Demachy Edouard - Les Rothchild - 1896


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Les Rothschild : une famille de financiers juifs au XIXe siècle
1ère série - 2ème série


L'origine des milliards - L 'ancêtre - Waterloo - La Bourse de Londres
Nathan Mayer de Rothschild et sa descendance

Les ROTHSCHILD et la Presse - La Branche Française
Rapports secrets de la police générale concernant Salomon, Karl et James ROTHSCHILD - Les ROTHSCHILD contrebandiers
Les ROTHSCHILD francs-maçons

La Presse n'est sous la dépendance que des Directeurs de journaux. Quant à ces derniers, ils sont pour la plupart sous la dépendance des Rothschild, des Établissements financiers et de la Franc-Maçonnerie ce qui est tout un.
Il faut rendre à César ce qui est à César, d'autant plus que, comme ce sont les Directeurs seuls qui passent à la caisse, il est équitable que seuls aussi ils puissent jouir des qualificatifs qu'ils ont mérités.


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On ne présente plus les Rothschild. Pourtant, qui connaît vraiment l’histoire de cette famille, les Mayer, devenue célèbre en prenant le nom de l’écu rouge servant d’enseigne à leur maison ? de leur ascension depuis la petite boutique de prêts sur gage de la Judengasse à Francfort ? des ruses utilisées pour établir leur domination financière sur le monde et sur les puissants de ce monde ? Car, nous dit l’auteur, « une seule famille ne gagne pas des milliards, fût-ce en un siècle, par des moyens purement honorables ». Ayant réussi à obtenir la confiance de Guillaume 1er, électeur de Hesse-Cassel, Mayer Amschel lui a offert ses services pour le commerce de pauvres hères allemands devant servir de chair à canon dans les armées britanniques : « Les landgraves avaient ramassé leur or dans le sang de leurs sujets en se livrant à la traite des Blancs. C’est cet or qui a produit les Rothschild. »

Mais au-delà de l’histoire d’une famille, c’est celle des tractations financières, de l’économie réelle volée aux peuples, de la corruption des élites qui devraient les servir, c’est un système qui nous est conté ; le dessous des cartes, invisible aux innocents et aux honnêtes gens, qui nous est dévoilé, amoral mais licite, car « il n’y a pas dans toute la fortune des Rothschild un seul sou qui n’ait été volé par un truc légal ». Ainsi l’auteur ne s’est pas contenté de nous relater la montée en puissance d’une dynastie, il s’est fait pédagogue et nous explique comment fonctionnent les opérations de Bourse, ce qu’est une vente à terme, ce que sont les bons du Trésor et les caisses d’amortissement, il nous initie « aux mystères des primes et aux innombrables trucs qui servent aux spéculateurs à pomper l’or du naïf public », afin que nous comprenions comment certains peuvent, en toute légalité, amasser dans leurs coffres « l’argent produit par le travail et l’intelligence des autres ». Illustrée par des exemples – emprunts d’État, rumeurs, prises de monopole –, la trame de cette histoire-là dépasse celle des Rothschild et continue, se diversifiant, se complexifiant et s’allongeant encore…


...

Les Rothschild, dont je cherche à raconter l'histoire, représentent, sans discussion possible, L'ÉLÉMENT CAPITALISTE dans ce qu'il a de plus REDOUTABLE POUR TOUTE LA MASSE DU PEUPLE QUI TRAVAILLE.
Les ROTHSCHILD peuvent ACCAPARER et ACCAPARENT et par conséquent font monter les prix des marchandises.
Les ROTHSCHILD ont MAJORÉ la totalité des emprunts auxquels ils ont été mêlés ; donc l'intérêt payé par l’État a été augmenté d'autant, et comme en fin de compte ce sont la masse des travailleurs qui paie l'impôt, ils se trouvent payer de leur labeur, une bonne partie des revenus de cette famille vorace. Ce sont les ROTHSCHILD qui ont présidé à la construction des chemins de fer, et qui ont obtenu de ce chef des intérêts USURAIRES pour leurs entreprises; ce sont eux qui, par l'intermédiaire du juif Raynal ont fait voter les maudites conventions qui nous coûtent si cher.
Donc, encore c'est le PEUPLE qui paie les bénéfices réalisés par les Rothschild dans cette branche d'exploitation.
Quant à la Banque de France, elle sert d'instrument et de succursale à la maison de la rue Laffite ; elle élimine peu à peu de son conseil de régence les HONNÊTES GENS pour les remplacer par des juifs comme Michel Heine (le beau-père de la princesse de Monaco-les-Suicides), financier dont la réputation n'est plus à faire.
Le privilège de la Banque de France a été défendu par le groupe Léon Say, Burdeau, Soubeyran, Denormandie, etc., hommes politiques qui n'ont jamais passés pour de farouches socialistes.
Il me semblait donc, en mon innocence qui est grande, que mes deux livres : " La Banque de France et les Rothschild " , allaient faire un plaisir immense aux partis socialistes qui passent pour avoir, pour principale préoccupation la défense des intérêts du peuple.
Je m'imaginais naïvement qu'en lisant mes bouquins ils allaient s'enthousiasmer.



Pour plus d'informations

Joseph Goebbels is on Minds.com Carlo Mattogno - Curated lies