Voyons donc à quels ennemis nous avons affaire. Une fois démasqués, nous les aurons, fussent-ils pendus aux nuages, comme disait notre vaillante Jeanne d'Arc.

The Decline and Fall of the Roman Empire Abbés Joseph et Augustin Lémann