Jean Drault - L'assassinat du Père Thomas et le Talmud


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Jean Drault (Gendrot Alfred) - L'assassinat du Père Thomas et le Talmud


Le commerce du sang
Une objection peut se poser : puisqu'il ne s'agit que de mettre une parcelle infime de sang, toute symbolique, dans la pâte des Azymes, pourquoi recueillir ce sang à pleines bouteilles ?
La seconde bouteille surtout semble, dans le crime de Damas, n'avoir dû servir aux assassins qu'à se faire pincer plus facilement ! Le domestique du Père n'a pas été tué spécialement pour qu'on pût recueillir son sang, mais pour qu'on l'empêchât d'enquêter et de prévenir l'autorité turque et le Consulat de France. Pourquoi cette bassine sous son cou, comme sous celui de son maître ? C'est qu'abondance de sang ne nuit pas !... On ne peut pas tuer un non-Juif tous les ans ni dans chaque communauté israélite ! A Paris, encore, sur le nombre de crimes, quotidiens, un assassinat rituel peut demeurer inaperçu passer dans la statistique de la semaine et être classé avec tant d'autres dont on ne connaîtra jamais les auteurs.
Mais dans une petite communauté de l'Est ou du Midi, ce serait scabreux. Même dans la grande cité de Nantes, l'an dernier, on a chuchoté et les journaux ont parlé de crime rituel, à propos du cadavre de ce jeune homme trouvé exsangue, au petit jour, sous les billes d'acajou d'un quai de la Loire.
Il faut donc que, là où l'on a pu tuer un non-Juif, le sang serve au plus grand nombre de communautés possible. Il voyage, il est exporté, il est taxé au profit du budget du culte israélite, il se vend très cher.
Peut-être la denrée a-t-elle baissé toutefois, depuis que le sang chrétien coule, en Russie, comme un fleuve intarissable sous le règne du Juif Trotzsky et de ses complices juifs des Soviets. Il est vrai que ces négociants ont le sens du trust et ont pu conserver le niveau des cours.



Pour plus d'informations

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