Cazalot Georges - Le complexe de Néron


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Cazalot Georges - Le complexe de Néron

Le 28 mai 1987, le quotidien LIBERATION publiait un extrait d'une lettre de lecteur. Aussitôt c’était une immense lever de boucliers, à tel point que Serge JULY, son directeur, devait retirer sous la pression, le numéro de la vente. Money étant Money, il attendait pourtant midi avant de le faire. Le chef du service du courrier, un certain Jean-Marie BARTEL était licencié. Un an plus tard il était encore au chômage.
La presse des Hautes-Pyrénées reprenant LIBERATION ne se faisait pas faute de m'insulter et une feuille de chou hebdomadaire rédigée par un ancien auxiliaire de police passé à la politique, au parti républicain très exactement, titrait sous une photo anthropométrique de police : "CAZALOT, LA HONTE DE LA BIGORRE A ENCORE FRAPPE" Participant à ce moment là au pèlerinage traditionaliste PARIS-CHARTRES, je ne pouvais répondre.
Ma lettre faisait partie d'un lot de 140 expédiées de puis le 1er janvier 1981 aux plus Hautes Autorités Françaises et Internationales, aux médias écrits, parlés et télévisés et à différentes personnalités telles que MM. IKOR, WELLERS, PIVOT, CAUVIN, GALLIBERT, Monseigneur POUPARD... etc. et bien d'autres.
Jusqu'à l'incident du 28 mai, je n'avais reçu personnellement que quatre réponses :

- du Ministère des Anciens Combattants et Victimes de Guerre pour me dire que l'HOLOCAUSTE était un fait acquis et qu'il n'y avait pas à revenir sur cette vérité ;
- de l'Assemblée Européenne qui me précisait que cela ne la regardait aucunement,
- de l'hebdomadaire l'EXPRESS qui m'insultait,
- et, fin 1981, du Ministre de l'Intérieur, Gaston DEFFERRE qui m'envoyait ses sbires pour m'interroger.

Pour la première fois, le 28 mai, je réussissais à percer la cuirasse, sans employer de termes techniques, d'une manière simple avec des moyens simplistes pouvant toucher le plus grand nombre de lecteurs, et surtout de lecteurs moyens.
Je ne suis ni un intellectuel, ni un savant, ni un professeur, ni un historien, je suis simplement un homme simple qui cherche à savoir ce qui s'est passé à défaut de chercher la vérité. Ce qui est terrible d'ailleurs avec la vérité, c'est que lorsqu'on la cherche on la trouve et elle fait très mal. Je m'efforce, même si cela ne vole pas bien haut, si c'est comme le disait BARTEL dans une interview assez mièvre de toucher non pas des intellectuels, mais le bon peuple de France, qui est, même s'il n'est pas très instruit de toutes ces questions capable de faire des additions, des soustractions et des divisions, capable de dire si un chat est un chat ou non.
Voici donc cette lettre dans son intégralité. Mais avant, une mise au point s'impose.

Pour plus d'informations

David Icke William Bramley - The Gods Of Eden