Fernand Grégoire - La juiverie algérienne


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Fernand Grégoire - La juiverie algérienne

AUX ANTI-JUIFS
L’avouerai-je ? En mettant le pied sur cette belle terre d’Afrique, il y a de cela dix ans, je ne me doutais guère qu’un jour je livrerais au public une brochure antisémitique.
Élevé dans ces grandes idées de liberté, d’égalité, de justice, qui m’ont jeté dans les rangs de l’armée révolutionnaire, je ne pouvais avoir de ressentiment, de haine, de mépris, pour une catégorie quelconque d’individus, fût-ce même pour les israélites.
Entendant journellement accoler à ce nom de juif une épithète peu flatteuse, entendant réclamer, à tout bout de phrase, le retrait du décret Crémieux (1), je protestais, plaidant même la cause des enfants d’Israël, que je n’avais pas encore vus à l’œuvre.
Le bandeau posé sur mes yeux ne devait pas tarder à tomber, me montrant le juif indigène algérien dans toute sa nudité : hypocrite, rapace et voleur, plat devant les forts, insolent avec les faibles, incapable d’une bonne action, si derrière cette bonne action ne se trouve pas une pièce de cent sous.
J’ai pu me convaincre alors, en étudiant nos sémites, que cette tourbe venue du fond de la Palestine, constituait pour notre pays un véritable danger. Danger de toutes les heures, danger toujours grandissant et qui ne peut tarder à nous submerger, si l’on ne se hâte d’élever une digue protectrice.
Ne nous faisons point d’illusions, le pire ennemi de l’Algérie, c’est le juif Le juif qui accapare le numéraire et ne produit rien en échange ; le juif qui ne colonise pas, mais, an contraire, nuit à la colonisation par l’usure — véritable ver rongeur.
Il appartient aux publicistes indépendants, à ceux que l’on n’achète point, de crier bien haut, ce que chacun ici pense tout bas, de combattre au soleil et non dans l’ombre pour plus grand intérêt de, notre Algérie.
Voilà pourquoi la « Juiverie Algérienne » vient de paraître.
Je fais appel à tous mes concitoyens « véritablement » français, pour me soutenir dans cette lutte contre l’ennemi commun.
Il ne s’agit point de haine de race ou de haine religieuse. Chacun, dans ce pays, où tant de religions se coudoient, où les consciences sont plus libres que partout ailleurs, passe avec indifférence devant l’Église, la mosquée ou la Synagogue.
Non ! le but est d’obtenir le retrait du décret Crémieux, qui a donné tout l’opposé des résultats attendus.
En effet : On voulait franciser les juifs, et les juifs se sont plus que jamais éloignés de nous.
Entre nos familles et les leurs s’élève toujours le rempart infranchissable de la religion : comme toujours leur race ne se mêle à aucune autre race ; ils ne s’allient qu’entre eux ; ils constituent un État dans l’État, ayant son gouvernement, ses institutions, ses finances, ses impôts que perçoit le Consistoire. Ils ont leur cimetière dont ils vendent les parcelles arbitrairement ; ils ont leurs mœurs à eux et pas de patrie ; ils ont des coreligionnaires et pas de concitoyens.

Donc, arrière peuple de Jéhovah !

Juifs, vous ne pouvez conserver ce titre de citoyens français ; Vous n’avez rien fait pour le mériter.
Français, haut les cœurs et en avant ! le succès est au bout !

Fernand Grégoire.


LE JUIF
Égoïsme et judaïsme sont synonymes.
Toute l’histoire sémitique se résume en effet dans ce mot égoïsme.
Égoïsme social qui explique la puissance vitale du groupe hébraïque lequel, comme les courants sous-marins, a traversé l’océan des peuples sans être absorbé. Ne cherchez pas ailleurs le secret de la prospérité croissante de l’Angleterre et de l’Allemagne, non plus que les causes de l’affaiblissement graduel de la France.
Le juif, en effet, qui, depuis dix mille ans, gonfle son parasitisme de tous les sucs de l’arbre social dont il est le lierre tenace, le juif a trouvé sur sa route la nation réputée la plus généreuse, la plus chevaleresque du monde ; il s’est attaché à ses flancs et, lentement, patiemment, sournoisement, l’a envahie, l’a possédée, l’a dépouillée, l’a gangrenée.
C’est dans les moments de crise sociale qu’on le voit apparaître, comme les corbeaux après la bataille, pour se repaître de la chair pantelante des cadavres. C’est avec le sang de 93 que la France le baptise français, c’est sur les ruines de l’Alsace-Lorraine, au lendemain de nos désastres, qu’un décret de la Défense Nationale le proclame citoyen français en Algérie.
Parasite mortifère, le juif a porté la décomposition dans notre milieu social. Adorateur du veau d’or, il nous tient d’or, il nous a, par contagion, conquis à son culte. Quand nous sapions, les royautés il se proclamait le roi de l’époque, roi de l’époque il est aujourd’hui.
En France, l’envahissement par le judaïsme a été méthodique, progressif, presque timide. C’était, un enlisement; En Algérie, c’est un engloutissement.
En France, Schylok est un homme du monde, âpre, mais déguisé, rapace, poli dans ses exécutions. En Algérie, c’est le forban féroce, brutal, insolent et bravache. Au demeurant la différence existant entre le voleur de grand chemin et le juif algérien est bien mince. Le premier dit : La bourse ou la vie ! Le second : La bourse et la vie, car, après avoir ruiné par des moyens inavouables, il tue par la misère et le désespoir.
C’est en Algérie surtout que souffle la Malaria juive.
Nous avons cru naturaliser l’Israélite, nous avons intronisé le juif, rien que le juif, c’est-à-dire l’usure, la spoliation, la corruption, le monopole. Ah ! l’usure, voilà le vrai chancre rongeur de notre beau pays, de ce prolongement de là France. L’usure qui ruine le colon, met l’indigène sur la paille.
L’indigène, que nous avons mission de protéger nous le livrons pieds et poings liés à ses spoliateurs les goutres, ses anciens esclaves qu’il hait et qu’il méprise.
Et l’on semble tout étonné, après cela, que les vaincus, déclarent que tout ne va pas pour le mieux dans la meilleure des colonies ; qu’ils se révoltent enfin. N’ont-ils pas mille fois raison ?
Pourquoi donc ne pas protester contre. L’absorption de la fortune publique par la race juive ?
Déjà le juif a appauvri l’Algérie, sous peu il la ruinera et si une insurrection éclate, il saura vite quitter le pays et suivra son argent mis en sûreté depuis longtemps.
Pourquoi donc ne pas crier bien haut, ce que chacun murmure tout bas ; c’est qu’il faut, atout prix, remonter le courant, éloigner cette sangsue qui prend toujours et ne rend jamais, enrayer le mal enfin, mal qui se présente sous des aspects multiples comme on pourra s’en rendre compte par la lecture de cette brochure.
Plus loin, j’indique le remède.

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