August 2012

Friday 31 August 2012

PDF Archive


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Livres numériques au format PDF

E-books au format PDF, rares, censurés, interdits et inconnus

Thursday 30 August 2012

Ulrich Holst - Purifier et dynamiser votre eau


Ulrich Holst - Purifier et dynamiser votre eau

Il y a quelques années, j’ai beaucoup sillonné l’Inde. Un jour, alors que j’effectuais une randonnée au pied d’un massif himalayen, j’ai fait une rencontre quelque peu in-solite, celle d’un jeune yogi assis jambes croisées en méditation sur une passerelle sur-plombant un torrent impétueux. Enveloppé dans sa robe de couleur safran, ses longs cheveux bruns noués en chignon, il se tenait aussi immobile qu’une statue. Il avait les yeux clos, et rien sans doute n’aurait réussi à le perturber dans sa méditation, tant elle paraissait intense et profonde. La vue de cet ascète m’a littéralement fasciné, si bien que je l’ai observé un long moment. S’il avait choisi cet endroit singulier pour médi-ter, disais-je à part moi, c’est sans doute parce qu’il est propice à l’absorption médita-tive. Mais aujourd’hui, après une étude approfondie des techniques ou procédés de dynamisation des eaux souillées ou polluées, je pencherais plutôt vers une deuxième hypothèse : ce yogi, à la faveur de ses heures d’absorption méditative, n’avait-il pas l’intention de communiquer ses nobles vibrations spirituelles à l’eau roulant à quel-ques mètres au-dessous de lui ? À des centaines de kilomètres en aval, cette même eau, en effet, deviendrait une substance capitale pour la survie des habitants de villa-ges et de villes entières.
Je ne saurai jamais si ce yogi avait réellement l’intention de vitaliser l’eau du torrent, ou bien si l’intention que je lui prête n’est finalement que le fruit d’une imagination trop fertile. Je sais, en revanche, que certains êtres humains, certaines formes, certai-nes pierres ou minéraux ont le pouvoir de conférer à l’eau d’étonnantes propriétés, par exemple celui de guérir des maladies réputées incurables. Ainsi, en France, des centaines de milliers de pèlerins affluent chaque année à Lourdes, dont nombre de malades précisément en quête de guérison, tandis qu’en Inde plusieurs millions de pèlerins prennent part chaque année à la kumbha-mela et, à cette occasion, se bai-gnent dans les eaux du Gange très polluées en apparence mais qui ont un fort pouvoir de régénération interne. Les miracles ou prodiges que l’on prête à certaines eaux relè-veraient-ils de l’esprit de superstition ? de croyances d’un autre temps ?
Les faits démentent manifestement cette hypothèse. En effet, les toutes récentes dé-couvertes scientifiques dans le domaine de l’eau permettent d’affirmer que l’eau n’est pas un liquide banal, qu’il est plus qu’une formule chimique. L’eau est énergie ; l’eau est source de vie ; et l’eau est dotée de mémoire, elle porte en soi nombre de données informatives. Une eau de bonne qualité est dispensatrice de vie, elle procure énergie et santé, tandis qu’une eau fortement polluée ou souillée peut générer toutes sortes de pathologies.
Il y a cinq ans, mon épouse et moi-même avons décidé d’équiper notre maison d’un appareil de dynamisation bioénergétique de l’eau. J’avoue que la lecture de la brochu-re accompagnatrice m’avait laissé un peu sceptique, tant le prospectus prêtait de mé-rites à cet appareil. Mais il a tenu ses promesses, et même des promesses que nous ignorions ! Notre eau du robinet a retrouvé de la saveur, et sa teneur en calcaire a beaucoup diminué. Nous pouvons prendre des bains sans craindre la peau sèche. Même notre chien est ravi de cette eau magnifiquement régénérée ! Il la boit volon-tiers, alors qu’il dédaignait notre eau d’avant, à laquelle il préférait les flaques d’eau de pluie.
C’est notamment cette expérience particulière qui m’a incité à étudier l’élément eau de façon approfondie, à investiguer les différentes techniques d’assainissement de l’eau actuellement sur le marché, qui, toutes, sont aptes à lui restituer son potentiel d’énergie vitale.
Au départ, il y avait cette question : les eaux polluées, et a fortiori très polluées, peu-vent-elles être redynamisées au moyen de la technique, l’eau peut-elle être condition-née sans perdre ses qualités innées, originelles ? Sans qu’il y ait besoin de recourir à un prophète comme Élisée, ou à un yogi de l’Inde ? Mes années de recherche me permettent de répondre par l’affirmative à ces différentes questions.
Cet ouvrage, je l’ai écrit avec l’idée de fournir au lecteur un certain nombre de pistes qui l’aideront à résoudre sa propre problématique d’eau, et à utiliser avec plus de sa-gesse et de perspicacité l’élément eau dans sa vie quotidienne. Sans eau potable, en effet, la survie humaine devient plus qu’incertaine.

Ulrich Holst
Juillet 2004

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Wednesday 29 August 2012

Rosenn Le Page - Gérard Meudec - L'abc du potager


Rosenn Le Page - Gérard Meudec - L'abc du potager

Savourer les salades du jardin, cuisiner des haricots tout juste cueillis, agrémenter ses plats d'aromatiques toujours fraîches, retrouver le goût oublié de la scorsonère ou du panais... c'est le rêve de beaucoup! Pourtant, nombreux sont ceux qui hésitent ou renoncent à cultiver des légumes, faute d'expérience ou de savoir-faire.
L'Abc du potager vous guide, étape par étape, pour créer votre propre potager. Visuel avant tout (500 dessins en couleurs expliquent les différents gestes), cet ouvrage détaille la culture de vos légumes favoris. Chaque légume fait l'objet d'une fiche pratique qui reprend tous les gestes, du semis à la récolte. Fertilisation, repiquage, plantation, arrosage, conservation... ces techniques sont expliquées clairement et rendues accessibles à tous.
En suivant I'Abc du potager, vous saurez cultiver avec succès et durablement les légumes de votre choix.

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Tuesday 28 August 2012

Jacques Collin de Plancy


Jacques Collin de Plancy

Son œuvre la plus importante est son Dictionnaire infernal dont la première éditions a été publiée en 1818 et dans lequel il a rassemblé toutes les connaissances de l’époque concernant les superstitions et la démonologie.

Légende du Juif-Errant
La chronique de Godefroid de Bouillon et du royaume de Jérusalem
Légendes des croisades depuis les premiers temps jusqu'à nos jours
Dictionnaire infernal Répertoire universel
Le diable peint par lui-même
Histoire des vampires et des spectres malfaisans
Légendes de l'autre monde
La Cour du roi Dagobert
Légendes des personnages qui ont eu des relations avec le diable
Les contes noirs
Légendes des sept péchés capitaux
Les Jésuites

Monday 27 August 2012

Erich Von Däniken - Twilight of the Gods


Erich Von Däniken - Twilight of the Gods (2010)
The Mayan Calendar and the Return of the Extraterrestrials

What is a "cargo cult"? The term refers to the real-life ethnological phenomenon of what happens when a technologically primitive society comes in contact with a technologically more advanced society. On countless documented occasions, ethnologists have observed that if technologically advanced visitors live among technologically not intellectually! Pimitive cultures for short periods of time and then leave, soon thereafter, the visitors' advanced nuts-and-bolts technologies cause the native population to view these rather ordinary humans as gods and begin to worship them. On many occasions during their stay, the visitors would interact with the native population, giving them goods and food-cargo! After the departure of these "gods," the native culture surmised that they would return if they practiced intense worship, sacrifice, and emulation. Examples of modern-day cargo cult behavior can be found in the regions of the South Pacific during WWII. Why is this phenomenon so important?

In Search of Ancient Gods (1973)

Erich Von Däniken

Sunday 26 August 2012

Jean Drault - Histoire de l'antisémitisme


Jean Drault - Histoire de l'antisémitisme
Nouvelle édition revue et augmentée, 1944

Français, rien de ce que vous croyez vrai, n’est vrai. (Alerte aux français !)
André Tardieu, Président du conseil des Ministres sous la IIIe République
La France n’est plus française. Lautier, ministre républicain.
Ce qu’on ne dit pas, c’est la part qu’a l’envahissement de l’élément juif
dans la douloureuse agonie d’une si généreuse nation.
Edouard Drumont, Introduction à La France juive.


Les créateurs de l'antisémitisme ne sont point des Aryens féroces poussant, par goût du sang, au massacre des Juifs, comme l'insinuaient volontiers l'Univers israélite, le Droit de vivre et la masse énorme des journaux juifs ou judaïsants qui ont pullulé dans toutes les langues, aux quatre coins de la planète.
Les créateurs de l'antisémitisme sont les Juifs eux-mêmes. Evidemment, ils ne le font pas exprès. Mais quand, dans une ville, vient s'installer un israélite suivi bientôt de plusieurs de ses frères, on peut dire, sans se tromper : «L'antisémitisme est en route ».
Celui qui a constaté cette vérité est un Israélite qui fit beaucoup parler de lui. Il fut le grand metteur en scène de la célèbre affaire Dreyfus. C'est Bernard Lazare.
Il ne peut pas être renié par ses congénères. Il était intelligent, ne rougissait point de sa race qu'il défendait tout en reconnaissant ses défauts. Il est l'auteur d'un livre intitulé L'antisémitisme, dans lequel on peut lire les lignes qui vont suivre. Elles libèrent les antisémites de l'accusation d'avoir créé l'antisémitisme par un goût naturel autant que dépravé et retardataire pour la persécution d'une race qualifiée d'inoffensive par ceux qui en font partie :
«Partout, écrit Bernard Lazare, où les Juifs - cessant d'être une nation prête à défendre sa liberté et son indépendance, se sont établis, partout s'est développé l'antisémitisme, ou plutôt l'antijudaïsme, car antisémitisme est un mot mal choisi, qui n'a eu sa raison d'être que de notre temps, quand on a voulu élargir cette lutte du Juif et des peuples chrétiens, et lui donner une philosophie en même temps qu'une raison plus métaphysique que matérielle.

Alfred Gendrot (Jean Drault)

Saturday 25 August 2012

The Nation of Islam - The Secret Relationship between Blacks and Jews Volume 2




The Nation of Islam - The Secret Relationship between Blacks and Jews Volume 2
How Jews Gained Control of the Black American Economy

In 1991 the Honorable Minister Louis Farrakhan, National Representative of The Most Honorable Elijah Muhanunad and the Nation of Islam (NOI), released the first of several volumes in the scholarly series entitled The Secret Relationship Between BLacks and Jews. This research was prepared by the NOI's Historical Research Department in response to the increasingly vicious calumnies made against Minister Farrakhan, namely, that he was "anti-Semitic" and that by his strong advocacy of Black economie and political power he bad somehow wounded the "special relationship" that Jews claimed had always existed between Blacks and jews.


The Nation of Islam
The Nation of Islam - Les relations secrètes entre les Noirs et les juifs

Friday 24 August 2012

Zénaïde Alexeïevna Ragozin


Zénaïde Alexeïevna Ragozin

Russian Jews and Gentiles
Siegfried the hero of the North and Beowulf the hero of the Anglo-Saxons
The story of Chaldea from the earliest times to the rise of Assyria




Extract from Russian Jews and Gentiles

The question naturally arises: What is to be done? It is a momentous one, and might partly be answered by showing what ought not to be done—i.e., by a re-view of the legislative measures, hostile or propitiating, which have been tried in different countries and at various times, and have utterly failed, as well as of the causes why they failed. Brafmann's “Kahal” and his other book, “Hebrew Corporations, Local and Universal,” contain valuable material toward working out the problem; but it is not at the end of an already long paper that this fea-ture of the subject can be considered—a paper, too, of which the special object is only to vindicate the age in which we live from the odious imputation of “in-tolerance and religious persecution,” unthinkingly and indiscriminately brought against it. Yet the impression conveyed would be incomplete, nay, the entire tenor and drift of the paper might be misconstrued, without at least a hint at the solution which is desired and openly advocated by all enlightened Russians as represented by our liberal press. Briefly stated, it reads as follows:

The legal emancipation of the Jews, begun years ago by granting them the right of buying and holding land, of entering the universities, and various smaller concessions, must be completed. They must share both the rights and the duties of their Christian and Mohammedan fellow-subjects, without restraints or privileges. As the first step toward such a consummation, the Kahal must necessarily be abolished, or at all events shorn of its power—a thing very easily achieved by simply de-priving it of the right of levying box-duty on the slaughtering and sale of kòsher meat, and forbidding the sale of trèf to Christians. This would at once release the Jewish population from an intolerable pressure by delivering them from an irksome duty, and by depriving the town-councils of the means of enforcing their arbitrary separatistical ordi-nances by recourse to “the power of the goïm.” The taxes would then be collected from the Jews directly by Government officials, in the same manner as they are from all other subjects; they would be brought un-der the census, which they have always been able to elude until now,—and all this would place them in a direct and normal relation to the rul-ers of the land, without in the least interfering with the full exercise of their religious worship and national customs. Left to themselves and freed from all restraint with regard to their place of residence, the process of assimilation would soon begin, and the number of Jews who discard the Talmud and keep to the simple Mosaic law in its wider and more liberal application would annually increase. But if the Govern-ment, at this critical moment, recoils from this radical change, and con-tents itself with half-measures, denying its Hebrew subjects their full share of civil rights and at the same time upholding the artificial sepa-ratism so baleful in its effects, the same state of things will be still fur-ther perpetuated,—consequently, the causes being unchanged, the ef-fects will be identical, and the same deplorable scenes will be enacted from time to time,—scenes which every other European country has witnessed, and would see now, had not a wiser legislation made their recurrence impossible.

Wednesday 22 August 2012

Joseph Patrick Farrell - The SS Brotherhood of the Bell


Joseph Patrick Farrell - The SS Brotherhood of the Bell
The Nazis' incredible secret technology
NASA’s Nazis, JFK, and Majic-12

In 1945, a mysterious Nazi secret weapons project code-named The Bell left its underground bunker in lower Silesia, with its project documentation, and the 4-star SS general Hans Kammler. Taken aboard a massive six engine Junkers 390 ultra-long range aircraft, The Bell, Kammler, and all project records disappeared completely, along with the gigantic Junkers 390 carrying them. It has been speculated that it flew to Argentina. As a prelude to this disappearing act, the SS murdered most of the scientists and technicians involved with the project, a secret weapon that, according to one German Nobel prize-winning physicist, was given a classification of decisive for the war -- the highest security classification. Offered here is a range of exotic technologies the Nazis researched, and challenges to the conventional views of the end of World War Two, the Roswell incident, and the beginning of MAJIC-12, the government’s alleged secret team of UFO investigators.

A titre informatif sur le projet de la "cloche"; tout le reste relevant d'une ignorance et arrogance toutes anglo-saxonnes.

Tuesday 21 August 2012

Jimmy Guieu - Demain l'apocalypse


Jimmy Guieu - Demain l'apocalypse

Los Angeles était, cette année-là, la ville des ufologues. Des savants du monde entier vinrent y parler des OVNI… Puis, peu à peu, il y eut des disparitions, des phénomènes étranges, des morts subites. Raymond Dorval, de l'Institut mondial des sciences avancées a de très curieuses conclusions : des extraterrestres sont parmi les scientifiques. Quelque chose de terrible se prépare, qu'il reste peu de temps pour découvrir…

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Monday 20 August 2012

Alfred M. Lilienthal - The Zionist Connection


Alfred M. Lilienthal - The Zionist Connection
What Price Peace ? Tome I - Tome II

If some compelling justification was required for bringing a most controversial book, with a most unorthodox approach, before a world in which the human psyche has become far more attuned to the pleasant process of being softly lulled by Big Brother than to the painstaking task of absorbing upsetting, nonconsensus material, then the astounding November 19-20, 1977, pilgrimage of Egyptian President Anwar el-Sadat to Jerusalem supplied the reason. The Middle East imbroglio, always complex, had now become "curiouser and curiouser," to borrow words from Alice in Wonderland.
Euphoric Americans clung to their video sets over that weekend. Sadat was addressing the Knesset--Egyptians and Israelis were not only talking to one another, but smiling. The "A-rabs" were at last willing to give up war. Peace, surely, must be on the way.
This wishful thinking of course overlooked the fact that since 1948 there had been two wars going on simultaneously in the Middle East. The one between Israel and the Arab states was only a secondary consequence of what Syrian President Hafez al-Assad has called the "mother question"-the conflict between the Israeli Zionists and the Arab Palestinians. While there was some possibility of a separate agreement ending the Egyptian-Israeli war, a solution for the core of the dangerous Holy Land conflict seemed as distant as ever.
The November 10, 1975, U.N. resolution equated Zionism with racism and racial discrimination, and for the first time placed the genesis of the continuing Middle East struggle squarely before a startled American public. But fervent supporters of Israel, Christians as well as Jews, reacted with unprecedented furor to the overwhelming U.N. censure and stirred the media to direct an equally unprecedented onslaught against the U.N., the Arab states, and the Third World bloc. The supporters of the resolution were denigrated with the charge "emulators of Hitler." The pro-Israel American public was led to believe that this was indeed but another attack on Jews and Judaism, a Nazi renaissance. The pertinency of this U.N. action to the continuing Arab rejection of the State of Israel was totally covered over by whipped-up emotionalism.
What is Zionism, and what is its connection with the Middle East conflict? How, if at all, is it differentiated from Judaism? Why has Organized Jewry, invariably an unequivocal exponent of the separation of church and state, condoned their union in an Israeli state demanding the allegiance of everyone everywhere who considers himself a Jew, whether he be an observant practitioner or not? What validity is there to the insistence of a persistent minority that anti-Zionism is the equivalent of anti-Semitism? Such questions may mystify 90 percent of Americans, yet the answers go to the very heart of the Middle East conflict.
It was the serious confusion between religion and nationalism that led directly to the 1948 establishment of the Zionist state of Israel in the heart of the Arab world, causing disastrous consequences for all concerned, including Americans whose government had played a major role in that nation-making. The resultant uprooting of Palestinian Arabs, whose numbers today have swollen to more than 1.6 million, many exiled for thirty years to refugee camps living on a U.N. dole of seven cents per day, brought down on the U.S. the enmity of an Arab-Muslim world, eroding a measureless reservoir of goodwill stemming from the educational and eleemosynary institutions America helped found. The creation of Israel, likewise, led to the penetration of the area for the first time by the Soviet Union, endangered the security interests of the U.S., and thrust the burden of a premature energy crisis into every American home. However much the essence of Judaism may have remained as distinct as ever from Zionism, the nationalist shadow has so overtaken the religious substance that virtually all Jews have, in practice, become Israelists, if not Zionists. Many who mistrust the Zionist connotation can still have their cake and eat it, through Israelism. While the vast majority of Jews in the Diaspora (the aggregate of Jews living outside of Palestine) do not believe in Zionist ideology, out of what is mistaken for religious duty they have given fullest support, bordering on worship, to Israel. Such worship of collective human power is just about as old as Pharaonic Egypt, and was practiced by the Sumerians, pre-Christian Greeks, and Romans as well. As Dr. Arnold Toynbee pointed out in A Study of History.
The prevalence of this worship of collective human power is a calamity. It is a bad religion because it is the worship of a false god. It is a form of idolatry which has led its adherents to commit innumerable crimes and follies. Unhappily, the prevalence of this idolatrous religion is one of the tragic facts of contemporary human life.
And these Jewish Zionists-Israelists have been joined by a large segment of articulate Christian opinion in the new worship of the State of Israel, which has been accorded the same privileges and immunities that have been vouchsafed to religionists who follow a genuine faith. On every other issue of concern to Americans, both sides have invariably been publicly presented, no matter how controversial: the cigarette lobby vs. cancer research, the drug alarmists vs. the upholders of pot, traditionalists-oldsters vs. Beatles-hippies, civil rights gradualists vs. extremists, hawks and doves over Vietnam, pro-Watergate outcome vs. Nixon apologists-to mention but a few. It has only been on the subject of Jews, Zionism, and Israel that the U.S. and most of the Western world have had a near-total blackout. The mere presence of the powerful Anti-Defamation League, even before the fearsome "anti-Semitic" label might be brandished, has imparted a sensitivity so powerful as to smother any idea of private discussion, let alone public debate, on the grave issues involved.
The record of pressures, suppression, and terrorization practiced against many-including Presidents of the U.S., who in undisclosed memoranda, letters, and documents have entertained serious doubts about the course upon which Zionism has embarked-is massive and yet incomplete. The more submissive of the Victims of Jewish nationalist pressure have usually been either too ashamed or too afraid to publicize their experiences.
Rarely has the deceit of so few been so widely practiced to the disastrous detriment of so many, as in the formulation and implementation of U.S. Middle East policy. Guilt, fear, and the preoccupation with domestic politics rather than consideration of policy, justice, and security interests have molded the direction of the deep U.S. involvement. And if John Q. Citizen was unmindful of what was really taking place, it was largely due to the inordinate power of the media to penetrate the inner sanctum of every home with its slantings, distortions, and myth-information. "T'ain't people's ignorance," as Artemus Ward once quipped, "that does the harm, 'tis their knowin' so much that ain't so." Barnum notwithstanding, the media has been able to fool the people most, if not all, of the time.
The Watergate cover-up has to play second fiddle to the concealments in the Middle East fiasco for more than thirty years, involving, as it has, the continuous serious threat to world peace manifested by four regional wars and three serious Big Power confrontations, which only narrowly missed becoming World War III. The stationing of American technicians in the Sinai to help supervise the second Egyptian-Israeli disengagement accord may have been a step in the making of a new Vietnam. "One day," predicted a senior U.S. diplomat, according to Newsweek magazine, "there will be a congressional investigation into how we lost the Middle East that will make the great China debate seem trivial."
This book, it is hoped, will contribute to a great Middle East debate that should take place before, rather than after, catastrophe strikes again in that already harassed portion of the globe. Certain basic questions require. answers: "Whose legal and moral claim to Palestine is stronger, the Israeli Zionists or the Arab Palestinians? How, if at all, may these claims be reconciled? How may the U.S. protect its vast political and economic stake in the area and simultaneously continue to foster its special, unique relationship with Israel? Will the undeniable, overwhelming public statement of "never again," as to another Vietnam, be meticulously regarded in our pursuit of Middle East peace? And above all, this clincher: Will President Reagan and his policy advisers cease avoiding and openly face the central issue in the entire problem--not the existence of an Israeli state, nor even the nonexistence of a Palestinian state, but the kind of a state Israel has to become so as to bring lasting peace to the area?
For some time it has been apparent that someone would have to assume the burden of carefully examining the historical record of the Arab-Israeli conflict, starting with the "original sin" in uprooting the indigenous Arab Palestinians, and daring to articulate conclusions seldom aired. As Norman Thomas once observed, one of the Jewish faith is perhaps able to speak with "the necessary moral authority that no Gentile can express."
However strong the temptation may be for any author to succumb to the prevailing mood of his surroundings and to indulge in indiscriminate stereotyping, heightened by cliche's and slogans, I have tried to maintain a fair perspective and not to allow personal experiences to dull the observer's vision, nor instill too deep-seated a passion. It is out of sadness, not anger, that I am forced to conclude that in embarking upon the new path that Organized Jewry has hewn for it, prophetic Judaism has incurred an incalculable loss in moral values, which author Moshe Menuhin has described as "the Decadence of Judaism in Our Times." What else can account for the anomaly by which the once-persecuted have adopted the philosophy of their chief persecutor?
In doling out incarceration and death while sweeping through conquered Europe, did not the Führer undo the laws of emancipation for which so many Jews had so long struggled, as he decreed: "You are not a German, you are a Jew-you are not a Frenchman, you are a Jew, you are not a Belgian, you are a Jew"? Yet these are the identical words that Zionist leaders have been intoning as they have meticulously promoted the in-gathering to Israel (Palestine) of Jews from around the globe, even plotting their exodus from lands in which they have lived happily for centuries. If at times this book seems unduly critical of Israel, and neglects to place in balance the oft-repeated arguments in its favor, it is simply because the gigantic propaganda apparatus of Israel-World Zionism has spun such extensive and deeply ingrained mythology that there is hardly enough space to refute widely accepted theses and expose the picture as it really is. The reader, however, is particularly cautioned to keep in mind at all times the very vital distinction between the State of Israel and the people of Israel. Nor can he overlook the fact that one of Western man's most precious possessions is the inalienable right to dissent. As Thomas Jefferson expressed it, "For God's sake, let us freely hear both sides."
This new, updated paperback edition has been published as an answer to the widespread demand to learn more about the untold side of a subject, the understanding of which may be vital to man's very existence.
In giving fair consideration to what to many will come as an astounding recital, my readers are asked to display what William Ellery Channing once defined as the free mind:
"I call that mind free which jealously guards its intellectual rights and powers, which calls no man master, which does not content itself with a passive or hereditary faith, which opens itself to light whencesoever it may come, and which receives new truth as an angel from heaven."

- AL

Saturday 18 August 2012

Gershom Gorenberg - The end of days


Gershom Gorenberg - The end of days
Fundamentalism and the Struggle for the Temple Mount

In this provocative work, seasoned journalist Gershom Gorenberg portrays a deadly mix of religious extremism, violence, and Mideast politics, as expressed in the struggle for the sacred center of Jerusalem. Known to Jews and Christians as the Temple Mount and to Muslims as the Noble Sanctuary, this thirty-five-acre enclosure at the southeast corner of Jerusalem's Old City is the most contested piece of real estate on earth. Here nationalism combines with fundamentalist faith in a volatile brew. Members of the world's three major monotheistic faiths -Judaism, Christianity, and Islam- hold this spot to be the key to salvation as they await the end of the world, and struggle to fulfill conflicting religious prophecies with dangerous political consequences. Adroitly portraying American radio evangelists of the End, radical Palestinian sheikhs, and Israeli ex-terrorists, Gorenberg explains why believers hope for the End, and why prominent American fundamentalists provide hard-line support for Israel while looking forward to the apocalypse. He makes sense of the messianic fervor that has driven some Israeli settlers to oppose peace. And he describes the Islamic apocalyptic visions that cast Israel's actions in Jerusalem as diabolic plots. The End of Days shows how conflict over Jerusalem and the fiery belief in apocalypse continue to have a potent impact on world politics and why a lasting peace in the Middle East continues to prove elusive.

Thursday 16 August 2012

Gustave Le Bon


Gustave Le Bon, né le 7 mai 1841 à Nogent-le-Rotrou et mort le 13 décembre 1931 à Marnes-la-Coquette, est un anthropologue, psychologue social, sociologue et médecin français. Polygraphe, il est l'auteur de nombreux ouvrages.

Sélection d'ouvrages :

Les premières civilisations
Psychologie des foules
Les Opinions et les Croyances Genèse - Evolution
Applications of Psychology to the Classification of Races
Experimental Researches on the Variations of the Volume of the Brain and Skull
Anatomical and Mathematical Researches into the Laws of the Variations of Brain Volume and their Relation to Intelligence
La Révolution Française et la Psychologie des Révolutions
The Pocket Cephalometer, or Compass of Coordinates
La vie des vérités
Psychologie du socialisme
Psychologie des temps nouveaux
Premières conséquences de la Guerre Transformation mentale des peuples
L'évolution actuelle du monde Illusions et réalités
La Psychologie politique et la Défense sociale
On the Inequality of the Corresponding Regions of the Skull
Hier et demain Pensées brèves
The world in revolt A psychological study of our times
The World Unbalanced
Enseignements psychologiques de la guerre européenne
The Study of Races and Present-day Anthropology
De Moscou aux monts Tatras
On the Present Formation of a Race in the Tatras Mountains
Lois psychologique de l’évolution des peuples
On the Capacity of the Skull of a Certain Number of Celebrated Men
How Races and Peoples Transform Their Civilization and Arts
Bases scientifiques d'une philosophie de l'histoire



Extrait de L'évolution actuelle du monde Illusions et réalités

Nous venons d'esquisser sommairement la mentalité bolcheviste. Disons, maintenant, quelques mots de la doctrine Rajeunie en apparence par des théories livresques, elle n'est qu'un simple retour au communisme des premiers âges. Ces théories représentent, en réalité, le besoin des révolutions triomphantes de trouver une justification rationnelle à leurs violences. Le Contrat Social de J.-J. Rousseau, qui enseignait la bonté primitive de l'homme uniquement perverti par les sociétés, fut la bible de Robespierre et servit à rationaliser la guillotine. L’œuvre du juif Karl Marx, dont les doctrines sont souvent aussi enfantines que celles de Rousseau, devint la bible de Lenine et de ses associés. Elle permit de justifier les systématiques massacres des intellectuels et le pillage général des fortunes.
En fait, les foules révoltées ne se préoccupent guère des systèmes. Il n'existe que de bien lointains rapports entre l'idéologie marxiste et l'organisation des républiques soviétiques. Les communistes russes connaissent fort peu leur grand prêtre Karl Marx, et les communistes français ne le connaissent pas davantage L'un d'eux avouait, au parlement français, n'avoir jamais lu une ligne de ce théoricien célèbre. Il faut l'en louer, car les livres de Karl Marx contiennent un si grand nombre d'assertions démenties plus tard par les événements, que leur lecture suffirait a guérir du communisme tout esprit impartial.



Ouvrages en Anglais
Ouvrages en Français



Wednesday 15 August 2012

Edward Bulwer-Lytton - VRIL The Power of the Coming Race


Edward Bulwer-Lytton - VRIL The Power of the Coming Race

Vril, the Power of the Coming Race is an 1871 novel by Edward Bulwer-Lytton, originally printed as The Coming Race. Many readers believe that its account of a superior subterranean master race and the energy-form called "Vril" is accurate, to the extent that some theosophists accepted the book as truth. A 1960 popular book speculated on a secret Vril Society in pre-Nazi Berlin.

The novel centers on a young, independently wealthy traveler (the narrator), who accidentally finds his way into a subterranean world occupied by beings who seem to resemble angels and call themselves Vril-ya.
The hero soon discovers that the Vril-ya are descendants of an antediluvian civilization who live in networks of subterranean caverns linked by tunnels. It is a technologically supported Utopia, chief among their tools being the "all-permeating fluid" called "Vril", a latent source of energy which his spiritually elevated hosts are able to master through training of their will, to a degree which depends upon their hereditary constitution, giving them access to an extraordinary force that can be controlled at will. The powers of the will include the ability to heal, change, and destroy beings and things; the destructive powers in particular are awesomely powerful, allowing a few young Vril-ya children to wipe out entire cities if necessary. It is also suggested that the Vril-ya are fully telepathic.
The narrator states that in time, the Vril-ya will run out of habitable spaces underground and start claiming the surface of the Earth, destroying mankind in the process if necessary.

Tuesday 14 August 2012

Lawrence Dennis - The Coming American Fascism



Lawrence Dennis - The Coming American Fascism
The Crisis of Capitalism


lawrence_dennis.jpg''In 1931 Dennis wrote Is Capitalism Doomed?: he believes that liberal capitalism is and here points out that it is desirable for the major parties to accept Fascism now rather than to wait for it to come by force from an embittered minority.

This is certainly a logical and clear sighted presentation and though you disagree and ridicule the idea of Fascism in the United States, it will force you to find arguments for your belief.

It revolves around the questions - can we continue prewar formulas of expanding population, exploitation of new territories and markets, can we resume financing on credit of large scale consumption, can the present system go on carrying the depression and can we effect a sound economic reorganization under the existing conditions and get a fresh start.''


Lawrence Dennis - PDF

Monday 13 August 2012

Nassim Haramein - Rogue Valley Metaphysical Library - Transcription française

http://www.the-savoisien.com/blog/public/img23/Nassim_Haramein.jpg
Nassim Haramein - Rogue Valley Metaphysical Library 2003
Transcription française

Si vous n'êtes pas encore familier avec le travail passionnant de Nassim Haramein, préparez-vous pour une odyssée exaltante dans l'hyperespace et au-delà. Haramein, qui a passé sa vie à la recherche des domaines de la physique de la théorie quantique des équations relativistes et de la cosmologie, vous mènera le long d'une discussion fascinante axés sur la compréhension de la nature fondamentale de l'univers et de la création qui comprend des trous noirs, les forces de gravitation, les dimensions , et la structure même de l'espace lui-même - qui font tous parties intégrantes de la Théorie du Champ Unifié. La Théorie Haramein est actuellement en processus d'examen par les pairs pour publication dans des revues de physique, mais la présentation ne se termine pas avec l'introduction de sa théorie seulement, mais comprend l'examen de la voie qu'il a fallu pour arriver à son point de vue, qui tisse entre les textes et les monuments des civilisations anciennes, la biologie, la chimie et le rôle primordial de la conscience - ce qui donnerait plus de crédibilité encore à la science derrière la théorie.




Giant UFO and Black Hole Sun


On The Quantum Mechanics of Our Emotions and Memories


Nassim Haramein and Klaus Dona


LIVE on LIFEChanges


Sacred Geometry and Unified Fields



the resonance project

Sunday 12 August 2012

Edward Bernays - Propaganda




Edward Bernays - Propaganda


Edward L. Bernays, né à Vienne en novembre 1891, est mort plus que centenaire à Cambridge, Massachusetts, en mars 1995. Son nom reste le plus souvent inconnu du grand public, et pourtant Bernays a exercé, sur les États-Unis d'abord, puis notamment sur les démocraties libérales, une influence considérable. En fait, on peut raisonnablement accorder à John Stauber et à Sheldon Rampton qu'il est difficile de complètement saisir les transformations sociales, politiques et économiques du dernier siècle si l'on ignore tout de Bernays et de ce qu'il a accompli.
C'est qu'Edward L. Bernays est généralement reconnu comme l'un des principaux créateurs (sinon le principal) de l'industrie des relations publiques et donc comme le père de ce que les Américains nomment le spin, c'est-à-dire la manipulation – des nouvelles, des médias, de l'opinion – ainsi que la pratique systématique et à large échelle de l'interprétation et de la présentation partisanes des faits.
On pourra prendre une mesure de l'influence des idées de Bernays en se rappelant la percutante remarque d'Alex Carey, suggérant que « trois phénomènes d'une considérable importance politique ont défini le XXe siècle ». Le premier, disait-il, est « la progression de la démocratie », notamment par l'extension du droit de vote et le développement du syndicalisme ; le deuxième est « l'augmentation du pouvoir des entreprises » ; et le troisième est « le déploiement massif de la propagande par les entreprises dans le but de maintenir leur pouvoir à l'abri de la démocratie ». L'importance de Bernays tient précisément au fait qu'il a, de manière prépondérante et peut-être plus que quiconque, contribué à l'articulation et au déploiement de ce troisième phénomène.
Sous le titre revendiqué de Propaganda, l'ouvrage que vous allez lire est paru en 1928 et il peut être considéré comme une manière de « carte de visite » présentée avec assurance, voire avec candeur, aux clients susceptibles de recourir aux services de la déjà florissante industrie créée par Bernays moins de dix ans plus tôt.
Après avoir exposé les fondements, en particulier politiques et psychosociaux, de la pratique des relations publiques qu'il préconise (chapitres 1 à 4), Bernays entreprend de donner des exemples concrets de tâches qu'elles peuvent accomplir ou ont déjà accomplies. Il insiste tout d'abord, comme on pouvait s'y attendre, sur la contribution que les relations publiques peuvent apporter aux institutions économiques et politiques (chapitres 5 et 6) ; mais il évoque aussi ensuite, avec la très nette intuition de l'extraordinaire étendue des domaines d'intervention qui s'ouvrent à la nouvelle forme d'« ingénierie sociale » qu'il met en avant, les services que les relations publiques peuvent rendre à la cause des femmes, aux oeuvres sociales, à l'éducation, ainsi qu'à l'art et à la science (chapitres 7 à 10).
Par-delà ces exposés, où il est parfois difficile de ne pas entendre le ton du bonimenteur, cette ambitieuse oeuvre de propagande en faveur de la propagande fournit l'occasion, à un personnage au parcours atypique, d'exposer et de défendre sa solution au problème de la démocratie contemporaine tel qu'il le conçoit. Et c'est peut-être justement par les idées qu'il expose à ce sujet, par la transparence avec laquelle il dévoile certaines des convictions les plus intimes qui prévalent au sein d'une large part des élites de nos sociétés et de ses institutions dominantes, que cet ouvrage constitue un incontournable document politique.
Pour le constater, il sera utile de sommairement situer Bernays dans son temps.


Version anglaise




Saturday 11 August 2012

Victor Thorn - Made in Israel

911_Made_in_Israel Thorn.jpg


Dave Gahary interviews author Victor Thorn about his new 9/11 book released on the 10 year anniversary of the Terrorist Attacks.

Victor Thorn - Made in Israel
9-11 and the Jewish Plot Against America


THE EVILS OF 9-11 REVISITED 10 years ago, on the brilliantly sunny morning of Sept. 11, 2001 mass murderers the sickest and most evil psychopaths among the human race unleashed a reign of terror that would ultimately kill nearly 3,000 innocent citizens. As Americans watched these horrors unfold on their television sets, they were subjected to an occult, magical rite that would severely traumatize them and forever transform our nation. As sirens wailed, fires burned, people screamed and television newsmen riddled their viewers with alarm, those who orchestrated this sacrificial slaughter reveled in the paranoia and carnage. As blame for these attacks was quickly placed on Osama bin Laden and 19 Muslim hijackers, the actual plotters Talmudic exterminators and their neo-con political sycophants peered from the shadows as horrified jumpers leaped to their deaths from the World Trade Center towers and splattered on New York City s streets. Shortly thereafter, these two 110-story skyscrapers were swallowed directly into the Earth by energy sources as powerful as the Sun. Ground Zero, in its original interpretation as the spot of a nuclear explosion, had been born. The monstrous aberrations responsible for these crimes against humanity mutilated and desecrated our security. Certainly 9-11 was an inside job, but it was also an outside job as well. The ravenous dogs that assaulted USS Liberty crewmembers in 1967 now unleashed without a trace of conscience their cesspool of bloodlust on America s own homeland. On that fateful morning, pandemonium ran rampant through every neighborhood. People wondered rightly so if WW III had begun? After the Pentagon our military nerve center was purportedly rendered ineffective against this onslaught, what target would be next? Television sets cast incantations and demented spells over every viewer that sat transfixed, frozen with fright. In a state of primal fear, these cabbalistic sorcerers and propagandists actually took possession of the victimized masses. At this precise moment, brainwashing, trauma programming and psychic driving would reach its height of effectiveness. More sirens, flames, controlled demolitions, hellish smoke, terror alerts on every channel and mounting death counts. The world had changed, and we could never return to where we once were. Like vermin-infected rodents carrying toxic poison in their DNA, the 9-11 architects created this Pearl Harbor grand illusion to lay a foundation for even more lies, i.e. wars in Afghanistan and Iraq where killing-field corpses would be stacked by the thousands. 9-11 Evil . . . 10 years ago the spiritually malignant blackness of this Made in Israel false-flag attack stole our family s lives and savaged our country s collective mindset. They are destroyers, vipers of an inhuman species, and we will never forget what they ve done to us.


Friday 10 August 2012

Luigi Aloisi Chiarini - Le talmud de Babylone traduit en langue Française


Luigi Aloisi Chiarini - Le talmud de Babylone
traduit en langue Française et complété par celui de Jérusalem et par d'autres monuments de l'antiquité judaïque

Volume I - Volume II


Les œuvres de Luigi Aloisi Chiarini
Pour plus d'informations sur le talmud


Selon le talmud, le livre juif;
les Romains ont massacré 40 millions d'hébraïques pendant le siège de la forteresse israélienne de Bar Kokhba.
Ce fut un grand miracle, car, selon les démographes il n'y avait pas tant de juifs que ça de part le monde...

Thursday 9 August 2012

Martin Luther - Les Juifs et leurs Mensonges


Martin Luther - Les Juifs et leurs Mensonges

Les Juifs et leurs mensonges (Von den Jüden und iren Lügen), est un traité écrit en 1543, trois ans avant sa mort, par Martin Luther, moine allemand, réformateur de l'Église catholique et initiateur du protestantisme (luthéranisme).

Dans son traité, Luther démontre que les juifs sont un « peuple de débauche, qu'ils ne sont pas des gens de Dieu; et que leurs fanfaronnades sur leur lignage, la circoncision et leurs lois doivent être considérées comme un immondice ».
« Ils sont remplis d'excréments du diable… dans lesquels ils se vautrent comme des pourceaux ». Quant à la synagogue, c'est une « putain incorrigible et une souillure du diable... ». Il explique que leurs synagogues et leurs écoles doivent être brûlées, leurs livres de prières détruits, leurs rabbins interdits d'officier, leurs maisons rasées, et leurs biens et argents confisqués.
Luther préconise de ne montrer à leur égard aucune pitié ni aucune bonté, ne leur procurer aucune protection légale. Il explique également que ces « vers venimeux et vénéneux » doivent être punis de travaux forcés ou expulsés une bonne fois pour toutes.
Il conclut qu'il serait préférable de les supprimer, et écrit : « Nous sommes fautifs de ne pas les tuer ».

Il y à cinq siècles, Martin Luther, germain, issu d'un peuple profondément pacifique, fut l'un des premiers aryen à découvrir ce qu'est véritablement l'hébraïque.



Martin Luther - The Jews and their lies
Martin Luther - On the Jews and Their Lies

Wednesday 8 August 2012

Acquittement pour Hitler !




Acquittement pour Hitler - Vincent Reynouard
Les vrais responsables de la seconde guerre mondiale

Dans cette vidéo, V. Reynouard expose, documents à l'appui, comment a éclaté la seconde guerre mondiale. Là comme ailleurs, l'histoire officielle se révèle mensongère. V. Reynouard démontre que, jusqu'au bout, Hitler aurait voulu résoudre pacifiquement le différend germano-polonais. C'est l'Angleterre qui a sans cesse agi pour que ce différend dégénère en guerre et, ensuite, pour que la guerre se mondialise.

Vincent Reynouard sur aldebaranvideo.tv
phdnm.org

Heinrich Hoffmann - Mit Hitler in Polen
John de Nugent, Acquittement pour Hitler

Tuesday 7 August 2012

Gabriel Séailles - La question juive en Pologne




Gabriel Séailles - La question juive en Pologne
Enquête


Ce n'est un mystère pour personne que la question juive en Pologne est aussi complexe que difficile à résoudre. Le territoire polonais compte parmi ses habitants plusieurs millions de Juifs. Ils forment dans le Royaume de Pologne 15% de la population du pays (77% de catholiques romains, 6% de protestants). Cette proportion numérique de l'élément juif influe sur l'ensemble de notre vie sociale et se répercute au dehors. L'opinion publique des autres pays s'occupe de la question juive en Pologne.
Dans les pages qui suivent, nous voudrions donner à l'opinion française une image aussi objective que possible du problème juif en Pologne. Elles examinent les multiples faces de ce problème, qui a pris des aspects malsains dans les conditions d'esclavage politique dont notre pays a souffert si longtemps.
Le nom de M. Ladislas Mickiewicz parle pour lui-même. Ce nom est tout un programme de politique humanitaire.
L'étude de Mme Elise Orzeszko, la grande romancière polonaise, cœur magnanime compatissant à tous les maux de sa patrie et de l'humanité - est empruntée à un volume inconnu en France et qui mériterait d'être traduit en français. Mme Orzeszko y démontre que la grande, la vraie littérature polonaise était toujours toute d'amour, de charité, de pardon. L'Enquête sur la Question juive en Pologne se rattache à cette tradition nationale. Elle a été faite à Varsovie au début de 1915. Des citoyens occupant pour la plupart des situations de premier rang dans la vie politique et sociale du pays, des avocats, des ingénieurs, des hommes de lettres, des directeurs de journaux y apportent l'appui de leur nom, de leur pensée et de leur conscience. Aucun n'est israélite, ni d'origine israélite.
M. Gabriel Séailles a bien voulu précéder ces pages de réflexions empreintes de bonté, de sincérité, d'humanité. C'est le salut d'un représentant de la terre de la liberté à un pays qui se prépare à organiser la sienne sur des ruines accumulées sous un régime de misères, de malheurs sans fin, d'exploitation illimitée. Dans des pages qui encadrent de lumière le travail des patriotes polonais, M. Gabriel Séailles apporte son encouragement de Français et de philosophe à une œuvre de renouveau moral et de résurrection nationale reposant sur dés assises de droit, de paix et de liberté.
Qu'il en soit remercié !

LES EDITEURS.

Monday 6 August 2012

Kontre Kulture



Renan Ernest - Qu'est ce qu'une nation
Marx Karl - La question Juive
Thoreau Henry David - Walden ou la vie dans les bois
Bainville Jacques - Histoire de France
Reed Douglas - La controverse de Sion
Sutton Antony Cyril - Le complot de la réserve fédérale
Bloy Léon - Le Désespéré
Yacht People

Pour plus de livres Kontre Kulture au format PDF en téléchargement direct voir
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Les techniques secrètes pour contrôler les forums et l’opinion publique

Tous les livres de Kontre Kulture sont disponibles gratuitement sur internet.
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Sunday 5 August 2012

Jean Côté - Adrien Arcand une grande figure de notre temps




Jean Côté - Adrien Arcand une grande figure de notre temps


A sa manière, à son époque, dans un style flamboyant, Adrien Arcand incarna - à la fin des années "20" - les forces de droite au Québec.
L'auteur nous entraîne dans le sillage du chef du Parti National Social Chrétien, fondé en 1933, mouvement qui devient le Parti de l'Unité Nationale quatre ans plus tard.
Journaliste de profession, polyglotte, servi par une prodigieuse érudition, bagarreur refusant les compromis, personnage controversé, Adrien Arcand s'engagea dans une lutte homérique contre le judéo-communisme qu'il qualifia du "pire fléau de l'humanité".
Opposé à la participation du Canada aux "guerres de l'Angleterre", au libéralisme et au capitalisme sauvage, il fut arrêté - avec plusieurs de ses disciples - et interné durant toute la durée du conflit de 1939-45.
Stoïquement, il accepta son sort et se comporta avec la dignité de ceux qui ont pesé depuis longtemps l'inconsistance et la fourberie des politiciens.
Pour résoudre la lutte des classes, le chômage et les problèmes économiques, il proposa la formule du corporatisme.
Ce livre instructif, riche de détails historiques nous fait mieux comprendre les hommes qui ont marqué un siècle turbulent déchiré par deux guerres impitoyables.


Pour plus d'informations



Friday 3 August 2012

Robert Dun - Les catacombes de la libre pensée


Robert Dun - Les catacombes de la libre pensée

La race blanche et sa culture valent-elles la peine d’être sauvées ?
Peuvent-elles encore l’être ?



''J'entends déjà la foule des fanatiques goguenards me crier : « Vous êtes mal placé pour critiquer l'hitlérisme après avoir été volontaire dans les Waffen SS. ». Mes réponses seront simples. A la différence de ceux qui ne savent que rabâcher les inepties des haines millénaires et de la manipulation médiatique mondialement orchestrée, je sais aujourd'hui de quoi je parle, ayant connu le mouvement hitlérien de l'intérieur et m'étant donné la peine d'en étudier toute la littérature théorique. Si j'ai, à 20 ans, opté pour le combat du côté allemand, c'est parce que j'avais déjà perçu dans le camp opposé trop de haines viles, de mensonges, d'hypocrisies chrétiennes et bourgeoises, de calomnies. Mais j'ai toujours déploré la guerre avec la Russie, si étrange que cela puisse paraître, et j'étais loin d'être le seul dans ce cas parmi ceux qui portaient l'uniforme feldgrau. Comme la plupart des volontaires français, je me suis rallié à un type humain plutôt qu'à une idéologie.
Pour tous ceux qui souffraient profondément de la veulerie de leur siècle, de son nihilisme, de sa niaiserie, le guerrier allemand avec son regard droit, sa démarche ferme et tranquille, son calme, son amabilité sans bavardage fut ressenti comme un refuge, comme un espoir. Je ne fus nullement étonné de découvrir un jour la vieille devise : « Am deutschen Wesen wird die Welt genesen. » ( Le monde guérira par la personnalité allemande ).''



Depuis la parution du Message du Verseau, en Mai 77, onze ans se sont écoulés. Le bilan de cette période n'est pas aisé. L'ouvrage avait été refusé par quarante-quatre maisons d'édition. J'eus ensuite un mal incroyable à le tirer à mes frais. Après en avoir lu le texte dactylographié, un imprimeur me renvoya même le chèque provisionnel de 6000 F que je lui avais remis. Puis ce fut au tour des agences de diffusion de me refuser leurs services. Cela en dit long sur les réalités de la liberté d'expression en France et justifie pleinement la phrase du livre sur l'Occident : « un monde où l'on peut tout dire, sauf la vérité ».
Seul d'abord, puis avec l'aide de quelques amis et de lecteurs d'un très haut niveau culturel gagnés à mes visions et perspectives, j'ai réussi à écouler les deux mille huit cents exemplaires commercialisables en moins de cinq ans.
En outre, bien des concepts nouveaux et fondamentaux de ce livre, en particulier celui de « religions du désert », ainsi que tout l'ensemble sur le conditionnement géographique des psychismes et des cultures, sont devenus des éléments de réflexion à l'échelle mondiale.
Ce fait, allié à des revirements spectaculaires de lecteurs qui ont radicalement révisé leur vision de l'histoire, leurs options sociopolitiques et parfois leur religion, incite de nombreux amis à me demander avec insistance une réédition de l'ouvrage. Mais les obstacles quasi infranchissables rencontrés il y a onze ans n'ont fait que s'aggraver. Il est plus que jamais impossible de contrecarrer efficacement les thèmes majeurs du matraquage médiatique. Je ne veux donc pas recommencer la ronde désespérante chez les éditeurs, d'autant moins que leur concentration en grands trusts de presse facilite le noyautage et le contrôle des comités de lecture par les cerbères des doctrines perfides et débilitantes que je combat dans la foulée de Nietzsche. Pour être plus clair, disons qu'il est à peu près impossible de publier quelque chose qui ne soit pas chrétien, juif, marxiste, musulman, ou de quelque manière asiatique ou pathologique.
La chute accélérée du niveau culturel fait aussi que la rentabilité d'une publication est d'autant plus improbable que son niveau est plus élevé, même si le langage en est simple, car, cette chute n'est pas seulement une affaire d'analphabétisme, c'est aussi un répugnant encanaillement des âmes.
J'ai donc eu recours à une technique artisanale de travail personnel. Je pense que les années prochaines prouveront que là sera le dernier refuge de la culture européenne en ce nouvel âge des catacombes pour la liberté et l'honnêteté.
J'ai considéré qu'une simple réédition aurait été une solution de facilité. La roue de l'histoire s'emballe et en onze ans nous avons connu une impressionnante avalanche de catastrophes de toutes natures : économique, écologique, démographique, médicale ...
Qu'on nous fasse l'honneur de croire que nous les évoquons sans délectation ni triomphalisme. Les rôles de Cassandres n'ont rien d'exaltant, mais sont plutôt exaspérants. Notre seul but est d'ouvrir les yeux de ceux qui auront un certain courage. Que chacun juge et réagisse comme il voudra à la nudité significative des faits :
1) Les pluies acides et la mort de la moitié des forêts d'Europe centrale.
2) La mort des ormeaux et les signes de maladie d'innombrables arbres. Une bonne douzaine de marées noires de plus ou moins vaste ampleur.
3) Une pollution de la mer du Nord exigeant le rejet habituel de 60% du produit de la pêche qui a fait quadrupler le prix de la morue, jadis plat du pauvre dans bien des régions. Cette pollution a aussi provoqué les algues rouges et la mort de milliers de phoques.
4) Les boues rouges de la Méditerranée en Italie et en Corse.
5) La catastrophe atomique de Tchernobyl.
6) L'empoisonnement du Rhin, peut-être définitif.
7) La déchirure de la couche d'ozone aux deux pôles.
8) Une pléthore de scandales de décharges sauvages ou abusives, de pollution de nappes phréatiques, d'accidents comme celui de Bopal, ou les drames permanents de pollution comme ceux de Tchernopol ( enfants qui deviennent fous ), de Bakou, des pays baltes, de bateaux partout refoulés à cause de leur chargement hautement toxique.
9) L'aveu qu'il ne restait en Pologne que 1% d'eau potable, tandis que 33% étaient impropres même à des usages industriels, que plusieurs localités avaient été évacuées pour cause d'insalubrité et que deux cent mille personnes devaient être ravitaillées en eau potable par camions-citernes.
10) L'apparition du SIDA.
11) D'étranges alternances de sécheresses et de pluies catastrophiques en Amérique du Sud, probablement dues aux déboisements irresponsables de l'Amazonie, eux-mêmes tentatives aussi absurdes que désespérées de faire face aux problèmes de sous-alimentation dus à la démographie galopante.
12) Le triplement du chômage à l'échelle mondiale.
13) L'aveu des problèmes des nouveaux pauvres et des analphabètes, tandis que drogue et criminalité progressent continuellement.

Il nous semble qu'en onze ans, cela fait beaucoup. Mais la disparité d'échelle entre la vie humaine et l'histoire fait que les grands événements passent inaperçus de leurs contemporains qui ne se réveillent que si des désastres leur pleuvent sur la tête. Il faut donc bien se le dire : l'humanité ne changera pas de cap. En quarante ans et dans la seule Europe, les automobilistes ont fait plus de deux millions de morts et dix millions d'infirmes à vie. L'automobile n'a pas été et ne sera jamais remise en question pour autant, non plus que pour ses conséquences désastreuses sur la santé nerveuse des enfants, les résultats scolaires, pour les surdités psychiques qu'elle engendre par dizaines de millions. Par la domination médiatique de l'opinion publique, les crapulocraties financières et industrielles des multinationales empêcheront toute contestation efficace de la société de consommation, et ceci jusqu'à la plongée dans les désastres et le chaos incontrôlables, comme le sont déjà le chômage et la démographie galopante. Au cours des mêmes onze années, la population mondiale est passé de 4 à 5 milliards d'habitants, ce qui nous fut triomphalement annoncé par les guignols de service dans les appareils médiatiques.
Privées de toute base culturelle, les démocraties modernes ne sont que des systèmes qui permettent à la canaille finaude de réduire à l'impuissance les gens honnêtes et intelligents en manipulant la force des imbéciles.
Comme je l'avais déjà annoncé il y a vingt ans dans les Confidences de loups-garous, tous les paramètres convergent vers la plus gigantesque guerre civile mondiale, à la fois raciale et sociale, dans l'histoire connue de la planète. Cette guerre est d'ailleurs la seule libération que les hommes restés dignes de ce nom peuvent encore espérer. Mais elle n'ira pas de soi. Gardons-nous de tomber dans les pièges de croyances en la providence dont les haillons flottent encore dans nos inconscients.
Comme mes transmissions et ouvrages précédents, ce livre ne s'adresse qu'aux intrépides de corps, d'âme et d'esprit. J'ai décidé d'en changer le titre afin d'en faire mieux ressortir le caractère d'ultime défi à la crapulocratie universelle. Car, comme je me plais à le répéter en toute occasion, cette crapulocratie gagnera toutes les batailles, sauf la dernière. Nous n'avons plus à prendre parti dans les conflits actuels, nous n'avons qu'à attendre. La folie, l'abjection, la lâcheté, la haine et l'incommensurable imbécillité sont déjà entrées dans leur phase d'auto-destruction.
Je reprends donc sans grand changement bien des thèmes du Message du Verseau, avec pourtant quelques coupures et bien des suppléments. Comme lorsque je me plonge dans cet ouvrage j'y trouve presque toujours du nouveau ( un penseur est un homme qu'il vaut mieux ne pas connaître de trop près, car il ne vit pas habituellement sur ses propres sommets ) j'espère qu'il en sera de même pour tous les lecteurs.
À tous, je voudrais rappeler une chose toujours vraie et actuellement primordiale : les grandes pensées sont simples et elles seules peuvent déterminer l'avenir. Nos pensées sont simples : depuis l'amibe jusqu'à l'homo sapiens, il y a eu une formidable chaîne de mutations, d'évolutions de toute nature. Nous n'en sommes pas le point final et nous avons même bien régressé par rapport à nos grands ancêtres de l'aube européenne. Le dernier venu des grands avatars, Nietzsche, nous montre clairement la voie : « Dieu est mort.». Il l'a voulu lui-même ainsi il y a des milliards d'années en s'investissant dans les lois de la physique, de la biologie, de la spiritualité. Il voulait pouvoir un jour nous refiler les cartes. C'est sa manière de faire joujou ; il aime les bêtes qui se prennent en charge et non celles qui viennent lui pleurnicher sur les bottes.
Alors jouons, mes amis ! Jouons avec un regard d'amour qui va au cœur des choses et embrasse les millénaires.
« Tous les dieux sont morts. Que le Surhomme vive ! Et que ceci soit, au Grand Midi, notre suprême volonté ».

Robert DUN

Thursday 2 August 2012

Henri Desportes - Tué par les juifs Histoire d'un meurtre rituel


Henri Desportes - Tué par les juifs
Histoire d'un meurtre rituel
Avril 1890

Cher monsieur,
Je viens de lire l'émouvante brochure dans laquelle vous racontez dans tous ses détails le nouveau meurtre rituel commis à Damas : l'assassinat du malheureux petit Abd el Nour.
Vous n'avez pas laissé debout un seul des mensonges accumulés à ce sujet par les Juifs et, devant votre récit d'une si minutieuse précision, appuyé de si irrécusables preuves, tout honnête homme sera convaincu.
Jadis, quand la France était le soldat du Droit, quand elle s'écriait fièrement: " Toute injustice me regarde ! " une explosion d'indignation se serait produite devant un crime si monstrueux ... Aujourd'hui, personne ne bouge.
Dès qu'aux extrémités du monde un Juif, après avoir commis d'innombrables méfaits, est l'objet d'une répression bien méritée, toute la Presse entonne le grand air de la Civilisation et convie l'univers à prendre parti pour cet Hébreu.
Pas un de nos députés catholiques n'a élevé la voix à la Chambre pour demander quel avait été dans cette affaire le rôle de notre consul à Damas, protecteur né de tous les Chrétiens là-bas; pas un n'a demandé s'il avait fait tout ce qu'il fallait pour obtenir le châtiment des coupables.

Pour plus d'informations
Les œuvres d'Henri Desportes

Wednesday 1 August 2012

Augustin-Joseph Jacquet - Concours de la Libre Parole - République plébiscitaire




Augustin-Joseph Jacquet - Concours de la Libre Parole
Sur les moyens pratiques d'arriver a l'anéantissement de la puissance juive en France
République plébiscitaire


Celui de nos souvenirs d'écolier, qui s'est le plus profondément gravé dans notre mémoire, est celui celui a trait à la découverte de la planète Neptune, par Leverrier, en 1846.
Depuis deux tiers de siècle Herschel avait découvert la planète Uranus; cet astre était un véritable casse-tête chinois, pour les astronomes, en raison des irrégularités de sa marche, à travers les espaces, irrégularités que personne ne pouvait s'expliquer.
A la périodicité, qu'affectaient ces irrégularités de marche, Leverrier conclut à l'existence d'une cause agissant périodiquement sur la marche d'Uranus.
A travers les espaces célestes, les causes de perturbations ne sauraient être très variées, celles-ci ne pouvaient être dues qu'à un phénomène d'attraction produit par un astre, encore inconnu, et qui devait se trouver le plus près d'Uranus, au moment du maximum d'écart que donnait la marche de cette planète, comparé à son orbite normal.
Partant de cette hypothèse, Leverrier, qui était un calculateur émérite, détermina, d'après les données que lui fournissaient les irrégularités de marche d'Uranus, quelle devait être à un moment donné, la position de l'astre hypothétique auquel il attribuait les perturbations d'Uranus.
Ses inductions étaient tellement justes, ses calculs étaient tellement exacts, qu'un astronome Prussien, braquant son télescope dans la direction déterminée par le Directeur de l'Observatoire Français, découvrit la planète inconnue, dont Leverrier avait déterminé l'orbite, la marche, la masse.
Appliquant cette méthode d'induction aux phénomènes historiques, dont les historiens ne donnaient point des explications à notre satisfaction, nous sommes arrivés à un résultat analogue à celui de Leverrier.
Lorsque nous réfléchissions aux troubles qui ont bouleversé la France, au siècle dernier, nous nous disions qu'il était impossible de les attribuer aux abus que l'histoire officielle nous enseigne avoir été la cause de la Révolution.
A cette fin du dix huitième siècle les moyens de communication étaient fort difficiles et très lents; les provinces avaient conservé leurs mœurs et leur tempérament particulier, fort différents les uns des autres; les abus, dans diverses contrées qui constituaient la France, affectaient des formes et des intensités fort diverses.
Et, du reste, après la nuit du quatre août, il ne restait plus grand chose de ces fameux griefs qui auraient été les seuls responsables du cataclysme social, si l'on en croit les historiens. Dans ces conditions-là, nous n'avons jamais pu nous expliquer, par ces abus, la simultanéité, l'universalité et la similitude qui caractérisent, sur tous les points de la France, l'explosion de 1789-1793.
De même, si nous considérons les événements de 1848, époque à laquelle presque tous les trônes de l'Europe furent, en même temps, si fort ébranlés qu'on poussait s'attendre à les voir tous sombrer dans la tourmente ; et si nous considérons les difficultés de communications qui existaient encore en Europe à ce moment-là, nous ne pouvons nous expliquer, par des abus plus ou moins hypothétiques, la tourmente du milieu du dix-neuvième siècle.
Il y avait donc, à ces événements, une cause cachée qui a échappé aux historiens qui ont écrit l'histoire.
Tous, cependant, n'étaient pas dans la même ignorance, car Louis Blanc avait déjà signalé cette cause perturbatrice.
Mais les historiens, officiellement considérés comme les seuls véridiques, n'avaient point pris au sérieux l'explication donnée par Louis Blanc.
Nous ne partageâmes point cette indifférence générale, au sujet de la cause signalée par Louis Blanc. Il n'en administrait point à la vérité la démonstration rigoureuse; mais, comme l'on dit en langage du Palais, les faits, signalés par lui, étaient pertinents et admissibles, ils méritaient donc une sérieuse attention.
Nous fûmes servis par les circonstances, et sans doute par la Providence.
Pendant plusieurs années, que nous consacrâmes aux voyages, nous utilisions les loisirs de nos soirées en bouquinant.
Notre attention était attirée sur les idées que nous venons d'exposer; c'est particulièrement ce qui avait trait à la Révolution qui attirait notre attention.
Nous pûmes ainsi, avec de la patience, faire une cueillette abondante de documents des plus intéressants, à l'aide desquels nous pouvons justifier l'affirmation de Louis Blanc et établir la part qui incombe à la Franc-Maçonnerie, dans les événements qui se sont déroulés en France depuis plus d'un siècle.
Du reste, aujourd'hui, la Franc-Maçonnerie met une certaine coquetterie à dévoiler elle-même ses agissements.
Lors du Couvent du Centenaire, en 1889, deux des fils de la veuve, les plus marquants, firent un historique très complet des faits que nous avions trouvés consignés dans la très volumineuse collection bibliographique que nous avons en mains.
C'est précisément cette diffusion infinie de documents, dans des ouvrages qui deviennent extrêmement rares, qui rend si difficile l'étude de l'action sociale de la Franc-Maçonnerie. Cela explique que les historiens n'aient point pu suivre l’œuvre ténébreuse des Enfants d'Hiram. Ces documents sont fort incomplets dans les bibliothèques publiques, dont les intéressés les font disparaître chaque fois qu'ils le peuvent.
A la lumière de ces documents nous avons alors pu nous expliquer, clairement, les mystères historiques dont nous ne trouvions pas la clé dans les ouvrages d'histoire officiels.
L'annuaire du Grand Orient de 1789, nous montre la France couverte de 700 Loges, environ, et les lumières de ces Loges se recrutent en grande partie parmi la Noblesse et le Clergé. Nous avons alors compris que la Révolution était faite dès l'instant où le F.'. Necker fit consentir Louis XVI au doublement du Tiers et, où, comme conséquence, l'Assemblée substitua le vote par tête au vote par Ordre, qui avait été pratiqué dans les États Généraux précédents.
Les députés du Tiers-Etat étaient à peu près tous Francs-Maçons, quelques-uns de la Noblesse et du Clergé l'étaient aussi; en doublant les députés du Tiers-Etat on assurait dans l'Assemblée la majorité aux Francs-Maçons. Mais il fallait, pour cela, abandonner le vote par ordre qui aurait rendu illusoire et inutile le doublement du Tiers.
Dès lors, tous les actes de la Révolution portent la marque d'origine Maçonnique, et l'on s'explique pourquoi la Révolution poursuit son cours après la nuit du 4 août qui avait supprimé les abus.
La cérémonie de réception du Roi à l'Hôtel de Ville, où il entra en passant sous la voute d'acier, consacra la victoire de la Franc-Maçonnerie sur la Royauté; car la voûte d'acier est une cérémonie essentiellement et uniquement Maçonnique.
Cette suprématie fut également consacrée dans la substitution du drapeau tricolore au drapeau blanc. Le blanc couleur Royale fut emprisonné entre le bleu couleur de la Franc-Maçonnerie symbolique, et le rouge, couleur de la Franc-Maçonnerie écossaise.
Il suffit, pour s'en convaincre, de lire le discours prononcé, à cette occasion, par Mirabeau.
Il n'est pas jusqu'à la croix des braves qui, de croix à quatre branches, s'est vue transformée en, étoile à cinq bras, qui rappelle l'étoile flamboyante maçonnique.
Ces symboles de la Patrie et de l'Honneur ont été, depuis, trop souvent lavés de la tache originelle dans le sang des enfants du Pays, pour que l'on puisse craindre, en rappelant leur origine, d'être accusé de déverser sur eux le mépris.
L'on ne peut, dans une préface, entrer dans de bien longs développements; mais ce que nous venons de dire sera commenté et développé d'une manière suffisante, dans l'exposé dont nous avons fait précéder le Mémoire de M. A.-J. Jacquet.
En étudiant l'action sociale de la Franc-Maçonnerie, et l'organisation de cette société fameuse, nous avons fait une découverte intéressante : c'est celle du lien de consanguinité étroit qui existe entre la Franc-Maçonnerie et la Juiverie.
Nous croyons en avoir fait la démonstration d'une façon péremptoire.
Et, après avoir parcouru ce volume, le lecteur arrivera à cette conclusion, qu'il ne suffit pas que le Juif brille par son absence, dans une contrée, pour que l'on croie cette contrée à l'abri de l'influence Juive.
Partout où il y a des Francs-Maçons, et il y en a partout en France, c'est comme s'il y avait des Juifs.
Du reste, si le lecteur comprend bien ce que nous avons dit dans le chapitre sur l'Etalon d'or, il comprendra que les Juifs n'ont pas besoin d'être répandu, partout, pour faire sentir, partout, leur influence néfaste. Leur doctrine économique, appliquée par nos gouvernants Fr.'.-Maç.'. sème partout la ruine, qu'il y ait ou non des Juifs dans le pays.
Mais le point sur lequel nous appelons, tout particulièrement, l'attention du lecteur, c'est celui-ci : Juifs et Francs-Maçons constituent un gouvernement occulte, irresponsable, dont l'action, toute puissante sur le gouvernement politique du pays, fausse absolument le jeu de nos institutions politiques.
Si le lecteur comprend bien cette vérité, il se rendra compte de l'importance capitale du chapitre « Une Réforme qui s'impose ».
Il est difficile de traiter la question Juive sans la synthétiser dans le grand financier qui est comme la personnification de la Race.
Nous sommes parfois très dur à son égard, mais nous affirmons ici n'avoir eu en vue que la situation, inquiétante pour le pays, de l'homme qui l'occupe et non la personne elle-même.
Nous tiendrions le même langage, nous l'avons dit, envers le personnage qui occupe cette situation s'il était Catholique au lieu d'être Juif.
Nous estimons, avec beaucoup de bons esprits, que, vu la situation que le pays fait, à la Banque de France et aux receveurs généraux, il y a là, pour lui, les éléments suffisants pour réussir tous ses emprunts sans recourir aux syndicats de banquiers Juifs.
Les receveurs généraux, s'ils en recevaient l'ordre, obtiendraient facilement, chacun dans leur ressort, de faire garantir par les banquiers de leurs départements, une quotité déterminée de rentes.
La réserve que nous faisons, au sujet du Baron de Rothschild, nous la ferons aussi au sujet du Juif en général : l'esprit qui nous anime se résume dans un passage, que nous avons lu quelque part, sans avoir conservé le souvenir du volume, dans lequel nous l'avons vu.
« Le Juif, dit l'auteur, est le Frère aîné du Chrétien. Le Juif est le Chrétien d'avant la lettre ; à ce titre, si le Chrétien, auquel le Christ a donné la loi de charité, est tenu de s'efforcer de faire participer aux bienfaits de ses croyances l'homme qui les ignore ; cette obligation est d'autant plus grande vis-à-vis du Juif qu'il y a, entre le Juif et le Chrétien, des liens plus « étroits. »
Mais cela ne saurait empêcher le Chrétien d'ouvrir les yeux sur les dangers auxquels l'expose le Juif, par son organisation, son tempérament, ses aptitudes, les croyances erronées qu'il puise dans le Talmud. En raison de tout cela, partout où le Juif sera admis en BLOC, sur pied d'égalité, il arrivera fatalement et rapidement à dominer et à tyranniser la population ambiante.
Le Juif ne peut donc être admis, dans la société ambiante, qu'à titre individuel ; et, après qu'il aura justifié cette faveur par des services prolongés, et donné des gages d'assimilation à « ce milieu. »
Telle est l'idée fort sage que nous avons voulu commenter, développer, justifier.
Si nous avons pu convaincre notre lecteur, nous attendrons de lui une participation efficace à la mise en pratique de la réforme que nous signalons page 24, et qui est développée d'une façon magistrale, dans le substantiel Mémoire de M. A.-J. Jacquet, auquel la Commission du Concours de la Libre Parole a décerné le Premier Prix.

Paris, le 17 janvier 1897.
E. ROUYER,
Ingénieur des Arts et Manufactures.


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